Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 3441 à 3450.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(17/06/2011 17:07:37)

Recap IT : Failles et Attaques, Rachat et Tribunal

La sécurité revient sur le devant de la scène cette semaine. La CIA a confirmé que son portail avait été mis en berne pendant quelques heures après une attaque en déni de service. L'origine de cette attaque se nomme LulzSec, contraction humoristique  à partir de Lol et Security. Ce groupe a proposé ses services pour pirater d'autres cibles.

En début de semaine, c'est le FMI qui a été de nouveau victime d'une cyber attaque. Si ces intrusions ont lieu, c'est qu'il existe des failles. Les éditeurs de logiciels tentent de colmater ces brèches en fournissant des patchs. Microsoft a ainsi présenté son Patch Tuesday du mois de juin qui corrige quelques vulnérabilités sur IE9. Adobe a fait de même pour corriger un bug zero-day sur Flash. On notera également la sortie de Firefox 5 la semaine prochaine qui comprend plus de correctifs que de réelles innovations.

Rachats et bisbilles


La plus grande opération capitalistique de la semaine est à mettre à l'actif de Capgemini qui a acquis Prosodie, pour 382 millions d'euros. La SSII met la main sur une expertise dans la facturation à l'usage et le développement de services vocaux, elle en profite aussi pour créer une division nommée New Business Model. VMware continue ses emplettes autour lui aussi de la facturation, mais des services clouds, en rachetant Digital Fuel. Enfin sur le plan des rumeurs, Sage intéresserait IBM et SAP.

Terminons sur la bisbille de la semaine, HP porte plainte contre Oracle, car ce dernier aurait refusé de corriger des bugs critiques sur ses logiciels pour la plate-forme Intel Itanium, principalement utilisée par HP sur ses serveurs Unix Integrity. Oracle a annoncé il y a quelques semaines qu'il arrêtait tout développement logiciel pour les puces Itanium.

(...)

(17/06/2011 17:07:05)

Avec un SDK dédié, Kinect prépare son arrivée sur PC

Un kit de développement pour Windows, un SDK en version bêta, est disponible pour le capteur à reconnaissance de mouvements Kinect de Microsoft. Ce contrôleur unique en son genre permet de contrôler sa console et de jouer à plusieurs sans utiliser de manettes de jeux, mais à l'aide de ses mains, de sa voix et de son corps.

Avec l'arrivée de ce SDK, les développeurs peuvent concevoir des applications pour Windows 7.  Ce premier kit de développement est réservé pour un usage non commercial, mais Microsoft précise qu'il proposera très bientôt un pack à usage commercial. Le SDK apporte aux développeurs toutes les API nécessaires pour utiliser les capteurs de la Kinect tels que les détecteurs, la caméra couleur et le microphone. Les développeurs seront en mesure de suivre l'image squelette d'une à deux personnes se déplaçant dans des applications utilisant la capture de mouvements. Ce SDK inclut également des fonctions audio comme la suppression de bruit de fond et la réduction d'écho pour mieux saisir les commandes vocales. Les développeurs pourront également accéder à la technologie de formation du faisceau pour identifier la source des sons. Ils seront également en mesure d'accéder à l'API de reconnaissance vocale de Windows. Pour travailler, les programmeurs pourront utiliser les langages .Net, C++ et C#.

Des usages dans le monde industriel et médical

Pour le lancement de ce SDK, Microsoft avait invité un groupe de professionnels et d'étudiants développeurs à créer des applications pendant 24 heures. La société a exhibé quelques-uns de ces programmes. Parmi les plus intéressants, citons un jeu que l'utilisateur peut commencer à la maison avec Kinect contre un adversaire distant utilisant un smartphone Windows Phone 7. Une autre application permet à l'utilisateur de conduire un orchestre avec les mains grâce à une carte des instruments sur scène. Le chef d'orchestre virtuel peut contrôler le tempo et le volume de la musique en utilisant des gestes.

L'éditeur estime que la fourniture de ce SDK permettra de développer un large éventail d'applications dans de nombreux domaines y compris le divertissement, la robotique, les soins de santé, l'éducation et l'automobile. « Les possibilités sont vraiment infinies », a déclaré Anoop Gupta, chercheur au Microsoft Research.

Juste après le lancement de Kinect en novembre dernier, des développeurs avaient réussi à détourner le contrôleur Kinect pour l'utiliser sur la plate-forme Linux et développer leurs propres applications. Microsoft avait tout d'abord résisté à ces efforts, disant qu'il désirait conserver la plate-forme Kinect fermée et la réserver au monde du jeu vidéo. Mais la compagnie s'est vite ravisée et a déclaré qu'elle publierait un SDK pour permettre aux développeurs de créer des applications utilisant le dispositif Kinect.

Crédit photo : D.R.

(...)

(17/06/2011 16:25:07)

4D livre une preview de Wakanda pour développer en JavaScript

L'éditeur français 4D vient de proposer au téléchargement une preview de Wakanda, sa plateforme de développement unifiée pour concevoir entièrement en JavaScript des applications web professionnelles, et pour les déployer, notamment sur des terminaux mobiles. Ce projet Open Source a été engagé il y a trois ans, 4D ayant recruté pour s'y consacrer une équipe de R&D distincte de celle travaillant sur son IDE multiplateforme 4D. La société, créée par Laurent Ribardière dans les années 80, cherche à étendre son champ d'action à de nouveaux développeurs. Si Wakanda est indépendante de 4D v12, il est néanmoins prévu de proposer des « ponts pour connecter les deux produits ».

La plateforme réunit trois composantes. D'abord, un serveur HTTP multithread qui intègre un datastore NoSQL et le moteur JavaScript de WebKit. Il fonctionne sous Linux, MacOS ou Windows. Ensuite, Wakanda Studio, l'IDE pour créer les interfaces graphiques, qui comprend un éditeur de code et un remote debugger. Le Framework, enfin, qui fournit la couche transactionnelle avec le serveur, ainsi que les widgets basés sur JavaScript, CSS3 et HTML5, et permet aux applications de fonctionner à travers les différents navigateurs et terminaux mobiles.

Plateforme de développement JavaScript Wakanda de l'éditeur français 4D
(Cliquer sur l'image pour l'agrandir)

4D indique que cette preview est en phase d'expérimentation auprès d'une cinquantaine d'utilisateurs depuis le début de l'année. Sa mise à disposition, qui constitue une première étape vers une version bêta, s'accompagne d'un forum et d'outils de réseaux sociaux avec l'objectif d'accélérer la constitution d'une communauté autour de la plateforme. Plusieurs projets « d'envergure » ont déjà démarré dans le monde selon l'éditeur, ce qui, estime-t-il, devrait contribuer à la mise au point d'une première version de production à la fin de l'année.

Assortie d'une double licence, Wakanda sera proposée en Open Source et dans une version commerciale complétée d'un support. (...)

(17/06/2011 15:46:59)

Dell complète son offre VIS avec Netuitive

L'un des défis d'une infrastructure virtuelle est les interactions qui existent entre plusieurs éléments, ce qui rend la gestion du système global complexe. Les logiciels de Netuitive collectent des données sur les niveaux de performance et de l'utilisation de l'infrastructure. Ils dressent ainsi une image du bon fonctionnement du système et prévoit les éventuels problèmes qui pourraient survenir. Netuitive affirme que ses outils disposent de fonctionnalités de « self learning ».

Dell va intégrer ces solutions au sein de VIS (Virtual Integrated System) qui est un ensemble de logiciels et de produits conçus pour faciliter le provisioning et la gestion des systèmes physiques et virtuels, y compris les serveurs, la partie réseau et les équipements de stockage. Il vise à rivaliser avec des offres telles que les serveurs UCS (Unified Computing System) de Cisco et Blade System Matrix de Hewlett-Packard, qui vient d'être récemment rebaptisée CloudSystem Matrix.

Une orientation entreprises de taille moyenne

Dell souhaite que VIS s'adresse aux entreprises de taille moyenne. Le constructeur indique aussi qu'à la différence de ses concurrents son offre s'adapte à l'ensemble des fournisseurs. Les logiciels de Netuitive seront intégrés à la solution nommée VIS Director.

« Netuitive espère que cet accord montrera l'intérêt de ses outils d'analyses prédictives » explique Rachel Chalmers, analyste chez 451 Group dans une note de recherche et d'ajouter que « d'autres sociétés concurrentes comme ProactiveNet et Integrien, ont été acquis respectivement par BMC Software et VMware, laissant Netuitive comme le dernier pure player sur ce marché ».

Roy Illsley, analyste chez Ovum estime que ce partenariat est positif pour Dell. «Ovum considère l'analyse du comportement comme la prochaine innovation majeure de l'infrastructure et la gestion des clouds, et cet accord donne à Dell un avantage sur ses principaux concurrents, notamment sur le mid-market » déclare-t-il.

(...)

(17/06/2011 15:02:03)

5 fonctions de Mac OS X Lion

Lion est en route. Et pour préparer les utilisateurs aux changements, Apple a posté sur son site Internet la liste de toutes les nouvelles fonctionnalités - plus de 250 - de la future version de Mac OS X. Extraits de cette longue liste, 5 trucs sympathiques que le Mac sera capable de faire avec Lion.

Lion peut corriger, accentuer un texte, et proposer des définitions

S'inspirant de nombreuses astuces d'iOS, Lion apporte au Mac la capacité de corriger automatiquement les fautes d'orthographe et d'accentuer les lettres. Mac OS X 10.7 utilise pour cela les mêmes bulles pop-up que celles, bien connues et très appréciées, de ceux qui travaillent déjà avec des dispositifs sous iOS. Sous le mot que l'on est en train de taper, les éventuelles fautes sont mises en évidence et des suggestions apparaissent dans une bulle. Si l'on ne choisit une, le mot se souligne en bleu pour indiquer que le remplacement a bien été effectué. Il est également possible d'ajouter un accent à une lettre en maintenant enfoncée la touche de la lettre que l'on souhaite modifier. De la même manière, un menu pop-up apparaît, proposant toutes les combinaisons d'accentuation possible.

Lion permet également de voir la définition d'un mot ou d'avoir accès à un article Wikipedia en rapport, cela toujours via un menu pop-up. Ceux qui disposent d'un Magic Trackpad, pourront utiliser le double-clic à trois doigts pour faire apparaître la définition du mot ou du groupe de mots, une entrée de dictionnaire, et l'article Wikipedia, s'il est disponible. Sinon, le contrôle-clic sur le mot a le même effet.

Lion sait réaliser des recherches dynamiques

Cette version de Mac OSX rend la recherche dans le Finder ou dans Mail non seulement plus simple, mais aussi plus « intelligente ». Ainsi, lorsque l'on tape une requête dans le champ de recherche, l'ordinateur essaye précisément de suggérer les réponses qu'il estime pertinentes. Par exemple, en tapant « photoshop », il propose de trouver tous les fichiers Photoshop sur le disque dur. Il est possible de sélectionner ce critère de recherche, et d'ajouter des requêtes supplémentaires, en demandant par exemple de trouver tous les fichiers au format PSD nommés « chapeau » et obtenir ainsi des résultats plus précis.

Lion permet de fusionner des dossiers

Il arrive que l'on perde certains documents en remplaçant un dossier par un autre du même nom, même s'il se trouve à un endroit différent. On croit avoir synchronisé ses documents, mais en réalité on écrase les précédents et on perd l'historique de tout un travail.

La véritable solution aux problèmes de ce genre, c'est bien sûr d'effectuer des sauvegardes régulières. Mais Lion va permettre de résoudre définitivement ce problème grâce à un système de fusion de dossier et de préservation de fichier. Désormais, quand on essaye de déplacer un dossier vers un emplacement où il existe déjà un autre dossier du même nom, l'ordinateur demande si l'on souhaite fusionner les deux dossiers ensemble, plutôt que de proposer de remplacer l'un par l'autre. Les fichiers sont traités de la même façon : on ne peut évidemment pas fusionner un fichier avec un autre, mais sous Lion, l'ordinateur demande si l'on souhaite conserver les deux copies du même fichier au lieu de les écraser.

Lion sait transférer des fichiers depuis un PC

Grâce à Migration Assistant, Lion va faciliter la migration de ceux qui envisagent de passer au Mac. Cette application va permettre de déplacer facilement les fichiers, les comptes utilisateurs, et autres, depuis le PC de l'utilisateur vers le Mac. L'utilitaire Migration Assistant effectuera le transfert des données, soit au moment de la mise en route du nouveau matériel, ou plus tard.

Migration Assistant permet donc de transférer les comptes utilisateurs et les fichiers, mais aussi les comptes e-mails, les contacts, et les agendas de certains programmes (Microsoft Outlook, Outlook Express, Windows Mail ou Windows Live Mail). Pour ce faire, il suffit d'installer une petite application sur le PC, et de sélectionner les éléments que l'on souhaite transférer. Le transfert peut s'effectuer en WiFi, ou via une connexion Ethernet filaire établie entre les deux ordinateurs.

Lion sait dépanner et réinstaller le système sans CD

Pour réparer un disque ou effectuer une restauration à partir d'une sauvegarde, il est désormais inutile d'aller chercher un disque de démarrage externe, un CD de restauration, un câble FireWire, ou tout autre matériel. Avec Lion, le Mac dispose de sa propre partition de restauration préinstallée.

Cette partition, qui occupe à peine 600 Mo, est quasiment invisible. Elle reste cachée dans un coin du disque dur, jusqu'à ce que l'on en ait besoin. En maintenant la touche option enfoncée pendant le démarrage de l'ordinateur, la partition apparaît à côté de la partition principale sous le nom de Restore HD. Il suffit alors de cliquer dessus, et le Mac démarre en mode de récupération. À partir de là, il est possible de restaurer sa machine depuis une sauvegarde Time Machine, de réinstaller Mac OS X, de dépanner son système avec l'Utilitaire de disque, ou d'obtenir de l'aide en ligne en utilisant une version intégrée de Safari. Le navigateur permet de se connecter à internet, voire d'aller sur le site d'Apple et de prendre rendez-vous avec un technicien, au cas où l'utilisateur aurait besoin d'aide pour résoudre son problème.

(...)

(17/06/2011 12:36:10)

Sage serait en discussion avec IBM et SAP

Outre-Manche, le site Computing fait état de rumeurs de discussions entre Sage, IBM et SAP, qui lui font envisager une potentielle acquisition de l'éditeur britannique de solutions de gestion. Une source interne à Sage a confié au site d'information spécialisé dans la IT que sa société discutait à la fois avec les groupes américain et allemand, en ajoutant qu'appartenir à une structure plus importante pourrait profiter à ses activités. L'interlocuteur a confié à nos confrères anglais que Sage était dans une période de réflexion, rappelant que l'objectif était de doubler la base de clients sur cinq ans, ce qui représentait un défi important d'un point de vue organisationnel. « La structure de l'organisation nous retient et nous trouverions certainement avantage à disposer de garanties et de capacités d'investissement supérieures », cite Computing.

IBM, bien que doté d'un riche catalogue applicatif, ne possède pas encore d'applications de gestion, mais il a déjà noué des partenariats avec Sage. En revanche, l'éventuel intérêt de SAP apparaît plus étonnant. Numéro un des solutions de gestion au niveau mondial, l'éditeur allemand a jusqu'à présent procédé plutôt à des acquisitions portant sur des technologies ou des compétences métiers dont il ne disposait pas : Business Objects sur la BI, Sybase dans la mobilité et les bases de données, ou précédemment TopTier sur les portails, TopManage sur les offres PME, Highdeal sur la facturation complexe, etc.

SAP a réalisé des efforts très conséquents au cours des six ou sept dernières années pour disposer d'une offre PME crédible. Il propose aujourd'hui trois solutions sur ce marché : BusinessOne, All-in-One et Business ByDesign, application en mode SaaS (software as a service) qu'il héberge lui-même et sur laquelle il a effectué d'énormes investissements. Sage de son côté envisage essentiellement le mode SaaS sous la forme de fonctions complémentaires à son offre actuelle.

13 000 collaborateurs dans le monde dans 24 pays

Il y a deux semaines, Guy Berruyer (en photo), CEO de Sage, a fait un point sur l'activité de son groupe à l'occasion d'une web conférence annonçant la version 6.2 de l'offre ERP X3 que l'éditeur commercialise au niveau mondial. Fin mars 2011, le chiffre d'affaires semestriel de l'éditeur s'est élevé à 183,5 millions de Livres, soit une progression de 4% par rapport à la même période l'an dernier. Il avait réalisé un chiffre d'affaires de 1,4 milliard de Livres sur son exercice fiscal précédent clos fin septembre 2010 (66% de ses revenus viennent des contrats de support).

Sage se distingue de ses concurrents par la nature de son offre. Le groupe s'est constitué par rachats successifs, pays par pays, d'éditeurs locaux de logiciels de gestion (comptabilité, paie, fonctions achats/ventes/stocks...). Chaque filiale continue à développer localement les logiciels qu'elle commercialise sur son marché. Parallèlement, Sage a commencé à distribuer de façon globale certains produits, d'abord ses offres de CRM, Saleslogix, puis plus récemment l'ERP X3 racheté il y a quelques années à l'éditeur français Adonix. Avec ce produit, il compte étendre sa base installée dans les entreprises de taille moyenne d'envergure internationale.

Sage compte 6,3 millions de clients dans le monde parmi lesquels une majorité de PME et TPE. Il rassemble 13 000 collaborateurs dans 24 pays. L'an dernier, l'éditeur a réorganisé sa direction, Guy Berruyer prenant la tête du groupe en juillet 2010. En France, Antoine Henry a succédé à Pascal Houillon au poste de directeur général.

Ce ne sont pas les premières rumeurs qui circulent sur la société. Il y a quelques mois, SAP avait déjà été évoqué pour un éventuel rachat de Sage, de même que Microsoft.

Illustration : Guy Berruyer, CEO de Sage (crédit : DR) (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >