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(17/05/2011 15:43:18)

Projet Triforce, Facebook clone son datacenter pour tests

Le datacenter situé en Oregon marque un changement de cap pour Facebook, qui comptait exclusivement sur deux installations louées en Californie du Nord et en Virginie. Le centre de calcul basé à Prineville est le premier réalisé et construit ex nihilo par et pour le site de réseau social. Cette création en propre démontre aussi ce qu'est devenue la société en quelques années avec comme corollaires le besoin de maîtriser sa croissance et les risques (pannes, sécurité, etc.). Twitter, autre acteur des réseaux sociaux, a décidé lui aussi de se doter de son propre datacenter.

Dans cette stratégie, Facebook a été confronté à l'absence de tests sur ses News Feed, son moteur de recherche et plus largement sur son réseau en dehors de la configuration des deux datacenters. L'entreprise avait besoin de s'assurer que « l'ensemble de la brique logicielle soit en mesure d'évoluer et de fonctionner sans problème dans le prochain datacenter, sans interrompre ce que nos utilisateurs font chaque jour sur Facebook », déclare Sanjeev Kumar, sur la page Engineering de l'entreprise. « La solution a été de simuler ce 3ème datacenter, avant même l'activation des serveurs à Prineville. Nous avons appelé ce projet de simulation Triforce » écrit-il.

Rapidité et savoir-faire interne

Facebook a pris un cluster important de serveurs sur le site en Virginie et configuré celui-ci comme étant une « troisième région ». Pour ce faire, il a construit une suite logicielle, appelée Kobold, qui lui permettait de «mettre en place et de démonter rapidement des noeuds, gérer les flux et synthétiser les montées en puissance sans affecter le trafic utilisateur et l'audit de notre travail » précise Sanjeev Kumar.  Kobold est capable de monter et de provisionner des dizaines de milliers de serveur, de les activer en ligne, en moins de 30 jours.

« La mise en production finale a été réalisée en 60 jours. Traditionnellement, les entreprises utilisent une méthode manuelle monopolisant plusieurs personnes et s'étalant sur une période de plusieurs semaines. Maintenant, une personne suffit et en moins de dix minutes la mise en route est effective », analyse Sanjeev Kumar. Il n'a pas indiqué si Kobold est réservé uniquement à Facebook ou s'il envisage de le commercialiser pour d'autres sociétés.

Illustration : Futur datacenter de Facebook

(...)

(17/05/2011 15:25:32)

Roland Garros mise de plus en plus sur le cloud avec IBM

Alex Loth, DSI de Roland-Garros résume sa problématique : « Nous sommes dans le domaine de l'éphémère, car le tournoi se déroule pendant 3 semaines avec des montées en charge exceptionnelles » et d'ajouter « que ces pics d'activités sont en perpétuelle croissance, nous avons eu par exemple une augmentation des demandes de charges de 47% entre 2008 et 2010 ». Et les besoins sont multiples, allant du ticketing en passant par la restauration, la gestion des produits dérivés et l'offre à destination des diffuseurs de contenus.

Depuis 2007, le responsable a travaillé avec IBM sur les plateformes d'échanges et la création d'un cloud privé. « Tout cela s'est déroulé par étapes. Chaque année dans le cadre du tournoi, nous réalisons des expériences au sein d'un lab avec des équipes américaines d'IBM qui nous permettent de valider nos choix et de les intégrer l'année suivante », précise Alex Loth.

Externalisation totale


Dans cette démarche d'innovation et de transformation du système d'information, le DSI du tournoi du Grand Chelem explique : « la problématique est de savoir jusqu'où il faut externaliser et est-ce que tout est externalisable ». Il semble qu'Alex Loth a envie d'aller assez loin dans sa réflexion, car une grande partie de son SI sera gérée par IBM sur 3 datacenters aux Etats-Unis (dont un Green Datacenter). « Nous avons sauté le pas en nous assurant de la fiabilité, de la réactivité (temps de latence faible) », souligne le dirigeant.

Sur le plan de la sécurité, outre la résilience et la redondance, une équipe dédiée à ces questions est présente à Paris pendant toute la durée du tournoi. Alex Loth définit son métier comme un double mandat . « Le premier est celui de l'innovation où l'utilisation des technologies doit servir à la création de valeur, de sources de revenus. Le deuxième est relatif à la transformation, nous ne parlons plus de serveurs mais de service, aller de la virtualisation vers l'automatisation des process ». Les prochaines évolutions attendues par le DSI sont clairement vers « l'analyse de données, la business intelligence en temps réel, car nous allons de plus en plus gérer du contenu et non des SI ».

Illustration : Alex Loth, DSI de Roland Garros

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(17/05/2011 15:43:22)

Sapphire 2011 : SAP peaufine sa solution d'analyse des performances

SAP prépare la prochaine version de son application de gestion des performances économiques (EPM, enterprise performance management), un sous-ensemble de son offre décisionnelle consacré aux fonctions de planification et de budgétisation. C'est l'une des annonces produits faites par l'éditeur à l'occasion de sa conférence utilisateurs SapphireNow qui se tient en ce moment aux Etats-Unis (Orlando, 16-18 mai). L'an dernier, celle-ci s'était tenue simultanément des deux côtés de l'Atlantique, à Orlando et à Francfort. Cette année, l'édition européenne est décalée à l'automne (Madrid, 7-10 novembre).

Business Objects EPM 10.0 rassemble différents modules dont certains proviennent des différents rachats réalisés par SAP (BO/Cartesis/ALG Software, Pilot, Outlooksoft). Outre les fonctions de planification et de consolidation financière, sa couverture fonctionnelle englobe l'élaboration des stratégies basée sur des mesures opérationnelles, la gestion de la communication légale et financière, ainsi que la gestion de la profitabilité et des dépenses. Elle permet aussi de mesurer l'efficacité de la chaîne d'approvisionnement et d'établir des prévisions en fonction de la demande en lien avec les objectifs financiers. 

La version 10.0 de cette suite est actuellement en mode « ramp-up », a indiqué James Fisher, vice-président marketing pour les solutions de finance et d'EPM, cité par nos confrères d'IDG News Service. Selon le vocabulaire propre à l'éditeur allemand, cela signifie que ce produit est déjà utilisé par certains clients. Sa disponibilité générale doit avoir lieu cette année.

En ligne avec HANA et accessible sur mobile

Les différents composants de la suite bénéficient maintenant d'une apparence commune, ce qui en facilitera la prise en main et l'utilisation, estime Bryan Katis, vice-président et directeur général pour l'activité solutions EPM. « Les utilisateurs métiers pourront se l'approprier et en assurer le suivi avec l'aide du département informatique ».

L'un des intérêts de l'annonce, c'est aussi que SAP met sa suite EPM 10.0 peut exploiter sa technologie de base de données « in-memory », HANA, qui analyse les données en mémoire vive pour doper les performances du traitement. L'application supporte par ailleurs une mise à disposition sur un terminal mobile. Parmi les autres nouveautés figurent aussi des tableaux de bord analytiques pour des domaines couverts par l'ERP et le CRM (gestion de la relation client), ainsi qu'une meilleure intégration avec les outils middleware NetWeaver et les autres logiciels de Business Intelligence de  la gamme BusinessObjects, selon le communiqué diffusé par SAP.

Under Armour, déjà client, s'intéresse à la 10.0 

Le client Under Armour, société américaine spécialisée dans les vêtements et accessoires de sports, qui utilise déjà la solution EPM, pense évoluer vers la version 10.0, mais n'a pas encore fixé de date pour le faire, indique David Roberts, son responsable de planification et de l'analyse financière. A l'instar de ses concurrents, le fabricant subit une pression accrue sur les prix, explique ce dernier. Les outils d'EPM fournissent un moyen rapide de suivre et de réagir aux variations quotidiennes de prix des marchandises. « Auparavant, nous avions des équipes qui s'activaient un peu partout avec des piles de feuilles de calcul », reconnaît-il.

Under Armour a également développé des tableaux de bord pour suivre les performances de ses vendeurs, si stratégiques pour son activité. David Roberts pense aussi que les améliorations d'usage apportées par la version 10.0 seront bienvenues et qu'elles devraient faciliter l'adoption de ces outils au sein d'Under Armour.

Crédit illustration : sdn.sap (...)

(17/05/2011 12:41:26)

La demande européenne de PC souffre de l'effet tablette selon Gartner

D'après Gartner, les consommateurs européens ont restreint leurs dépenses liées au PC au premier trimestre, en particulier pour ce qui est des netbooks. Les utilisateurs ont préféré reporter leur achat sur les tablettes tactiles, à l'image de l'iPad d'Apple. Globalement, tous les constructeurs informatiques ont moins fourni les rayons des magasins en début d'année. Il s'agit là d'une des conséquences des invendus de la fin 2010, mais aussi et surtout de l'émergence, là encore, des ardoises numériques.

Acer, l'un des leaders mondiaux des ventes de netbooks, enregistre la baisse de livraison la plus importante en Europe occidentale au cours du premier trimestre (-29,9%). Même conséquence pour Asus (-12,2%).

Une perturbation nommée tablette


Le comportement des Français reflète la tendance globale européenne (-15,5% de livraisons). Pour Gartner, les consommateurs continuent de repousser leur achat d'ordinateurs, préférant se tourner vers les tablettes tactiles. « Les tablettes multimédias continueront de perturber le marché des PC car certains consommateurs préféreront opter pour ces produits plutôt que de mettre à jour leur ordinateur ou d'en acheter un nouveau », prévoit Isabelle Durand, analyste chez Gartner. Conséquence : les ventes de PC ne devraient pas se redresser au 2ème trimestre.

Dans une étude publiée le 11 avril dernier, le cabinet d'analyse prévoyait une hausse de 1570% des ventes de tablettes dans le monde d'ici 2015, au détriment là encore des ventes d'ordinateurs personnels ou professionnels.

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(17/05/2011 11:50:09)

Défiant Google, Microsoft tire mieux parti de Facebook dans Bing

En intégrant davantage de données Facebook dans les résultats de son moteur de recherche Bing, Microsoft accentue sa concurrence avec Google dans la recherche sociale. Jusqu'ici le niveau d'accès aux données de Facebook n'était pas aussi profond. Tirant parti de son partenariat de plusieurs années avec Facebook tant publicitaire que technologique, Microsoft a annoncé ce lundi  le déploiement d'un plus large éventail de correspondances entre les requêtes sociales de son moteur de recherche Bing et le contenu web que les utilisateurs de Facebook « aiment » (matérialisé par le bouton « Like »). Ces capacités s'appuient sur l'utilisation que Bing fait déjà des données de Facebook depuis la fin de l'année dernière et complètent les résultats habituels de recherche avec des liens que les amis des utilisateurs ont taggués avec le bouton Like.

« Les recherches dynamiques continuent d'évoluer, notamment à cause des médias sociaux », a déclaré Lisa Gurry, l'une des responsables de Bing, dans une interview à nos confrères d'IDG News Service. Comme précédemment, les utilisateurs Bing doivent être connectés à leur compte Facebook pour profiter de l'intégration du moteur de recherche avec le réseau social.

« amis de confiance » et « intelligence collective »

Les nouvelles capacités se répartissent en trois grandes catégories que Microsoft a baptisées  « amis de confiance », « intelligence collective » et « recherche de conversation ». Alors que Bing informe actuellement les utilisateurs sur les résultats de la recherche que leurs amis ont « aimés », Microsoft augmente désormais le poids attribué à ces  derniers en classant les résultats de recherche et en  développant également la variété des contenus qu'ils couvrent.

Pour  « Intelligence collectiv e», Bing prendra en considération l'ensemble des sites et des liens « aimés » et ne se limitera plus au cercle d'amis d'un utilisateur. L'idée est de faire en sorte que Facebook « aime » des données utiles dans les cas où les propres amis d'un utilisateur ne proposeraient pas de signal assez fort pour affiner les résultats de requête. « Il y a le pouvoir du nombre, et la voix pour également un grand nombre, si vos amis ne sont pas des experts sur un sujet particulier », a précisé Lisa Gurry.

Bing affiche également des messages récents publiés sur les pages Facebook que les entreprises utilisent pour commercialiser leurs produits, tels que des promotions spéciales et des offres. De même, Bing enverra, sur les murs des utilisateurs Facebook, des notifications portant sur des offres de voyage en se basant sur les villes et sur d'autres informations pertinentes que les internautes ont « aimées ».

Microsoft, plus proche de Facebook que Google

Dans la catégorie « Recherche de conversation », Bing introduit des fonctions pour permettre aux utilisateurs de partager des résultats avec leurs amis Facebook et demander leur contribution. Par exemple, lorsque les internautes utilisent le moteur de recherche Bing Shopping, ils obtiendront  des conseils sur ce qu'il faut acheter. Si les internautes utilisent le moteur de recherche Bing Voyage, ils seront également en mesure de partager une liste de souhaits sur leur voyage et de voir quels amis vivent dans les destinations désirées.

Alors que Google reste le moteur de recherche dominant, il reconnaît que la recherche sociale a gagné en importance en renforçant ses capacités dans ce domaine. Toutefois, Google et Facebook entretiennent des relations tendues, et Microsoft a pour l'instant accès aux données de Facebook d'une manière et avec une profondeur dont Google ne dispose pas. Même si le site créé par Marc Zuckerberg n'est pas le seul média social, il est devenu le plus grand réseau social au niveau mondial. Pour les opérateurs de moteurs de recherche, il est donc crucial d'accéder aussi loin et précisément que possible à ses données.

Bing Social Search n'est pas encore disponible pour la France. (...)

(17/05/2011 10:36:35)

Annuels Overlap 2010 : L'intégrateur affiche un CA de 190,1 millions d'euros

Overlap publie les chiffres de son exercice annuel, terminé au 31 mars dernier. Le chiffre d'affaires (CA) s'élève à 190,1 millions d'euros (ME) en croissance organique de 5,2%. Le second semestre, avec 15 ,6% de hausse, a compensé la faiblesse des six premiers mois. La partie infrastructures représente 70% du CA, la partie services 30%.

Le périmètre de consolidation pris en compte exclut Ovelia (cédée le 18 juin 2010), exclut également Digilease (filiale de financement cédée car non stratégique), mais intègre ou plutôt ré-intègre MIB Suisse, mise en vente en juillet 2009, un projet abandonné depuis.

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