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(25/02/2009 16:07:27)
Un datacenter à la sauce netbook bientôt chez Microsoft
Lors de l'une de ses réunions bisannuelles avec les analystes de Wall Street, Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, a annoncé que sa société prévoyait le développement d'une déclinaison de Windows Server spécialement dédiée aux serveurs équipés de processeurs pour netbooks. Celle-ci, baptisée Windows Server Foundation Edition, devrait être disponible d'ici un mois ou deux. Dans le même temps, lors de la TechFest à Redmond, Jim Larus, directeur de l'architecture logicielle des futures salles serveurs, une division de Microsoft Research, a présenté un prototype de datacenter fonctionnant avec des processeurs pour netbooks. Ces processeurs dispensent une puissance équivalente à environ un tiers de celle des processeurs couramment installés dans les serveurs, alors qu'ils ne requièrent qu'entre un dixième et un cinquième de la consommation électrique des puces traditionnelles. Une aubaine, mais construire un datacenter entier nécessiterait tout de même de multiplier le nombre de puces ; le gain n'est donc pas évident. Mais Jim Larus en est persuadé, même en multipliant par trois le nombre de processeurs nécessaires dans une salle de serveurs, l'utilisation de ces puces réduirait de façon significative la consommation électrique totale. Et ce, d'autant plus facilement qu'avec une dissipation thermique moindre, ces processeurs ne génèrent pas de gros besoins en matière de climatisation. Les outils d'économie d'énergie des netbooks exploités par les serveurs ? Lors de sa démonstration, Jim Larus a utilisé un châssis traditionnel équipé avec 50 processeurs bicoeurs branchés directement sur une prise d'électricité standard et sans gros ventilateurs associés. Et pour aller plus loin dans l'économie d'énergie, il a démontré comment les capacités de mise en veille développées par ces puces pour préserver la batterie des portables peuvent servir dans un serveur en fonction de la charge de travail. Pour autant, les serveurs à bas coût ainsi conçus ne sont pas immédiatement utilisables. Les processeurs ayant été pris tels quels, les cartes leur servant de support intègrent des extensions inutiles dans un serveur (comme des sorties vidéo) et occupant plus de place que ce qui est habituellement souhaitable. Plus gênant, ces puces ne sont pas aussi rapides que les processeurs habituellement installés dans les serveurs. Certaines tâches risquent donc de ne pas pouvoir être effectuées sur ces serveurs « low cost ». Nombre d'améliorations et de tests sont donc encore nécessaires. (...)
(25/02/2009 15:10:11)Le Saas a séduit 61% des entreprises, selon Markess
Le cabinet Markess International s'était intéressé une première fois au SaaS (Software As A Service) en 2006 et il vient de réaliser une nouvelle étude sur le sujet. Entre les deux éditions, le progrès du SaaS est indéniable, même si la généralisation n'est pas encore pour demain. Ainsi, aujourd'hui, 61% des répondants déclarent utiliser des solutions de type SaaS, 23% savent qu'ils ne le font pas et 16% ignorent si ce mode est utilisé effectivement dans leur entreprise. Mais il y a une grande différence entre les profils d'adoptants : les organisations recourant au SaaS sont soit petites (moins de 99 employés), soit grandes (plus de 2000 employés) ; les structures moyennes sont sous-utilisatrices. En moyenne, il y a environ 2,5 applications en mode SaaS dans les organisations interrogées. De 2006 à 2009, le marché du SaaS a crû de 18%, passant de 1,5 à 1,75 Md€. Une nouvelle croissance de 10% est attendue d'ici à 2010. Le secteur public est particulier dans son approche puisque son usage majeur concerne les plateformes de marchés publics dématérialisés. Au delà, le principal usage du modèle SaaS est dans la communication d'entreprise (messagerie, agenda partagé, conférence web, gestion de projets...) pour 38% des répondants, avec une croissance attendue de 12% d'ici à 2010. Les créneaux les plus dynamiques demeurent cependant la GRH (e-paye, e-recrutement...), avec 31% d'utilisateurs et 18% de croissance attendue, et la gestion des relations clients (21% d'utilisateurs et +22% de croissance attendue). Pendant la crise, des croissances à deux chiffres Les logiciels et services employés appartiennent à plusieurs catégories majeures avec, au premier chef, le stockage et la sauvegarde (18% d'utilisateurs, +10%) suivis des services 2.0 (réseau social, blog, wiki... 17% d'utilisateurs, +13%) et de la sécurité (16% d'utilisateurs, +6%). En revanche, le PGI, progiciel de gestion intégré, semble rester trop complexe à mettre en oeuvre de cette façon. Même si le SaaS est par définition en dehors de l'entreprise, le DSI est cependant dans les deux tiers des cas la source de validation technique de la solution et une aide au choix des produits proposés. Les deux tiers des répondants estiment en outre qu'une part croissante de leur budget sera consacrée au SaaS contre 7% qui pensent que le budget va baisser. Dans ce dernier cas, selon Markess International, le SaaS n'est pas réellement réduit mais peut rester à périmètre constant avec une négociation tarifaire ou bien subir les réductions de personnels et donc de nombre d'utilisateurs, base essentielle du coût du SaaS. Parmi les avantages, une amélioration de la productivité et de la collaboration Si, pour la plupart des répondants, le retour sur investissement rapide, la facilité d'accès et la possibilité de développer le travail nomade ou multi-sites sont des motivations à basculer en mode SaaS, ceux ayant déjà opté pour au moins un applicatif SaaS ajoutent l'amélioration de la productivité et du partage collaboratif. Les utilisateurs sont plutôt séduits par l'absence d'investissement initial en licences et dans la possibilité de pouvoir déployer aisément de nombreux produits, même quand les ressources informatiques internes sont limitées. A l'inverse, le principal frein pour l'adoption du SaaS reste la double crainte de la confidentialité et de la disponibilité en tous temps des données et applications. Une autre difficulté tient à la bonne compréhension et même à la connaissance des offres présentes sur le marché, signe qu'il manque des consultants spécialisés sur le créneau. Le prestataire prioritairement contacté lorsqu'une organisation cherche une offre de type SaaS reste en premier lieu un éditeur classique ayant développé une offre de ce type (38% des répondants) et en second lieu des 'pure players' comme Salesforce.com (30%). Enfin, c'est généralement à l'occasion d'une migration applicative que le modèle SaaS est envisagé. (...)
(25/02/2009 14:45:20)Microsoft fait des erreurs de calcul sur les primes de départ de salariés licenciés
La DRH du siège de Microsoft semble avoir eu quelques difficultés à calculer le montant exact des indemnités versées aux salariés licenciés. La semaine dernière, 25 collaborateurs concernés par les suppressions de postes annoncées fin janvier par l'éditeur ont en effet touché des excédents sur leur prime de départ. Certains ont perçu entre 4 000 et 5 000 dollars de trop au titre de leurs indemnités. Mais si pour quelques uns, le trop perçu a dépassé les 5 000 dollars, à l'inverse, une vingtaine d'autres ont eu la mauvaise surprise de toucher un chèque inférieur au montant qu'ils auraient dû percevoir. Un chèque pour une vingtaine de salariés sous-dédommagés Après s'être aperçue de ces erreurs, Lisa Brummel, vice-présidente des ressource humaines du groupe, avait d'abord demandé aux salariés concernés par ces excédents de lui retourner le trop-perçu. Puis elle a subitement décidé de faire volte-face, estimant que les remboursements demandés n'avait pas de sens, au vu d'une situation qualifiée « d'unique et d'exceptionnelle ». Entre temps l'affaire avait été largement relayée sur le Web. La vice-présidente s'est donc excusée par courrier auprès des salariés sur-dédommagés, et leur a précisé qu'ils pouvaient quitter l'entreprise sans avoir à reverser d'excédents Les 20 personnes qui ont perdu leur emploi en recevant moins que ce qu'ils devaient avoir ont également été identifiées et ont reçu une lettre et un chèque de dédommagement. (...)
(25/02/2009 12:42:43)Antitrust : Google aux côtés d'Opera et de Mozilla contre Internet Explorer
Après Opera et Mozilla, c'est au tour de Google de prendre part à l'enquête antitrust ouverte par la Commission européenne contre Microsoft. Le dossier, ouvert à la suite d'une plainte d'Opera, concerne l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows. Une vente liée qui serait de nature à nuire à la concurrence sur le marché des navigateurs Internet. Comme Mozilla l'a fait au début du mois de février, Google vient de demander à Bruxelles l'autorisation de participer à la procédure lancée contre Microsoft. La Commission ayant répondu favorablement à la requête de l'éditeur de Firefox, il paraît probable qu'elle accède également à celle de Google, lui aussi présent sur le marché des navigateurs avec Chrome. Si Google recevait l'aval de Bruxelles, il n'hériterait cependant pas d'un rôle de plaignant - seul Opera possède ce statut - mais simplement de tiers impliqué dans l'affaire considérée et susceptible d'apporter son expertise. Google se pose sans vergogne en champion de la lutte contre les quasi-monopoles Dans un billet publié sur son blog officiel, le géant de la recherche en ligne explique que l'expérience accumulée depuis le lancement de Chrome est un élément susceptible d'épauler la Commission dans son évaluation des solutions à apporter aux conséquences néfastes de l'inclusion d'IE dans Windows. Le billet de blog reprend les arguments développés par Mozilla et Opera, et dont Bruxelles s'est fait l'écho : Microsoft profiterait de sa situation de quasi-monopole dans le secteur des systèmes d'exploitation pour imposer son propre navigateur. Cette ventée liée serait de nature à nuire à la concurrence, à l'innovation et à réduire les choix des consommateurs. Et Google - lui-même en situation de quasi-monopole sur son marché - de citer l'exemple de la mobilité, un domaine dans lequel « Microsoft ne peut lier Internet Explorer à un OS dominant et où, par conséquent, son navigateur est moins utilisé ». Si, à l'issue de la procédure menée par l'UE, les accusations portées à l'encontre de Microsoft étaient confirmées, l'éditeur de Redmond pourrait se voir contraint d'incorporer des navigateurs alternatifs à Internet Explorer dans Windows. Fin janvier, Microsoft avait communiqué un document à la SEC - le gendarme des bourses américaines - dans lequel il expliquait qu'il encourait une forte amende ainsi que l'obligation de distribuer des produits concurrents. (...)
(25/02/2009 11:33:19)24 heures après la panne de Gmail, Google aurait trouvé la cause
Après la panne qui a affecté les utilisateurs de Gmail partout dans le monde hier matin pendant 2 heures et demi (voire beaucoup plus pour les plus malchanceux), Google vient tout juste d'avancer une explication pour ce qui s'est passé. L'éditeur du service de messagerie gratuit s'est excusé platement et publiquement, a promis 15 jours gratuits aux entreprises utilisant son service payant, mais est longtemps resté coi sur les causes de cette interruption de service. La seule piste disponible était le fait que les utilisateurs de smartphones (Blackberry, iPhone) n'avaient pas eu de problème, « ce qui laisserait penser à un problème d'affichage », avançait-t-on sans grande conviction au service de presse. Acacio Cruz, responsable de la fiabilité du service, a fini par indiquer sur le blog officiel de Google que tout serait parti d'une mise à jour sur un serveur en Europe. Elle aurait créé des « effets de bord », surchargeant un autre datacenter, qui lui-même aurait débordé sur les autres, et ainsi de suite en cascade. L'incident, somme toute banal pour un service applicatif en ligne, prend une ampleur particulière pour deux raisons. D'une part parce que le service compte la bagatelle de 113 millions d'utilisateurs (source ComScore), d'autre part parce que Google est à la pointe du combat en ce qui concerne les applications en ligne, et la fiabilité de ces dernières est un des premiers critères scrutés par les entreprises. Or, Google multiplie tant les services que les avanies ; quelques exemples : bug dans l'agrégateur de flux Google News la semaine dernière ou dans la messagerie instantanée Gtalk en décembre dernier, résultats de recherche pour le moins étonnants fin janvier (on se souvient du lugubre 'Ce site peut endommager votre ordinateur'), Gmail inutilisable à de multiples reprises en août dernier... Toutefois, il faut aussi relativiser : sauf volonté de souscrire l'abonnement Premier, le service est gratuit, il ne coûte pas un liard en personnel ou machines sur site, et un taux d'interruption de service de moins de 9h dans l'année correspond à un taux de fiabilité de 99,9%. Comme le souligne Gartner , le Saas (Software as a service, services applicatifs en ligne) a ses inconvénients mais aussi ses indéniables avantages. (...)
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