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(15/03/2011 14:35:51)

CIO PDF 33 : le poste de travail, nouvelle arme de productivité massive

Quel terminal le DSI doit-il choisir pour équiper ses utilisateurs afin qu'ils soient les plus efficaces possible ? Réponse : le DSI ne doit pas s'en occuper. Aux utilisateurs de choisir et au DSI de s'adapter pour que le système d'information soit accessible sur n'importe quel outil, n'importe où. Le poste de travail devient ainsi le symbole de la soumission demandée à l'informatique face aux exigences - voire aux caprices - des utilisateurs.

C'est un défi de plus pour les équipes IT à l'heure de l'arrivée de la génération Y et où il est toujours indispensable que les systèmes sensibles de l'entreprise délivrent la qualité de service attendue.

Au delà de la question du poste de travail, CIO.PDF 33 suit la carrière de Paul Corbel, directeur général de SFR Business Teamaprès avoir été DSI de SFR. Côté international, nos confrères de CIO Etats-Unis ont synthétisé les bonnes recettes de CV pour faire carrière dans de nombreux pays.

Enfin, CIO.PDF 33 revient sur la certification international du jet d'affaire Falcon 7X de Dassault, ce qui a permis à l'avionneur de tirer pleinement partie du nouveau modèle de développement intégral en 3D.



Lire CIO.PDF 33


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(15/03/2011 14:17:02)

HP finalise l'intégration de 3Par dans ses produits

Hewlett-Packard a combiné les plateformes Utility Storage de 3Par avec CloudSystem d'HP. Selon la société, cette solution donnera aux entreprises un système de stockage « idéal » pour tous les types de clouds ​​- publics, privés et hybrides. Il centralise également la gestion des serveurs, du stockage et du réseau. David Chalmers, directeur technique de HP Enterprise Storage and Servers pour le Royaume-Uni et l'Irlande, a déclaré que les raisons de choisir ces technologies évolutives sont le thin provisioning (allocation dynamique de ressources) et les capacités multi-tenant, ce qui signifie que différentes personnes peuvent y accéder à tout moment. « Le thin provisioning signifie que vous pouvez augmenter la capacité de stockage dont vous avez besoin, » explique le responsable.

En outre, HP a intégré la technologie 3Par via une passerelle, baptisée HP Systems X9300, qui est basée sur la technologie NAS IBRIX. En plus d'autoriser le multi-locatif, David Chalmers a déclaré que la technologie 3Par donnera aux utilisateurs de cette gateway une gestion plus efficace de leurs données, au moment où ces dernières, structurées ou non, prennent de l'ampleur. « Il peut automatiquement transférer les données et les classer en fonction de leur pertinence ou de leur utilisation pour ne pas occuper des capacités de stockages trop coûteuses (comme le SSD) » précise-t-il.  Le HP Systems X9300 sera évolutif pour gérer jusqu'à 16 Po.

En complément, HP a présenté le système de stockage HP P4800 G2 SAN. Intégré au châssis HP BladeSystem, il s'appuie sur le logiciel SAN/IQ 9.0 avec un support amélioré des API VMware pour l'intégration de baies de stockage. Ce support accélère certaines fonctions de VMware telles que le clonage, tout en réduisant la charge des serveurs VMware ESX. Ces améliorations permettent ainsi aux clients d'augmenter la densité de leurs machines virtuelles par unité de stockage.

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(15/03/2011 14:00:23)

Gmail perturbé en Chine : un contrôle politique d'Internet ?

Sur des microblogs chinois, les utilisateurs de Gmail se plaignent des ralentissements du service, ou que celui-ci n'est tout simplement pas accessible. Google n'a signalé aucun problème concernant les conditions d'accès à son site en Chine, mais les plaintes, dont les premières datent de la fin du mois dernier, continuent à affluer. Selon Mark Natkin, directeur général de Marbridge Consulting, un cabinet situé à Beijing, « les conditions d'accès à Gmail sont très mauvaises depuis plusieurs jours. Et cela ne semble pas être lié au tremblement de terre qui s'est produit au Japon. Des personnes résidant en périphérie de la Chine continentale ont déclaré n'avoir aucune difficulté à se connecter. »

Une porte-parole de Google a confirmé que le service ne présentait aucune anomalie technique. « De notre côté, tout fonctionne correctement sur le plan technique. Il faudrait plutôt s'adresser aux responsables chinois pour savoir clairement où se situe le problème, » a déclaré Christine Chen par mail. La Chine bloque régulièrement des sites Internet étrangers et censure les contenus qu'elle juge politiquement sensibles. « Mais les problèmes constatés sur Gmail ressemblent à une nouvelle tactique qui consisterait à perturber les services sans bloquer complètement un site web, » a déclaré Bill Bishop, analyste indépendant qui surveille le marché de  l'Internet en Chine. « Les personnes chargées de mettre en place le Grand Firewall ont clairement changé de méthode, » explique-t-il.

Une nouvelle méthode de blocage

Le gouvernement chinois a travaillé dur pour empêcher que la récente vague de protestation politique en cours dans les pays arabes ne parvienne jusque sur ses rives. Par exemple, les sites de microblogging chinois ne permettent pas aux utilisateurs d'effectuer des recherches dans lesquelles figure le mot clef «Jasmin» utilisé par des activistes à l'étranger pour inciter la Chine à engager sa propre « Révolution de Jasmin. »

La Chine fait déjà barrage à des sites très populaires comme Twitter et Facebook, obligeant les utilisateurs à se reporter vers des sites de médias sociaux chinois soumis à une stricte censure de la part de Pékin. Les utilisateurs peuvent encore accéder à Gmail, mais le service de messagerie de Google se montre moins fiable ces dernières semaines. Et l'an dernier, Gmail avait été la cible d'une attaque menée depuis la Chine, visant, selon Google, à pirater l'accès aux comptes de militants chinois des droits de l'homme. D'après Bill Bishop, il est probable que les dirigeants chinois ont demandé à ceux qui sont chargés de contrôler l'Internet d'appliquer une censure « encore plus serrée, » compte tenu des résultats obtenus par le gouvernement pour faire en sorte que les troubles survenus au Moyen-Orient ne puissent se propager sur son territoire, » estime-t-il. « Je ne crois pas qu'ils ont trouvé une nouvelle technologie. C'est une décision politique, » a-t-il ajouté.

Des perturbations régulières

Il est difficile de savoir combien de temps les dernières perturbations survenues sur Gmail dureront. Le mois dernier, le site de réseau social LinkedIn basé aux États-Unis avait signalé avoir été bloqué en Chine. Mais un jour plus tard, le site était à nouveau accessible. Dans le passé, des opérations de censure de l'Internet en Chine avaient déjà empêché d'autres sites de Google d'être accessibles aux utilisateurs chinois. Actuellement, YouTube et Blogger sont bloqués dans le pays, comme l'est parfois Google.com pendant de courtes périodes. « Quand, finalement, on ne peut plus accéder à son mail, on change de fournisseur de service de messagerie, » a déclaré Bill Bishop. « Nous verrons. C'est difficile de prévoir comment va se manifester la censure en Chine... La situation va peut-être se détendre. »

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(15/03/2011 13:56:16)

Le collectif Anonymous publie des mails compromettants pour Bank of America

Le groupe d'activistes en ligne connu sous le nom "Anonymous" a publié une série d' e-mails compromettants  concernant l'établissement financier Bank of America. Ces documents auraient été dérobés par un ancien employé de la compagnie Balboa Insurance qui gérait, depuis 7 ans, des prêts et des assurances liés aux achats de véhicules. Cette division de la Countrywide Financial, rachetée en 2008 par Bank Of America a depuis été vendue au groupe australien QBE Insurance Group. Selon l'ancien employé de Balboa, la société aurait dissimulé des informations qu'elle aurait dû transmettre aux auditeurs fédéraux américains et également à Aurora Loan Services, une société de prêt hypothécaire, filiale de l'ancienne banque d'investissement Lehman Brothers. L'informateur allègue également que les dossiers relatifs aux prêts auraient été falsifiés en vue de procéder à des saisies. En attendant, les dirigeants de Bank of America n'ont pu être joints et n'ont donc pas été en mesure de commenter ces informations.  Le collectif Anonymous n'en est pas à son premier coup d'essai. Le groupe a mené une série d'attaques contre des sites considérés peu sympathiques comme  l'Eglise de Scientologie ou la société de collecte de droits d'auteurs BMI,  et plus récemment contre les sites interdisant Wikileaks.

Des pages en cache accessibles via Google

Les documents, qui se composent d'une série d'e-mails ainsi que d'échanges entre Anonymous et son indicateur, ont été publiés sur www.bankofamericasuck.com. mais entre-temps, le site est devenu inaccessible. Toutefois, les pages en cache sont toujours disponibles sur Google. Une capture d'écran du site a été prise vers 18 heures. Le nom de domaine, qui a été enregistré en décembre dernier par la société GoDaddy, aurait été réalisé par un certain James Jophan en Californie. Reste que les numéros de téléphones y figurant ne fonctionnent pas, ce qui arrive assez fréquemment. Bien que bankofamericasuck.com soit hors ligne, l'affaire a été largement relayée par d'autres sites et diffusée sur des plates-formes communautaires telles que Twitter.

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(15/03/2011 12:21:36)

Sorti de l'ombre Hurd, HP se lance dans le cloud public

Depuis son arrivée à la tête de Hewlett-Packard, Leo Apotheker, CEO en titre, vivait dans l'ombre de Mark Hurd, le précédent CEO désormais chez Oracle. En dévoilant la stratégie du groupe informatique pour les prochaines années avec notamment le lancement d'un cloud public concurrent des plates-formes d'Amazon et de Google, Leo Apotheker sort enfin de l'ombre de son prédécesseur. En plus d'une offre Infrastructure-as-a-Service (IaaS), HP proposera également une place de marché applicative pour les consommateurs, les petites et moyennes entreprises, et les grands comptes, a précisé Leo Apotheker.

Une offre multi tiers

Il y aura quelque chose pour tous les clients de HP sur le marché, a-t-il ajouté. « Nous allons fournir un marché ouvert unique qui proposera des services pour les consommateurs, les entreprises et les développeurs », a-t-il expliqué lors d'une réunion organisée pour la presse et les analystes à San Francisco 
le lundi 14 mars. La place de marché comprendra une boutique d'applications, ainsi que des outils pour les développeurs, des services et du support pour les entreprises a-t-il dit. 

HP ne précise pas quand cette plate de marché et ces services en ligne seront disponibles, mais Leo Apotheker indique que les services seront ouverts, supporteront de nombreux langages de développement, et pourront être utilisés par n'importe quel éditeur de programmes. « Nous ne vérifierons que la sécurité et l'interopérabilité des logiciels » a-t-il ajouté.

Un savoir faire à mettre en oeuvre

La firme de Palo Alto possède  tout le savoir-faire pour construire de telles offres. Elle est très bien positionnée auprès des consommateurs, maitrise toutes les briques infrastructures ainsi que la technologie middleware nécessaire pour faire fonctionner ensemble les applications. HP ambitionne clairement de devenir aussi grand que certains fournisseurs bien connus de services cloud computing (Amazon, Google ou encore Microsoft). 

« Si vous voulez être dans le business cloud, il faut le faire à grande échelle», a souligné Leo Apotheker. « Vous devez être en mesure de servir les clients partout dans le monde. » Mais il est difficile de savoir si HP réussira à attirer les développeurs de logiciels sur sa plate-forme et séduira les consommateurs et les développeurs de la même manière que des concurrents tels que Google et Amazon. 

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Les investisseurs avaient besoin d'être rassurés sur l'avenir de HP depuis que Leo Apotheker a succédé à Mark Hurd, il y a déjà cinq mois. L'action de HP n'a pas bien réagi au départ de Mark Hurd avec une sous-performance d'environ 17% à l'index  Standard & Poor's 500. Toujours aussi confiants, les analystes financiers se demandaient même si Leo Apotheker était bien l'homme de la situation pour relancer HP.

Peu de vraies innovations grand public

Alors que les entreprises IT telles que Google et Apple ont vu leurs profits augmentés en flèche suite à leurs annonces sur le marché grand public, HP court toujours après de réelles innovations à succès. Le mois dernier, la firme de Palo Alto a bien annoncé le TouchPad - une tablette tactile qui arrive sur un marché aujourd'hui dominé par l'iPad d'Apple. Reposant sur le système d'exploitation webOS que HP a récupéré suite au rachat de Palm en 2009, cette ardoise électronique est attendue en juin prochain aux États-Unis.

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(15/03/2011 12:00:33)

La gestion des risques analysée par l'AMRAE

Après une première édition en 2007 puis une deuxième en 2009/2010, l'AMRAE (Association pour le Management des Risques et des Assurances de l'Entreprise) vient de publier la troisième édition de son Panorama des Systèmes d'Information de Gestion des Risques. Cette étude recense la couverture fonctionnelle des besoins des gestionnaires de risques et d'assurances grâce à 200 questions réparties sur 23 axes (contre 19 en 2009 et 17 en 2007).

Il convient de préciser que la description des fonctions des logiciels a été réalisée par les éditeurs eux-mêmes, l'AMRAE convertissant les réponses en notes. L'ensemble du système d'évaluation repose sur le référentiel Coso 2, mis au point par une commission américaine animée par le cabinet PWC (Coso 1 concernait le contrôle interne et pas la gestion des risques). Certains axes concernent la technologie des produits dans le sens où cela impacte la facilité d'usage, son coût (besoin de développements spécifiques ou non), etc. Cependant, les modèles économiques et les coûts des solutions ne rentrent pas dans l'évaluation car les situations sont trop hétérogènes.

Il n'existe pas de logiciel idéal

La position officielle de l'AMRAE n'est pas de considérer que tel logiciel est meilleur qu'un autre : c'est à chaque gestionnaire de risques de prendre le logiciel qui a la couverture fonctionnelle qui lui convient. Et, d'ailleurs, selon l'association, une entreprise débutant sa démarche de gestion des risques devrait commencer par un simple tableur pour commencer, un logiciel spécifique ne se justifiant que lorsque les démarches atteignent une certaine maturité.

Sur les 67 éditeurs sollicités, 21 ont rempli convenablement le questionnaire de l'AMRAE et sont donc présents dans le panorama. Chacun dispose d'une page d'analyse de son produit avec son adresse et les coordonnées du contact pour acheter ou évaluer le produit, un bref paragraphe présentant la société et son contexte et surtout deux graphes présentant pour l'un la couverture des axes fonctionnels et d'autre part celle des axes COSO. Certaines solutions sont disponibles en SaaS mais aucune n'est Open Source.

Certains des logiciels étudiés sont centrés sur la gestion des assurances, d'autres sur la gestion des risques, les derniers enfin sont généralistes. Certains reculs apparents entre 2009 et 2011 sont liés à une plus grande sévérité de l'AMRAE qui a rajouté des critères d'évaluation dans certains axes. En début d'étude, un bilan du marché est réalisé avec un graphe de positionnement relatif des solutions et une moyenne du marché sur chaque axe. Après avoir étudié l'offre en logiciels, l'AMRAE se penche sur les pratiques réelles en entreprises. Cette association a donc envoyé un questionnaire à ses adhérents. Son objectif est de publier les résultats de cette étude en début d'été.

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(15/03/2011 11:41:25)

Lyreco rénove son moteur de recherche avec Autonomy

Lyreco est un distributeur de fournitures de bureau pour professionnels qui occupe le quatrième rang mondial de sa spécialité. Son siège est à Valenciennes et il est présent dans 27 pays en Europe, Asie, Canada et Australie. Issu des anciennes Papeteries Gaspard, il conserve un actionnariat familial malgré un chiffre d'affaires de plus de deux milliards d'euros.

Depuis l'orée des années 2000, il propose ses produits en ligne à sa clientèle de professionnels. Or retrouver sur le site des articles dans l'immense catalogue du distributeur, avec les informations afférentes, est loin d'être simple. Mais c'est une nécessité pour vendre le produit recherché par le client. Un premier moteur de recherche a été implémenté en 2003 mais ne donnait pas satisfaction sur des langues nécessaires. En 2007, il est décidé de remettre en cause la solution installée. Le choix d'IDOL (Intelligent Data Operating Layer) d'Autonomy est fait, après des tests de démonstrateurs de trois produits concurrents, et la solution est installée en cinq mois pour être opérationnelle en 2008.

Une organisation centralisée

Une des grandes difficultés de Lyreco pour ce projet était liée à son organisation. La société est très centralisée, notamment en termes d'architecture informatique. C'est donc le même PGI (SAP en l'occurrence) à partir du même site (au siège à Valenciennes) qui va alimenter un site e-commerce unique avec des déclinaisons par pays et par langues. « Le site est directement connecté à SAP via des développements spécifiques en java sur architecture Websphere et il utilise les modules du PGI pour toute la gestion de la commande, de la facturation, des stocks, etc. » explique Eric Jacqmart, directeur du département SAP de Lyreco et qui était rentré dans le groupe en tant que responsable de la mise en oeuvre du e-commerce.

De ce fait, le SI et le site web doivent être disponibles en permanence et délivrer un même service dans toutes les langues. Eric Jacqmart martèle : « une déficience dans la disponibilité entraîne immédiatement une perte de chiffre d'affaires ». De plus, quelque soit la langue du client, celui-ci doit trouver l'article qu'il cherche alors même que le vocabulaire employé est à la fois riche et très spécifique.

Disponibilité et personnalisation

Les premiers critères de choix d'une solution étaient logiquement la disponibilité et la pertinence des résultats quand un client cherche un produit, ce quelque soit sa langue. Un autre critère était l'implication directe de l'éditeur. « Nous voulions avoir un partenaire unique, l'éditeur, qui assure un support de toutes les langues avec des engagements forts en termes de résultats de l'éditeur lui-même, capable également d'assurer les transferts de compétences aux équipes internes de Lyreco sans intervention de tiers » explique Eric Jacqmart.

Il se souvient : « le moteur précédent était très puissant, notamment dans la gestion des synonymes, dans certaines langues comme le Français et l'Anglais mais inefficace dans les langues d'Asie alors même que nous nous déployions fortement et rapidement sur ce continent. Et il n'était pas possible de personnaliser finement le moteur pour compenser ses faiblesses. » Avec Autonomy, Lyreco a paramétré manuellement sa banque de synonymes et les modalités de recherches. « Il y a quelques centaines de termes très spécifiques comme post-it/papier repositionnable qui doivent être saisis à la main mais, par contre, les pluriels sont gérés automatiquement par le moteur » indique Eric Jacqmart. Pour les langues agglutinantes (comme l'Allemand) ou à déclinaisons, il a été nécessaire de paramétrer le moteur de recherche sur la manière de mener la comparaison de termes (en l'occurrence en découpant par syllabes). Cette facilité de paramétrer finement le moteur de recherche a clairement été l'un des critères du choix d'Autonomy.

Une architecture pour une haute résilience

Un autre point fort du produit qui a été apprécié est l'intégration de la base d'index (donc sans nécessité de gérer une base externe) et de la répartition de charge dans le logiciel lui-même. Lyreco a donc mis en oeuvre deux couples de serveurs Sun sous Solaris, les couples se répartissant les langues. Dans un couple, les deux serveurs se répartissent la charge, se répliquent et se redondent automatiquement. « Aujourd'hui, le taux de service dépasse les 99,5% de disponibilité et il n'y a eu aucune interruption de service depuis 2008 » se réjouit Eric Jacqmart.

Lorsqu'un client lance une requête, le délai de réponse ordinaire est de 30 ms malgré les 650 000 requêtes/jour. De plus, la solution attaque en direct la base SAP mais est capable également d'indexer 300 000 documents à l'heure afin de profiter au mieux des disponibilités du système métier qui sert en premier lieu les clients. Lyreco n'a pas souhaité communiquer le coût du projet mais indique que le modèle économique choisi était celui de la licence au serveur avec une maintenance annuelle de l'ordre de 20%. Le retour sur investissement est lié à l'amélioration de l'expérience client.

Le projet devrait être prochainement étendu à la suggestion de ventes additionnelles (par exemple du toner si le client s'achète une imprimante), Autonomy proposant un module pour cela.

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(15/03/2011 11:24:48)

La LOPPSI 2 publiée au JO

Au Journal Officiel du 15 mars a été publiée la deuxième loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (LOPPSI 2). Son deuxième chapitre est entièrement consacré à la lutte contre la cybercriminalité, y compris par des moyens contestés. Deux points méritent d'être particulièrement relevés.

Tout d'abord, la LOPPSI 2 institue le délit d'usurpation d'identité. Il n'est donc pas nécessaire de commettre une autre infraction (escroquerie, diffamation...) pour être poursuivi de ce chef. Est ainsi concerné le fait d'ouvrir des comptes sur des réseaux sociaux au nom de personnalités. Ce délit est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.

Enfin, la LOPPSI 2 prévoit le filtrage administratif d'Internet dans son article 4. Très contestée, cette mesure est souvent qualifiée d'inefficace et les ratés de mesures similaires aux Etats-Unis la rend très contestable. La LOPPSI 2 utilise également largement les TIC dans de multiples dispositions (fichiers judiciaires, vidéosurveillance, documents sécurisés...).

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(15/03/2011 11:17:22)

Résultats Eolen : En ordre de marche pour la croissance externe

Fin 2010, cette entreprise spécialisée dans le conseil et l'ingénierie en hautes technologies a réussi sa toute première levée de capitaux auprès du fonds d'investissement Audacia pour un montant de 2,5 M€. Une partie de cette somme vient d'être utilisée pour acheter Riskalis Consulting par le biais d'une des filiales du groupe. Ce cabinet d'audit et de conseil fournit aux acteurs de la finance/banque/assurance des prestations axées sur la construction et l'amélioration des processus ainsi que des outils de maîtrise des risques. En 2010, son chiffre d'affaires a atteint 2,7 M€. « C'est la première fois que nous achetons une entreprise dont l'activité ne repose pas sur la maîtrise des environnements IT », indique Pascal Leblanc, le fondateur et PDG d'EOLEN.

L'approche n'en reste pas moins en cohérence avec les rachats déjà effectués par le groupe EOLEN dans le but de s'implanter dans le secteur de la finance. En avril 2008, il a ainsi fait l'acquisition de A+ Financial Consulting, une SSII spécialisée dans les études pour les banques de financement. Au mois de décembre de l'année suivante, c'était au tour de son homologue System Consulting, qui vient d'être rebaptisée EOLEN Finance, d'être rachetée par le groupe. Comme A+ Financial Consulting, elle cible également les acteurs de la finance en leur proposant des prestations autour des plans de maintien en condition opérationnelle des serveurs.
Bientôt, le groupe EOLEN pourrait également faire son entrée dans le secteur des télécoms. Parmi les cinq dossiers d'entreprises dont il étudie le rachat, l'un d'entre eux est plus avancé et porte sur une société dont le coeur d'activité est la convergence multimédia.

« A chaque fois, nos opérations de croissance externe ont la même finalité. Il s'agit d'acquérir des sociétés déjà référencées chez les clients pour faire progresser notre position chez les entreprises du CAC 40 », explique Pascal Leblanc. Difficile, en effet, pour une société de services créée en 2006, de ne compter que sur sa propre croissance organique pour parvenir rapidement à cette fin. D'autant que les ambitions du groupe sont importantes. En 2015, il compte réaliser un chiffre d'affaires de 80 M€ et atteindre un effectif de 1000 personnes. Il part aujourd'hui d'un chiffre d'affaires de 7,6 M€ (2010) et un effectif de plus de 140 consultants.

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(15/03/2011 11:08:50)

2011, une année très PaaS selon Gartner

Dix jours après Markess, qui s'intéressait à la fois à l'Iaas et au Paas, le Gartner publie une étude sur le seul Paas (Platform as a service).  Comme souvent, le cabinet américain fait dans l'euphorie. « Fin 2011, la bataille pour le leadership du Paas, aura englouti l'industrie du logiciel » explique Yefim Natis, vice-président au Gartner. Cet analyste prédit également un début de consolidation de l'offre Paas. Les utilisateurs devant s'attendre à une vague d'innovation et de battage sur le sujet.

Le Paas, rappelle le Gartner, concerne la couche d'architecture qui contient tous les services d'application (le « middleware »). C'est la couche moyenne, une technologie intermédiaire entre l'infrastructure du système sous-jacent (systèmes d'exploitation réseaux, virtualisation, stockage ...) et les logiciels d'application.

Au cours des trois prochaines années, la variété de l'offre en PaaS permettra de consolider quelques grandes suites d'applications d'infrastructure de services. Dans les cinq prochaines années, l'adoption du Paas ne conduira pas à une transition directe vers le cloud, mais à la coexistence, l'interopérabilité, l'intégration entre plusieurs modèles, souligne également le Gartner.

Des modèles et des normes à créer

« L'ère du cloud computing ne fait que commencer, et les modèles en vigueur, les normes et les meilleures pratiques du génie logiciel pour le cloud ​​n'ont pas encore été établis. C'est une opportunité pour les fournisseurs de nouveaux logiciels pour bâtir une présence de premier plan dans les solutions logicielles du marché, » a déclaré Yefim Natis. « C'est également un défi technique majeur pour les fournisseurs de logiciels établis : conserver leur leadership tout en se projetant dans le nouvel espace sans nuire à leurs acquis durement gagnés dans le marché de l'informatique sur site. »

Pour leur part, les utilisateurs seront précipités dans le cloud computing (avec des services d'application commerciale de type SaaS) et des services de plate-forme avancée (par exemple, PaaS) atteignant des niveaux acceptables de maturité et offrant de nouvelles fonctionnalités innovantes.

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