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(13/05/2011 14:52:28)
7,8% d'adresses IPv4 libres dans le monde
On savait que la zone Asie-Pacifique avait délivré les deux derniers blocs d'adresses IPv4. Elle est devenue la première région à être touchée par la pénurie d'adresses. A telle point que le registre internet régional (RIR) asiatique, l'APNIC a rationné les dernières adresses IPv4. L'AFNIC a dressé un état des lieux en Europe. Il reste encore un an de stock d'adresses IPV4.Devant les risques d'une raréfaction trop rapide, le RIR Europe va continuer à délivrer ces adresses mais sans doute en ralentir les fréquences.
L'AFNIC note aussi qu'il ne reste que 7,8% des adresses IPv4 encore disponibles dans le monde. L'association explique que la solution réside dans la migration vers les adresses IPv6. Ce protocole doit pouvoir attribuer 340 sextillions d'adresses.
Vinton Cerf appelle à plus de standards dans le cloud
Ceux qui ont des critiques à faire envers le cloud ne sont pas à cours d'arguments pour pointer son manque d'interopérabilité, le risque de verrouillage de la part des vendeurs, ou les dangers liés à la sécurité. Parmi eux, Vinton Cerf, l'un des pères fondateurs de l'Internet et chef évangéliste de l'Internet chez Google, compare l'état du cloud computing actuel aux premiers jours du courrier électronique.
« Aujourd'hui, le cloud computing, ressemble à l'email des années 1980. A l'époque, les choses n'étaient pas reliées entre elles, et il n'était pas possible d'échanger des éléments entre les systèmes de messagerie. Aujourd'hui, il n'est pas possible d'échanger des choses entre les clouds. C'est cela qui doit changer », a déclaré Vint Cerf, lors de la conférence Interop qui s'est tenue cette semaine. « La nécessité d'avoir des clouds capables d'interagir entre eux est de même nature, » a-t-il ajouté.
Mark Deibert, responsable de l'architecture globale au sein d'un groupe pharmaceutique - il a demandé à ce qu'il ne soit pas nommé - se dit d'accord avec l'évangéliste. « Soit le cloud va évoluer, soit il va disparaître, » a-t-il déclaré. Celui-ci penche toutefois vers l'hypothèse la plus positive. « Je crois, d'une part, que la promesse liée aux coûts va devenir un facteur de plus en plus convaincant, et d'autre part que le marché va pousser le cloud à évoluer, » a-t-il commenté. La preuve : son entreprise s'est lancée dans la création d'un cloud privé, un choix, pour, en quelque sorte, valider le concept. « C'est une opportunité pour l'entreprise de s'y mettre de manière progressive, » a-t-il poursuivi.
Une alliance avec des poids lourds
Mais comment le marché pourra-t-il forcer les vendeurs de solutions cloud à interagir entre eux ? L'Open Data Center Alliance, qui compte parmi ses membres BMW, Deutsche Bank, JPMorgan Chase, Lockheed, Marriott, Shell, Terremark, UBS, Baidu, eBay et Kraft Foods, en est un des éléments. « Depuis sa mise en place l'an dernier, l'Alliance a vu le nombre de ses membres doubler, et compte aujourd'hui plus de 150 entreprises qui représentent environ 85 milliards de dollars de dépenses annuelles en IT, » a déclaré Kirk Skaugen, vice-président d'Intel et directeur général de son groupe de datacenters.
C'est Intel qui a contribué à créer l'Alliance, mais le fabricant de puces y joue un rôle consultatif, sans droit de vote, comme l'explique le vice-président. « Les feuilles de route et les recommandations qui émaneront de l'Open Data Center Alliance seront agonistiques en terme de logiciels et de matériels, » a t-il déclaré. « Le groupe n'a pas vocation à établir des standards. Par contre, il va travailler avec des organismes existants chargés de la normalisation, comme le Distributed Management Task Force, et aider au développement des standards, » a indiqué Kirk Skaugen. « Certains membres de l'Alliance contribuent à construire la feuille de route, » a ajouté le vice-président d'Intel.
Pousser les normes pour faciliter les échanges
Intel gagne, semble t-il, à travailler étroitement avec l'Alliance, afin de mieux comprendre les besoins des utilisateurs. « Nous souhaitons être à la pointe en matière de normes, et nous voulons aussi pouvoir orienter l'industrie à mesure que celles-ci évoluent, » a déclaré le responsable d'Intel. « Notre objectif est de devancer les exigences et d'être à la pointe des propositions. » Le fondeur a créé, pour les vendeurs qui travaillent avec lui, un programme nommé Cloud Builders, qui leur permet de s'assurer que leurs produits répondent aux nouvelles exigences technologiques. Les vendeurs « essaient de réaliser en parallèle » ce qui émane de l'Alliance, a indiqué Kirk Skaugen.
La technologie processeur va traduire certains objectifs dans des réalisations comme la Trusted Execution Technology mise au point par Intel, une fonctionnalité de sécurité basée sur le matériel, qui vise à assurer que le code s'exécute dans un environnement protégé. Un autre objectif de l'Alliance sera de veiller à l'interopérabilité des clouds entre eux. « Nous voulons faire en sorte que les données puissent être protégées aussi bien au repos que pendant leur utilisation - que l'on déplace un cloud privé vers un cloud public, ou entre clouds publics», a ajouté le responsable d'Intel. Cela, tout en restant « indépendant de l'infrastructure sous-jacente du vendeur au sein de ces clouds, » a t-il encore précisé.
Micropole veut recruter 450 ingénieurs et consultants
Micropole (1 200 collaborateurs) poursuit sa croissance et franchit un nouveau cap dans sa dynamique de recrutement. Après avoir intégré près de 300 ingénieurs et consultants l'an dernier, la SSII européenne ouvre 450 postes en France à Paris et en régions, ainsi qu'en Belgique et en Suisse. 40% des offres seront réservées à des profils de seniors et d'experts. il s'agit d'ingénieurs d'études confirmés, de consultants techniques et fonctionnels, de chefs de projets et de directeurs de projets, et également d'experts techniques et d' architectes. Le groupe entend intégrer, en parallèle, des juniors ingénieurs d'études et développement.
Une demande en compétences SAP
Les nouvelles recrues interviendront dans les trois grands domaines d'activité du groupe que sont le web et l' IT (MDM, e-commerce, dématérialisation, réseaux sociaux d'entreprises...), la BI et les ERP, avec un focus sur les technologies SAP. Micropole accueille également des stagiaires de fin d'études, afin de les former à ses métiers. La SSII compte leur proposer un CDI à l'issue de leur stage.
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CHI2011 : un prototype d'écran tactile qui accroche le doigt
Plusieurs prototypes d'interfaces ont été montrés lors de la conférence Computer Human Interaction (CHI) 2011 qui s'est tenue cette semaine, du 7 au 12 mai à Vancouver. Parmi ceux-ci était exposé un écran tactile qui présente une surface lisse ou adhésive en fonction de ce qui se passe à l'écran. Par exemple, si l'utilisateur déplace l'icône d'un fichier d'un endroit à un autre, son doigt glisse sur l'affichage puis s'arrête lorsque la tâche est effectuée, le doigt semblant alors adhérer à l'écran.
L'interface paraît réagir de façon réaliste, explique Vincent Levesque, en post-doctorat à l'Université de British Columbia. « Lorsque vous cliquez sur une icône, vous pouvez sentir une résistance et cela vous donne l'impression d'être davantage impliqué dans la tâche mise en oeuvre et dans l'interface ».
Proche de la sensation procurée par une table de « air hockey »
L'écran utilise une technologie différente de celle est utilisée quelquefois sur les smartphones. Avec cette dernière, l'utilisateur perçoit une vibration sur l'écran. Alors que les personnes ayant testé l'écran prototype sur la conférence CHI2011 ont plutôt ressenti que leurs doigts étaient repoussés de l'écran. Vincent Levesque compare la sensation à celle que l'on peut percevoir sur une table de « air hockey ».
Si l'écran prototype est relativement petit (une dizaine de ce ntimètres), il est en revanche présenté dans un boîtier assez grand et il utilise des lasers pour déterminer la position du doigt. L'équipe qui le développe explique qu'elle aimerait réduire sa taille et remplacer les lasers par une technologie de détection capacitive.
Illustration : Prototype frictional widgets (crédit photo : Nick Barber, IDGNS Boston) (...)
Annuels Avanquest : Les yeux tournés vers le online et le SaaS
L'éditeur Avanquest publie son chiffre d'affaires annuel, achevé au 31 mars dernier. Il se monte à 89,5 millions d'euros, stable à périmètre constant. Le résultat opérationnel courant s'élève à 4,6 millions d'euros, en croissance de 1,9%, représentant 5,2% du CA total. La marge brute s'élève à 55,3 millions d'euros, représentant 61,8% du CA total.
Le résultat net est égal à zéro, il était légèrement positif, de 0,3 ME, pour l'exercice précédent. Avanquest l'explique par plusieurs facteurs : des frais non récurrents avec les réorganisations internes pour un montant de 0,9 ME, une charge financière nette de 1,8 ME, des impôts de 1,7 ME.
Avanquest poursuit par ailleurs l'intégration de Micro Application, dont le rachat est inscrit dans les comptes depuis le 1er mars dernier. Le groupe souhaite également orienter ses efforts sur le online et le SaaS, avec plusieurs lancements de versions adaptées pour ses principaux produits.
Annuels Spie Communication : Des revenus 2010 en progression
Dans un secteur des intégrateurs réseaux tout juste rentable, pas toujours transparent (l'activité intégrateur d'OBS n'est pas identifiable dans les résultats du groupe Orange), Spie Communications publie ses résultats. Avec un chiffre d'affaires annuel de 294 millions d'euros (311 en pro forma), la société progresse de 2,5% en organique et de 5,3% avec ses acquisitions. Spie Communications a en effet racheté VeePee au mois de juillet de l'année dernière (16 millions d'euros de CA annuel). Le résultat d'exploitation consolidé se monte à 4% du CA.
L'activité se répartit actuellement entre : les communications unifiées (40%), les réseaux et la sécurité (30%), infogérance (17%) les services et l'infrastructure (6 à 7%), l'infrastructure au sens câblage informatique et petits datacenter clés en main (6 à 7%). Arrivé aux commandes au mois d'avril 2008, Gilles Brazey le directeur général a mené plusieurs opérations de croissance externe et compte poursuivre dans deux domaines : la sécurité et les datacenter.
La société prévoit un chiffre d'affaires de 314 millions d'euros sur 2011. (...)
Le marché des logiciels de supply chain retrouve la croissance
« Malgré un environnement difficile, le marché actuel des logiciels de SCM (Supplay chain management) montre des signes de santé renouvelée », souligne Tchad Eschinger, directeur de recherche chez Gartner. « Il a mieux résisté que la plupart des marchés logiciels en 2009 et a su rebondir en 2010. Les pure-player comme les spécialistes ont conduit la croissance du marché en 2010, nous voyons une dynamique cohérente à travers tous les segments de marché. »
SAP a continué à faire la course en tête sur ce marché de logiciels SCM, avec 19,5 % du marché mondial, en progression de 8,6%. Oracle est le n°2 à 17,9 % des parts et 16,6% de hausse. JDA Software a connu la plus forte croissance parmi les cinq premiers fournisseurs, avec 40,2 pour cent de croissance en 2010, c'est le n°3 au classement avec 5,4% des parts. Ensuite, on trouve Ariba (3,7% des parts, 9,5% de progression) et Manhattan (2% du marché, 22% de hausse). Les « autres fournisseurs » réalisent 51,5% du marché.
Dans son analyse, le Gartner souligne la part prise par le lancement de nouveaux produits, le développement de produits tournés vers des solutions d'intégration, la progression des ventes en dehors de l'Amérique du nord, notamment en Europe de l'Ouest. Ces deux régions mondiales représentent 79% du marché total du SCM.
Les codes des applicatifs internes plus contrôlés que les applis externes
Si les DSI acquièrent des développements de logiciels à l'extérieur, le code ainsi acheté est moins testé et vérifié que le code fabriqué en interne. C'est, du moins, un des résultats majeurs de l'étude du cabinet Forrester « Software Integrity Risk Report » sponsorisée par l'éditeur Coverity. A cela s'ajoute la sensation que les développeurs internes doivent rendre toujours plus de comptes.
Le sujet de la qualité des logiciels est bien vu comme important : 65% des répondants estiment que la satisfaction client est impactée par des bogues et 47% que la mauvaise qualité du code a un impact sur la date d'arrivée sur le marché des produits et services.
L'ampleur de l'intégration de code externe est importante : 90% des responsables interrogés y ont recours. Il peut s'agir de logiciel open-source (gratuit, donc) aussi bien que du code fourni par des éditeurs ou des prestataires. Les bogues constatés dans ce code provenant de l'extérieur a un impact sur la bonne fin des projets selon 40% des répondants. Malgré tout, si 69% des répondants testent en cours de développement les logiciels conçus en interne, ils ne sont plus que 44% pour le code provenant de l'extérieur. Et si 75% font des tests fonctionnels sur le code interne, ils ne sont plus que 51% pour le code externe. Enfin, 35% seulement font une étude de risque sur les conséquences d'un défaut dans ce code de provenance externe.
Cette étude s'ajoute à toutes les autres réalisées précédemment pour démontrer que le contrôle de qualité demeure nettement insuffisant en informatique par rapport aux standards dans tous les autres secteurs de l'économie.
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