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(25/11/2010 16:05:44)
Un directeur technique nommé chez Salesforce.com
JP Rangaswami rendra compte directement au CEO de Salesforce.com Marc Benioff. Son travail consistera à « aider les clients européens à intégrer les innovations comme le temps réel, la mobilité et les liens sociaux fournis par les applications Salesforce et la plate-forme Force.com, ainsi que contribuer à la stratégie générale sur les produits. » Il apporte à Salesforce.com de 30 ans d'expérience de travail sur les technologies à de grandes entreprises, y compris la banque d'investissement Dresdner Kleinwort Wasserstein.
« Je crois que ce n'est qu'une question de temps avant de logiciels d'entreprise se compose de seulement quatre types d'application: la publication, la recherche, la réalisation et la communication », lit une déclaration sur son blog personnel. « Je pense que notre façon d'appréhender les droits numériques et de propriété intellectuelle aura pour effet de ralentir ou parfois même de bloquer l'innovation.» Cette dernière affirmation reflète la réputation JP Rangaswami en tant que défenseur des logiciels Open Source.
Se détacher du CRM
Mais sa nomination donne un signal aussi pour SalesForce.com qui cherche à ne plus se présenter comme un simple fournisseur de logiciel de CRM à la demande sur lequel il a bâti sa réputation. L'éditeur a partiellement réussi à le faire, mais le nom de l'entreprise signifie qu'il sera impossible de supprimer complètement l'attache CRM, a déclaré Ray Wang, PDG de Constellation Research.
Marc Benioff peut être influencé par l'histoire. « Il peut se souvenir de la leçon apprise dans la disparition de Siebel qui a eu un grand écho dans l'industrie » explique Ray Wang. « Siebel était considéré comme un naïf averti, car il n'a pas pu obtenir dans les temps la plate-forme de développement du projet Nexus, finalement acquise par Oracle, » conclut-il.
(...)(25/11/2010 15:41:52)IBM détaille sa vision du cloud
Si la notion de cloud computing est entrée dans les esprits des responsables informatiques, certains détails doivent être soulignés et mieux appréhender. C'est un peu le message implicite qu'a transmis Big Blue, lors d'un séminaire sur le cloud réalisé à Montpellier dans son centre de recherche. Pour Philippe Jarre, General Manager Global Technology Services « les entreprises perçoivent les avantages du cloud, qui devrait représenter 11% des investissements informatiques d'ici 2015 » et d'ajouter « il est nécessaire d'avoir une approche pragmatique et un changement de mentalité ». Il donne ainsi l'exemple du paradigme temps, qui évolue avec des technologies comme la virtualisation où le provisionning de VM passe de la semaine à la minute. Allant plus loin dans cette démarche, Philippe Jarre a indiqué aussi qu'il était nécessaire de spécialiser le cloud et non plus de le cantonner à une masse informe et polyvalente. Il a ainsi annoncé l'inauguration au centre de recherche de La Gaude (à côté de Nice) d'une salle de démonstration de cloud métier (finances, assurance, télécom, etc.)
Une « cloudisation » à la carte, mais sécurisée
S'il n'existe pas une réponse unique à ce qu'apporte le cloud dans une entreprise, IBM a vite compris qu'en matière de test et de développement, les responsables informatiques s'interrogeaient sur prendre de la puissance de calcul chez Amazon pour certains projets. Pour Fady El Kaddoum, responsable cloud, pour GTS France « nos clients veulent un accord contractuel et non pas donner leur numéro de carte bleue » et d'ajouter « nous proposons donc des offres sans engagement, mais aussi des services sur abonnement bénéficiant de réduction sur le prix final ». Cette contractualisation s'accompagne de SLA comme une disponibilité de 99,5%, la possibilité de personnaliser les instances choisies à partir d'un catalogue de services, de priorisation avec un classement Bronze, Argent, Or, mais aussi Platinium voir Iridium pour des demandes particulières.
Si cet exemple est parlant, la stratégie cloud pour une entreprise nécessite néanmoins une méthodologie pour fixer ses besoins et ses capacités de migration vers tel ou tel type de déploiement. Pour se faire, IBM a concocté un Cloud Adoption Framework, capable de visualiser et prendre en compte l'ensemble des éléments nécessaires à la proposition de solutions. « Cet accompagnement est essentiel pour comprendre l'intérêt du cloud et s'adapter aussi à l'orientation des DSI, certains sont plus sensibles à la technologie, d'autres à la réduction des coûts » souligne Dominique Dagois, consultant exécutif chez GTS France. La mise en place d'une méthode s'applique également sur la sécurité. Il s'agit là d'une inquiétude récurrente de la part des DSI. IBM utilise donc un framework securité basé sur le recensement de 5 pôles sensibles (l'identification, la protection des données, sécuriser les applications et les infrastructures virtualisées, mais aussi les infras physiques). La sécurisation doit également se comprendre depuis le cloud et Big Blue propose ses solutions Securities Services, capable de gérer les failles de sécurité (pour exemple IBM qui est partenaire de Rolland Garros a recensé 8 millions d'attaques sur le site officiel du tournoi), protéger les mails et l'accès web, avoir une veille sur les vulnérabilités et un outil de log pour tracer aussi les attaques. Loïc Guezo, spécialiste sécurité chez GTS, a présenté une solution de sécurisation au niveau de l'hyperviseur (pour l'instant disponible avec VMware) qui comprend un IPS, la détection de Rootkit, etc... « l'hyperviseur contient des vulnérabilités qui pourraient être exploitées » souligne-t-il.
Bull compte recruter un millier de personnes dans le monde
Le groupe Bull, qui a embauché 850 personnes dans le monde en 2010, dont 350 dans l'Hexagone, annonce un plan de recrutement ambitieux pour 2011. L 'entreprise envisage d'intégrer 1 000 nouveaux collaborateurs à l'échelle mondiale, dont 700 en Europe,150 en Afrique, 100 en Amérique/Asie/Océanie et 50 dans d'autres pays incluant les Etats-Unis. En France, le groupe prévoit de réaliser 400 embauches supplémentaires dans une répartition similaire à celle observée en 2010 : la moitié des recrutements concernera des profils ayant plus de 3 ans d'expérience, le pourcentage restant sera réservé à des juniors.
Des embauches réalisées via les réseaux et la cooptation
Il s'agira de thésards pour les domaines pointus de recherche, de jeunes spécialistes techniques (notamment en sécurité) dont les écoles et les universités ont des spécialités, de développeurs logiciels et d'administrateurs de bases de données et réseau. Les postes ouverts aux candidats confirmés porteront sur de la conduite de projets, de l'architecture de solutions informatiques (matériel et logiciel) et du commercial. Le groupe compte réaliser un quart de ses embauches par la voie des réseaux ou de la cooptation. Bull intègrera également dans ses équipes françaises des apprentis et des stagiaires de longue durée. 50% des embauches auront lieu en province, principalement dans le Sud Est (PACA + Rhône Alpes),
Illustration : le siège de Bull à Issy-les-Moulineaux. Crédit photo : Bull
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Google Wave postule pour devenir un projet Apache
C'est en 2009 que Google a introduit Wave, avant d'abandonner le projet un an plus tard seulement, pour cause de maigre succès auprès des utilisateurs. Une « wave » est service de communication numérique à distance qui utilise différentes formes pour propager l'information, telles que l'email, le chat ou encore le partage de documents. Parce que de nombreux composants de Wave sont open source, ou dépendent de composants Open Source, plusieurs développeurs de Google Wave ont pu, en collaboration avec des développeurs externes, poursuivre leurs travaux sur la technologie. Ceux-ci ont même mis au point un pack appelé Wave In A Box (WAIB), en fait un logiciel serveur qui héberge et stocke les waves. « La version initiale n'a pas été suffisamment bien accueillie pour pouvoir continuer à exister en tant que produit autonome de Google. Néanmoins, les développeurs ont travaillé sur d'autres projets connexes, et plusieurs start-ups continuent à soutenir cette technologie,» indique le document de candidature pour l'incubateur. Par exemple, Novell a intégré le logiciel Wave dans sa plate-forme de collaboration Vibe, SAP l'utilise partiellement dans son logiciel StreamWork, et l'US Navy étudie les moyens d'utiliser cette technologie dans les communications à bord de ses navires.
Une seconde vie pour Wave
Wave s'ajoute aux 112 projets à l'étude au sein de l'incubateur Apache. Pour être accepté comme Podling, celui-ci doit trouver un parrain à l'intérieur d'Apache, et démontrer qu'il est soutenu par une communauté active d'utilisateurs et de développeurs. Il doit aussi être soumis à un vote formel à l'inscription. Dan Peterson, l'un des développeurs à l'origine du projet, pense que le vote concernant Apache WAIB pourrait intervenir dès la semaine prochaine.
La fondation à but non lucratif offre déjà un soutien organisationnel, juridique et financier à plus de 100 projets Open Source, dont le serveur web Apache, la plate-forme Hadoop - un framework Java libre destiné aux applications distribuées et à la gestion intensive de données, le serveur d'application Tomcat qui gère les servlets et les JSP, et le logiciel SpamAssassin qui filtre le trafic des emails pour supprimer les messages « pourris ».
(...)(25/11/2010 13:59:00)200 postes IT à destination des seniors
Affectés de plein fouet par la crise, les chercheurs d'emploi seniors peinent à faire valoir leurs compétences et expériences surtout dans l'IT. Le recrutement de ces derniers peut se trouver pénalisé dans les grandes SSII, où l'âge moyen se situe aux alentours de 32 ans. Un forum, organisé par la Mairie de Paris et l'établissement d'utilité publique Carrefour pour l'emploi, leur est donc dédié le mercredi 1er décembre de 10h à 18h au CentQuatre à Paris 15ème. L'entrée du salon est libre, gratuite et sans pré-inscription. Sur un total de 2 000 offres d'emploi, 200 postes d'expérimentés sont à pourvoir dans l'informatique et les télécoms. La palette des profils recherchés est vaste : Il s'agit d'administrateurs (base de données, systèmes), d'analystes (concepteur, exploitation, réalisation, programmeur), d'architectes (système d'information, technique), de chef de projets (développement, informatique industrielle, étude et développement informatique, exploitation mainframe, MOE, MOA), de concepteurs d'applications informatiques, et également de consultants (banque, assurance, assistance à maîtrise d'ouvrage, systèmes d'information, nouvelles technologies, et télécoms).
Une vingtaine d'exposants en quête de profils expérimentés
Les recherches concernent aussi des développeurs seniors Java, des directeurs de projet en informatique, des DSI, des experts informatique et infrastructure, et enfin, des ingénieurs (bases de données, études et développement informatique, développement logiciel, méthodes et qualité et réseau). Ces emplois IT destinés à des candidats seniors émanent d'une vingtaine d'entreprises parmi lesquelles figurent des SSII (Ajilon IT Consulting, G-Fit), des sociétés de portage salarial (Alteis Horizon, Dreamteam Portage, ITG ), des spécialistes du travail temporaire (Adecco Experts). Sont également présents sur le salon, des organismes publics (Caisse nationale d'assurance maladie, groupe La Poste), des établissements bancaires (Société Générale), des acteurs de l'ingénierie ferroviaire (Systra), des spécialistes de la distribution en ligne (Cdiscount) et du recrutement de personnes en situation de handicap (CED Hanploi),
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Attachmate conserve les droits d'auteur sur Unix de Novell
« Novell continuera à détenir les droits de propriété intellectuelle d'Unix de Novell après l'achèvement de la fusion en tant que filiale d'Attachmate, » explique le message. En début de semaine, Novell avait annoncé son accord pour être acquise par Attachmate, pour un montant de 2,2 milliards de dollars. Par contre, 882 brevets ont été acquis par un consortium, CPTN, détenu par Microsoft. Cette annonce pas suffisamment précise sur la nature des brevets a engendré la naissance de rumeurs sur le fait que la firme de Redmond aurait pu acquérir les droits sur Unix. Pour mémoire, en mars dernier, un tribunal de l'Utah avait confirmé que les droits d'auteur autour d'Unix appartenait à Novell, mettant fin à une bataille vieille de sept ans entre SCO et Novell. A l'heure de la virtualisation et du cloud computing, les OS sont devenus un enjeu important.
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Un millésime peu IT pour le Salon des Maires
Les maires et responsables de collectivités locales s'intéressent-ils vraiment aux TIC ? Le marché est normalement en pleine explosion, avec la dématérialisation mais aussi le développement de l'e-administration participative, l'obligation de rendre les territoires séduisants pour les personnes les plus qualifiées comme pour les entreprises... Mais, au Salon des Maires et des Collectivités Locales (SMCL), qui s'est tenu du 23 au 25 novembre 2010 Porte de Versailles à Paris, les TIC ont joué des bien petits rôles.
Le hall 5 de l'immense parc des expositions était entièrement consacré aux équipements sportifs tandis que les TIC ne disposaient pas même d'un village identifié. Les principaux acteurs étaient relégués, plus ou moins groupés, au fond du hall 2.1.
Des acteurs peu présents
Certes, Orange / France Telecom disposait d'un immense stand et SFR était bien présent, mais ni Bouygues Telecom ni d'autres opérateurs alternatifs n'ont daigné honorer le salon de leur présence. Le développement des réseaux est pourtant au coeur de l'attractivité des territoires.
Les opérateurs de services en ligne comme les plates-formes SaaS de gestion de marchés publics Achatpublic.com/marchesonline.com demeuraient discrets. Dolist, présent, cherche visiblement à initier les villes aux joies du mail-marketing et du sms-marketing, qui tourne pourtant bien souvent au spam. La bataille des portails fédérateurs en ligne semble également relancée : e-Citiz était bien là mais pas Service Public Local en tant que tel.
Le seul distributeur à valeur ajouté présent était GS2I. Aucune SSII et aucun « grand » éditeur généraliste, même SAP qui se targue de s'implanter dans le secteur local, n'avait fait le déplacement. Sage était, quant à lui, hébergé sur le stand de l'Ordre des Experts Comptables, d'où son absence du catalogue officiel. Les éditeurs et petites SSII sectoriels étaient cependant présents : Arpege, Ciril, Berger-Levrault, JVS-Mairistem, Astech Solutions...
Hors de la dématérialisation, à quoi sert l'informatique ?
Le discours ambiant semblait se résumer à la bonne vieille dématérialisation. Mercredi 24, de 11h15 à 12h45, se tenait d'ailleurs le seul atelier-conférence sur les TIC, en l'occurrence sur le thème « Dématérialisation et communication, comment gérer les flux internes et externes d'une collectivité ». Pourtant, il n'existe aucun salon spécialisé qui pourrait justifier un tel désintérêt. D'autant que ce n'est pas la première année que l'on peut le constater.
A l'inverse, si les SSII étaient absentes, les sociétés spécialisées dans l'externalisation de la fonction RH (Adecco, Randstad...), notamment via l'Intérim, étaient bien là. Maintenant que le recours à l'intérim est légal dans le secteur public, les restrictions budgétaires vont peut-être pousser les DSI de collectivités à se tourner vers cette solution plutôt que d'embaucher des agents contractuels ou de recourir à des SSII.
Dassault Aviation se dote de supercalcultateurs Bull
Le groupe Dassault Aviation a donc décidé d'accroître ses capacités de calculs haute performance en se dotant de nouveaux super-calculateurs. L'avionneur souhaitait une solution capable de modularité afin de pouvoir l'accroître si besoin sans remettre en cause son architecture. De plus, il était nécessaire de minimiser la consommation électrique, tant pour des raisons de coût que d'empreinte carbone, et la maintenance. Enfin, l'architecture existante utilisant notamment des super-calculateurs Bull devait pouvoir accueillir l'extension réalisée.
Après appel d'offres, Dassault Aviation a choisi de se doter de calculateurs Bullx, fournis par la société française. En l'occurrence, l'équipement comprend trois racks Bullx avec neuf châssis Bullx B pour un total de 324 processeurs Intel Xeon 5560 (soit 1296 cores) et 4,7 TB de mémoire. L'ensemble déploie 13,8 Tflops de performance crête. Le coût du projet n'a pas été communiqué. L'architecture de calcul de Dassault Aviation est désormais constituée à 60% de produits fournis par Bull.
Semestriels : Solucom se porte bien
Fondé en 1990, Solucom est un cabinet conseil en systèmes d'information, classé 5ème sur le marché français par Pierre Audoin consultants. Pour son 1er semestre fiscal, achevé au 30 septembre dernier, Solucom affiche un chiffre d'affaires (CA) de 52,4 millions d'euros (ME), en progression organique de 9%, par rapport au même semestre de l'année précédente. Le résultat opérationnel courant s'élève à 7,2 ME en hausse de 126%.
La société explique ces bons chiffres par ses efforts commerciaux déployés depuis 18 mois. Autre bonne nouvelle, le taux d'activité est de 86% sur les deux premiers trimestres de l'année, contre 80% sur l'ensemble de l'exercice précédent. Inversement, le prix de vente journalier moyen se situe à 707 euros, en baisse de 1%. Mais, explique la société, la pression tarifaire diminuant, les prix devraient se stabiliser
SSII : iOrga rachète Itaque
La SSII iOrga vient de racheter Itaque, cabinet de conseil qui sera intégré dans sa filiale consulting. Ce cabinet (basé à Avignon) lui apporte deux compétences : le conseil stratégique pour les ETI (les Entreprises de taille intermédiaire entre 250 et 2 000 salariés) et le conseil RH. Itaque va d'ailleurs publier un livre sur les transferts de compétences.
iOrga se développe ainsi par croissance organique et croissance externe. En 2009, la société a réalisé un chiffre d'affaires (CA) de 25 millions d'euros (ME) et compte dépasser les 28 ME sur son exercice 2010. En organique, la croissance s'élève à 3%. 75% du CA est réalisé en France, le quart restant à l'international. iOrga vient de s'implanter à Bruxelles et à Amsterdam en rachetant l'activité locale de Business et Décision en intégration JD Edwards / Oracle. La société est déjà implantée en Espagne, en Suisse et au Portugal. Elle compte deux collaborateurs au Canada, une tête de pont qui sera renforcée, si la Coface contribue à développer l'implantation de iOrga sur place.
Quatre actionnaires fidèles
iOrga est détenue par quatre actionnaires : Promelys Participations (société de capital développement de la famille Gorgé), Alto Invest (société indépendante de gestion de portefeuille), BNP Paribas Développement (société de capital investissement), Turenne Capital (société indépendante de capital développement). Ils souscrivent aux augmentations de capital nécessaires à la croissance externe de la société, 1,3 ME en juin 2010, 3 ME en juin 2009.
« Nous avions trois axes forts, lors de notre création souligne Eric Patrux, P-dg d'Iorga Groupe : cibler les ETI; couvrir l'Europe, la France étant un département de l'Europe ; ne pas se développer seuls, nous sommes très liés à Oracle et gardons 4 actionnaires fidèles. Ces trois éléments fondateurs sont restés à l'ordre du jour. »
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