Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 3731 à 3740.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(24/05/2011 16:36:03)
NHK présente son dernier prototype d'écran Oled flexible
Le japonais NHK travaille depuis plusieurs années sur les écrans Oled (diodes organiques électroluminescentes) et son dernier prototype sera présenté en grande pompe lors d'un évènement fin mai dans son centre de R&D à Tokyo. Les journalistes ont été invités à découvrir cet écran en avant-première.
Par rapport au prototype présenté il y a deux ans, ce nouveau modèle est plus facile à fabriquer. Comme les défauts à l'écran sont moins visibles, par rapport au prototype de 2009, les rebuts sont moins importants en production. Comme le précédent écran, la diagonale du modèle 2011 est de 5 pouces environ et supporte une résolution QVGA (320 x 240 pixels). Les images sont en couleur, même si la forte dominante des pixels verts impose une teinte générale verdâtre.
Des pixels morts très encombrants
Bien que le nombre de points imparfaits soit en diminution, leur présence toujours visible souligne que les chercheurs ont encore du chemin à parcourir avant de commercialiser ces écrans vidéo flexibles. Le plus gros problème rencontré lors de la fabrication de ces écrans reste la fiabilité des connexions électriques entre les pixels. Elles ne doivent pas se briser lorsque l'écran est fléchi. Même en utilisant un substrat ferme comme le verre, il y a encore certains obstacles à la technologie Oled qui empêchent la commercialisation de grands écrans sans défaut. La difficulté consiste à diffuser de manière uniforme le signal électroluminescent organique sur toute la surface de l'écran. Bien que les écrans Oled de petite taille sont largement utilisés dans les produits comme les téléphones mobiles, les dalles de 10 pouces et plus sont toujours difficiles et coûteuses à réaliser.
Une technologie toujours prometteuse
Mais les chercheurs ne baissent pas les bras car cette technologie d'affichage produit une image plus claire et plus dynamique que celle d'un écran LCD (affichage à cristaux liquides) et nécessite beaucoup moins de rétro éclairage. Et donc au final une consommation électrique inférieure.
En mai 2010, Sony avait montré un écran Oled de 4,1 pouces qui pouvait être
enroulé. Le prototype, qui n'est toujours pas produit commercialement, offrait une résolution de 432 x 240 pixels et pouvait être fléchi à un degré bien supérieur à celui du prototype de NHK. Seul bémol, les pixels défaillants étaient très nombreux.
eG8 Forum : Sarkozy manie la brosse et le bâton
Le Jardin des Tuileries à Paris accueille pendant deux jours le Forum eG8 et la plupart des acteurs de l'Internet sur le plan mondial (Mark Zuckerberg de Facebook, Eric Schmidt de Google, etc.). Au menu, des débats entre spécialistes et, cerise sur le gâteau, une délégation de ce forum sera entendue par les chefs d'Etat lors de la réunion du G8 à Deauville le 26 et 27 mai prochain. Le eG8 a été inauguré par Nicolas Sarkozy qui, pour l'occasion, a prononcé un discours et s'est même prêté au jeu des questions réponses.
Toute la première partie de son discours a été orientée vers la reconnaissance de la puissance « inédite » des acteurs de l'Internet. Les qualifiant à la fois d'artisans de la 3ème mondialisation, les plaçant au niveau de Newton, Galilée, Copernic et Edison comme vecteurs de la révolution, le chef de l'Etat a été laudatif sur la réussite des entrepreneurs du Net en demandant aux administrations publiques de s'en inspirer. Il admet aussi leur influence économique ce qui leur vaut l'oreille attentive des puissants de ce monde.
De l'Internet civilisé à l'Internet responsable
Si le Président de la République a pris garde de flatter suffisamment son auditoire choisi pour leur imposer dans sa deuxième partie de discours la notion de responsabilité. « Si la technologie est neutre et doit le rester, on voit bien que les usages d'internet ne le sont pas », précise Nicolas Sarkozy et d'ajouter que « penser l'Internet relève d'une responsabilité historique, qui doit être partagée entre les acteurs de l'Internet et nous, les chefs d'État ». La régulation de l'Internet, car si le mot n'est pas prononcé il est pourtant dans toutes les pensées, doit permettre d'édicter « des valeurs minimums, des règles minimums ». Il cite plusieurs axes de collaboration : « Ne laissez pas la technologie que vous avez forgée porter atteinte aux droits élémentaires des enfants... Ne laissez pas la révolution que vous avez lancée devenir un instrument aux mains de ceux qui veulent porter atteinte à notre sécurité et donc à notre intégrité ».
Il a terminé son discours par ces propos « Je pense qu'on a beaucoup à faire ensemble. Nous avons besoin d'entendre vos aspirations et vos besoins. Et vous avez besoin d'entendre nos limites et nos lignes rouges. » Certains craignent déjà un verrouillage supplémentaire de l'Internet en mettant en avant plusieurs initiatives : Hadopi, la LOPPSI 1 et 2, la suppression du Forum des droits de l'Internet, la récente volonté de l'Union européenne de filtrer le Net, les discussions sur l'ACTA (Anti-Counterfeiting Trade Agreement) dans le cadre de l'OMC...
Jive rachète OffiSync pour renforcer ses liens avec Office et SharePoint
Jive Software a acquis OffiSync, dont la technologie permet de relier les applications bureautiques de Microsoft avec des suites de collaboration et de réseau social en entreprise hébergées dans le cloud. Dirigée par d'anciens responsables de Microsoft, la société OffiSync est basée à Seattle. Elle compte 12 personnes, dont une équipe d'ingénieurs travaillant en Israël. Les termes de l'accord passé entre les deux sociétés n'ont pas été communiqués.
Jive Software utilise déjà la technologie OffiSync pour intégrer son logiciel Social Business avec la suite Office et le portail collaboratif SharePoint. L'éditeur prévoit donc d'approfondir les liens avec ces deux produits Microsoft et d'ajouter une passerelle avec le client de messagerie Outlook au cours du troisième trimestre de cette année. La technologie OffiSync est également utilisée par d'autres fournisseurs, dont Google Docs, pour sa suite de productivité cloud et de Central Desktop pour sa suite hébergée de collaboration sociale en entreprise. « Jive Software n'a pas l'intention de remettre en question les partenariats actuels d'OffiSync, ni de refuser sa technologie à d'autres éditeurs de suites », a déclaré Bryan LeBlanc, directeur financier de Jive Software. « Par contre, les clients de Jive Software pourront profiter d'une plus grande intégration de la suite maison Social Business avec OffiSync », a t-il ajouté. « Cela apporte à Jive une expertise Microsoft considérable. »
OffiSync relie aussi Office à Twitter ou LinkedIn
La technologie OffiSync crée une passerelle entre Outlook, Office et SharePoint et des suites de réseau social et de collaboration en entreprise, comme celle de Jive Software. Cela permet aux utilisateurs de retrouver les fonctionnalités et les capacités de Jive Software, ou de toute autre suite utilisée par leur entreprise, dans les interfaces des applications bureautiques de Microsoft. Quand ils sont reliés à la suite de Jive Software, les utilisateurs de Microsoft peuvent avoir accès à des fonctions comme l'édition de documents communs, le microblogging, les forums de discussion, les flux d'activité et les profils des collaborateurs. OffiSync permet également d'intégrer les logiciels de Microsoft avec des services comme Twitter ou sites tels que LinkedIn.
Un rachat très pertinent
Relier leurs suites de réseau social avec les applications de communication et de collaboration de Microsoft est devenue une priorité pour des vendeurs comme Jive Software, qui ont réalisé que des outils comme Outlook, SharePoint et Office restent profondément enracinés dans les environnements professionnels. Rob Koplowitz, analyste de Forrester Research, se réjouit du rachat d'OffiSync par Jive Software. « La technologie OffiSync est utilisée par un grand nombre d'entreprises, de sorte que Jive a pris une bonne décision en achetant cette technologie pour elle-même », estime-t-il. « L'intégration avec Outlook est particulièrement convaincante. » L'acquisition est aussi une stratégie défensive, dans ce qu'elle élimine la possibilité de voir OffiSync racheté par un concurrent, lequel pourrait priver Jive Software d'accéder à cette technologie », a ajouté Rob Koplowitz. « C'est un choix très pertinent », a t-il conclu.
Illustration : démo d'OffiSync
Citrix s'empare de Kaviza, spécialisée dans le VDI pour les PME
Citrix a acquis Kaviza, une société qui propose une solution de « VDI in a box ». Ce service est simple d'utilisation et d'intégration pour les petites et moyennes entreprises. Les deux sociétés se connaissent bien, car Citrix a investi il y a quelques mois dans Kaviza. Cette prise de participation doit permettre le développement de l'appliance qui automatise la facturation, la balance des charges et la gestion des postes de travail virtuels. Les PME pourront ainsi déployer ces solutions à des coûts aussi accessibles que la fourniture de desktop classique.
Une offre abordable
Le tarif de la solution « VDI in a box » se décompose ainsi en 100 dollars par desktop pour l'intégration au sein des serveurs et 50 dollars par machine pour l'hyperviseur VMware ESXi et pour le logiciel de gestion de Kavizia de l'appliance virtuelle. Le coût total de la solution est estimé à moins de 500 dollars par poste de travail. La solution est aussi disponible avec les hyperviseurs Hyper-V et XenServer.
Les fournisseurs de solution de virtualisation font preuve d'un intérêt croissant pour le marché des PME. La semaine dernière, le concurrent de Citrix VMware a acquis Shavlik Technologies, qui fabrique des produits permettant aux utilisateurs de gérer, surveiller et sécuriser les environnements physiques et virtuels.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |