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(31/03/2011 11:16:29)

Pelikan mise sur un cloud privé chez Interoute

Pelikan est un papetier et fabricant d'instruments d'écriture de haut de gamme. La société veut accélérer le délai de mise sur le marché de ses produits de papeterie en améliorant la collaboration en temps réel entre ses équipes de ventes installées en Allemagne et les départements Production et Recherche & Développement basés en Suisse. Pelikan est une marque de papeterie allemande âgée de 172 ans qui possède un réseau de distribution mondial et des usines réparties dans huit pays.

La société a centralisé son infrastructure informatique et ses services d'hébergement en les plaçant dans un Cloud privé chez Interoute. L'entretprise permet ainsi à ses collaborateurs de partager des accès sur les applications essentielles et des informations critiques en temps réel. Jusqu'à présent, Pelikan gérait un ensemble de systèmes informatiques disparates, coûteux et offrant peu de flexibilité face aux changements du marché.

Flexibilité et simplicité

« Pelikan est une société qui évolue et nous avons besoin de flexibilité. Nous souhaitions une solution simple à mettre en oeuvre et nous apportant des temps de réponse exceptionnels,» explique Arturo Ianniciello, responsable de l'Infrastructure à la DSI Production et R&D chez Pelikan Hardcopy Production AG. Grâce à la solution de Cloud privé retenue, il devient possible « de déplacer un bureau ou un département en toute simplicité, grâce à une infrastructure souple. Côté coûts, nous avons déjà constaté des économies dans plusieurs pays et nous espérons réduire nos dépenses de 30% au total, l'année prochaine » ajoute-t-il. 

Les projets en cours concernent désormais un réseau de voix sur IP mondial, l'extension des services MPLS aux autres sites européens et la mise en place d'une solution de stockage afin de réaliser la réplication, la récupération et l'archivage des données.

(...)

(31/03/2011 11:07:11)

Firefox 4 plus utilisé qu'IE 9

La quatrième version du navigateur Firefox s'impose face à son concurrent Internet Explorer 9 sur le continent européen, selon les données fournies par AT Internet, spécialiste de la mesure d'audience en ligne. Trois jours après son lancement, Firefox 4 a été adopté par 3,6% des internautes contre 1,2% pour Internet Explorer 9.

La dernière mouture du navigateur de Mozilla a multiplié par quatre sa fréquentation par les internautes européens depuis la sortie de sa version finale le 22 mars dernier. Une journée seulement après son lancement, son utilisation est passée de 0,88% à 1,25%, avant d'atteindre les 3,6% le 25 mars dernier. Un succès logique aux vues de son record de téléchargements enregistrés en 24 heures avec 8,75 millions de clics.

Sorti dix jours plus tôt, Internet Explorer 9 est à la traîne, exploité par 1,2% des Européens. AT Internet précise qu'aucun pic n'a été observé le 15 mars dernier, le jour de son lancement officiel. Le navigateur souffre de son incompatibilité avec Windows XP, encore utilisé par 45,7% des Européens.

(...)

(31/03/2011 10:57:45)

Gianfranco Lanci, CEO d'Acer, démissionne

Le fabricant taïwanais Acer annonce la démission de son PDG, Gianfranco Lanci, évoquant pour l'expliquer des divergences de vues sur le développement futur du groupe. Cette démission prend effet immédiatement, le président de la société, J.T.Wang, reprenant les fonctions de CEO pour assurer l'interim. La vision de Gianfranco Lanci sur l'évolution d'Acer différait de celle de la majorité des membres du conseil d'administration et il n'a pas été possible d'atteindre un consensus après plusieurs mois de dialogue, selon Acer. « Ils accordaient différents niveaux d'importance sur le dimensionnement, la croissance, la création de valeur autour des clients et l'amélioration de la position occupée par la marque, de même que sur l'allocation des ressources et les méthodes de mise en oeuvre », indique le groupe. Il n'a pas encore été possible d'entrer en contact avec le CEO sur le départ pour recueillir directement ses commentaires.

Nommé président en 2005 et PDG en 2008

Gianfranco Lanci est arrivé de Texas Instruments chez Acer en 1997 lorsque ce dernier a racheté l'ordinateur portable TravelMate du constructeur américain. Il a été nommé président du groupe taïwanais en 2005 et PDG en 2008, en conservant son titre de président. L'activité des ordinateurs portables a constitué un axe de croissance à deux chiffres au sein de la société pendant des années, ce qui a contribué à propulser Acer dans les trois premiers fabricants de l'industrie des PC, derrière Hewlett-Packard et en constante compétition avec Dell pour la seconde place. Le communiqué publié par Acer souligne de fait la contribution de Gianfranco Lanci à la progression significative réalisée par la société. Celle-ci dit avoir apprécié ses efforts et lui souhaite le meilleur dans ses prochaines initiatives.

J.T. Wang a pris la succession au poste de chairman de la société Acer à la suite de son fondateur, Stan Shih, il y a déjà plusieurs années, après la scission du groupe en trois sociétés distinctes pour séparer ses marques professionnelles de ses opérations de fabrication sous contrats. Acer a pris le dessus en tant que marque, tandis que Wistron a pris en charge la majorité des contrats de fabrication et que BenQ s'est réservé les téléphones mobiles. Stan Shih a quitté Acer en décembre 2004.

Illustration : Gianfranco Lanci, PDG d'Acer, en mai 2010, alors qu'il présente un prototype de tablette 7 pouces sous Android lors d'une conférence de presse à Beijing (Chine) - Source IDG News Service Beijing. (...)

(31/03/2011 10:58:26)

Joyent choisit Neurones IT pour intégrer son offre Paas en Europe

Neurones IT est l'entité chargée de l'infogérance des infrastructures dans le groupe Neurones. Elle est donc directement préparée au Paas (platform as a service). « Nous travaillons depuis un an sur le sujet », nous explique Rémy Dumenil, en charge de l'offre cloud computing pour Neurones-IT. Les choix sont aujourd'hui très avancés.

Neurones IT vient d'opter en faveur de la société californienne Joyent comme partenaire technologique pour, d'une part, vendre les solutions de celle-ci, distribuées totalement en indirect, et, d'autre part, élaborer ses propres offres cloud de type Paas.  Au préalable, la SSII a procédé à une étude technique et commerciale.  Le choix de Joyent s'est imposé car leur produit est apparu plus mature que les autres. « Nous aurons moins d'efforts à fournir sur les offres Joyent que sur les autres qui ont encore des retards en matière d'interfaces, de suivi de la consommation en temps réel, d'auto-administration », souligne Rémy Dumenil.

Plusieurs clients sont en maquette

D'autres éléments ont fait pencher la balance. Joyent présente des retours d'expérience probants en Amérique du nord. Son offre est basée sur des web services et sur une consommation réelle. Joyent est certes encore peu présent en Europe, mais ce n'est visiblement pas un frein pour Neurones. L'intégrateur va bénéficier en Amérique du nord du support de Joyent qui lui enverra des clients. Plusieurs d'entre eux sont en maquette. Neurones-IT met d'ailleurs en place un centre de démonstration autour des solutions Joyent.

« Pour nous c'est d'abord une reconnaissance par un grand acteur du marché et une reconnaissance technique de nos solutions », nous explique Philippe Weppe, directeur général EMEA de Joyent qui recherche une quinzaine de partenaires, deux pour chacun des grands pays européens et quelques transnationaux.

Par ailleurs, Joyent Corp va revendre son activité d'hébergement, ses partenaires seront directement positionnés pour l'exercer. De grands clients américains de la société californienne -on parle d'un grand spécialiste mondial du e-commerce- souhaitent trouver en Europe des structures pour leur hébergement. Les partenaires intégrateurs européens de Joyent seront très bien placés.

Source illustration : Joyent (...)

(31/03/2011 10:47:25)

Au coeur de la Silicon Valley: Sauvegarde fine chez BackBlaze et sécurité pointue de Palo Alto Networks

Dans la cour d'un immeuble de San Mateo, un petit escalier mène dans les locaux d'une jeune start-up baptisée BackBlaze. Fondée en 2007 par deux quadras, Gleb Budman (CEO, voir ci-dessous) et Brian Wilson (CTO)  qui ont déjà vendu deux autres start-up(Kendara revendue à Excite@Hoem et MailFrontier à SonicWall) , BackBlaze repose sur une idée simple : faciliter et automatiser la sauvegarde en ligne des PC portables et des ordinateurs de bureau des particuliers et des PME-PMI. 



Pour ce faire, la start-up a fixé un prix unique de 5$ par mois pour une quantité illimitée de données. Le plus gros client héberge ainsi en ligne pas moins de 10 To. Un cas extrême, mais qui répond bien à la philosophie de la petite entreprise (11 salariés à ce jour) : « nos clients ne doivent pas perdre de données et comme nous ne voulons pas stresser nos clients, ils peuvent tout sauvegarder » précise Gleb Budman. Il faut bien sûr installer un logiciel, un agent système en fait, sur son PC ou son Mac (pas encore de version Linux) qui envoie et synchronise les données sur les serveurs de BackBlaze hébergés dans un datacenter à Fremont. Si BackBlaze ne demande aux utilisateurs de sélectionner les données qu'ils veulent archiver, la start-up élimine les fichiers inutiles comme le système d'exploitation, les applications et les différents caches des logiciels.

Compression et dédup en standard

Les données conservées sont ensuite compressées, dédupliquées et cryptées sur les appliances de BackBlaze. C'est en effet une des particularités de cette start-up. Elle a en effet conçu une appliance baptisée Storage Pod d'une capacité maximale de 67 To avec des disques durs de 2 To. Configuré en RAID 6, ce serveur dédié peut ainsi perdre 1 ou 2 disques durs sans conséquence pour les données des clients. De type distribué, le stockage est réparti sur toutes les appliances animées par une version très allégée de la distribution Linux Debian.



L'architecture distribuée de BackBlaze repose sur une solution baptisée Central Authority qui répartit toutes les données entre les Pod et ce sans faire appel à une base de données. « Avec le temps, les bases de données deviennent gigantesques et ralentissent considérablement l'ensemble de la plate-forme. Nous avons préféré nous affranchir de cette contrainte lors de la conception de notre solution de stockage » précise Gleb Budman.

Une solution développée en interne

Si BackBlaze a fini par accepter de vendre ses Storage Pod -  mais sans assurer de support - elle garde la main sur son logiciel. « Nous ne licencions pas notre programme, c'est le coeur de notre solution de sauvegarde » nous a indiqué Brian Wilson. Aujourd'hui, la start-up dispose d'une centaine de Pod  avec plus de 2500 disques durs. Soit une capacité de stockage de 10 Pétaoctets.  « Nous installons 10 nouveaux Pod tous les mois et remplaçons un ou deux disques durs cramés tous les semaines. »

La solution de sauvegarde incrémentale de cette start-up n'est pas seule sur le marché, mais elle permet de conserver des fichiers d'une taille maximale de 9 Go pendant 30 jours. La restauration est possible via un navigateur web, un DVD (99 $ avec une expédition partout dans le monde) ou un disque dur externe (199$ avec une expédition partout dans le monde). Mais pour restaurer ses données, il est bien sûr nécessaire de sauvegarder ses données. Gleb Budman rappelle pour l'anecdote qu'une de ses clients n'arrivait pas à récupérer ses données en ligne... et pour  cause après la création de son compte (une adresse email, un mot de passe et une carte bancaire suffisent), il n'avait jamais installé l'agent système...

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Une génie de la sécurité chez Palo Alto Networks

Changement de métier avec Palo Alto Networks. Si la sécurité est encore à l'ordre du jour, la société spécialisée dans la conception de firewall a été créée en mars 2005 par des gens qui pensaient qu'il y avait de graves lacunes dans ce domaine. La tête pensante de cette entreprise installée à Sunnyvale est bien connue dans le petit monde des firewalls : il s'agit du percutant Nir Zuk. Prodige des mathématiques, cet Israélien a fait parti de l'équipe qui a conçu la technologie d'inspection des paquets IP chez CheckPoint Software à la fin des années 90. Depuis il est passé par NetScreen et Juniper avant de fonder Palo Alto Networks à partir d'une idée simple : « toutes les technologies de sécurité utilisaient aujourd'hui pour protéger Internet datent des années 90. Toutes les compagnies utilisent des dérivés de la technologie d'inspection des paquets que j'ai développée pour les firewalls Check Point ».



Mais depuis les usages et les attaques ont bien changé. « Les firewalls ne protègent que le web et les emails et ignorent les autres usages : SalesForce, WebEX ou encore SharePoint. Facebook pose également un problème particulier en terme de sécurité. Les entreprises bloquent ou laissent passer le service avec tous les problèmes. Personne ne sécurise aujourd'hui Facebook tout comme Linkedin ou Viadeo en France. Skype est un autre exemple de bad application. Nous recommandons à tous nos clients de bloquer ce service ainsi que LogMeIn ou Tor mais s'ils le font les utilisateurs trouveront le moyen de contourner le blocage. Il est donc nécessaire de protéger les utilisateurs ».

Suivre les évolutions des usages

Provocateur, Nir Zuk finit toutefois par avouer qu'il ne s'agit plus aujourd'hui de bloquer des services devenus courants dans les entreprises, mais bien de sécuriser les accès. « Il faut reconnaître les nouvelles applications et les bloquer avant d'obtenir leur signature et d'établir une règle. » A l'usage, la société propose des firewalls aux défenses  personnalisables et plus seulement périmétriques. Le moteur Pan-OS 4 des boitiers analyse les paquets émis par les applications actives sur le réseau et sur l'exploitation des profils utilisateur contenus dans Active Directory. Cela permet d'appliquer des règles de sécurité au niveau de chacun des utilisateurs en fonction de leur profil. Ce n'est plus l'adresse IP sur laquelle repose la politique de sécurité, mais sur l'identité de l'utilisateur. De plus, ces appliances sont capables d'identifier les applications web actives sur le réseau en analysant les paquets qui y transitent.



Aujourd'hui, Palo Alto Networks possède une base forte de 20 000 signatures qui continue de s'enrichir. Elle propose bien sûr d'utiliser des black listes avec son algorithme baptisé NGFWs Scan. Développé par Nir Zuk, ce dernier équipe les firewalls de nouvelle génération de Palo alto Networks. Très fier de son moteur d'analyse, le fondateur et CTO de la compagnie, précise que ce dernier ne contrôle pas tous les paquets, mais seulement ceux qui lui paraissent suspects. « C'est l'intelligence de notre moteur ». La firme a lancé un firewall 20 Gigabits, le PA-5060, capable d'adresser jusqu'à 100 000 utilisateurs environ et prépare une version 40 Gigabits et même 240 Gigabits (6 x 40 Gigabits en fait dans un même châssis). Ces équipements reposent sur un OS spécifique Pan-OS sur lequel le directeur technique ne désire guère s'attarder. On saura juste qu'une release majeure est proposée tous les six mois et qu'il s'agit d'un OS robuste qui peut sembler ressembler à Linux.

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