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(05/05/2010 15:24:04)

Microsoft SQL Server 2008 R2 en détail

Le seul problème est que toutes les fonctionnalités de SQL Server 2008 R2 nécessitent la présence des dernières versions d'autres produits Microsoft, comme Windows 7, Server2008 R2, Office 2010 et SharePoint 2010. En comparaison avec son prédécesseur, SQL Server 2008 R2 est plus puissant en acceptant jusqu'à 256 processeurs logiques. L'évolution du format de compression Unicode, USC-2 apporte également une réduction de 50% des capacités de stockage pour les données Unicode.

Le logiciel bénéficie de nombreux services comme PowerPivot pour Excel et SharePoint, le Master Data Services, StreamInsight, Report Builder, des services de reporting ajoutés à SharePoint, une fonction data-tier intégré dans Visual Studio qui permet d'empaqueter les bases de données comme les parties d'une application et enfin un SQL Server Utility qui gère de multiples SQL Servers.

-Le Power Pivot permet aux utilisateurs d'importer, de manipuler, d'analyser et d'exporter des données, ainsi que de créer des rapports à partir de l'interface et du langage excel.

-Master Data Services est une fonctionnalité aidant les entreprises à créer une structure et à hiérarchiser les données. Ces dernières sont collectées au sein de plusieurs départements, des silos ou des bases de données existantes. Elles sont ensuite standardisées et structurées.

-StreamInsight est une plate-forme intégrée .Net et SQL Server pour le traitement des flux de données en parallèle, permettant de nombreuses requêtes simultanées sur les data en temps réel.

-Les capacités de data-tier (optimisation des codes sources à partir des bases de données) sont intégrées au sein de Visual Studio, pour créer plusieurs couches applicatives avec les bases de données. L'application et la base de données sont ensuite compactées comme une unité seule.

-Le SQL Server Utility installe un panneau de contrôle unique pour les différents serveurs et les bases de données.

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Une installation facile

SQL Server 2008 R2 est beaucoup plus facile à déployer que les versions précédentes. Le module d'installation vérifie la présence des prérequis et télécharge si besoin les différentes mises à jour. Une fois cette étape réalisée, l'installation conjointe de SharePoint 2010 est effectuée. Il suffit d'entrer la clé d'activation et de cliquer ensuite sur installation par défaut et appliquer les mises à jour. Après, le module d'installation de SQL Server 2008 R2 entame un long processus de mise en place. Il demeure un seul élément que ce module ne gère pas, c'est la création de comptes de services. Un redémarrage est nécessaire pour avoir accès aux différentes fonctionnalités et applications. Ces différents outils sont faciles à utiliser et l'apport d'éléments connus permet de développer plus aisèment des applications de BI.

Une BI dernière génération

Cette orientation est souvent un problème important pour la plupart des responsables. Il y a trop de données disponibles, mais retrouver celles importantes et être capable de les transformer, peut s'avérer très difficile. PowerPivot et Excel 2010 accompagne les gestionnaires en utilisant des outils accessibles pour apporter de la BI même sur des grands volumes de données.

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Lors d'un test, PowerPivot a importé 4 millions de lignes depuis la base de données test de Microsoft. L'éditeur explique qu'avec suffisamment de mémoire, il est capable d'importer 100 millions de lignes. On peut utiliser Excel pour importer des données, le format des données, et l'inclure dans des bases de données. Les fichiers peuvent également être exportés vers SharePoint et partagée. Data Analysis Expression (DAX) est un nouveau langage disponible à travers PowerPivot permettant aux managers de faire des rapports sur les données en utilisant des formules d'Excel.

SQL server est également bien intégré avec Visual Studio 2008 et comprend le SQL Server Integration Service Designer, qui trouve sa place au sein du Business Intelligence Development Studio (BIDS). Ce dernier est un shell Visual Studio pour l'élaboration de solution BI utilisant SQL Server Integration Services Designer (SSIS), SQL Server Analysis Service (SSAS) et SQL Server Reporting Services (SSRS). Le résultat donne une solution fluide pour l'utilisateur final pour créer sa base de données, trouver ses données, analyser et dresser des rapports tout en utilisant un ensemble d'outils très puissants. L'utilisateur peut commencer par la base de données, ou avec les outils d'analyse, ou créer un flux de travail, et rassembler les différents éléments à la volée.

Le Master Data Services est disponible via une application Web, fournissant une interface simple et standardisée pour créer un modèle de données, ce qui permet de définir des types de données, des groupes et une structure arborescente pour contenir et organiser les données. Une fois les structures de données établies, les hiérarchies crées et les relations définies, vous pouvez configurer la sécurité entre les différents niveaux, importer des données dans le modèle, parcourir les données, ajouter ou d'affiner les relations, puis d'exporter les données et examiner les résultats. L'ensemble du processus s'apparente au développement d'applications dans Visual Studio, mais en étant orienté sur la création de structures de données standard.

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StreamInsight est une application isolée qui s'ajoute à SQL Server et qui requiert des autorisations spécifiques pour activer ce service. Cette solution est une extension de Visual Studio destinée à traiter les données en temps réel et au fil de l'eau. Il peut importer des volumes importants de données, gérer des historiques ainsi que le temps réel, d'analyser et les enregistrer. Alors qu'une forte demande initiale était orientée vers l'enregistrement des événements tels que les clics de souris ou d'autres types d'entrées par l'utilisateur, aujourd'hui toute sorte de données analogiques ou numériques peuvent être utilisées. Les outils Visual Studio peuvent alors être utilisés pour créer des structures de données en temps réel, pendant que StreamInsight Event Flow Debugger propose des outils pour tracer les évènements.

La fonctionnalité Data-Tier, intégrée à Visual Studio, donne aux développeurs la possibilité d'extraire, modifier et déployer des bases de données dans le cadre d'applications. Auparavant, il était nécessaire d'installer séparément la demande de création d'une base de données, du code à la création et à l'enrichissement de cette base. Il fallait également ajouter du code pour connecter cette base de données à l'application. Tout ce processus est grandement simplifié.

Pour les administrateurs, le SQL Server Utility permet la gestion plus facile de plusieurs bases sur des serveurs différents. Cette solution inclut Utility Control Point qui recueille la configuration et le rendement des serveurs SQL multiples, un Utility Explorer qui offre une vue arborescente des serveurs, et un tableau de bord avec des informations succinctes sur les serveurs.

Pour conclure, SQL Server 2008 R2 héberge des fonctionnalités qui sont particulièrement bienvenues par les utilisateurs qui ont besoin de Businness Intelligence. Supportant jusqu'à 256 CPU et disposant d'outils de gestion plus efficace, le logiciel devrait aider les administrateurs. Petit bémol néanmoins, ces fonctionnalités nécessitent une mise à jour substantielle des entreprises qui ne sont pas encore passées à Windows 7, Office 2010 et SharePoint 2010.

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(05/05/2010 12:37:41)

La CFDT de Bull s'attend à un changement de culture sociale

Crescendo Industries, la maison-mère de la société de services Amesys, est devenue le premier actionnaire de Bull, avec 20% des actions,  largement devant France Telecom, qui en détient 8 %, et Nec, qui en conserve toujours 2 %. « Contrairement à ce qu'avait annoncé en 2009 Didier Lamouche, lors d'une présentation rassurante d'une prise de contrôle d'Amesys devant les membres du Comité central d'entreprise (CCE) et les salariés de Bull, c'est le groupe Crescendo Industries qui a pris le contrôle de la société en acquérant 20% des actions de celui-ci », s'inquiète la fédération syndicale dans un tract. Selon la CFDT, la démission précipitée du patron de Bull pourrait résulter de désaccords entre le PDG et son actionnaire Crescendo Industries. Les changements à la tête de France Telecom auraient également pesé dans la balance. Par ailleurs, l'hypothèse d'une possible arrivée - à terme - de Philippe Vannier, actuellement PDG d'Amesys, à la tête de Bull reste encore à vérifier.

« Didier Lamouche a créé la surprise en annonçant qu'il quittait son poste, expose Patrick Baradat, coordinateur CFDT du groupe Bull. Nous n'avons pas été informés de sont départ et nous ne disposons d'aucune information sur son successeur. »  Aujourd'hui, un groupe de travail, piloté par un représentant de Crescendo Industries au conseil d'administration, a la charge de rechercher un nouveau PDG  pour Bull. Selon le syndicaliste, le prochain président du conseil d'administration devra s'attacher à gagner la confiance des salariés du groupe sans laquelle une compagnie investie dans les services informatiques n'aurait pas d'avenir.

« Nous attendons des conditions de travail honnête et regrettons que Crescendo qui relève de la convention Syntec n'ai pratiqué jusqu'à présent dans Amesys qu'une politique sociale a minima. », déplore t-il  « Bull [qui est aujourd'hui rattaché à la branche métallurgie, NDLR]  a toujours gardé des actionnaires industriels, or, désormais, la société est passée sous la coupe d'une holding financière, ce qui lui fait craindre pour l'avenir de l'activité serveur et de certaines activités déficitaires, notamment dans le desktop et les services. » Rappelons que la situation du groupe s'était redressée, grâce à son  repositionnement en constructeur/ intégrateur dans les grands systèmes Gcos, et dans la ligne des serveurs NovaSale introduite depuis 2003.

Crédits photo: Bull

(...)

(05/05/2010 10:58:55)

Selon IDC, les smartphones assurent la croissance du marché des mobiles

(Source EuroTMT) C'est maintenant une évidence, le marché des mobiles a renoué avec une croissance solide. Au premier trimestre, les ventes ont progressé, sur un rythme annuel, de 22 % à 295 millions d'unités, selon le cabinet IDC, effaçant ainsi complètement le recul de 16% enregistré au cours des trois premiers mois de 2009. Les ventes sont supérieures de 1,4 % à celles des trois premiers mois de 2008. De son côté, l'institut ABI Research estime la hausse du premier trimestre à 19 %, à 303 millions d'unités. Si la forte croissance constatée au cours du premier trimestre ne devrait pas se maintenir au cours des trimestres suivants, le marché de la téléphonie mobile est néanmoins reparti sur des bases solides, comme le constate IDC, qui confirme sa prévision d'une hausse des ventes de 11 % sur l'ensemble de l'année.

Le marché des téléphones mobiles est de plus en plus influencé par le segment des smartphones. Selon Strategy Analytics, la croissance du marché des smartphones a en effet bondi de 50 % à 54 millions d'unités sur les trois premiers mois. Ce qui permettrait à ce segment de représenter maintenant 18 % du marché global du mobile, contre 14 % l'année dernière. L'accélération de la croissance de ce segment qui a atteint un niveau record depuis trois ans, selon le cabinet d'analyses, provoque une petite révolution sur le marché. Pour la première fois, un « pure player » des smartphones, RIM, s'introduit dans le top cinq des principaux fabricants mondiaux de mobiles.

Crédits photo : RIM

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Selon ABI Research, le fabricant du Blackberry détient, à fin mars, une part de marché de 3,5 % similaire à celle de Sony Ericsson. Victime de la montée en puissance du canadien, Motorola tombe à la septième place du classement avec une part de marché de 2,8 %. Un classement que confirme IDC qui classe RIM et Ericsson en quatrième position avec 3,6 % chacun.  Il y a un an, IDC classait encore Motorola en quatrième position avec une part de marché de 6 %. Il est passé à la cinquième position en 2009 alors qu'il était second en 2004. Si Nokia demeure le leader, avec 36,6 % des parts de marché pour IDC et 34 % pour Strategy Analytics, Samsung, le numéro deux, continue à grignoter du terrain, avec une part de marché comprise entre 21 et 22 %. Enfin, LG reste bien accroché à sa troisième place, avec une part de marché autour de 9 %.

Malgré son recentrage sur le marché des smartphones, notamment en utilisant le système d'exploitation Androïd de Google, Motorola ne semble donc toujours pas arriver à inverser la tendance. Une mauvaise nouvelle pour le groupe américain, mais aussi pour Google, qui voit ses principaux concurrents bénéficier d'une forte croissance.  Non seulement Nokia regagne des parts de marché dans les smartphones, mais Apple est aussi passé devant Motorola, selon ABI Research, avec une part du marché global de 2,9 %. Selon Strategy Analytics, sur le seul segment des smartphones, Nokia détenait 40 % du marché à fin mars, RIM 19,7 % et Apple 16,4 %.

Mais pour Nokia, le rebond de ses ventes dans les smartphones se paie au prix fort. Le finlandais a enregistré sur le trimestre une baisse de 17 % du prix de vente moyen de ces terminaux à 155 €, alors qu'Apple commercialise son iPhone à plus de 600 dollars, hors subvention par les opérateurs.

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(05/05/2010 10:14:09)

Observatoire du cloud : CA et IDC scannent la maturité des entreprises

« Après l'évangélisation vient le temps de la mesure régulière de la maturité des entreprises » prévient François Trouillet, directeur marketing Europe du Sud de l'éditeur CA. Dans cette optique, la « cloud academy » organisée deux fois par an par CA et divers partenaires (comme le cabinet Revevol) se dote d'un nouvel outil : un « observatoire du Cloud » réalisé par le cabinet d'études IDC. Publié le même jour que l'étude de Markess, cette synthèse qui arrive après celle réalisée par PAC pour le compte de VMware, Intel et EMC et juste avant le livre blanc du Syntec sur la question (à l'occasion du salon Datacenter Cloud Computing au Cnit les 5 et 6 mai 210). Les nuages sont vraiment dans l'air du temps.

L'adoption du modèle du cloud rentre ainsi dans la norme des autres modèles. La réduction des coûts était la justification quasi-unique du passage au cloud mais retrouve désormais une place plus ordinaire parmi les motivations diverses, derrière, par exemple, l'efficacité du SI, même si les DG sont encore axés sur les coûts avant tout. Amélioration de la réactivité, optimisation de l'infrastructure et du portefeuille applicatif, bref l'agilité, sont des priorités de la DSI quand elle choisit le cloud. Innovation et Green-IT sont, par contre, jugés très secondaires.

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L'infrastructure, de plus en plus complexe, est également de plus en plus externalisée, d'abord pour déléguer cette complexité et l'hétérogénéité induite. L'absence de recours à des prestataires ne concerne désormais plus que 30% des entreprises et continue de chuter même si la délégation totale à des prestataires est encore très marginale (7% seulement).

Le cloud est jugé connu dans ses principes généraux mais les entreprises s'intéressent et connaissent prioritairement le SaaS (27% ont mis en oeuvre et seul un tiers ne s'y intéresse pas encore). PaaS et IaaS n'intéressent pas encore les deux tiers des entreprises et quasiment aucune n'en ont mis en oeuvre. La problématique de la sécurité au sens strict et technique est en régression au profit de la gestion de la confidentialité et des droits d'accès. Même si 55% des entreprises ne peuvent pas envisager autre chose qu'un cloud privé, le principe de « mettre dans les nuages » des éléments du SI n'est plus une hérésie.

Illustration : crédits D.R. (...)

(05/05/2010 10:13:33)

Annuels Nextira One : les applications et les infrastructures sauvent 2009

Le monde des télécoms et des réseaux a vécu une année 2009 plus que difficile avec une baisse de 20% sur le marché de la voix et de la ToIP en Europe (source Canalys) et de -5 à -6% sur celui des réseaux (source Rexecode). « Nous n'avons pas vu de baisse de 20% sur la voix depuis au moins 1993 » commente Foucault de la Rochère,  directeur général  de NextiraOne France (*). 2009 a été une année difficile pour la profession. Constructeurs et donc intégrateurs ont particulièrement souffert. NextiraOne affiche un chiffre d'affaires 2009 de 325 millions d'euros, en baisse de 4%, mais a préservé sa profitabilité. « Nous ne sommes pas dans l'optique d'une croissance à tout prix » relève le dirigeant.

Sur cette année 2009, l'intégarateur a confirmé sa réorientation entamée en 2005. Entre les deux années, le secteur voix et ToIP est passé de 73 à 52% du chiffre d'affaires, la partie infrastructure de 19 à 29%, les applications de 8 à 19%. Sur ces dernières, NextiraOne les définit comme les communications unifiées (autour des offres de ses grands partenaires Alcatel-Lucent, Microsoft, Cisco) et la vidéo. De nouvelles activités s'amplifient. Celles autour de la recentralisation du Wan, avec une business unit dédiée et des offres IP MPLS autour de Juniper. Le groupe se porte également vers des marchés verticaux, dans le secteur public, avec l'éducation et la santé.

Pour 2010, l'intégrateur se donne trois priorités : la gestion des applications proches du poste de travail (et dans les secteurs santé, éducation, universités), les grands contrats internationaux, le datacenter et la virtualisation des serveurs et du stockage (ce qui est nouveau chez NextiraOne).

La filiale du groupe, NextiraOne Expert, une SSII lancée il y a 18 mois, a terminé son 1er exercice en étant bénéficiaire. Elle a réalisé un chiffre d'affaires de 1,62 million d'euros et compte actuellement 50 salariés. D'autres créations de SSII sont envisagées.

(*) Il est également président de la commission infrastructures du Syntec Informatique.

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(05/05/2010 09:43:55)

Le cloud et le SaaS étendent leur périmètre applicatif

Le cabinet Markess dévoile - le même jour que CA et IDC - une étude sur le SaaS (software as a service), une notion désormais englobée, avec ses consoeurs IaaS (infrastructure) et PaaS (platform), dans celle du cloud computing. L'étude est basée sur 330 interviews menées en ligne au cours des deux derniers mois et complétée par les études menées par le cabinet en parallèle (stockage, sauvegarde, archivage ...). Rappelons également que PAC avait présenté une synthèse fort intéressante sur le sujet le 8 avril dernier et que le Syntec dévoilera son livre blanc sur la question à l'occasion du salon Datacenter Cloud Computing (au Cnit les 5 et 6 ami 2010)

Le premier enseignement est d'ordre quantitatif.  Le marché des services concernés par le cloud computing se montait à 1,200 milliard d'euros en 2008 en France, il va atteindre 1,860 milliard d'euros  en 2010 et passer à 2,730 en 2012. A l'intérieur de ce marché, c'est le SaaS qui progresse le plus.  Et à l'intérieur du SaaS, on retrouve d'année en année (de 2008 à 2010) le même groupe de tête, celui du collaboratif : messagerie, agenda partagé, gestion de projet, web conference. 

Derrière, figurait jusqu'alors les applications liées aux ressources humaines : gestion des recrutements des talents et de la paie. Entre 2010 et 2012, les applications liées à l'informatique de base : sécurité, sauvegarde, pilotage, supervision, tests, vont arriver au deuxième rang. C'est la grande nouveauté qualitative issue de l'étude. Deuxième donnée, la demande devrait se porter sur des applications transverses, mais utilisées en mode SaaS. Markess cite : la collaboration d'entreprise, les applications sociales, la communication vocale, les applications bureautiques, la gestion de contenu d'entreprise, l'analytique et le décisionnel.

 

Illustration : crédits D.R.

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(05/05/2010 09:15:34)

La France compte 19,4 millions d'abonnés à l'Internet

Parmi les accès au haut débit, l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) note que les abonnés au très haut débit, par fibre optique, avait atteint les 288.000 membres à la fin du quatrième trimestre 2009, soit une hausse de 74% par rapport à la même période un an plus tôt. Et de préciser que la facture moyenne atteint 24,5 euros HT. Sur les 18,49 millions d'abonnés à l'ADSL (+10,1% sur un an), 46,9% ont accès à la télévision en haut débit. Leur nombre a augmenté de 2,5 millions en un an, soit une hausse de 40%.

Concernant la téléphonie via un abonnement Internet, elle représente 28,4 milliards de minutes au quatrième trimestre 2009, soit 54% de l'ensemble du trafic de la téléphonie fixe, précise l'Arcep, et une hausse de 2,4 milliards de minutes. La téléphonie sur IP représente 74% des communications globales à l'International et 56% en national. (...)

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