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(12/10/2010 16:54:00)
Les messages sur Twitter entrainent finalement peu de réactions
Environ sept messages publiés sur dix (71%) sur Twitter ne génèrent aucune réaction, selon une étude menée par la société Sysomos. Celle-ci a analysé 1,2 milliard de tweets sur le site de micro-blogging, et constaté que seulement 29% des messages publiés suscitent une réponse en retour (23% sont des réponses directes, et 6% des "retweets"). La plupart des retweets (92%) interviennent dans l'heure qui suit la publication du message d'origine, et seulement 1,6% dans la deuxième heure. A noter, 85% des tweets ayant généré une réponse n'en obtiennent qu'une seule.
Site : http://sysomos.com
(...)(12/10/2010 14:40:57)Windows Phone 7 : les mobiles et les opérateurs dévoilés par Steve Ballmer (MAJ)
Steve Ballmer, le PDG de la firme, a dévoilé lui-même les premiers téléphones qui supporteront l'OS, et révélé la liste des opérateurs qui le distribueront. «Nous voulions rendre Windows Phone attractif parmi les appareils mobiles, en proposant un éventail de fonctionnalités, de logiciels, et des expériences utilisateurs différentes, » a-t-il déclaré. Microsoft a voulu faire de WP7 un système « toujours agréable» et «où chacun puisse se retrouver pleinement » a-t-il ajouté, insistant sur la manière dont les utilisateurs pourront personnaliser l'interface. « Chacun pourra regarder son téléphone et se reconnaître dans son mobile, » a-t-il encore déclaré. Curieusement, Microsoft a fait une omission remarquée pour la première version de Windows Phone, puisque le système d'exploitation ne dispose pas de la fonction copier-coller. Mais l'éditeur prévoit de les ajouter dès la première mise à jour, annoncée pour l'année prochaine. On se souvient qu'Apple avait été très critiquée pour avoir laissé ces mêmes fonctions de côté dans les premières versions de son système pour iPhone.
« Afin de rendre son système mobile disponible début novembre pour les consommateurs, Microsoft a conclu plusieurs partenariats avec de nombreux fabricants de téléphones et des opérateurs de téléphonie mobile, » a déclaré Steve Ballmer lors du lancement de l'OS à New York. « WP 7 sera ainsi proposé par soixante opérateurs de téléphonie mobile dans 30 pays, » a-t-il annoncé. Parmi eux, celui-ci a nommé América Móvil, AT & T, Deutsche Telekom, Movistar, O2, Orange, SFR, SingTel, Telstra, Telus, T-Mobile USA et Vodafone. Dès le mois de novembre aux États-Unis, HTC, Dell, Samsung et LG Electronics sortiront neuf téléphones équipés de l'OS. « Ces téléphones seront en mesure de réaliser des vidéos, de se connecter aux médias sociaux, d'exécuter des jeux, d'accéder à des films en streaming et à des émissions de télévision, » a encore déclaré le PDG de Microsoft.
Déjà en Europe chez Orange et SFR
En Europe, Orange prévoit de lancer trois mobiles sous Windows Phone. Le HTC 7 Mozart, exclusivement réservé à Orange, sera disponible en France, au Portugal, au Royaume-Uni, en Espagne, en Pologne, en Suisse, en Roumanie et en Autriche. Le Samsung Omnia sera disponible en France, au Royaume-Uni et en Suisse. « L'Optimus 7 de LG sera disponible en France environ six semaines avant d'autres opérateurs, » a indiqué Microsoft. D'une manière générale, les téléphones seront disponibles en premier lieu au Royaume-Uni et en France. T-Mobile a déclaré qu'il distribuera le HTC HD7 aux États-Unis à partir de la mi-novembre, à temps pour les fêtes de fin d'année. Celui-ci inclura Netflix, T-Mobile TV, Xbox LIVE et le logiciel Zune. Quant à AT&T, l'opérateur prévoit de lancer le Focus de Samsung le 8 novembre aux États-Unis.
Conçu par Microsoft pour mieux rivaliser avec les systèmes concurrents d'Apple et de Google sur le marché du mobile, Win Phone 7 a été complètement repensé, Microsoft consacrant même beaucoup de temps à le développer. Dans l'intervalle, l'iPhone d'Apple, lancé début 2007, dépassait, un an après, les ventes de tous les appareils sous Windows Mobile aux États-Unis, selon des chercheurs de l'institut Canalys. En 2009 pour répondre à ses obligations envers les opérateurs et les constructeurs de terminaux, Microsoft avait été obligé de sortir un système palliatif fort décevant, Windows Mobile 6.5. Ringardisé par Apple iPhone OS et Google Android, ce denier n'avait pas réussi à renverser la tendance et à ramener l'entreprise sur le marché du mobile.
Des astuces pour pallier les carences
Pour pallier le peu d'applications disponibles à son lancement, le système d'exploitation Win Mobile 7 tente de se différencier des systèmes rivaux en proposant un classement des logiciels, des services et des contenus web selon une présentation par hubs, afin d'offrir une meilleure vision d'ensemble. Le hub « personnes », par exemple, rassemble les appels téléphoniques, les messages texte, les flux des médias sociaux et les messages mails d'Outlook dans une rubrique unique. L'information est mise à jour en temps réel et les utilisateurs n'ont pas à passer par de multiples applications pour afficher les informations correspondantes. De la même façon, le hub « jeux » héberge les applications du service de jeux en ligne Xbox Live. Parmi les hubs, on en trouve un pour la musique, la vidéo, le marketplace qui permet d'accéder à la boutique en ligne des applications compatibles, un hub desktop pour les applications professionnelles et un dernier pour les photos. Les utilisateurs peuvent par exemple prendre des photos avec leur téléphone et les télécharger sur le Cloud en quelques secondes seulement. Les utilisateurs peuvent effectuer des recherches par la voix à travers le moteur de recherche Bing. Microsoft propose aussi des versions mobiles de sa suite bureautique Office, notamment Word Mobile, Excel Mobile et PowerPoint Mobile. Les utilisateurs peuvent également accéder à des documents en mode collaboratif dans le Cloud via SharePoint Workspace Mobile 2010. À travers le Cloud, l'application OneNote permet aux utilisateurs de synchroniser des notes prises sur leur téléphone avec un PC.
Une retour difficile pour MS
Dans une récente étude, IDC établit que seuls 6,8% des smartphones sont équipés d'un système mobile Windows, derrière Symbian, le premier d'entre eux, l'OS Blackberry de Research in Motion, Android de Google et iOS d'Apple. IDC estime que les systèmes d'exploitation Windows Phone à venir aideront Microsoft à regagner des parts de marché, pour atteindre 9,8 pour cent en 2014. Une autre étude publiée cette fois par Gartner est beaucoup plus pessimiste quant à l'avenir de Windows Mobile et annonce une baisse régulière de part marché au niveau monde : 8,7 %, 2009, 4,7% en 2010, 5,2% en 2011 et 3,9% en 2012.
Illustration : lancement de WP7 à New York, crédit photo IDG NS
VMworld 2010 : La virtualisation en route pour les clouds
Pour Paul Maritz, CEO de VMware « nous avons atteint en 2009, un point de retournement où les machines virtuelles sont devenues plus nombreuses que les serveurs physiques (plus de 10 millions en 2009) » et d'ajouter « cela change la façon de concevoir l'IT sur l'ensemble de ces briques, datacenters, plate-forme applicative et portabilité sur les différents terminaux ». Lors de cette édition européenne, l'accent a été mis sur la virtualisation du datacenter et l'accompagnement des entreprises vers les différents types de cloud. Le CTO de VMware, Steve Herrod a résumé la situation en voulant « dompter le géant virtuel ».
Au niveau de l'infrastructure, le spécialiste de la virtualisation monte en puissance, que ce soit Vsphere, dont la plus récente version 4.1 autorise un plus grande nombre de déploiement de VM par cluster, ou Vcenter qui gère lui l'automatisation de cet environnement. On notera aussi que cette virtualisation doit profiter à tous, y compris aux PME, VSphere Essential est disponible au prix de 402 euros soit 13,50 euros par VM. Toujours sur le datacenter, Steve Herrod est revenu sur vCloud Director plus connu sous le nom de projet Redwood, un outil de gestion des clouds privés. Lors de la conférence inaugurale, il a annoncé la disponibilité d'un outil complémentaire vCloud Request Manager. Ce dernier affine les contrôles inclus dans vCloud Director et assure le lien entre le cloud privé et public. Ainsi, il pourra par exemple gérer l'attribution de licences des applications dans les clouds. Le monitoring des applications se fera par Alive VM, un logiciel issu de l'acquisition de la société Integrieren, le 31 août dernier.
Classes de services et sécurité
A l'intérieur du datacenter, VMware veut organiser la virtualisation en intégrant des classes de services. Il distingue ainsi certains blocs de machines virtuelles ou de pool de ressources virtualisées, auxquels on attribue un niveau : or, argent, bronze. L'administrateur peut ainsi cloisonner ou prioriser les ressources. C'est aussi une réponse à la question de la sécurité. Pour Paul Maritz, « c'est un élément essentiel pour que le voyage vers le cloud se déroule bien, la sécurité doit être intégrée de plus en plus au niveau de l'infrastructure ». Les outils comme Vshield et les différents partenariats passés répondent à cette problématique.
Sur la partie services et développement, VMware se repose sur VFabric, sa plateforme applicative cloud. Elle comprend la gestion d'applications, des données, la messagerie, l'attribution dynamique des montées en charge, les serveurs applicatifs. Part ailleurs, il intègre de multiples langages, Java, Ruby on Rails, PHP.
La dernière strate a bénéficié des attentions de VMware est celle du poste de travail et plus particulièrement des terminaux. VMware view 4.5 a déjà été présenté lors de la conférence américaine, mais Paul Maritz a parlé du projet Horizon, qui unifie l'ensemble des applications avec une même signature, un seul mot de passe, une seule authentification que l'on lance salesforce.com ou des Google Apps.
Le voyage vers le cloud entamé par EMC poursuit donc sa route avec VMware qui balise pas à pas la stratégie de médiation entre les différents clouds, publics, privés et hybrides.
(...)(12/10/2010 14:11:20)HP supprime 1 300 emplois au Royaume-Uni
Hewlett-Packard s'apprête à supprimer 1 300 emplois au Royaume-Uni, dans le cadre de ses efforts déterminés qui visent à tailler dans l'ensemble du personnel informatique de la région, a indiqué hier le syndicat britannique Unite. Ces réductions s'ajoutent aux 900 coupes déjà effectuées par le constructeur et dont les derniers départs interviendront à la fin du mois, et également aux restructurations annoncées au cours des deux dernières années qui se sont soldées par des milliers de postes supprimés.
Transformer la division services de l'entreprise
Un porte-parole d'HP a néanmoins indiqué que ces coupes faisaient partie du plan annoncé par l'entreprise au mois de juin dernier, projet qui devait entrainer la réduction de plus de 9 000 emplois. « HP est en période de consultation avec les organisations syndicales pour étudier comment ses équipes peuvent évoluer ainsi que nous l'avions annoncé le 1er juin 2010 », a-t-il déclaré et d'ajouter : « c'est une nouvelle initiative qui vise à transformer les services proposés par l'entreprise de manière à satisfaire les clients avec de nouvelles offres et une meilleure qualité de services. »
HP a connu des changements significatifs au cours des derniers mois, marqués par le départ de son PDG Mark Hurd des suites d'un scandale lié à des prestations facturées mais non effectuées et de sa liaison avec une ancienne prestataire marketing du groupe. Le mois dernier, la firme a décidé de nommer Léo Apotheker, auparavant patron de l'éditeur SAP, à sa tête. Pour les analystes, la société devrait ainsi occuper une place plus importante sur le marché des applications d'entreprise.
Le site d'HP situé à Erskine, dans le Renfrewshire, en Écosse. Crédit photo : HP
(...)(12/10/2010 11:10:30)Deux partenaires d'Autodesk réunissent leurs forces
« Le marché de la CAO évolue. Les grands clients ont besoin d'un partenaire d'une taille suffisante pour les assister partout où ils sont présents. Ils demandent en outre des compétences accrues dans le domaine des SIG, et des développements spécifiques autour des application de CAO en place. C'est pourquoi nous avons cherché à grandir et coller ainsi au profil de partenaire dont Autodesk a besoin », explique Jean Munier, le directeur du groupe Geomap.
Un rapprochement bienvenu
Pour lui, le potentiel d'activité lié au rapprochement des deux entités est de l'ordre du « 1+1=3 ». Pourquoi ? Parce que les champs d'actions de Geomap Distribution et de Visiograph présentent peu de recoupements. Ainsi, alors que la première de ces entreprises réalise près de 90% de son chiffre d'affaires avec le secteur public, la seconde se focalise sur les grands comptes privés. En termes de compétences, Geomap Distribution a développé un savoir-faire métier sur le segment de l'architecture, est capable d'effectuer des développement logiciels spécifiques et propose de fortes compétences autour des SIG. Autant de prestations que Visiograph-Geomap pourra commercialiser auprès des clients de Visiograph. Jusqu'ici, ce dernier leur propose avant tout les logiciels génériques que sont AutoCAD et AutoCAD LT associés à des prestations de déploiement et de formation notamment.
Crédit photo : AutoDesk
SafeTIC redevient profitable au 1er semestre
Après une année 2009 difficile, le chiffre d'affaires (CA) avait plongé de 20,9% à 83,5 millions d'euros (ME) du fait des mauvais résultats de l'activité biométrie, SafeTIC (*) retrouve une bonne santé financière. Au 1er semestre 2010, le CA progresse de 26% avec 55,1 ME contre 43,7. Le résultat courant avant impôts passe dans le même temps de -10,9 ME à +1,4 ME. Le résultat net part du groupe suit le même chemin : -8,2 au 1er semestre 2009, + 0,5 ME au 1er semestre 2010.
Pour l'ensemble de l'année 2010, SafeTIC prévoit un CA total de 115 ME mais un résultat courant avant impôts de 3 ME. 2011 s'annonce avec un CA de 160 ME et un résultat courant avant impôts de 15 ME.
(*) SafeTIC, ex EasydenTIC est une société spécialisée dans la protection des accès (biométrie), des biens (visiomobilité), des personnes avec DOC.
Un PCA de longue haleine pour la Compagnie Nationale du Rhône
La première phase (février-avril 2007) est consacrée à la cartographie des processus et au bilan d'impact sur l'activité. D'avril 2007 à novembre 2007, ce sont les aspects formations et continuité métier qui sont abordés. Cela recouvre la gestion de crise, la continuité métier, la relocalisation et le maintien en conditions opérationnelles. De début 2008 à la mi 2009, le plan de continuité du système d'information est progressivement mis en oeuvre. Il est testé intégralement fin 2009.
Un incident grave simulé pour test
En Janvier 2010, la décision est prise de tester en situation réelle le Plan de Continuité d'Activité. Un incident grave est simulé avec l'arrêt des activités et une coupure d'alimentation électrique du siège social. Les équipes opérationnelles et techniques nécessaires au bon fonctionnement des activités stratégiques de la CNR (traders, back-office, middle-office, opérateurs de télé-conduite, système d'information) sont basculées sur un site de repli. Le test dure une journée complète sur le site de repli, puis au bout de 24h, le rapatriement sur le site d'origine s'est opéré sans incident.
Une telle mise en place permet à la CNR d'améliorer des éléments clés de la gouvernance de l'entreprise. La compagnie dispose d'un pilotage par le management des risques au niveau du comité de direction. L'outillage des processus de gestion des risques et de crise est effectivement en place et testé.
Un projet pilote pour GDF Suez
Au niveau organisationnel, des ajustements au sein de la structure ont été nécessaires. Il a fallu assurer la polyvalence des fonctions et former les couches d'encadrement à la gestion de crise. Les processus de l'entreprise ont été redéfinis dans l'objectif de s'adapter à un environnement hostile lors de confrontations à des sinistres majeurs. Le système d'information maintenant en place est tolérant aux pannes et fonctionne en haute disponibilité.
Ce projet fait de la Compagnie Nationale du Rhône un pilote au sein du groupe GDF Suez pour tout ce qui concerne la continuité d'activité. C'est le cabinet Lexsi qui a été retenu afin d'accompagner la CNR lors du développement et du déploiement de ce PCA.
Test logiciel : la France toujours en retard selon PAC
Le test logiciel est le parent pauvre de l'activité logiciels en France, sa variable d'ajustement. Il représente 3% d'un marché mondial évalué à 79 milliards d'euros en 2010 par le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC). La France est surtout active dans les tests pour l'informatique scientifique et technique, qui représenteraient 500 millions d'euros en France, un peu moins dans les tests pour l'informatique de gestion.
Cette tendance devrait s'inverser. Au plan mondial, le marché du test logiciel atteindra 100 milliards d'euros en 2014, selon PAC. Un marché en croissance de plus de 5% dans les années à venir dans le monde. La France serait 5 à 7% au dessus de la croissance locale des logiciels et services au cours des prochaines années.
« La qualité logicielle est devenue un vecteur économique »
Il semble que ce retard français soit dû avant tout à des causes historiques ou culturelles, nous sommes avant tout un pays de développeurs. Une fois le projet réalisé, sa validation, les tests fonctionnels et les tests de charge, passent souvent au second plan. La crise, en incitant à tailler dans les coûts, aurait pu amplifier ce retard. Au contraire, une prise de conscience s'opère, la qualité des projets entre en ligne de compte et le test logiciel justifie amplement son investissement. « La qualité logicielle est devenue un vecteur économique » note Arnold Aumasson, directeur au cabinet PAC. « Le coût d'un bug est important, en termes budgétaires come en termes d'image. Nous-mêmes utilisateurs supportons difficilement les « plantages ».
Les acteurs de ce marché devrait donc trouver matière à se développer que ce soit les grands éditeurs mondiaux spécialistes du sujet, ou les SSII voire les « pure players » indépendants. « Un marché porté par deux phénomènes, le rattrapage nécessaire dans les PME et surtout les PMI, le fait qu'on ne soit pas encore aux standards mondiaux de qualité » relève Arnold Aumasson. Cette perspective se retrouve en termes d'emplois. PAC souligne les possibilités nouvelles apportées aux ingénieurs par le test. Le Comité français du test logiciel propose d'ailleurs deux certifications : « fondation » et « avancé » pour des ingénieurs souhaitant se spécialiser.
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