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(15/09/2010 11:20:25)

Lefebvre Software finalise l'acquisition d'Arcole et s'oriente vers le SaaS

Le long et difficile feuilleton Arcole (composé de deux progiciels : Arcole Finance   et Arcole RH) prend fin. En 2008, leur propriétaire, Ares, scindait l'activité en deux : édition d'un côté, intégration de l'autre. La première allait à la société De Gamma, la deuxième restait chez Ares. Après moult épisodes, l'éditeur Lefebvre Software reprend les deux progiciels et les deux activités.

Il  y a un an, Viviane Ribeiro, Pdg de Lefebvre Software indiquait s'orienter vers une croissance externe sur son coeur d'activité, les finances et la RH pour le mid market. Mission accomplie. Ce rachat représente 7 à 8 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires supplémentaire pour Lefebvre Software, portant son CA annuel à 40 ME sur l'année 2010. 65 salariés rejoignent le groupe, ils sont répartis, suivant leurs fonctions dans les différents départements de l'éditeur : commercial, consultants, R&D.  Cette acquisition représente aussi une ouverture technologique vers Oracle et Unix.

Lefebvre Software va poursuivre son développement

L'intégration d'Arcole étant réalisée, Lefebvre Software va poursuivre ses projets de développement. L'éditeur a préparé plusieurs versions de ses produits full web et full java. Surtout, il souhaite, enclencher la vitesse supérieure à l'international. Présent en Espagne (depuis le rachat d'ASGroupe qui lui a amené une filiale sur place) par des filiales en Italie, en Belgique et au Royaume-Uni, Lefebvre Software souhaite doubler rapidement les 10% de son chiffre d'affaires réalisés en dehors de l'hexagone. Il compte déjà des versions de ses produits finances disponibles pour 15 pays et dans 8 langues.

Quant aux résultats financiers, l'année 2010 n'a pas encore rendu son verdict. Le 1er semestre a été « flat », ni en croissance ni en régression. Le 3ème trimestre serait en croissance, le 4ème est traditionnellement fort. Viviane Ribeiro se félicite d'appartenir à une entreprise à capital familial à 90%. « On y est bien, par les temps actuels de telles sociétés sont plus sereines. Elles traversent la crise en échappant au « court-termisme », et peuvent aussi prendre des paris sur l'avenir ».

Sur le même sujet :

- Le 30 mars 2010 : Lefebvre Software a doublé ses ventes de logiciels en 2009 (...)

(15/09/2010 09:28:23)

54 heures pour créer son entreprise à Telecom ParisTech

Orange et l'association américaine Startup Weekend lancent un défi aux créateurs d'entreprise : celui de mettre sur pied une start-up en 54 heures seulement. Dans le cadre de Télécom ParisTech, les participants sont accueillis le temps d'un long week-end, du vendredi 8 octobre, à partir 17h, jusqu'au dimanche 10 octobre, à 22 h. Plus d'une centaine d'entre eux, répartis librement par groupes d'une dizaine de personnes, pourront tenter leur chance. A l'issue du week-end, trois start-up seront sélectionnées par un jury « en fonction de la pertinence des applications proposées ».

Un accès à l'incubateur ParisTech Entrepreneurs

Les trois équipes gagnantes seront accompagnées par Orange sur une durée de trois mois pour faciliter la distribution de leur application notamment sur la boutique Orange Application Shop. Elles bénéficieront d'un an d'abonnement à Internet en 3G et d'un accès facilité à l'incubateur ParisTech Entrepreneurs.

Cet événement s'adresse aux développeurs, designers et spécialistes du marketing. Il est ouvert à tous, moyennant une participation de 50 euros par personne (40 euros pour les étudiants). Les participants pourront puiser dans les briques logicielles d'Orange. Il est précisé qu'une attention particulière sera portée sur l'entreprenariat féminin.

Illustration: les locaux de Télécom ParisTech. Crédit photo: Télécom ParisTech (...)

(14/09/2010 17:43:29)

Cisco ajoute une brique service à son offre datacenter

Après UCS, système informatique unifié, les commutateurs centraux (Unified Fabric), Cisco ajoute une brique service, avec Unified Networks Services. Pour l'équipementier américain, ce dernier doit fournir certains services sur des éléments physiques ou virtuels. Il a dévoilé deux de ces services. Le premier concerne une appliance virtuelle de sécurité (Virtual Scurity Gateway) qui place des règles de sécurité au niveau de la machine virtuelle, mais également sur le VLAN et plus généralement au sein du datacenter. Cette solution est proposée de manière logicielle dans l'offre Nexus 1000V dans un premier temps. L'autre service se dénomme vWAAS (virtual Wide Area Application Services) et se définit comme une appliance virtuelle d'optimisation du WAN. Elle fonctionne avec les hyperviseurs ESX/ESXi de VMware et les serveurs x86. Cette solution accélère et améliore dans des environnements cloud la délivrance des applications. Elle sera disponible à la fin de l'année 2010. Cisco entre en concurrence avec des sociétés comme Riverbed, qui ont dévoilé ce type de services pendant l'été .

Des annonces hardware


Sur la partie Fabric, Cisco a présenté la deuxième génération de la gamme Nexus 5000. Le switch Nexus 5548 comprend 48 ports où chaque port peut être configuré soit en Ethernet ou en Fiber Channel. Ce commutateur peut se combiner avec le Nexus Fabric Extender 2224TP autorisant la mise en place de serveur de moindre densité par rack.

Dans le domaine des blades, Cisco étoffe sa gamme UCS avec le B230 M1 qui comprend des processeurs Intel Xeon 6500/7500. L'accent a été mis sur l'évolutivité de la capacité mémoire (32 emplacement DIMM pour une capacité maximale de 256 Go), la virtualisation du poste de travail et les performances avec l'intégration possible de SSD.

Le prix de ces différents éléments n'a pas été dévoilé.

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(14/09/2010 16:44:11)

L'offre de communication unifiée de Microsoft devient Lync

La solution de communications unifiées de Microsoft fête ses 5 ans et en profite pour s'offrir un toilettage. Il est vrai que l'offre commençait se compliquer entre Microsoft Office Communication Server 2007, Communication on line (client en ligne), Communicator (client Office) et Communication Web App (client web). Auparavant distinctes, ces différentes solutions sont vues de manière uniforme sous l'appellation Lync, combinaison de l'anglais Link (lier) et Sync (synchroniser). Etienne Lacour, chef de produit communications unifiées chez Microsoft résume le concept : « proposer aux utilisateurs une solution par laquelle ils peuvent en tout lieu, par tout média et à tout moment se connecter aux autres ».

L'objectif est que l'utilisateur « à partir d'un identifiant unique et d'une simple connexion » puisse dialoguer, partager, échanger des informations. Les outils de présence via la messagerie instantanée vont être mieux intégrés au sein des applications Office, avec une amélioration des recherches de contact par compétence. En matière de VoIP, l'apport de Lync se fera surtout ressentir dans la prise en charge de scénarios plus étoffés, comme les PABX classiques ou la haute disponibilité avec des fonctionnalités de débordement dans une agence par exemple. En ce qui concerne la vidéoconférence, « la qualité est bluffante, même avec une simple webcam » assure Etienne Lacour. Pour développer son offre, l'éditeur de Redmond se repose sur un ensemble de partenaire, comme Polycom, Aastra, Logitech, Plantronics, etc. qui seront Lync Ready.

Disponible en téléchargement, Lync Server 2010 est actuellement en version Release Candidate et devrait arriver en version commerciale (RTM), à la fin 2010 ou début 2011.

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(14/09/2010 16:44:21)

Les réseaux sociaux dopés par les smartphones

46% des utilisateurs actifs du site de microblogging Twitter se servent d'un terminal mobile pour envoyer leurs « tweets », a récemment indiqué Evan Williams, le PDG de la société, dans un billet de blog. Il précise que le nombre d'utilisateurs accédant à Twitter sur des équipements mobiles a augmenté de 62% depuis la mi-avril, alors que, dans le même temps, le nombre total de personnes recourant au service de messages courts a augmenté de 27%, passant de 106 millions à 145 millions de personnes.

Les applications livrées par Twitter pour les smartphones iPhone et Blackberry ou encore pour les terminaux sous Android ont bien sûr contribué à gonfler le volume des tweets sur mobiles, reconnaît Evan Williams en soulignant au passage que 78% de l'activité de son site a été généré par des ordinateurs de bureau pendant le mois d'août. Au cours de cette période, 14% des utilisateurs sont passés par le site mobile m.twitter.com.

Une enquête récemment présentée par le groupe PRWeek et MS&L montre que les professionnels du marketing ont bien compris l'importance que les réseaux sociaux mobiles vont prendre pour eux dans les mois à venir. Lorsqu'on leur demande quels sont les efforts qui pourraient avoir le plus d'effets dans le domaine des réseaux sociaux pour leurs entreprises et pour leurs marques, 17% des 262 personnes interrogées citent les plateformes mobiles. Ils sont aussi 12% à penser que l'impact le plus net viendra d'un usage plus important des réseaux sociaux mobiles exploitant la géolocalisation.

Dans le Top 3 des applications mobiles

Depuis des années, les spécialistes du marketing s'intéressent à la possibilité de localiser les utilisateurs de smartphones afin de leur communiquer des informations pertinentes sur les promotions en cours dans les magasins à proximité des endroits où ils se trouvent. On se souvient toutefois de la controverse sur la protection de la vie privée qu'avait de nouveau déclenché Facebook cet été au moment du lancement de son service Places. Ce dernier propose en effet de partager des informations associées à des lieux. De façon générale, l'utilisateur doit rester libre d'accepter ou de refuser de communiquer des données personnelles géolocalisées.

En juin, une étude ComScore a fait apparaître que les applications de réseaux sociaux constituaient le segment de croissance le plus rapide au sein des applications mobiles aux Etats-Unis. Entre avril 2009 et avril 2010, le nombre d'utilisateurs uniques dans cette catégorie a progressé de 240%, atteignant 14,5 millions d'utilisateurs, ce qui la place en troisième position derrière les applications de météorologie et de cartographie. L'étude de ComScore ajoutait par ailleurs que 30 millions d'utilisateurs mobiles avaient visité les sites de réseaux sociaux en passant par des navigateurs.

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(14/09/2010 16:06:09)

Un service chinois d'attaques DDoS à la demande

Selon Damballa, IMDDOS, essentiellement basé en Chine, mais exploité en dehors du pays, n'a pas cessé de croitre. « Pendant les derniers mois, le botnet a augmenté chaque jour au rythme d'environ 10.000 machines infectées, pour devenir l'un des plus grands réseaux de botnets actifs, » a déclaré Damballa. Pour Gunter Ollman, vice-président de la recherche chez Damballa, ce qui donne de l'importance à IMDDOS, c'est son objectif ouvertement commercial. Les opérateurs de botnets ont mis en place un site web public que des attaquants potentiels peuvent utiliser pour acheter un service ciblé d'attaques de déni de service (denial of service attack ou DDoS). Le site propose différentes formules d'abonnement et diverses options d'attaque, et fournit des conseils sur la manière d'utiliser le service pour lancer des attaques DDoS efficaces. Il divulgue même aux clients des informations de contact pour joindre un support technique et un service à la clientèle. 

Un service très professionnel

« Toute personne avec des connaissances en chinois peut s'y abonner et l'utiliser pour lancer des attaques DDoS contre les cibles de son choix, n'importe où dans le monde, et cela, sans aucun effort, » a déclaré Gunter Ollman. Les abonnés, identifiés par un alias unique, reçoivent une application d'accès sécurisée à télécharger sur leur ordinateur. Lorsqu'ils souhaitent lancer une attaque, les utilisateurs se connectent à l'aide de l'application à un espace sécurisé placé à l'intérieur du site Web. C'est là qu'ils dressent la liste des hôtes et des serveurs qu'ils veulent attaquer et qu'ils soumettent leur demande. Le serveur de contrôle situé en arrière du zombie reçoit la liste des cibles et charge alors les machines hôtes infectées, ou des agents botnet, pour initier les attaques DDoS contre les cibles. « Le nombre d'agents DDoS mis à la disposition de l'utilisateur pour lancer les attaques est fonction du type d'abonnement » a t-il expliqué. « La grande majorité des machines infectées faisant partie du botnet IMDDOS est basée en Chine, mais un nombre important de machines infectées se trouvent  sur territoire américain et font aussi partie de ce botnet," a-t-il encore précisé ajoutant que « les autorités américaines avaient été informées de ce problème. »

Une véritable industrie du malware en Chine

Le botnet IMDDOS fournit un autre exemple de ce que de nombreux analystes disent, à savoir la possibilité, depuis quelque temps, d'accéder ouvertement et facilement à des outils logiciels malveillants sophistiqués sur le territoire chinois. De plus en plus, les auteurs de malware diffusent ouvertement leurs codes sur des sites web publics faciles à trouver et accessibles à tous. La plupart des outils de piratage et des services vendus sur ces sites sont bon marché - autour de 20 dollars seulement -, hautement personnalisables et conçus pour être utilisés par des novices. Comme dans le cas du botnet IMDDOS, ces sites offrent souvent un support technique, des mises à jour régulières, des produits soumis à des accords de licence et des outils qui permettent aux clients de vérifier si leurs attaques sont vraiment efficaces.

Illustration : Graphique de Damballa sur l'évolution de l'activité du botnet chinois IMDDOS (...)

(14/09/2010 15:11:57)

Les utilisateurs de l'ERP Sage X3 se réunissent

« Après le succès de la première rencontre de mars, nous avons concentré nos ressources sur le lancement administratif de l'association, indique Sébastien Levrot, président du club des utilisateurs de l'ERP Sage X3, sur son site. Nous allons maintenant pouvoir développer l'ensemble des outils qui nous permettrons de mieux maîtriser notre système d'information ». 

Le 21 septembre, le club X3 abordera différents thèmes centrés principalement sur l'expérience métier. Des entreprises utilisatrices de l'ERP Sage X3 (acquis par le rachat d'Adonix en 2005) présenteront les méthodes de travail et leurs bonnes pratiques. Un expert de Sage présentera les apports de la V6 sur la problématique multi-dossier/multi-législation.

Les changements induits par la norme SEPA

L'actualité des prochains mois a également conduit l'association à s'intéresser à la norme bancaire SEPA (Single Euro Payments Area) qui remplacera bientôt les normes actuelles. L'un des membres fera un point sur son utilisation, tandis qu'un intervenant extérieur exposera les changements induits par cette évolution. Sage doit fournir des correctifs pour les entreprises qui évoluent en version 150 et 160, mais rien n'est prévu pour les utilisateurs de versions antérieures pour le moment, rappelle Sébastien Levrot. Des solutions spécifiques seront donc proposées à cette occasion.

Egalement au programme de la journée, la présentation, par l'un des participants, de la fonction de workflow telle qu'il l'utilise dans son entreprise. Pour participer à cette journée, il suffit d'être membre du club ou d'y adhérer (www.clubx3.fr).

Selon le président du Club X3,  le nombre des membres de l'association a régulièrement progressé, les demandes de renseignements affluent et le site internet compterait entre 4 000 et 5 000 visiteurs uniques par mois.

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