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PC et portables

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(06/02/2009 13:41:08)

Nec arrête les PC d'entreprise en Europe et supprime 387 postes en France

Mauvaise nouvelle pour l'industrie de la micro-informatique professionnelle en France. Nec Computers se retire du marché des PC d'entreprise en Europe. Le fabricant vient en effet d'annoncer qu'il allait cesser de produire des ordinateurs de bureau (desktop et PC portables) dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique). Un projet de réorganisation a été dévoilé aux salariés hier, jeudi 5 février, lors d'un Comité central d'entreprise européen. Faisant face à une forte pression sur ses prix et à une concurrence accrue, le Japonais a accumulé des pertes opérationnelles au cours des dernières années. « Dans ce contexte, Nec Computers souhaite concentrer ses efforts sur ses activités serveurs et services d'infrastructures et offrir à ses clients des solutions innovantes à forte valeur ajoutée, justifie le groupe dans un communiqué, en précisant que le service de garantie serait maintenu. Pour les salariés français de Nec, le coup est dur : à Angers, 334 postes seront supprimés (sur environ 400 postes), 53 emplois disparaîtront à Puteaux, ainsi qu'une trentaine d'autres postes en Europe, au Moyen Orient et en Afrique d'ici mi 2010. Le site d'Angers - qui abritait également l'usine d'assemblage de Packard Bell (groupe Acer), menacée par une fermeture - devrait bientôt disparaître. Le dernier site de production de PC en France ne devrait plus employer qu'une trentaine de salariés Nec sur son activité serveurs. Disparition du bassin d'emploi angevin « Cette décision va entraîner la disparition du bassin d'emplois d'Angers qui concentrait l'essentiel des activités de Nec, déplore un salarié de Nec France qui s'attend bientôt à perdre son emploi. Les salariés angevins concernés par ces suppressions n'auront aucune chance de retrouver un poste de même nature dans une région où l'activité d'assemblage micro a totalement disparu. En outre, on ne voit pas comment Nec pourra résister, en se réorientant sur le marché des serveurs et des services d'infrastructures, face à des géants comme HP, IBM ou encore Dell ». Le fabricant s'est toutefois voulu rassurant, en indiquant qu'il mettrait en place des mesures d'accompagnement afin de réduire l'impact social dans les pays concernés par des coupes. Il y a moins d'une semaine, dans le cadre d'un des plus lourds plans de réductions d'effectifs déployés ces derniers jours sur le secteur, Nec annonçait la suppression de 20 000 postes dans le monde, la fermeture d'usines et le retrait de certains secteurs d'activité. Son compatriote Toshiba avait également annoncé 4 500 suppressions de postes. (...)

(06/02/2009 11:46:48)

Le DAF prend les rênes chez Fujitsu-Siemens Computers France

Olivier Spreafico devient le nouveau directeur général de Fujitsu-Siemens Computers France. Il remplace Habib Bouchrara qui a quitté la société au mois de janvier dernier. Présent chez FSC depuis 2005, Olivier Spreafico était jusqu'ici DAF (Directeur administratif et financier) du constructeur pour l'Europe du Sud et de l'Ouest. Il cumulera ces fonctions avec celles qui viennent de lui être confiées. La mission du nouveau dirigeant va consister à développer la visibilité du constructeur sur les marchés professionnels, notamment le segment du mid-market, et grand public. Il doit également consolider les relations de l'entreprise avec son réseau de ventes indirectes. Une mission qu'il ne mènera pas avec Violaine Augé qui vient de quitter l'entreprise et son poste de responsable du marketing channel. (...)

(06/02/2009 11:08:44)

LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner

Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)

(30/01/2009 17:29:30)

Députés et Sénateurs refusent d'étendre la redevance aux ordinateurs

Contrairement à ce que plusieurs sénateurs avaient proposé, la redevance audiovisuelle ne devrait pas être étendue aux ordinateurs. C'est ce qu'ont décidé les membres de la Commission mixte paritaire (CMP), réunis en milieu de semaine pour élaborer un compromis entre les textes adoptés par les députés et les sénateurs. Co-présidée par Jacques Legendre et Jean-François Coppé et constituée de sept députés et sept sénateurs, la CMP semble avoir fait sienne les arguments avancés par Bruno Retailleau en réponse à l'amendement proposant d'appliquer la redevance à l'ensemble des terminaux permettant de recevoir les chaînes de télévision, dont les ordinateurs. « Ce serait un bien mauvais signal [au regard] du faible taux de pénétration [des PC en France], inférieur de 10 à 15% à celui enregistré en Europe du Nord ou en Grande-Bretagne », estimait le Sénateur. La décision de la CMP n'est finalement guère surprenante étant donné que l'Assemblée nationale avait rejeté le principe de taxer les ordinateurs, et que le gouvernement était également opposé à cette mesure. L'amendement qui prévoyait d'appliquer la redevance aux ordinateurs s'appuyait sur le principe d'équité. Dans un souci de trouver des moyens de financer l'audiovisuel public pour compenser la suppression de la publicité sur France Télévisions, les sénateurs à l'origine de l'amendement avançaient que « ceux qui bénéficient des mêmes services doivent contribuer de la même façon à leur financement ». La redevance cantonnée aux postes de télévision... provisoirement Par ailleurs, la CMP a validé le principe d'une augmentation de la redevance. Son montant sera majoré de 2 € en 2009, puis à nouveau en 2010, des sommes « qui s'ajouteront à l'indexation sur le taux d'inflation ». Il faudra ainsi débourser 122 € pour s'acquitter de la redevance fin 2010. Malgré la position de la Commission mixte, le chapitre de la redevance n'est pas clos. Dans le courant de l'année, un groupe de travail constitué de sénateurs et de députés sera ainsi mis en place pour plancher sur ce dossier. L'idée, nous explique Michel Thiollière, vice-président de la commission des affaires culturelles au Sénat, « est de procéder à une remise à plat de la redevance », en en examinant et en évaluant tous les aspects. Il est donc plus que probable que le principe d'équité soit à nouveau évoqué, ainsi que le principe d'étendre la redevance à tous les appareils permettant de regarder la télévision. (...)

(28/01/2009 18:15:08)

Les netbooks contribuent à la baisse du marché informatique français, d'après GfK

L'année 2008 marque un tournant pour le secteur high-tech. Selon le cabinet d'études GfK, celui-ci a enregistré un chiffre d'affaires de 19,5 milliards d'euros, soit 3 % de moins qu'en 2007. Le seul secteur informatique, qui représente 34 % des ventes juste derrière l'électronique grand public, enregistre même une baisse plus forte de l'ordre de 5 %. Les ventes de PC de bureau, d'ordinateurs portables (y compris les netbooks) et de périphériques comme les imprimantes ont ainsi généré 6,63 milliards de chiffres d'affaires en 2008. Pourtant, la crise financière n'explique pas à elle seule ces mauvais résultats. En volume, les ventes ont progressé de 15 %. Pour Gfk, les causes sont avant tout structurelles : manque d'innovation, saturation du taux d'équipement et surtout guerre des prix acharnée entre les différentes marques. L'arrivée des netbooks a ainsi été désastreuse pour l'informatique. Avec un prix moyen constaté de 330 euros, ceux-ci ont fait baisser le prix d'achat d'un micro-ordinateur de 16 % par rapport à 2007, pour passer sous le seuil des 700 euros, à 652 euros. « Même si cette nouvelle offre a généré un nouveau marché, elle a instauré dans l'esprit des consommateurs de nouveaux seuils psychologiques de prix, » souligne Bertrand Huck, en charge des secteurs informatique, téléphonie et photographie chez GfK. En 2009, les PC seront aussi concurrencés par les smartphones Selon le cabinet, l'impact de la crise se fera réellement sentir en 2009, au moment où confrontés à une baisse du pouvoir d'achat, les acheteurs devront procéder des arbitrages. L'informatique sera l'un des secteurs les plus durement touchés. Elle devrait ainsi voir son chiffre d'affaires chuter encore de 10 %, dans un marché high-tech en baisse globale de 9%. En effet, les ventes de PC portables seront encore confrontées à la concurrence des « netbooks », mais également à celle des « smartphones » toujours plus puissants. En 2008, il s'en est vendu plus de 1,8 millions sur un total de 23,5 millions de téléphones. Et cette année, ils devraient représenter 30 % du chiffre d'affaires de la téléphonie. Les itinérants qui pouvaient envisager l'achat d'un PC portable pour consulter leurs courriels et accéder à Internet ont désormais le choix de passer par des netbooks, ou des smartphones, faciles d'utilisations. D'autant que de nombreuses applications d'entreprises s'installent désormais sur ces . (...)

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