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(20/02/2009 18:45:50)
Satyam obtient le feu vert pour chercher des investisseurs
Le conseil d'administration de la SSII indienne Satyam Computer Services a reçu le feu vert du gouvernement jeudi pour vendre des parts de l'entreprise à un investisseur stratégique. Le service juridique de la firme a précisé qu'elle devrait se séparer d'au moins 26% pour attirer un acheteur. Nombre d'entreprises ont déjà évoqué leur intérêt bien que certains analystes estiment que la décision sera difficile puisqu'il faut encore préciser les comptes. Pour Satyam, la crise a commencé après que le fondateur Ramalinga Raju a avoué que les profits de l'entreprise ont été surestimés durant plusieurs années. La SSII a alors entamé un processus de réduction des coûts à la fois pour retrouver un équilibre financier et faire face à la crise. Un moyen également de redonner un aspect attrayant à l'entreprise pour un acheteur potentiel. Dans un mail à ses employés, le CEO a ainsi annoncé jeudi le gel de certaines dépenses importantes. En début de mois, deux responsables seniors avaient démissionné dans le cadre de cet exercice de rationalisation. (...)
(20/02/2009 18:14:40)Les outils de collaboration doivent mieux s'adapter aux modes de travail
Sur fond de généralisation du travail collaboratif, ce sont toujours les modes de communication éprouvés et familiers qui ont la préférence des utilisateurs : téléphone, réunions en face à face et courriels. Les outils de conférence, et a fortiori ceux du Web 2.0 -wikis, blogs, réseaux sociaux, ont toujours du mal à percer. C'est ce que montre une étude menée par Forrester Consulting en août dernier, pour le compte d'Adobe, auprès de 3 000 utilisateurs professionnels en Europe. 99% des personnes interrogées en ligne travaillaient en équipe (47% tous les jours, 77% plusieurs fois par semaine) et 81% avec des personnes situées dans des zones géographiques différentes. Sans surprise, la fréquence de collaboration est plus importante chez les plus jeunes : 50% des 18 à 30 ans collaborent quotidiennement avec une ou plusieurs personnes. Au sein de l'entreprise, le téléphone est toujours privilégié, dans 68% des cas sur 2 800 répondants. Les réunions en face à face ont toujours la cote elles aussi (58%). Pour travailler sur un document important, 68% ont recours au courriel et 48% aux pièces jointes, toujours entre collègues. En revanche, ces professionnels ne sont que 5% à utiliser les réseaux sociaux, 2% les blogs, 1% les wikis et 1% les mondes virtuels. Il semble qu'ils fassent peu confiance à ces outils pour améliorer la collaboration. Un peu plus souvent sollicitées, la messagerie instantanée est citée par 15% d'entre eux, la visioconférence par 13%, la conférence Web par 10% et les sites de collaboration par 9%. Pour susciter plus d'intérêt, les nouveaux outils de collaboration doivent donc être améliorés (plus de rapidité, de précision, de sécurité) et tenir compte des habitudes de travail. 56% des 3 000 utilisateurs interrogés veulent pouvoir améliorer le partage d'informations et d'idées ; 46% réclament une gestion plus efficace des processus de travail. Six personnes sur dix souhaitent limiter la production de papier et 39% réduire leurs déplacements professionnels. Enfin, 41% aimeraient que le contact soit facilité avec leurs collègues, tous sites et zones géographiques confondus. Du côté des responsables informatiques, l'étude rappelle que la collaboration soulève des problèmes tactiques et stratégiques. Il leur faut d'une part sécuriser la consultation, le stockage, la diffusion et l'échange de contenus partagés. D'autre part, ils doivent proposer aux utilisateurs les technologies qui vont permettre une collaboration vraiment efficace. (...)
(20/02/2009 17:55:55)Sondage flash : Un quart de nos lecteurs équipés en smartphones par leur entreprise
Plus léger que le netbook, et plus performant qu'un simple téléphone mobile, le smartphone devrait en toute logique trouver son utilisation en entreprise. Notre sondage le confirme en partie, puisque la moitié des répondants (944 réponses sur 1835 au total) se sert d'un smartphone dans le cadre professionnel. De plus, 7,6 % (139 réponses) de nos lecteurs espèrent bientôt disposer d'un de ces petits appareils. Sans hésitation, l'accès permanent à la messagerie électronique est l'application qui attire le plus vers ces environnements. Mais les cadres ou les commerciaux, par exemple, trouvent sans doute plus confortable de naviguer sur Internet avec ces mobiles plus conviviaux et performants que les téléphones mobiles classiques. Ce type de systèmes pourrait aussi, petit à petit, se prêter à des applications métier simple comme les inventaires par exemple. A noter, cependant, que la moitié de nos lecteurs déclarant utiliser un smartphone (486 réponses) dans le cadre de leur profession, le fait avec son propre matériel. Et, pour 41% des répondants à notre questionnaire (752 personnes), le smartphone au bureau n'est pas d'actualité. Leur entreprise ne souhaite pas qu'ils en utilisent un pour leurs activités professionnelles. Finalement, seul 25% des répondants (458) disposent d'un appareil mis à disposition par leur entreprise. Reste à savoir ces dernières sont réticentes à l'utilisation de ces appareils pour des raisons de coût ou d'utilité. (...)
(20/02/2009 17:00:16)Hadopi : La commission des Lois durcit le texte
Avant que ne débute l'examen du projet de loi création et Internet par les députés, la commission des Lois de l'Assemblée s'est penchée sur le texte afin d'en ébaucher les premiers amendements. Les édiles annoncent clairement la couleur : ils n'ont pas l'intention d'adoucir la loi. Ils ont ainsi rejeté quantité d'amendements, pourtant souvent de bon sens, qui auraient contribué à rendre le texte plus respectueux des droits fondamentaux. Il en va ainsi de l'amendement prévoyant le caractère suspensif des décisions prononcées par l'Hadopi ou des recours formés par les internautes contre ces mêmes décisions. A la trappe également les propositions visant à indemniser les internautes dont l'abonnement à Internet aura été injustement suspendu ; idem pour celui permettant à l'internaute de ne pas payer pour un abonnement en cours de suspension. Citons également le refus de la commission des Lois de tirer un trait sur la publication par voie de presse des sanctions de l'Hadopi. Une mesure « d'un archaïsme sidérant », aux yeux du socialiste Patrick Bloche, mais néanmoins conservée. L'accès à Internet n'est pas une liberté fondamentale L'amendement suggérant l'intervention du juge judiciaire pour le prononcé de ces suspensions prend également le chemin de la poubelle, en dépit du principe constitutionnel soulignant que ce même juge est le seul compétent lorsqu'il est question d'une atteinte aux libertés fondamentales. Mais, estime le député Franck Riester, rapporteur du texte, « l'accès à Internet n'est pas à mon sens une liberté fondamentale ». Les eurodéputés avaient dit exactement l'inverse en adoptant à une immense majorité le désormais célèbre amendement 138, qui vilipendait le principe même de riposte graduée à la française. Cet inventaire à la Prévert ne saurait être complet si l'on omettait une des perles du débat. Alors que Jean Dionis du Séjour souhaitait introduire un amendement imposant l'interopérabilité et la gratuité des moyens de protection (c'est-à-dire des parefeu) dont l'installation peut être ordonnée par l'Hadopi, la commission a balayé ce principe. Motif invoqué par le rapporteur : « Il faut laisser au consommateur sa totale liberté de choix en fonction de son système d'exploitation. L'interopérabilité n'est pas nécessaire pour les consommateurs et elle est trop contraignante pour les éditeurs de logiciels. » L'Assemblée nationale n'étant pas fréquentée que par des députés intéressés par les questions relatives à l'IT, l'assertion de Franck Riester n'a guère fait bondir les édiles. Lesquels n'ont pas plus sourcillé quand le même rapporteur a approuvé un amendement prévoyant que l'Hadopi établira une liste labellisant les moyens de sécurisation. En clair, l'autorité sélectionnera les logiciels grâce auxquels les internautes pourront montrer patte blanche. Dans ce débat, les élus ne sont décidément pas à une contradiction près. La licence globale réapparaît A côté de ces rejets, la commission des Lois a validé un amendement visant à durcir le projet de loi. La durée minimale de la suspension, ramenée par les Sénateurs à un mois, est désormais susceptible d'être deux fois plus longue. Cette décision de la Chambre haute contribuait, selon le rapporteur, à réduire « à néant l'intérêt » pédagogique de la sanction. Enfin, sans surprise, la proposition de Patrick Bloche de mettre en place une licence globale - renommée pour l'occasion contribution créative - n'a pas convaincu les membres de la commission. Pourtant adoptée, à la faveur d'une session nocturne, par l'Assemblée lors des débats autour de la Dadvsi, puis finalement rejetée in extremis, cette licence n'est pour Franck Riester qu'un instrument remettant « fondamentalement en cause la juste rémunération des offres artistiques auxquelles le public a librement adhéré ». (...)
(20/02/2009 16:59:04)Unisys préfère le Xeon à l'Itanium
Alors que le lancement de Tukwila, le prochain processeur Itanium, est encore reporté de six mois, Unisys se montre très circonspect sur l'avenir de ce processeur. Du moins dans son catalogue... Unisys explique son scepticisme par le rapport prix/performance qu'il obtient avec son serveur haut de gamme ES7000 Model 7600R (Express5800/A1160 chez NEC). Annoncé en novembre dernier, ce serveur est animé par 16 processeurs Xeon 7400. Ces Xeon 7400 64 bit sont soit quadri, soit hexacoeurs (six coeurs) et ont fait merveille au test TPC-H. La configuration soumise par Unisys a atteint 80 172,7 transactions par heure, avec un prix de 18,95 dollars par unité de mesure (QphH@10000GB). Unisys compare ces performances avec celle d'un HP Integrity Superdome, animé par des Itanium. Cette machine atteint 63 650 transactions par heure pour un prix de revient de 38,54 dollars par QphH@10000GB. On comprend qu'Unisys profite de cet écart de coût significatif pour souligner les brillantes perspectives de ses super serveurs à base de Xeon et pour s'interroger sur l'intérêt de continuer dans la voie de l'Itanium. (...)
(20/02/2009 16:13:54)Le secteur public peut enfin réserver 15% de ses marchés high tech aux PME
Les PME innovantes peuvent enfin être mises en avant et favorisées dans les marchés publics. Le décret d'application de l'article 26 de la loi du 4 août 2008 de modernisation de l'économie (LME) vient d'être publié. Cette disposition autorise les ministères, collectivités territoriales et entreprises publiques à réserver 15% de leurs marchés de haute technologie à de petites et moyennes entreprises innovantes. Sont concernés par ces dispositions les marchés ayant pour objet l'achat de travaux, de fournitures et de services qui font appel « au dernier état de l'art des technologies ou des connaissances en science et en ingénierie à la date du lancement de la procédure de passation du marché public ». Pour le Comité Richelieu, association de PME innovantes, à l'origine du Pacte PME de mise en relation avec les grandes entreprises et administrations, il s'agit d'une avancée essentielle. Outre la possibilité de mettre en place une politique volontariste vis-à-vis des petites entreprises ayant développé des technologies avancées, le Comité Richelieu souligne l'importance de maintenir l'accès des PME à la commande publique dans le contexte actuel. Dix-sept grands comptes publics ont déjà signé le Pacte PME. (...)
(20/02/2009 13:38:27)L'Icann écoute les inquiétudes formulées autour de l'extension des noms de domaine génériques
Pour répondre aux commentaires suscités par son projet de créer et de vendre de nouveaux noms de domaine génériques -gTLD, l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) vient de modifier son calendrier sur ce dossier. Mercredi dernier, 18 février, le régulateur d'Internet a ainsi publié un document de 154 pages, détaillant et analysant les centaines de commentaires qu'il a reçus à ce propos : « New gTLD draft applicant guidebook : Analysis of public comment ». L'inquiétude suscitée par ce projet amène l'Icann à différer à décembre 2009 la date de sa mise en application prévue initialement pour septembre. Dans le document mis en ligne sur le site de l'organisme de régulation, Paul Twomey, son président, justifie ce décalage par la nécessité de prendre son temps pour résoudre des questions d'intérêt général : « la stabilité du système des noms de domaine, la protection des utilisateurs et des marques ne doivent pas être sapées par l'introduction de nouveaux noms de domaine génériques ». Différents acteurs du monde Internet ont effectivement pointé les risques d'une telle expansion. L'Icann, de son côté, avance que plusieurs pays, dont les Etats-Unis, demandent depuis presque dix ans une procédure simplifiée pour la mise en place de noms de domaines. Il y a actuellement 21 TLD génériques (.com, .org, .biz, .info, etc.), tous utilisant des caractères latins. Parmi les ouvertures prévues figurent l'arrivée d'autres caractères, chinois, par exemple, ainsi que la possibilité, sous réserve d'acceptation des dossiers, de créer des extensions géographiques, sur les noms de ville par exemple, ou thématiques (une communauté, un marché, une catégorie, un sport...). La protection des noms de marque risque de coûter très cher Parmi les appréhensions formulées autour de cette possible multiplication des TLD, plusieurs entreprises ont mis en évidence qu'il leur faudrait, si l'Icann poursuivait son projet sur les mêmes bases, enregistrer des dizaines d'adresses supplémentaires dans chaque nouveau gTLD pour protéger leur marque. Ces sociétés pourraient également se voir contraintes d'acheter leur propre gTLD, par exemple .apple ou .ibm, ce qui représenterait à chaque fois une dépense de 185 000 dollars (environ 146 000 euros), montant demandé par l'Icann pour déposer un dossier de nom de domaine personnalisé, sans compter les coûts annuels associés. Dans le document publié le 18 février, l'Icann dit étudier plusieurs solutions pour protéger les possesseurs de noms de marque. Le régulateur pourrait par exemple créer des « listes blanches » de noms de domaine qu'il ne serait pas possible d'enregistrer. Par ailleurs, il a demandé à deux de ses comités d'étudier les effets que son projet d'extension des gTLD pourrait entraîner sur la sécurité et la stabilité du système de nom de domaine (DNS). Aucune piste très précise pour l'instant, donc, pour répondre aux préoccupations légitimes de tous les acteurs concernés par les multiples points sensibles soulevés par ce dossier. D'où la nécessité, pour l'Icann, de détailler publiquement les commentaires qu'il a reçus à ce sujet. « Il y a encore beaucoup à faire » pour faire avancer ce projet, reconnaît Paul Levins, vice président de l'Icann. La prochaine réunion publique de l'organisation va se tenir à Mexico dans quelques jours, du 1er au 6 mars. Outre ce dossier délicat, elle permettra, selon l'Afnic (autorité de nommage pour les domaines de la zone .fr), d'aborder les nouvelles relations entre l'Icann et l'administration du nouveau président américain, Barack Obama. (...)
(20/02/2009 13:00:00)Gateway revient en Europe pour séduire les entreprises
Le marché européen de l'informatique professionnelle compte un nouvel acteur. Gateway, racheté en 2007 par Acer, débarque en effet sur le vieux Continent pour s'attaquer au segment des moyennes et des grandes entreprises. En réalité, ce n'est pas la première incursion de Gateway en Europe : le constructeur était présent en Grande-Bretagne jusqu'en 2001, mais s'était par la suite concentré uniquement sur le marché américain. Ce retour en Europe illustre la stratégie multimarque sur laquelle Acer base son activité : Packard Bell vise le grand public, Acer mise sur la mobilité pour séduire à la fois les consommateurs et le marché du Soho, et Gateway cible les entreprises de plus grande dimension. Aux Etats-Unis, ce dernier adopte pourtant une approche différente en s'adressant à la fois au grand public et au secteur professionnel. Mais Antonio Papale, à la tête de la division EMEA d'Acer, entend dissiper toute confusion : en Europe, Gateway sera « exclusivement dédié au B2B. Nos produits ne seront jamais disponibles pour les consommateurs. » Postes clients, serveurs et services Le constructeur lancera dans un premier temps des postes clients (trois gammes de desktops et autant de PC portables) construits autour de processeurs Intel. Dans le courant du deuxième trimestre, il proposera ensuite des serveurs (deux racks et une tour) et complètera son offre par deux moniteurs. Ces produits seront disponibles, pour commencer, en Italie, Espagne, Allemagne, Benelux, Royaume-Uni, dans les pays nordiques et la France. Dans un an, Gateway prévoit de couvrir le reste de la zone EMEA. En ce qui concerne la France, les premières machines devraient être disponibles au début du mois d'avril. Comme dans les autres pays européens, le modèle de vente pour lequel a opté le constructeur sera exclusivement indirect : un unique distributeur (Techdata) approvisionnera une batterie de revendeurs qui devront s'adresser uniquement au marché professionnel. Et, avant de chercher à séduire les entreprises, Gateway entend convaincre les revendeurs de référencer ses machines. Pour cela, le fabricant met en place le 'Business first partner program', une organisation à travers laquelle « nous allons sélectionner 35 à 50 partenaires auxquels nous garantirons une très bonne marge ainsi que de nombreux avantages commerciaux et opérationnels », explique Nordine Ouidja, responsable produits Gateway pour l'activité mobile et les services. En contrepartie, les revendeurs s'engagent à offrir un certain nombre de services à leurs clients, du service après-vente à la maintenance à distance, en passant par la gestion de parc. Pour les épauler dans leur tâche, ils pourront se connecter au portail partenaire et trouver des informations sur l'état de leurs ventes, accéder à des documents marketing, trouver de l'assistance technique ou de l'aide pour les réponses aux appels d'offre. (...)
(20/02/2009 12:28:14)HP affiche un premier trimestre décevant et baisse les salaires
Les résultats du premier trimestre 2009 de HP, clos le 31 janvier 2009, déçoivent les attentes des analystes. Ainsi, le chiffre d'affaires s'est établi à 28,8 Md$, en hausse de seulement 1% par rapport à la même période l'année précédente, alors que les observateurs attendaient 31,4 Md$. Sur cette période, le bénéfice net s'est élevé à 1,9 Md$ (soit 0,75 $ par action), en baisse par rapport aux 2,1 Md$ réalisés au cours du premier trimestre de 2008. Sur une base pro forma, les profits nets atteignent les 2,3 Md$, même si le bénéfice par action a augmenté de 0,86 $ à 0,93 $. Sans la forte croissance de sa division services, HP aurait fait encore moins. Dans cette branche, le chiffre d'affaires a en effet fortement progressé (+ 116 %) à 8.7 Md$, performance qui résulte de l'acquisition d'EDS, dont les activités de services ont représenté près d' un tiers des profits de HP. En outre, le constructeur américain a revu à la baisse ses prévisions pour l'ensemble de l'exercice 2008-2009. Ainsi, il prévoit un chiffre d'affaires en diminution de 2% à 5% par rapport aux 118,4 Md$ réalisés lors de l'exercice précédent. Baisse des salaires et arrêt du plan d'achats d'actions Conséquence de ses résultats trimestriels décevants, si HP ne prévoit pas pour l'instant de réductions de postes supplémentaires aux 24 600 prévues liées au rachat d'EDS, il prévoit des baisses de salaires. Finalement, l'ensemble des employés de l'entreprise est concerné par cette mesure, du plus bas au plus haut niveau de l'échelle hiérarchique. Ainsi, le salaire fixe du PDG, Mark Hurd, subit la plus forte réduction (20%). Celui des membres du comité exécutif diminue de 15% et les salaires des vice-présidents et directeurs sont abaissés de 10%. Des réductions de 2,5% à 5% sont également appliquées aux salaires des autres employés. Cette mesure sera appliquée dès le 16 mars aux Etats-Unis et à partir du 1er mai en Europe. En France, elle sera plus difficile à mettre en oeuvre car elle impose l'accord formel du salarié. Par ailleurs, HP met fin à la réduction de 15% du plan d'achat d'actions (SOP) à partir du prochain exercice semestriel de cotisation (1er mai 2009). (...)
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