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PC et portables

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(16/02/2009 12:29:38)

Annuels Asus : Le Taïwanais enregistre ses premières pertes en 19 ans

Jamais, en 19 ans d'existence, le constructeur taïwanais Asus n'avait conclu un trimestre fiscal sur une perte. Pourtant, frappé, comme tous les acteurs du secteur IT, par la crise mondiale, le fabricant de l'Eee PC inaugure, pour son quatrième trimestre 2008, la publication de résultats faisant ressortir une perte nette. Asus fait ainsi état un trimestre déficitaire de 2,79 MdNT$ (dollars taïwanais), soit environ 64 M€, à comparer à un bénéfice net de 6,6 MdNT$ (151,4 M€) enregistré un an auparavant. Sur l'ensemble de l'année, la tendance baissière se retrouve, avec un bénéfice net en recule de 40,4 %, à 16,45 MdNT$. Et ce, en dépit d'un chiffre d'affaires qui progresse de 17,5% (266,9 MdNT$). Asus attribue ces contre-performances aux conséquences de la crise systémique : en affaiblissant la demande, elle a contribué à l'accroissement des stocks. A cela s'ajoutent, explique le constructeur, des effets de change défavorables observés tout au long de l'exercice. Face à ces sombres résultats, Asus affiche néanmoins un bel optimisme et prévoit de renouer avec les bénéfices dès le premier trimestre 2009. Pour cela, le Taïwanais table sur un million de PC portables et 800 000 netbooks vendus sur la période, deux nombres en hausse de 10% sur un an. Et pour rassurer les actionnaires, le fabricant promet qu'il réduira ses dépenses opérationnelles de 10%. (...)

(13/02/2009 15:48:44)

Selon Gartner, la virtualisation va croître de 43% en 2009

Avec une croissance annoncée de 43%, le marché de la virtualisation semble faire fi de la crise. Il semble même être stimulé par celle-ci. En effet, selon le Gartner cette hausse par les impacts positifs de la virtualisation : réduction du coût total de possession (TCO), amélioration de la souplesse, accélération de la vitesse des déploiements de ressources et réduction de la consommation énergétique. Le Gartner group distingue trois domaines dans ce marché : la gestion de la virtualisation des serveurs, leur infrastructure et l'hébergement de postes clients virtuels. En croissance de 42%, l'administration de serveurs génèrera à elle seule près de la moitié de la valeur du marché total. C'est en revanche sur le créneau de la virtualisation des postes de travail que le cabinet d'étude anticipe la plus forte croissance : +300 %. Mais, en valeur absolue, il n'atteindra que 11% de la valeur totale du marché. Le Gartner met d'ailleurs en garde les responsables de projet de virtualisation de postes clients. Une simulation budgétaire approfondie s'impose avant de se lancer. Ainsi qu'une sélection minutieuse des fournisseurs : le cabinet constate une profusion de fournisseurs dont certains sont qualifiés "d'opportunistes". Le manque de maturité des outils d'administration des postes clients virtualisés actuellement disponibles est aussi pointé du doigt. Du côté des fournisseurs, Gartner prédit qu'il faudra attendre 2013 pour que la part de marché de Microsoft se hisse à la hauteur de celle de VMware. L'éditeur de Redmond devrait faire sa percée par le biais des PME. En phase émergente, le marché de l'administration de la virtualisation fourmille de fournisseurs. Le Gartner en dénombre plus d'une centaine. Il prédit une forte consolidation au fur et à mesure que les acteurs traditionnels de ce marché (BMC Software, CA, HP et IBM) intégreront la virtualisation dans leur suite. (...)

(13/02/2009 15:36:02)

Techdays'09 : Microsoft convoque des sociologues pour explorer les nouveaux usages des NTIC au travail

Le monde professionnel est à la traîne du grand public en ce qui concerne les usages des NTIC. Chacun le ressent dans son quotidien, mais cette fois, une enquête commanditée par Microsoft France, et dévoilée à l'occasion des Techdays, vient le confirmer. « Avec 63% des foyers équipés d'au moins un ordinateur, la majorité des collaborateurs sont plus et mieux équipés à domicile que sur le lieu de travail : ordinateur plus puissant, équipement technologique plus avancé, logiciels plus récents, plus grande liberté de communication et d'accès à l'information... » L'enquête quantitative a été confiée à l'Ifop, qui dit avoir mené des entretiens en face à face avec quelque 2000 personnes, puis isolé une population d'un millier d'actifs (et actuellement employés) auprès de qui le sondage en ligne a été effectué. Nonobstant les biais (approximations, lacunes...) inhérents à ce genre d'exercice, il en ressort que « près d'un actif sur deux utilise un ordinateur au travail, soit 12 millions de personnes en France ». Prenant ce résultat pas l'autre bout, Marc Jalabert, directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, ajoute que « si 13,8 millions d'actifs n'utilisent pas un ordinateur au travail, 9 millions d'entre eux en utilisent un à la maison ». Ce qui lui fait dire que si les Français ne sont pas en retard dans leur compréhension des bénéfices des nouvelles technologies, le monde de l'entreprise est en retard, qu'il s'agisse des PME, souvent sous-informatisées, ou des grands comptes qui tardent à appréhender le phénomène des 'digital natives'. Les actifs passent 4h30 par jour à utiliser les nouvelles technologies Quant aux actifs équipés au bureau, l'étude indique qu'ils « passent 4h30 par jour à utiliser les technologies de l'information et de la communication dans leur travail ». Un temps réparti entre le travail sur du contenu (2h40), la collaboration (1h20) et la gestion des plannings (30 minutes). A noter une grande révélation de l'étude : les actifs qui communiquent le plus sont des hommes. Explication de texte de Marc Jalabert : « Dans le monde du travail, les hommes ont souvent des postes plus élevés, de management, que les femmes, et la communication fait partie du boulot de management. » La liste des outils technologiques les plus utilisés comporte le courriel (96% des réponses), les moteurs de recherche Internet (93%), les traitements de texte (89%), les tableurs (82%), les logiciels de présentation (66%), mais aussi le fax (82%) et surtout le téléphone fixe (97% des réponses). Un palmarès qui contraste fortement avec celui des usages personnels, où les appareils photo numériques et téléphones mobiles dépassent les 80%, où le recours à la messagerie instantanée atteint les 50% (contre 36% dans l'univers professionnel), et où l'activité sur les réseaux sociaux et les blogs représente en moyenne un quart des réponses, contre une moyenne de 15% dans l'univers professionnel. Deux grands catégories d'utilisateurs, les « faber » et les « ludens » [[page]] A partir de ces données, des consultants de Bearingpoint conduiront des entretiens dans des entreprises, pour approfondir les usages actuels. Il s'agira entre autres de voir si les managers ont bien conscience que « les technologies constituent le deuxième facteur d'attractivité d'une entreprise pour ses futures recrues ». Parmi les « ludens », l'étude distingue quatre profils Outre Bearingpoint, Microsoft s'est entouré des cabinets AddedValue et Eranos pour établir une analyse qualitative et en tirer des profils sociologiques. Dès lors, on entre dans l'univers du concept latinisant et des anglicismes superfétatoires. Analyse d'Eranos : « On peut distinguer deux grands schémas mentaux qui coexistent dans le monde de l'entreprise aujourd'hui qui permettent de rendre les attitudes plus lisibles : d'un côté, on trouve des profils "Faber", orientés sur le 'faire', le travail individuel et de l'autre, des profils plus "Ludens ". Ces derniers se caractérisent par une culture du social et de la collaboration, des relations d'égal à égal, la connectivité. Ils revendiquent facilement un comportement et une psychologie de jeune, plus immédiate et ludique. » AddedValue ajoute de son côté une segmentation des « Ludens » : les « Digital creators » (créateurs de contenu numérique), censés travailler « dans des agences de communication ou à la communication » ; les « Information flow obsessed » (obsédés des flux d'information), dont l'institut explique qu'ils veulent travailler « plus vite et en équipe », et qu'ils « sont cadres et leur métier requiert de l'analyse » ; les « net com workers » (travailleurs en réseau), « très engagés dans les réseaux sociaux », « commerciaux et jeunes cadres » ; enfin les « techno followers », pour qui « il faut que ça marche et que ça soit facile à utiliser », qu'on retrouve « en particulier aux postes d'assistants ». Un site Web regroupera toutes les informations de cette enquête au long cours : www.aucentredesusages.com. (...)

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