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(09/03/2011 15:41:05)

Une quasi moitié des ventes de mobiles sont des smartphones

25,6 millions de smartphones ont trouvé preneurs en Europe de l'Ouest au dernier trimestre 2010, d'après la dernière étude du cabinet d'analyse IDC. Ce segment de marché, combinant fonction téléphonique et services web et multimédia, représentent désormais 44% des ventes totales de téléphones mobiles.

Au dernier trimestre 2010, les ventes de smartphones ont grimpé de 99,4% par rapport au dernier trimestre de l'année précédente. Les appareils dotés d'Android ont dominé avec une part de marché de 31%, soit 7,9 millions de terminaux écoulés. La croissance annuelle des mobiles embarquant le système d'exploitation de Google atteint 1 580%. Les ventes de smartphones Windows Phone 7 ont doublé entre le dernier trimestre 2010 et les trois mois précédents. Les ventes d'iPhone d'Apple ont progressé, elles, de 66%.

Au total, 58,7 millions de téléphones portables ont été vendus en Europe de l'Ouest d'octobre à décembre 2010 (+3,2%).

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(09/03/2011 15:20:27)

VMware acquiert WaveMaker, un facilitateur de création d'applications Java

WaveMaker est basé sur le framework  Spring de SpringSource que VMware a acquis il y a un an et demi. Il s'agit d'un outil graphique qui donne aux utilisateurs la possibilité de glisser-déposer des éléments pour créer une application web. Ils peuvent ainsi déployer leurs applications directement dans un cloud privé ou vers une variété de plates-formes, y compris Amazon, Rackspace, OpSource et Eucalyptus. Le logiciel fonctionne sur Windows, Mac OS, Red Hat et Ubuntu. Il prend également en charge les bases de données, notamment MySQL Server et Microsoft SQL.

Les utilisateurs de WaveMaker sont généralement des salariés qui ne sont pas des développeurs, mais qui veulent construire une application web. L'une des applications les plus courantes est de créer une page de e-commerce donnant la possibilité d'acheter un produit via une carte de crédit a déclaré Mark Brewer, vice-président de l'activité Spring de VMware.  Mais il existe d'autres usages. Les magasins Macy's utilisent cette solution pour construire une application interne rassemblant une variété de données issues de plusieurs départements comme les ressources humaines ou les finances.

Simplifier et intégrer


Cette opération, dont les termes financiers n'ont pas été dévoilés, doit encourager les utilisateurs à consommer plus de services de cloud computing. Mark Brewer explique « si nous souhaitons propulser nos clients dans le cloud et qu'ils créent des applications, nous devons simplifier ce processus et rendre facile la programmation d'une application ».

L'éditeur prévoit de continuer à offrir WaveMaker sous licence Open Source, précise le dirigeant. Il commercialisera le support, la formation et le conseil. De plus, VMware envisage d'ajouter WaveMaker à son service Code2Cloud afin que les clients puissent utiliser ce logiciel comme un service plutôt que de le télécharger. Code2Cloud est un service hébergé de gestion de cycle de vie applicatif qui permet notamment aux développeurs de contrôler et de suivre les bogues et les tests sur les applications. Cette intégration devrait être effective dans les deux prochains mois.

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(09/03/2011 15:20:02)

SAS pousse la BI vers l'iPad et l'iPhone

Cet accord entre SAS et Mellmo va renforcer un peu plus la position des appareils mobiles d'Apple et en faire une cible privilégiée pour les fournisseurs de logiciels d'entreprise, en particulier ceux qui vendent des solutions BI. Ce partenariat avec Mellmo n'est pas le premier du genre, puisque l'éditeur a déjà passé des accords avec IBM, SAP, Salesforce.com, Microsoft et Oracle. L'intégration de la solution de SAS, qui s'appuie sur Enterprise BI Server, devrait être prête dès le début du mois prochain.

Ce n'est que tardivement que les fournisseurs de BI ont commencé à porter leurs logiciels sur mobile, et à vanter les avantages qu'auraient les employés nomades à pouvoir accéder à des données analytiques et à des rapports d'entreprise en temps réel. SAP se prépare à une course particulièrement agressive sur ce marché, notamment dès qu'elle aura mis en route, courant de cette année, une plate-forme mobile basée sur la technologie acquise avec l'achat de Sybase. Mais jusqu'à présent, l'adoption de la BI mobile est restée timide en raison de différents problèmes, certains liés à la sécurité et d'autres au facteur de forme des appareils mobiles qui ne permet pas une bonne utilisation de ces applications, comme l'indique un rapport de Forrester Research sur le sujet. « Les vraies applications de BI ont besoin d'un certain espace pour afficher, interagir et effectuer l'analyse de toutes les informations pertinentes. Il faut pouvoir faire la même chose sur un écran unique et de petite taille, » fait remarquer le rapport. Les applications mobiles d'informatique décisionnelle doivent permettre aux utilisateurs de travailler avec des données « utilisant des applications d'analyse classiques comme le « drill-across » pour les opérations ensemblistes, la hiérarchie « drill-down/drill-up » qui fait référence « à la synthèse des informations en fonction d'une dimension », et le « drill-through » « pour accéder au détail élémentaire des informations quand on ne dispose que de données agrégées », mais aussi pour filtrer, grouper, transformer, évaluer, et trier, » ajoute encore le rapport.

Selon Forrester Research, les appareils mobiles comme l'iPad d'Apple permettent de résoudre la question de l'ergonomie. « Avec cette nouvelle génération de BI mobile, adaptée à la future génération d'appareils mobiles, on va enfin pouvoir tenir la promesse d'accéder à l'information à tout moment, partout, et sur n'importe quel appareil. » Il y a aussi une multiplication croissante des possibilités d'utilisation de la BI mobile, ajoute le rapport. Par exemple, le logiciel pourrait aider un vendeur à conclure un marché en présentant des analyses à même d'emporter l'adhésion d'un client potentiel. Pourtant, les défis persistent pour la BI mobile, en particulier en matière d'offre d'expériences riches pour la variété d'appareils mobiles disponibles. « Les clients doivent évaluer attentivement la qualité des outils proposés par un fournisseur, notamment les capacités « write once, use anywhere » (écrire une fois, exécuter partout), » dit le rapport de Forrester.

Illustration principale : Solution Roambi de Mellmo, crédit D.R.

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(09/03/2011 15:14:06)

Solutions Ressource Humaines : Les RH poursuivent leur mutation

La 17ème édition du salon Solutions Ressources Humaines,  principal rendez-vous de l'ensemble de la communauté RH, a ouvert ses portes hier, lundi 8 mars, au parc des expositions de Paris porte de Versailles. Durant 2 jours, cette manifestation devrait mettre en relation 200 sociétés exposantes et près de 5 000 visiteurs. L'objectif est d'aider les grands comptes, comme les PME, à mettre en place, développer ou optimiser leurs ressources humaines. La conférence plénière d'ouverture a choisi de se pencher sur les évolutions de la fonction RH imposés par la crise économique et financière. Au coeur des débats, les transformations que la fonction ressources humaines devra anticiper et les conséquences de cette mutation sur le SIRH (système d'information des ressources humaines). « La crise a imposé aux entreprises des défis qu'elles ne pourront pas relever sans le concours d'une fonction RH légitime », a exposé d'emblée Patrick Storhaye, président de la société de conseil Flexity. Pour le dirigeant, également fondateur du site web RH Info, les solutions RH sont composées d'une vaste palette d'outils qui vont du e-learning à l'externalisation en passant par des solutions en mode Saas. Reste à savoir comment elles pourront contribuer à créer la valeur attendue au sein de l'activité ressources humaines.

Faire appel à des sous-traitants pour réduire les coûts

Pour Véronique Montanat, directrice du marketing et de la stratégie de l'offre RH chez Sopra Group, la dématérialisation des bulletins de paie est en marche: une bonne façon d'atteindre l'objectif « zéro papier ». Selon elle, il  s'agit d'industrialiser, d'automatiser et de mutualiser les processus, pour faire évoluer la fonction RH tout en réduisant les coûts. Un point de vue que partage Thomas Chardin, directeur marketing et stratégie d'ADP, l'un des spécialistes des services liés à la gestion de la paie et des ressources humaines : « Les bénéfices de l'externalisation liée à l'activité RH se sont concrétisés par des résultats tangibles », considère t-il.  «Passer par un prestataire peut contribuer à réduire la facture de l'activité RH de 20 à 25%.  Thomas Chardin rappelle que droit du travail français est extrêmement complexe et qu'il est parfois impossible de suivre l'ensemble de la législation liée à la paie. Pour lui, confier la gestion des bulletins à un prestataire dont c'est le coeur de métier constitue un bénéfice pour la fonction RH qui sera alors en mesure de se consacrer à l'essentiel de son activité (parcours professionnels, parité dans l'entreprise, bien être au travail, etc.). « L'externalisation n'est certes pas une baguette magique », juge le responsable marketing d'ADP. « Mais elle permet toutefois de se poser les bonnes questions ».

Un SIRH décloisonné

Pour Maurice Ricome, DRH d'Amadeus Dirigeants, c'est également en proposant des outils conviviaux que la DRH pourra améliorer sa productivité : « Il est important que les managers de proximité (ou middle managers)  puissent s'appuyer sur des solutions simples pour mieux gérer le temps de leurs équipes et traiter plus rapidement les demandes de congé, les formations etc », indique t-il. « La DRH doit être actrice de ses améliorations ». Pascale Boyaval, directrice marketing activité RH chez Cegid, a pour sa part, insisté sur la récente mutation des SIRH. « Il y a peu de temps, le système d'information était cloisonné aux RH et à la paie ». rappelle-t-elle « Aujourd'hui, suite à la révolution du cloud computing et à la déferlante des outils du web 2.0, la donne a changé. Les entreprises y viennent à grand pas, surtout la fonction RH.  Demain, au lieu de paramétrer, on consommera des services en ligne via Internet à la demande sans se soucier de l' infrastructure qui aura été  gommée. »   Autre facteur participant à la transformation du SIRH : l'utilisation croissante  des outils collaboratifs : «Les réseaux sociaux professionnels se développent de plus en plus dans les entreprises et au coeur des SIRH », note Pascale Boyaval. C'est une source novatrice qui a récemment dynamisé la fonction ressources humaines. » (...)

(09/03/2011 15:13:22)

Twitter recense 2,4 millions d'abonnés en France

Le site de microblogs Twitter dénombre actuellement quelque 210 millions d'utilisateurs à travers la planète, dont seulement 2,4 millions en France. Selon une étude menée par le cabinet spécialisé Semiocast. La France se placerait à la 17e position en termes de fréquentation mondiale, loin derrière les Etats-Unis, le Japon et le Brésil. Le Royaume-Uni, premier pays européen, compte 10.5 millions d'utilisateurs Twitter.

« Après un ralentissement mi-2010, le site de micro-blogging semble repartir en France avec 160 000 comptes créés en février 2011. L'importance du débat politique sur Twitter ne suffit pas à expliquer cette croissance. En effet, les tweets politiques représentent à peine 3% de tous les messages publics émis depuis la France », analyse le cabinet.

Dernier point abordé dans l'étude, près de 9% des utilisateurs français ont protégé leur compte Twitter afin que les messages ne soient visibles que par leurs amis, contre 7,8% des utilisateurs à travers le monde.

Cette étude a été menée sur un échantillon de 52 millions de profils Twitter créés jusqu'au 1er mars dernier.

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(09/03/2011 15:02:21)

Les seniors convertis au commerce en ligne

A eux seuls, les seniors représentent près de la moitié (48%) du total des dépenses annuelles des Français sur Internet avec 15 milliards d'euros déboursés. Ils dépensent en moyenne 137 euros par mois sur le Web pour un total annuel de 1.644 euros alors que la moyenne nationale affiche 1.207 euros. Cela avec un revenu annuel moyen inférieur à celui des actifs (21 540 euros versus 21 760 euros).

Les seniors plébiscitent les voyages (79%), les produits culturels (68%) et la high-tech (52%) lors de leurs cyberachats. Les vêtements suivent (50%). L'électroménager (49%), les places de spectacles (47%) et les produits de santé et beauté (39%) connaissent aussi un franc succès. D'après LH2, onze millions de 50 ans et plus sont connectés à Internet et 9,2 millions d'entre eux achètent en ligne, soit 83,6%. Leur objectif numéro un dans l'achat en ligne recoupe celui de nombreux des cyberacheteurs, faire des économies.

Aujourd'hui, la population française est constituée de 36% de seniors.

Le sondage a été réalisé par LH2 pour le moteur de recherche shopping Kelkoo du 30 décembre 2010 au 4 janvier dernier en ligne auprès d'un échantillon de 400 cyberacheteurs représentatif de la population française âgés de 50 ans et plus.

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(09/03/2011 11:19:35)

Annuels Iliad : Résultats solides pour les futures ambitions

2010 a été une année de consolidation des résultats avant les échéances de certaines ambitions. Ainsi le chiffre d'affaires ressort à plus de 2 milliards d'euros en hausse de 4,3% par rapport à 2009. L'EBITDA est en forte progression +20,7% à 798,1 millions d'euros. Le résultat net croit de 78% à 313,1 millions d'euros.

Au 31 décembre 2010, le nombre d'abonnés au fournisseur d'accès à Internet, Free, atteint 3,969 millions, soit 191 000 de plus que l'an passé. Le groupe Iliad, qui possède Free, annonce dans son rapport annuel un total d'abonnés (ceux du FAI Alice compris) de plus de 4,53 millions. En ce qui concerne la fibre optique, Iliad espère atteindre les 100 000 abonnés d'ici la fin de l'année, et une couverture de 4 millions de foyers d'ici la fin 2012.

Sur la partie mobile, le groupe rappelle son accord noué avec Orange sur l'itinérance 2G/3G. Free Mobile devrait lancer son offre commerciale au début de l'année 2012. A cette date-là, Iliad prévoit de couvrir 27% de la population française avec son propre réseau.

Fort de ces ambitions, Iliad anticipe un doublement de son chiffre d'affaires d'ici 2015 et une trésorerie issue de l'ADSL de plus de 1,1 milliards d'euros entre 2010 et 2012.

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(09/03/2011 11:14:28)

Résultats LNA : un optimisme affiché pour 2011

La SSDI (Société de Service et de Distribution Informatique) LNA a clos son exercice 2010 sur un chiffre d'affaires de 66 M€, en hausse de 10% comparé à l'année précédente. Son résultat avant impôts s'établit à 1,5 M€, soit sensiblement le même niveau qu'en 2009. Cette année-là, l'entreprise avait réalisé une performance encore meilleure qu'en 2010 avec des revenus en croissance de 15%. « La crise n'avait pas encore pleinement affecté notre secteur », justifie Thierry Martin, le président de LNA.

Quoi qu'il en soit, la SSDI relève encore une fois l'objectif de revenus qu'elle s'est fixée d'ici 2015. Il passe à 250 M€ contre 200 M€ annoncés lors de la clôture de son exercice 2009. Cette révision à la hausse tient notamment aux deux importants appels d'offres publics que l'entreprise a gagné cette année. Le premier a donné lieu à la signature d'un contrat avec l'UGAP (Union des Groupements d'Achats Publics) pour la fourniture de solutions de stockage et de serveurs pour un montant prévisionnel de 100 M€ sur trois ans. Le second, gagné auprès du SAE (Service des Achats de l'Etat), porte sur la fourniture de systèmes d'impression sur 4 ans pour un montant prévisionnel de 87 M€.

Le fait d'avoir remporté ces marchés contribue à rendre nécessaire des embauches supplémentaires chez la SSDI. En 2011, celle-ci cherche notamment à recruter deux à trois commerciaux avant-vente en serveur et stockage et deux autres profils similaires dans le secteur de l'impression. Une dizaine de commerciaux grands comptes généralistes devraient également la rejoindre ainsi qu'au moins six commerciaux pour renforcer l'effectif de ses six agences régionales.

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(09/03/2011 10:47:55)

Commerciaux et Marketeurs moins stressés, mais peu mobile

Le cabinet « Jobmarketingvente.com » vient de publier les résultats de l'enquête menée en janvier auprès de 739 commerciaux et marketeurs. On le sait, ces fonctions ont été particulièrement chahutées depuis la crise financière de 2008. L'amélioration de leur moral est-elle aussi lente que la reprise économique ? D'une manière générale oui, si l'on se fie aux principaux résultats de cette enquête. Plus des trois quarts des représentants des services marketing et commerciaux se disent « stressés » : 75,5% pour le marketing et 77,7% pour le commercial. C'est bien sûr encore énorme, mais ces deux fonctions affichent respectivement des diminutions du stress de 4,7% et de 2,5% par rapport à 2010.

Ce stress reste principalement lié à la difficulté d'atteindre les objectifs, à la charge de travail (jugée trop lourde par plus de 50% des interrogés), à la pression hiérarchique et à l'ambiance au travail. En l'occurrence, l'ambiance ne s'améliore quasiment pas : une majorité la trouve insatisfaisante et 20% des interrogés estiment qu'elle est carrément « mauvaise ».

Pas le moment de changer d'entreprise...


L'amélioration la plus nette concerne les marketeurs : ils ne sont plus « que » 74,5% à estimer qu'il leur serait difficile de trouver un nouvel emploi, alors que la proportion était de 80,8% en 2010. Chez les commerciaux, cette part reste moins importante et quasiment stable (66,4% contre 65,9% l'an dernier).

Enfin, il faut noter qu'en France, la mobilité est paradoxalement moins importante qu'en 2010 : ils ne sont plus que 43,8% à accepter de quitter leur région d'origine, alors que plus de la moitié d'entre eux étaient prêts à le faire l'an dernier. De même, quasiment 60% des répondants refuseraient d'aller travailler à l'étranger. Et pour ceux qui y seraient prêts, ils sont 81,8% à ne pas vouloir quitter l'Europe.Un dernier indice concernant la confiance des marketeurs et des commerciaux dans l'avenir : plus de 75% d'entre eux n'ont pas envie de créer une entreprise...

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(09/03/2011 10:33:05)

Annuels Lefebvre Software : une sortie de crise confirmée

L'éditeur Lefebvre Software (filiale des éditions Lefebvre Sarrut) publie ses résultats annuels 2010. Ils se concluent par un chiffre d'affaires (CA) de 33,6 millions d'euros (ME), en croissance organique de 1%, en croissance globale de 8% (en tenant compte du rachat d'Arcole intégrée sur six mois).  Lefebvre Software compte trois activités qui se développent inégalement. Les licences sont en forte progression, avec +12%, +8% en organique et représentent 7,9 ME. Les services affichent une croissance plate, l'accent étant mis sur la marge. La maintenance est en légère progression. Pour ne pas diminuer ses prix de vente, Lefebvre Software a prorogé les garanties de maintenance, de trois à six mois.

La rentabilité est au rendez-vous. L'éditeur  affiche pour 2010 un Ebitda de près de  3,6 ME sans Arcole, de 4,2 avec Arcole. La société vise un Ebitda de 6 ME pour 2011 avec un CA de  40,7 ME. Fin 2006, avant l'arrivée de Viviane Chaine-Ribeiro (*), la société perdait 4 ME et réalisait 16 ME dans l'édition, 4 dans le hard (une activité abandonnée rapidement). Trois rachats ont suivi : Scod en avril 2007, AS Groupe en novembre 2008, Arcole mi 2010. L'objectif des 100 ME devrait être atteint en 2013 ou 2014. Une croissance basée sur un triptyque : l'organique, l'externe, l'international.

10% à l'international


La société s'est développée sur plusieurs axes en 2010. A l'international, où elle réalise 10% de son CA et vise les 20%, essentiellement en Europe du sud : Espagne, Italie, Portugal (avec un distributeur). Ce qui implique la traduction et l'adaptation des produits décisionnel RH et finances. Côté technologie et produits, Lefebvre Software investit dans les formules en Saas. L'offre décisionnel RH est sortie, décisionnel finances en Saas est en préparation. Sans précipitation. « Il faut réaliser ces investissements, aller vers le Saas, mais tenir compte des réalités, nous investissons tous dans ces formules, mais on ne sait pas quand le marché va vraiment décoller » souligne Viviane Chaine-Ribeiro.

Lefebvre Software amplifie également sa collaboration avec Oracle, initiée par Arcole et développée sur d'autres gammes de produits. 

(*) Viviane Chaine-Ribeiro est P-dg de Lefebvre Software et membre du comité STIC qui donne son avis au gouvernement sur les investissements IT dans le cadre du grand emprunt. Mme Chaine-Ribeiro fut la 1ère présidente de l'Afdel.

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