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(23/05/2011 10:45:40)

Patrick Jeandet prend la direction de l'activité stockage chez HP France

La division infrastructure (ESSN) de HP Enterprise Business accueille Patrick Jeandet au poste de directeur de l'activité stockage (SWD) pour la France. Telle que définie par le constructeur, sa mission va consister à faire croître les ventes du catalogue dont il a la charge plus vite que le reste du marché. Les fonctions qui sont aujourd'hui les siennes étaient occupées jusqu'ici par Patrick Trajkovic.

Avant de rejoindre HP, Patrick Jeandet a passé plus de dix ans chez le fabricant de produits réseaux Brocade. Il y était dernièrement responsable de l'Europe du Sud, en charge de la direction des responsables de Brocade pour la France, l'Italie, l'Espagne et le Portugal.

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(23/05/2011 10:27:35)

Entretien André Brunetière, directeur R&D et stratégie de Sage France

Comment Sage envisage-t-il l'évolution de son catalogue produit ?

André Brunetière : Bien sûr, nous allons poursuivre le développement de notre catalogue de logiciels voués à être installés au sein même des entreprises. Mais nos partenaires savent dorénavant que nous allons également élargir le nombre d'applications que nous diffusons en mode SaaS et proposer, en outre, des solutions hybrides. Le mode de fonctionnement de ces dernières consiste à installer l'applicatif chez les clients mais à héberger les données dans le cloud. De cette façon, nous continuerons de satisfaire les utilisateurs habitués à des interfaces Windows et à un temps de réponse rapide. Dans le même temps, nous permettrons aux utilisateurs distants d'accéder aux mêmes données à travers une interface spécifique. Cette stratégie produit à trois niveaux (mode traditionnel, SaaS et hybride) nous paraît être la plus judicieuse dans la mesure où considérer que tous les clients peuvent se satisfaire d'un modèle SaaS à 100% est suicidaire.


Pour lire la suite de l'entretien, cliquez ici
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(23/05/2011 10:08:06)

Le cloud musical d'Apple se précise

Selon plusieurs sources, Apple aurait réussi à s'entendre avec les trois majors et serait sur le point d'annoncer son offre de musique en ligne. Bloomberg indique que les contrats de licence signés avec Sony, EMI et Warner "permettront aux utilisateurs du nouveau service musical d'accéder à leur collection de morceaux sur leur appareils mobiles, via internet". Récemment, la compagnie de Cupertino a racheté pour une coquette somme le nom de domaine iCloud à une société suédoise, Xcerion. (...)

(23/05/2011 10:08:01)

Le Syntec numérique veut dynamiser le marché de la télémédecine

Lors du salon HIT,  le Syntec Numérique a livré une étude (*) et des projections sur la télémédecine (**). Le marché global de l'informatisation de la santé serait compris entre 2,2 et 3 milliards d'euros par an, celui de la télésanté entre 200 et 300 millions d'euros, le marché de la télémédecine (***) entre 80 et 140 millions d'euros actuellement. Conclusion, ce marché de l'informatique de santé s'oriente plus vers les infrastructures et les matériels que vers les usages et donc les services, par exemple en  télémédecine. Un segment qui  ne représente que 2 à 5% des financements et 0,05% des dépenses de santé annuelles.

Fait aggravant, le rythme de développement de la télémédecine reste incertain.   L'évolution européenne ou mondiale constatée dans plusieurs études donne un rythme de croissance annuelle compris entre  15 et 35% sur la période 2007-2012. Raisonnablement, estime le Syntec Numérique, ce chiffre de 15 à 30% de croissance semble crédible pour les cinq prochaines années, en France.

Un marché de 160 à 520 millions d'euros


L'étude voit  le marché total de la télémédecine passer de 160 à 520 millions d'euros dans les cinq prochaines années. A l'intérieur de ce marché, l'étude distingue cinq segments : dispositifs médicaux, matériel informatique, édition de progiciels, conseil/intégration, services de télémédecine. L'édition devrait passer de 32 à 250 ME, les services de télémédecine de 4 à 6 ME, l'étude ne donne pas de visibilité sur la croissance des trois autres segments.

Le rapport estime que les budgets publics ne devraient guère augmenter en faveur de la télémédecine dans les cinq ans à venir. En revanche, les investissements d'avenir (ex grand emprunt) pourraient jouer leur rôle. L'ancien président du Syntec Numérique, Jean Mounet, vient d'ailleurs d'être nommé Président du comité d'experts santé des investissements d'avenir. Il milite depuis des années, comme son successeur, pour que l'informatique de santé soit mieux considérée dans les investissements publics.

1 500 à 2 000 embauches par an sont possibles


Autre avantage, un effort des pouvoirs publics favoriserait les acteurs français du marché. Laisser le marché évoluer à son rythme actuel laisse les acteurs étrangers dominer et fragilise les français.  Cet effort encouragerait également l'emploi. Le Syntec Numérqiue estime que 1 500 à 2 000 embauches par an sont possibles. Pour lui, « c'est donc le moment où jamais d'investir. Le temps des expérimentations est révolu ».

L'étude du Syntec Numérique évalue à 200 le nombre d'acteurs présents sur ce marché. Toutefois, une trentaine seulement sont en mesure d'afficher un chiffrer d'affaires allant de 700 000 euros à 5 millions d'euros. Les éditeurs assurent 39% du marché, les SSII 16%, les constructeurs 14%.

(*) étude menée pour le comité Santé du Syntec Numérique, avec le cabinet Jalma

(**) Le Syntec Numérique travaille sur 4 sujets liés à la santé : l'hôpital numérique, le poste de travail du professionnel de santé, le cloud computing santé et, la télémédecine.

(***) La télésurveillance comprend cinq domaines : la téléconsultation (du médecin par le patient à distance), la télésurveillance médicale (le professionnel de santé réalise un diagnostic à distance), la télé-expertise (un médecin consulte un spécialiste), la téléassistance (d'un médecin par un autre médecin dans la réalisation d'un acte médical), la télérégulation (urgence ou permanence des soins). (...)

(23/05/2011 09:48:13)

Gestion industrielle revue chez Sotralentz Métal Industrie avec AG2L

Sotralentz Métal Industrie dispose de quatre sites en Europe et de 550 salariés pour réaliser des projets en chaudronnerie lourde, mécano-soudure et usinage grande dimension. Initialement, sa gestion industrielle était réalisée sur des programmes maison tournant sous AS/400. En 2005, l'industriel se trouve confronté à des limites qui l'oblige à envisager un remplacement de son SI, notamment pour répondre aux attentes de ses clients et gagner en compétitivité.

Après rédaction d'un cahier des charges et appel d'offres, Sotralentz Métal Industrie choisit d'installer le progiciel Industria d'AG2L. En premier lieu, l'installation n'a lieu que sur les sites français avant d'être étendue à l'ensemble du groupe. Chaque usine travaille en totale autonomie mais le SI s'appuie sur une base de données unique. L'optimisation des cycles de production permet dès lors de doubler le temps effectif de production, passant de 200 000 heures à 400 000 heures sans saturation des équipes et en gagnant en qualité. L'entreprise peut désormais gérer 300 projets par an.

En 2011, la firme a décidé d'implémenter un module de gestion des plannings.

Crédit photo : D.R. (...)

(23/05/2011 09:43:56)

Authentification unique chez Truffaut avec Tools4ever

Le groupe Truffaut comprend une cinquantaine de magasins spécialisés dans le jardinage, la décoration, les loisirs créatifs et les animaux de compagnie. Son système d'information est ouvert à environ 800 utilisateurs aux droits différents et qui peuvent utiliser alternativement plusieurs postes partagés. De plus, pour des raisons de sécurité, la DSI de Truffaut exige des utilisateurs des changements réguliers de mots de passe. Chaque logiciel possédait ses propres mots de passe avec des règles propres de complexité (Microsoft Active Directory pour l'ouverture de session réseau, SAP, Cognos, etc.).

Pour faciliter la vie aux utilisateurs qui ne sont pas des informaticiens, le groupe a donc choisi d'installer une solution d'identification unique (SSO). Après appel d'offres, c'est la solution Enterprise SSO Manager de Tools4ever qui a été choisie. « Ce qui m'a particulièrement séduit est le côté simple de la mise en oeuvre de l'outil, contrairement aux autres solutions SSO » témoigne Didier Girodeau, DSI de Truffaut. L'outil a été installé en une semaine et l'éditeur a également transféré les compétences utiles aux équipes internes de l'entreprise pour qu'ils soient en mesure de le faire vivre.

Désormais, les utilisateurs s'identifient uniquement pour se connecter à Active Directory. Ils sont dès lors automatiquement identifiés et connectés dans les autres applications avec les droits qui leur sont propres. Une fois leur travail terminé, il leur suffit de se déconnecter pour laisser la place en une seule opération à l'utilisateur suivant.

Le coût du projet n'a pas été précisé.
(...)

(20/05/2011 16:02:59)

LinkedIn fait une entrée fracassante en bourse

Hier, la Silicon Valley est entrée en ébullition lorsque le réseau social professionnel LinkedIn a fait son entrée en Bourse  Le Wall Street Journal révèle que, pour son premier jour de cotation à la bourse de New-York, le prix d'introduction de l'action, fixé à 45 dollars, a clôturé à 94,25 dollars, soit une augmentation de 109%. A la fin de la journée, LinkedIn pesait quelque 8,9 milliards de dollars. Pour le WSJ, ils s'agit de la plus grosse introduction en bourse d'une entreprise Internet depuis Google en 2004. « Tout le monde était très excité, ensuite le prix de l'action a doublé et cela a été tout simplement choquant », a déclaré Kay Luo, 38 ans, une ancienne employée de LiinkedIn au quotidien économique. Elle a ajouté que le prix des actions qu'elle avait reçues en tant qu'employée était d'environ 1 $, mais a elle a refusé de révéler ses gains. Elle a aurait obtenu deux coup de fils de félicitations au sujet de cette introduction en bourse, l'un de son père et l'autre de son conseiller fiscal...

Cet évènement n'est pas sans rappeler l'introduction en bourse du navigateur Netscape en 1995, la firme ouvrant alors la voie aux introductions boursières de sociétés du Net, comme le distributeur en ligne Webvan ou l'entreprise de commerce électronique Amazon.com. Aujourd'hui, les investisseurs et d'autres analystes  estiment que LinkedIn sera bientôt suivi par un nouvel afflux d'entreprises du web, allant de  Groupon (site de bons de réductions) jusqu'à l'incontournable Facebook, sans oublier Twitter.

Une valeur beaucoup trop élevée d'après les investisseurs

« Le modèle Netscape était réellement efficace lorsque nous l'avons rendu public et, de même, celui de LinkedIn fonctionne vraiment bien », a déclaré Ben Horowitz, ancien dirigeant de Netscape et co-fondateur de la firme de capital-risque Andreessen Horowitz au Wall Street Journal. Dans une interview également accordée au WSJ, Jeff Weiner, PDG de LinkedIn, a minimisé l'importance de la flambée de cette  introduction en bourse. « Ce n'est pas nécessairement une indication de quelque chose », a t-il déclaré  « Le marché réagira comme il a l'habitude de le faire. »
Certains investisseurs ont souligné que la valeur de LinkedIn était beaucoup trop élevée pour une entreprise qui a généré 243 millions de dollars de revenus l'an dernier. « La firme a pour avantage d'être la première du genre à devenir publique », a déclaré Lee Simmons, un spécialiste des technologie et médias pour le compte du cabinet de conseil boursier Hoover. Selon lui, si Facebook avait fait son entrée en bourse la semaine dernière, l'action de LinkedIn ne serait pas devenue aussi élevée. Pour leur part, Facebook, Groupon et Twitter ont refusé de commenter ces informations.

Illustration : Jeff Weiner, PDG de LinkedIn. Crédit photo : D.R

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