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(15/09/2010 17:38:37)

Hadopi ne sera pas suspendu

Les anti-Hadopi ont perdu une manche, avec le rejet par le Conseil d'Etat d'un recours en référé de la part de FDN (French Data Network), fournisseur d'accès à Internet. Cette saisine pour vice de forme porte sur le décret du 5 mars 2010 relatif au « système de gestion des mesures pour la protection des oeuvres sur Internet », c'est-à-dire sur le recoupement des données collectées par les ayants droit avec celles des fournisseurs d'accès pour identifier l'auteur du téléchargement illégal. Le FAI reprochait au gouvernement de ne pas avoir respecté un article du Code des postes et communications électroniques qui impose la consultation de l'Arcep, le régulateur français des télécoms, pour tout décret relatif à l'activité des fournisseurs d'accès à Internet.

Des recours sur le fonds en attente

Le Conseil d'Etat a ainsi motivé sa décision : « aucun des moyens invoqués par l'association requérante n'est de nature à faire naître, en l'état de l'instruction, un doute sérieux sur la légalité du décret dont elle demande la suspension ». Ce rejet n'est pourtant pas la fin de la procédure. FDN avait saisi la haute juridiction de deux recours sur le fonds. Ces derniers ne seront pas traités que d'ici quelques mois. En tout cas, bien après l'émission des premiers mails d'avertissements aux Internautes qui devrait arriver à la fin du mois de septembre.

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(15/09/2010 17:12:48)

Un site d'emploi taillé pour les informaticiens

Lancé aujourd'hui, ce mercredi 15 septembre par Jobtic, spécialiste de la gestion de carrière, Jobtic.fr est un site d'offres d'emploi réservé au secteur informatique français. Développé pour mieux répondre à la segmentation de ce marché, ce portail se distingue de ses concurrents par des grilles de compétences regroupées autour de trois grands pôles : le développement, les systèmes et les progiciels. «Ces grilles de connaissances détaillées permettent au moteur de recherche d'augmenter la pertinence des résultats, ce qui diminue le temps de recherche », souligne Hervé Lagache, directeur associé de Jobtic.fr et d'ajouter : « les recruteurs peuvent ainsi accéder à des profils qui maîtrisent réellement les technologies recherchées ».

Anticiper les fins de mission

En outre, la présence d'une base de données de CV donne la possibilité d'effectuer des recherches en fonction de la disponibilité des postulants. « Chaque informaticien inscrit sur le site peut préciser à partir de quand il sera disponible pour un prochain emploi, et s'il souhaite, ou non, être tout de suite contacté par des recruteurs », précise le dirigeant.

Pour les SSII, la plate-forme peut s'avérer utile : en effet, un outil de gestion permet d'anticiper les fins de missions et de présenter les consultants en intercontrats aux entreprises membres du réseau.

Les offres d'emploi des entreprises gagnent également en visibilité en raison d'une stratégie de référencement web, reposant à 90% sur Google, le pourcentage restant revenant à Yahoo et Bing. Enfin, le portail intègre les techniques du web 2.0 autorisant le partage des offres d'emploi sur les réseaux socio-professionnels Twitter, LinkedIn, Viadeo et également Facebook.

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(15/09/2010 17:28:28)

Nvidia lance ses dernières versions de Parallel Nsight et Cuda

Nvidia dévoilera mardi les dernières améliorations effectuées sur son Parallel Nsight, le toolkit pour créer des applications accélérées par carte graphique sous l'IDE Visual Studio de Microsoft, mais aussi sur Cuda Toolkit utilisé pour tirer massivement profit des capacités de traitement parallèle des cartes.

« Pour 6 millions de développeurs utilisant Windows et Visual Studio, cette sortie de la dernière version de Parallel Nsight offre des fonctionnalités majeures pour la création des applications accélérées et en parallèle », indique Will Ramey, chef de produit. Ces types de programmes sont très présents dans les industries du pétrole et du gaz, et aussi dans les domaines du graphisme, ajoute-t-il. « Avec ce produit, nous intégrons le débogage multi-coeurs par carte graphique dans Visual Studio 2010 », ajoute Stephen Jones, lui aussi chef de produit.

Dans la version 1.5, cette fonctionnalité autorise le développeur à déboguer sur une carte graphique tout en affichant le système via une autre, sans avoir besoin d'utiliser plusieurs machines. Cette mouture comprend aussi une capacité d'analyse du système, grâce à laquelle les utilisateurs de Visual Studio peuvent consulter les événements se déroulant sur le processeur et la carte graphique. « Cela offre le moyen au développeur de voir exactement ce qui se passe dans leur application à travers ces différentes unités de calcul, et d'optimiser les performances », explique Stephen Jones. Le débogage TCC (Tesla Compute Cluster) est par ailleurs présent dans cette version, qui supporte aussi le Cuda Toolkit 3.2.

Cette mise à niveau de Cuda comprend des bibliothèques mathématiques supplémentaires, des améliorations de performance et une gestion avancée des clusters. Ce toolkit est gratuit, et sera disponible en version quasi définitive à la mi-septembre. L'édition professionnelle de Parallel Nsight est pour sa part déjà disponible en version RTC, mais la date de sortie finale n'a pas été communiquée. Elle coûtera cependant 350 dollars. La version gratuit Standard, qui dispose de moins de fonctionnalité (pas de TCC ni de support des points d'arrêt de données), sortira le 22 septembre.


Crédit Photo : Nvidia

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(15/09/2010 15:59:22)

WorkLight étend sa plateforme aux BlackBerry et à iOS

Cette infrastructure client-serveur pour les applications mobiles professionnelles qui se compose d'un ensemble de bibliothèques, de serveur middleware, et de code client natif, autorisant la connexion à des applications mobiles via des solutions d'authentification ou à des serveurs délivrant ces applications. Récemment, WorkLight a créé une couche logicielle native pour l'iOS d'Apple pour adapter les applications iPhone et iPad. Maintenant, le logiciel supporte les OS 5 et 6 de BlackBerry. Pour ces derniers, les développeurs peuvent créer au choix des applications pour le Web ou des applications natives.

Selon l'architecte principal du projet, une importante banque en ligne européenne, qui a demandé l'anonymat, utilise WorkLight pour prendre en charge les futures applications iOS. La banque compte toucher environ 100 000 clients actifs, qui jusqu'à présent n'utilisait pas leur smartphone pour effectuer des opérations bancaires en ligne. L'organisme financier est en phase de test sur ces applications pour éprouver la connexion sécurisée entre le logiciel serveur de WorkLight et les systèmes d'authentification de la banque. Selon ce développeur, elle compte profiter des évaluations pour adapter ensuite avec facilité les mêmes applications vers Android et Blackberry.

Un panel d'outils

La plate-forme de WorkLight a plusieurs composantes, à commencer par WorkLight Studio, un plug-in et une gamme d'outils pour l'environnement de développement intégré Eclipse. Celui-ci supporte à la fois le SDK natif pour iOS, BlackBerry et Android, et des technologies de développement d'applications Web standards, comme le HTML, le CSS et Javascript. Studio supporte les catalogues d'applications en ligne des trois systèmes d'exploitation mobiles. WorkLight Server permet pour sa part, de créer l'environnement runtime nécessaire aux applications WorkLight. Il offre des « adaptateurs » XML pré-construits qui se connectent à de nombreux systèmes back-end via des interfaces standards ou propriétaires, et à des services Web, tels que le SQL, le LDAP, SharePoint, SAP, HTTP, REST, WSDL/SOAP. Il supporte également les API de Facebook et de Twitter. Le système de cache flexible de WorkLight Server peut être modulé en fonction des applications. « L'approche simplifie le code client et permet à l'entreprise d'apporter des modifications sur le serveur sans avoir à redéployer le logiciel client, » a déclaré Ron Perry, CTO de WorkLight. Le serveur gère également l'enregistrement des événements, qui sert de source pour une série de rapports qui rendent compte de l'utilisation des applications, des problèmes et des tendances, le tout via une console.  Installé derrière le pare-feu de l'entreprise, WorkLight Server supporte les protocoles HTTP/S.

Une bibliothèque dédiée à Apple

Pour iOS, WorkLight a créé une nouvelle bibliothèque, du nom de Objective C, qui peut être facilement incluse dans une application iPhone pour gérer les communications avec WorkLight Server. « Cette modalité permet à l'entreprise de disposer d'un point de contrôle central pour les applications iOS accédant aux ressources disponibles, tout en tirant pleinement parti des nombreuses fonctionnalités de l'interface utilisateur de ces smartphones tournant sous des systèmes d'exploitation dernière génération, » a déclaré Ron Perry. « Les applications WorkLight créées pour l'un de ces systèmes peuvent être assez facilement adaptées pour d'autres plateformes, » a-t-il ajouté. « Une grande partie du code client peut être réécrite avec le SDK correspondant, et exploiter les mêmes caractéristiques serveurs de WorkLight. »

De nombreuses sociétés s'intéressent au développement d'applications pour l'environnement mobile. Comme Sybase qui propose sa Unwired Platform ou Sencha (anciennement Ext JS) qui a adapté sa plate-forme transversale et le framework de son navigateur Sencha Touch pour les navigateurs mobiles à condition qu'ils soient construits sur Webkit (il supporte le HTML 5, le CSS3, et Javascript). Le prix de la plateforme mobile WorkLight dépend du nombre de clients utilisant des applications mobiles créées et déployées sous WorkLight. Le prix d'entrée est de 20 000 dollars pour une licence comprenant «plusieurs milliers d'utilisateurs », a précisé Yonni Harif, directeur du marketing de WorkLight.

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(15/09/2010 14:54:21)

Intel investit dans une société de gestion de cloud

Michael Jackson, PDG d'Adaptive Computing, confirme qu'il « utilisera cette somme pour recruter plusieurs dizaines d'employés. » Depuis sa création, « Adaptive Computing est rentable et sa croissance repose entièrement sur les bénéfices provenant des ventes de produits à la clientèle, » a encore déclaré son président. « Mais la demande est forte et la société a du mal à y répondre » a-t-il précisé. « L'investissement sera utilisé pour embaucher des personnes qui permettront d'offrir des services » a-t-il ajouté.

L'entreprise privée, qui a fait ses débuts il y a 9 ans sous le nom de Cluster Ressources avant de prendre l'identité Adaptive Computing l'année dernière, s'était spécialisée dans les systèmes de calcul haute performance. Elle a depuis adapté ses technologies Moab de répartition de la charge de travail à la gestion des environnements cloud. « C'est un domaine dans lequel tout le monde veut sa place en ce moment, » a déclaré Glenn O'Donnell, analyste chez Forrester Research qui indique que, actuellement, des entreprises très diverses « essayent d'introduire sur le marché des solutions destinées à aider les entreprises à construire leur propre cloud. » L'argument tient sur la promesse que les entreprises pourront disposer d'un service cloud en interne au sein de leur propre infrastructure -  l'équivalent en quelque sorte « d'un service cloud Amazon de type EC2, » souligne Glenn O'Donnell. La différence d'Adaptive Computing réside dans sa capacité à fournir une automatisation des applications et des infrastructures, le tout dans un environnement cloud. « Sur ce sujet, l'offre d'Adaptive est de meilleur niveau » ajoute-t-il.

Une structuration capitalistique avant acquisition


Michael Jackson a précisé que les outils proposés par son entreprise se comportent comme un gestionnaire de système, qui sont compatibles avec de nombreuses technologies de provisionning et adaptés au management des unités de stockage, des réseaux et de la virtualisation. Le système ouvre également sur l'avenir puisqu'il proposera la mise en place de classe de service via des SLA (Service Level Agreement), de satisfaire aux besoins d'une informatique verte, etc. Paul Burns, analyste chez Neovise, un cabinet situé à Fort Collins (Colorado), considère que l'ensemble du secteur proposant des outils de management pour le cloud est encore assez immature et a vu émerger un grand nombre d'entreprises. Mais il pense que le secteur va commencer à être sujet à quelques acquisitions. Parmi les investisseurs d'Adaptive figurent Tudor Ventures, Epic et Intel Capital Ventures lequel affirme par ailleurs avoir investi plus de 9,5 milliards de dollars dans plus de 1 000 entreprises au cours des deux dernières décennies. Intel - qui vient d'acquérir McAfee pour 7,86 milliards de dollars - continue à étendre son développement. L'intérêt du fondeur à investir dans une entreprise comme Adaptive Computing repose sans doute sur le fait que celle-ci développe des outils pour des environnements cloud tournant sur des systèmes x86, majoritaires dans ce secteur.

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(15/09/2010 15:00:25)

SAP livre dix solutions analytiques conçues avec ses clients

L'éditeur allemand SAP se fait fort de co-innover main dans la main avec ses clients et ses partenaires. C'est un sujet sur lequel le spécialiste des applications d'entreprise insiste beaucoup depuis quelques années. Et plus encore ces derniers mois. Touché l'an dernier par la crise économique, il lui faut mettre les bouchées doubles pour prouver sa capacité d'innovation. Bill McDermott, co-PDG du groupe, a rappelé cette volonté hier, lors d'une présentation retransmise en direct depuis la conférence DEMO Fall 2010 (Santa Clara, 13-15 septembre). L'éditeur y annonçait dix applications analytiques spécifiquement adaptées à six secteurs d'activité : la santé, la distribution de détail, les télécommunications, la banque, les produits de grande consommation et le secteur public. Chacune de ces solutions apporte quelques centaines d'indicateurs clés de performance (KPI), élaborés en collaboration avec les clients de SAP sur chaque secteur. Destiné aux chaînes de boutiques spécialisées, le produit porte par exemple sur l'analyse les ventes ; celui s'adressant aux banques couvre le suivi du risque client en entreprise.

Mesurer la qualité du service apporté aux patients

Lors de la présentation, l'éditeur a choisi de détailler les capacités de l'offre SAP BusinessObjects Quality Management for Healthcare (illustration ci-dessus). Destinée aux hôpitaux, celle-ci permet d'agréger et d'afficher les mesures recueillies sur les soins et services apportés aux patients. Les indicateurs proposés ont été mis au point avec l'aide de centaines d'établissements de santé, a expliqué Keith Costello, directeur général de l'activité Solutions analytiques chez SAP. Selon lui, les dix solutions métiers lancées hier par SAP ont été conçues pour se déployer en quelques semaines (à partir de huit semaines, avance l'éditeur) ou quelques mois (et pas en plusieurs années, a-t-il promis - sic). L'ensemble des éléments techniques nécessaires à leur mise en oeuvre sont inclus. « Tout ce dont le client a besoin est dans la boîte ! », selon Keith Costello. Il considère aussi que ces solutions s'abordent avec une formation réduite et s'exploitent facilement. Elles s'appuient par ailleurs sur une architecture qui permettra aux entreprises d'en étendre ultérieurement les fonctionnalités, avec l'aide des partenaires.

Enfin, ces solutions ne s'adressent pas uniquement à la base installée de SAP, a ajouté le responsable des offres analytiques. « Les entreprises entendent tirer le maximum de leurs investissements informatiques ; nos applications fonctionnent indépendamment des systèmes utilisés. »

L'iPad, nouveau sésame vers la mobilité

En préambule, armé de la tablette numérique d'Apple, Bill McDermott avait montré comment un dirigeant pouvait lui-même, en temps réel, explorer ses données gérées sur le terrain et, le cas échéant, transmettre des instructions à ses équipes dans la foulée. Et ce, sans se préoccuper du volume de données auquel il accède ainsi depuis son iPad. « 100 millions d'enregistrements traités en quelques dixièmes de seconde, a souligné le co-PDG à Santa Clara.
Bill McDermott montrant un iPad
Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Bill McDermott a rappelé qu'avec son co-PDG Jim Hagemann Snabe, ils étaient déterminés à doubler le marché ciblé par SAP en s'imposant sur l'un des segments qui se développe le plus vite : celui de l'analyse en mémoire en temps réel déclinée dans des offres décisionnelles « On Demand », accessibles depuis tout poste de travail, smartphone ou tablette. Rappelons que SAP prépare avec Sybase, racheté au printemps, une plateforme mobile ouverte qui doit permettre d'accéder à n'importe quelle application de gestion depuis la plupart des terminaux mobiles. Sa livraison est prévue pour 2011.

Illustration : SAP BusinessObjects Quality Management for Healthcare (...)

(15/09/2010 13:11:57)

Un salarié de Google viré pour violation des données personnelles

« Nous avons licencié David Barkdale pour avoir enfreint les politiques de confidentialité strictes internes à la société », déclare Bill Coughran, Vice-Président de Google. D'après le site Gawker.com, David Barksdale a été licencié en juillet car il avait abusé de sa position d'ingénieur spécialisé dans la fiabilité du site chez Google pour avoir accédé aux enregistrements téléphoniques de Google Voice et aux comptes Gmail ainsi que Google Chat appartenant à plusieurs adolescents.

Entre excuses et obligations

Le rapport publié par l'éditeur précise que, dans l'exercice de ses fonctions, David Barksdale avait accès aux bases de données qui contiennent tant des e-mails, des historiques de conversations que d'autres fichiers appartenant aux utilisateurs. La firme de Moutain View a reconnu la gravité des faits. « Nous contrôlons attentivement le nombre d'employés qui ont accès à nos systèmes, et nous mettons régulièrement à jour nos politiques de sécurité, par exemple, en augmentant significativement le temps passé à auditer nos historiques pour assurer une efficacité des contrôles » précise Bill Coughran et d'ajouter « un nombre limité de personnes aura toujours besoin d'accéder aux données sensibles pour savoir si tout fonctionne correctement. Ce qui explique pourquoi nous prenons toutes les infractions très au sérieux ».

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(15/09/2010 12:09:42)

Gartner : le low cost investit les services IT

Une légère reprise économique se fait sentir, mais les SSII restent encore prudentes. Elles n'ont pas tort, si l'on en croît le Gartner, une seule chose paraît certaine pour elles : le passage durable des services informatiques à un modèle à bas coûts. « Les fluctuations économiques et l'incertitude des entreprises, la mondialisation accélérée des services, et la concurrence exacerbée des services IT sont des facteurs importants qui pourraient obliger les entreprises à aller plus loin vers les bas coûts informatiques », note le cabinet.

Le Gartner définit ce « low cost » par le fait que la livraison de services IT se fait en réduisant au minimum le prix par utilisateur et par mois (le per user / per unit / per month, ou PUPM). Dans le même temps, l'entreprise réduit le nombre d'organisations clientes et d'utilisateurs de ces services.  Le prix de l'IT va donc continuer à orienter les décisions.

Un effet d'aubaine et un risque de systématisation

Le contexte favorise cette stratégie. Selon le Gartner, l'accès au crédit est toujours difficile, aux Etats-Unis comme en Europe, si bien que les entreprises réduisent les coûts IT et vont vers plus d'externalisation. Conséquences : la croissance s'accélère dans les pays émergents et le fossé se creuse entre eux et les pays aux économies stagnantes. L'industrialisation des services IT conduit également à réduire les coûts, d'autant qu'elle est combinée avec l'externalisation et des technologies comme la virtualisation et l'automatisation.

Si ces phénomènes « low cost » se répandent dans les années à venir, les coûts pourraient être réduits d'un tiers dans les années à venir, assure le cabinet d'étude. Ce qui pourrait entraîner l'émergence d'acteurs spécialisés sur ce domaine. Dans ce scénario, les services informatiques pourraient connaître une baisse de 10 à 25% du prix de leur PUPM dans les 3 à 5 ans à venir. Les grands acteurs des services informatiques pourraient en souffrir avec un décrochage de croissance d'ici 2013. (...)

(15/09/2010 12:00:20)

Indicateur mensuel Apec : les offres IT ont augmenté de 25% en un an

En août dernier, la fonction high-tech a représenté 28% des offres d'emploi cadres confiées à l'Apec, soit 7 805 annonces IT sur un total de 24 800. En chiffres cumulés, sur douze mois glissants (c'est à dire sur la période de septembre 2009 à août 2010, par rapport à la période de septembre 2008 à août 2009), la progression des annonces  concernant les cadres informaticiens a atteint 25%. C'est un tout petit plus par rapport à l'ensemble des offres qui, elles, ont augmenté de 24% sur douze mois (en données brutes et à nombre de jours ouvrables comparable).   

+ 549% pour les technologies web

La catégorie «informatique de gestion » est toujours celle qui regroupe le plus grand nombre d'annonces IT : dans cette filière, 3 233 offres ont été confiées à l'Apec en août 2010, soit une hausse de 22% sur douze mois glissants. Cependant, en un an, la demande qui a le plus fortement augmenté concerne les compétences en technologies Internet et autour des sites web. En effet, en août dernier,  l'association pour l'emploi des cadres comptait 765 offres dans cette catégorie et 7 899 annonces en cumul sur douze mois glissants, soit une hausse de 549%.
La fonction « informatique industrielle » (954 offres en août ) est, quant à elle, en très légère progression (+1%) sur douze mois glissants. Les offres à destination des directeurs informatiques sont en légère diminution (210 offres déposées en août, contre 233 annonces en juillet). Mais elles ont progressé de 207% en cumul sur douze mois glissants pour totaliser 1 899  offres. De son côté, la filière « maîtrise d'ouvrage et fonctionnel » a reculé de 7% en un an (779 offres en août 2010, soit 8 000 annonces cumulées sur douze mois). Enfin, la catégorie « systèmes réseaux et données » continue de progresser (+20% en août 2010 par rapport à juillet 2010), soit 1 483 offres déposées à l'Apec au cours du mois dernier, pour un volume total de 15 360 annonces.


Crédit Photo: D.R

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(15/09/2010 11:57:55)

Econocom se développe vers le multimédia professionnel

La convergence élargit les attributions des directions informatiques à qui l'on demande fréquemment de gérer des outils initialement situés hors de leur champs de compétences. Ces dernières années, ce fut notamment le cas des copieurs, à mesure que ceux-ci embarquaient une connexion au réseau, ou celui de la téléphonie, avec l'arrivée de la ToIP. Selon Econocom, cette tendance est aussi observable depuis quelque temps autour des solutions multimédias professionnelles. « Il y a 7 mois, nous nous sommes adaptés à cette évolution en créant un pôle dédié à ces produits au sein de la division solutions et services d'Econocom Products and Solutions (EPS) », explique Philippe Goullioud, le directeur général de l'activité EPS en France.

Pleinement Opérationnel depuis quelques semaines seulement, ce pôle baptisé Multimedia Competence Center a pour mission de signer des partenariats avec des fournisseurs de technologies, de concevoir des solutions à partir de leurs offres, et d'appuyer les forces de vente et avant-vente du revendeur. Sa direction a été confiée à Cédric Boulanger. Comme Philippe Goullioud, Il fut notamment l'un des collaborateurs du revendeur LAFI chez qui il a développé une structure dédiée à l'audiovisuel. Chez Econocom, l'offre de produits et de solutions du Multimedia Competence Center est axé vers la vidéosurveillance / Vidéoprotection, la vidéprojection, les tableaux blancs interactifs et les bornes interactives.

L'objectif de revenus initial est déjà dépassé

« La principale cible de notre nouveau pôle sont nos clients actuels chez qui nous allons élargir notre présence », indique Philippe Goullioud. A priori, ces entreprises réagissent très favorablement à l'arrivée d'Econocom Products and Solutions sur ce nouveau marché. En effet, le Multimedia Competence Center a déjà dépassé en 7 mois l'objectif de 1,6 M€ de chiffre d'affaires qui lui avait été fixé pour sa première année d'existence.
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