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(14/12/2010 10:29:40)

Forum Decideo : Calculer la rentabilité d'un formulaire

Si Édouard Servan-Schreiber, directeur « cross channel analytics » chez l'éditeur Terradata déplore le manque d'implication des entreprises dans l'analyse des données comportementales en ligne, il existe une entreprise qui témoigne volontiers sur ses pratiques en la matière : Europages, un annuaire en ligne et un moteur de recherche B2B. Eric Hobein, son directeur du décisionnel a ainsi fait profiter les participants d'un atelier du Forum Decideo, de son expérience.

Le webanalytic consite en l'analyse profonde de l'audience d'un site web. Trois sortes de données intéressent les responsables marketing : la source d'un visiteur (d'où vient-il ? Pourquoi est-il venu ? ...), le contenu de son comportement (que fait-il ? Sur quelles pages va-t-il avec quel cheminement ? Avec quelle fréquence vient-il ? ...) et les résultats de sa visite (achat, fidélité, génération de contact...). Pour y parvenir, on peut utiliser des cookies ou bien des liens en « URL longues » comprenant des indications exploitables, soit en local soit via du SaaS (XiTi, Google Analytics...).

Mesurer le ROI d'une annonce publicitaire

« Chez Europages, il y a sur chaque lien attaché à une annonce une série de données incluses dans l'URL qui permet un traitement » stipule ainsi Eric Hobein. Les URL utilisées sont traitées au travers des logs du serveur web et il peut ainsi y avoir jusqu'à un gigaoctet de données par million de visiteurs. Les logs sont intégrés via un ETL au datawarehouse puis au datamart (sous Oracle). Les données sont alors analysées notamment sous IBM Cognos (reporting au client et en interne) et sous SPSS (datamining).

Eric Hobein précise le but de la démarche : « chacun peut ainsi mesurer le ROI de son annonce publicitaire mais aussi avoir une aide au choix de mots clés, une prédiction de résultats sur une campagne publicitaire envisagée, etc. et, au final, passer d'une étude superficielle de contacts à une étude de rentabilité en terme de chiffre d'affaires généré d'un formulaire ou d'un mot clé. »

Illustration : Eric Hobein, responsable de l'activité décisionnelle chez Europages, crédit D.R.
(...)

(14/12/2010 10:20:40)

25 milliards de tweets en 2010

Selon le bilan 2010 des tendances Twitter, la marée noire survenue au printemps dans le Golfe du Mexique suite à l'explosion d'une plateforme pétrolière a été le sujet le plus repris parmi les 25 milliards de messages publiés cette année sur Twitter. La Coupe du monde de football, qui s'est déroulée cet été en Afrique du Sud, arrive en deuxième position, devant le film Inception. Dans le classement par catégories, c'est le jeune chanteur canadien Justin Bieber qui arrive en tête du classement des célébrités, devant la nouvelle présidente du Brésil Dilma Rousseff, et la chanteuse Lady Gaga. Suivent Julian Assange, mentor du site WikiLeaks, et Mel Gibson.

Apple en tête des tweets high tech

L'iPad d'Apple et Google Android ont été les thèmes technologiques les plus abordés sur Twitter, tandis que le basketteur Lebron James domine la catégorie sports. Dans la rubrique actualités, la marée noire est suivie du tremblement de terre en Haïti, et des inondations au Pakistan. Suivent le conflit entre les deux Corées, et le sauvetage des mineurs chiliens. Enfin, dans le classement cinéma, Inception devance le dernier volet de la saga Harry Potter etScott Pilgrim.

Illustration : Application Doodle Tweet pour iPhone et iPad

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(14/12/2010 10:10:29)

Interview : Guy Mamou-Mani, président de Syntec Numérique

Didier Barathon : Vous le rappelez souvent, le Syntec Numérique est un syndicat professionnel et pas une association, ce qui vous donne un rôle dans les négociations sociales, quel est votre 1er bilan sur ce sujet ?

Guy Mamou-Mani : Nous sommes membre de la Fédération Syntec, ce qui nous donne effectivement un rôle dans les négociations. Syntec Numérique représente d'ailleurs la moitié des effectifs de la Fédération Syntec. Ce sujet me tient à coeur et nous allons passer à un dialogue social plus actif que dans le passé. J'ai rencontré la majorité des syndicats. Un accord sur les minima sociaux a été signé au mois de juin dernier, ça n'avait plus été le cas depuis deux ans.

Au-delà de la négociation, j'ai souvent dit aux représentants syndicaux, que l'enjeu dépasse  leur entreprise. Il n'y aura pas de développement social dans nos métiers sans croissance et pas de croissance si nos entreprises ne sont pas mieux reconnues. Nous pensons qu'une augmentation des salaires est légitime, mais pour l'obtenir, il faut augmenter les prix qui nous sont imposés, et pour cela  revoir l'image de notre profession, nous devons avoir nos salariés à nos cotés.

Une organisation, le Munci, menace de dresser la liste noire des SSII qui auraient les plus mauvais comportements, comment allez-vous réagir?

Je suis dans ce métier depuis 25 ans, j'en connais toutes les facettes. L'image de la SSII agence d'intérim a vingt ans de retard. C'est dépassé ! Et le Munci doit vraiment changer sa vision de la profession. Mais comme nous ne nous connaissons pas, j'ai invité Régis Granarolo son président a nous rencontrer, il vient cette semaine.

J'ai eu affaire à une autre intervention, sur mon blog (guymamoumani.fr), avec une personne dont le « pseudo » est « viande à louer » qui vient m'expliquer que nous sommes « des marchands de viande ». C'est tout le contraire. Les SSII font partie des entreprises qui se sont le plus renouvelées, le plus remises en cause, nous nous battons depuis des années, loin des visions inacceptables qui sont encore véhiculées sur nos entreprises et nos métiers.  Je lui ai d'ailleurs demandé de changer son « pseudo ».

Pour lire la suite de cette interview, rendez-vous dans notre rubrique Entretien.

Crédit photo : D.R. (...)

(14/12/2010 09:42:02)

La « taxe Google » indigne 67 chefs d'entreprise IT

L'amendement Marini, du nom du sénateur du même nom, n'en finit pas de provoquer la colère des chefs d'entreprise IT. 67 d'entre eux publient ce mardi une pétition dans la presse économique. Leur raisonnement ? La taxe est triplement injuste. Au lieu d'atteindre des sociétés puissantes, on s'en prend à des sociétés plus petites, au lieu de géants mondiaux on vise des acteurs français, au lieu de taxer les activités de ces sociétés on vise les activités d'autres sociétés. C'est évidemment pénaliser les entreprises françaises de l'Internet.

Ne pouvant taxer les revenus des grands acteurs comme Apple, Google, eBay etc..., la taxe va frapper les annonceurs du web. En somme, une taxe par défaut, ne pouvant atteindre les uns on frappe les autres. Les autres ce sont les vendeurs d'espace fiscalement basés en France, donc plutôt des PME.

(...)

(14/12/2010 11:00:50)

SAP gagnerait un client Business ByDesign chaque jour ouvrable

L'application de gestion Business ByDesign, hébergée par SAP, compterait un nouveau client chaque jour ouvrable, a affirmé la semaine dernière Rainer Zinow, vice-président senior, responsable de cette offre, à l'occasion de la conférence Influencer Summit organisée par l'éditeur allemand à Santa Clara, Californie (*). L'été dernier, en passant à la version 2.5 de cette suite logicielle en ligne conçue pour les PME, SAP avait en partie levé ses restrictions sur le nombre de clients susceptibles d'y accéder. De fait, depuis le lancement de l'offre en 2007, l'accès en était plus ou moins limité à une centaine de clients sur six pays (dont la France), principalement pour des raisons de rentabilité liées à l'architecture technique de la plateforme d'hébergement. Avec le passage au multitenant, l'éditeur espère compter plusieurs centaines de clients d'ici mai prochain et la tenue de sa conférence Sapphire 2011.

Pour étayer ces prévisions modérément optimismes, Rainer Zinow a précisé qu'en janvier, trois autres pays s'ajouteront à la liste toujours restreinte des clients pouvant accéder à Business ByDesign : l'Autriche, le Canada et la Suisse. Et que, six mois plus tard, l'Australie et le Mexique s'y joindront. Soit, au total, onze pays (**). Le vice-président responsable de l'offre hébergée pour PME a également indiqué qu'une trentaine de revendeurs, principalement aux Etats-Unis, en Allemagne et en France, avaient rejoint le programme partenaires lancé en août. Une quarantaine de sociétés travaillent aussi sur des solutions complémentaires (cette fois, essentiellement outre-Atlantique et outre-Rhin).

Le SDK ByDesign Studio en janvier


Comme annoncé, la prochaine version de Business ByDesign (Feature Pack/FP 2.6) doit arriver en janvier prochain et, avec elle, le SDK (software development kit) ByDesign Studio reposant sur Visual Studio de Microsoft. Celui-ci permettra aux éditeurs indépendants de bâtir dans le cloud des « add-on » pour la suite intégrée. A terme, prévoit SAP, il sera possible d'ajouter à cette dernière des fonctionnalités horizontales et de constituer des applications métiers complètes. « Nous allons proposer un catalogue de tous les services web disponibles autour de ByDesign [par exemple : 'créer une commande', ou encore 'contrôler la disponibilité d'une référence'], a précisé Rainer Zinow. Nous assurerons la stabilité des interfaces pour ces services, de façon à ce qu'un partenaire développe pour la mise à jour FP 2.6 fonctionne aussi avec les versions suivantes. » En cas de modification du coeur de l'application, le partenaire disposera d'une certaine avance (environ un an) pour procéder aux changements nécessaires, a-t-il assuré.

SAP a prévu deux mises à jour de l'application par an. Ainsi, la FP 3.0 de Business ByDesign devrait être prête pour le deuxième semestre 2011 (juillet ou août), Elle viendra compléter les fonctions métiers de l'application, plus particulièrement dans deux domaines : la gestion des services professionnels et de la production. Quant à la FP 3.5, elle devrait être fournie en décembre 2011 ou au mois de janvier suivant. « En 2012, nous nous focaliserons sur des fonctionnalités verticales, par secteur d'activités », annonce déjà Rainer Zinow.

Des applications 'OnDemand' pour les grands comptes

Parallèlement, SAP prépare des applications en ligne pour les grandes entreprises qui ont déployé en interne son offre principale, la Business Suite. Voilà déjà deux ans que l'éditeur annonce l'arrivée prochaine de ces produits. Signe particulier, ces applications 'OnDemand' fonctionneront au-dessus de la suite hébergée Business ByDesign. L'objectif est de permettre aux grands comptes de mettre en place plus vite, et à moindre coût, certaines fonctions particulières. Les premières du genre seront Sales Ondemand et Travel Ondemand, citées par SAP à chacune de ses conférences depuis quelques mois, mais pas encore disponibles. Elles entreront dans un processus de validation au premier trimestre de l'an prochain et seront ensuite « prudemment » proposées aux clients. « Ce n'est pas que nous manquions de confiance, se défend Rainer Zinow, mais nous voulons récupérer les premières réactions des utilisateurs afin d'y apporter des réponses. Nous voulons être sûrs que les clients vont s'y adapter. » Un lancement plus large devrait intervenir à l'occasion de Sapphire 2011, en mai.

Un « SAP Store » pour le Cebit 2011

Enfin, au prochain Cebit de Hanovre, en mars 2011, l'éditeur allemand prévoit d'ouvrir, sous le nom de SAP Store, une boutique en ligne pour proposer des add-on à sa suite hébergée Business ByDesign. On y trouvera les siennes et celles de ses partenaires. « SAP Store comprendra aussi des contenus métiers et d'autres services, précise Rainer Zinow. De même que des capacités d'intégration à des produits tiers tels que des services de gestion de la paie, par exemple ».
Avec ses partenaires intéressés, SAP a défini un processus de certification des logiciels pouvant être proposés sur ce SAP Store. Il s'agira dans un premier temps d'une série de tests que les partenaires pourront effectuer eux-mêmes. S'ils les passent avec succès, l'éditeur vérifiera ensuite avec eux certains points supplémentaires (sur la sécurité notamment) en vue de l'approbation finale.

(*) A noter que cette même semaine, sur la côte Est des Etats-Unis, le chantre des applications SaaS (software as a service), Saleforce.com, tenait lui-même sa conférence annuelle Dreamforce à quelque 70 kilomètre de là, à San Francisco, au cours de laquelle il a annoncé la préparation de son offre Database.com.


(**) Les premiers pays ayant pu accéder à Business ByDesign sont, outre la France, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la Chine, puis l'Inde.

Illustration : Rainer Zinow, vice-président senior, responsable de l'offre Business ByDesign chez SAP (crédit photo : SAP)
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