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(19/02/2009 17:23:02)

Sun propose son protocole de gestion des clés en Open Source

Dans sa volonté d'aller vers toujours plus d'Open Source, Sun met à disposition de la communauté son API (Application Programming Interface) de gestion des clés de chiffrement. Celle-ci est désormais disponible en téléchargement gratuit sur le site d'Open Solaris sous licence BSD. Elle permet de faire communiquer les logiciels de gestion des clés et les appareils chargés de lire des données chiffrées, comme les lecteurs de bande ou de disque. Cette API est déjà présente dans les baies de stockage StorageTek et les lecteurs de bande LTO4 de HP, utilisés dans les librairies Sun. Cette annonce intervient quelques jours seulement après celle faite par EMC, IBM et HP. Les trois constructeurs prévoient de soumettre leur propre protocole, KMIP (Key Management Interoperability Protocol), à l'organisme de standardisation Oasis. Piotr Polanowski, responsable du chiffrement chez Sun, affirme d'ailleurs que l'initiative de son groupe est complémentaire de KMIP, précisant que les autres éditeurs comptent inclure Sun dans la définition de leur API. En l'absence d'explications du côté des promoteurs de KMIP, cela apporte surtout un peu plus de confusion avant une éventuelle standardisation. Sun travaille actuellement avec des organismes tels que l'IEEE et Oasis (Organisation for the Advancement Structured Information Standards). (...)

(19/02/2009 17:15:55)

HP et Microsoft s'investissent pour l'environnement en Afrique

L'Afrique reste encore et surtout la poubelle électronique du reste du monde, comme l'a montré Greenpeace dans une enquête sur la situation au Ghana publiée en août 2008. Pour autant, certains acteurs du secteur des TIC tentent d'agir. Ainsi, HP et Microsoft viennent coup sur coup de faire des propositions pour améliorer la situation sur ce Continent. Ainsi, HP rend publics les premiers résultats d'un projet pilote qu'il a mené en Afrique du Sud, au Maroc et au Kenya, conjointement avec l'EMPA (Institut en recherche des matériaux et en technologie des Ecoles Polytechniques suisses) et le FSN (Fonds mondial de solidarité numérique). Il s'agissait pour les trois partenaires, de récolter des informations sur la gestion des déchets électroniques dans ces trois pays, la législation en la matière, le degré de prise de conscience et le comportement des habitants vis à vis de la situation. Ainsi, au Kenya - pays qui produit 3000 tonnes annuelles de déchets électroniques, quantité en croissance de 200% chaque année-, il n'existe ni législation, ni système de gestion. Pour mener à bien son projet, HP a aussi inauguré début 2008 une unité de recyclage au Cap, en Afrique du Sud, qui a constitué le coeur de la démarche. L'usine a traité près de 60 tonnes de déchets électroniques entre février et novembre 2008 rapportant ainsi près de 14 000 dollars de revenu et créant 19 emplois. « Notre étude a montré entre autres [...] les incroyables compétences entrepreuneriales que l'on peut trouver dans l'économie grise, en Afrique, raconte Mathias Schluep, chercheur à l'Empa, dans le communiqué de l'Institut. En fournissant les outils et les savoir-faire, nous avons éliminé les risques pour l'environnement et la santé qui peuvent être causés par une mauvaise manipulation des déchets électroniques. Mieux encore, nous avons créé une nouvelle filière d'emploi pour tous ces esprits créatifs de l'économie grise. » La deuxième phase du projet vient de démarrer, comme le souligne l'EMPA, afin d'étendre la démarche à d'autres pays d'Afrique. Les TIC pour faire face aux défis environnementaux Au même moment, Microsoft signe un accord de principe avec le PNUE (Programme des Nations Unies pour l'environnement) sur « un travail commun sur les moyens de mettre à profit les solutions de technologies de l'information et de la communication pour contribuer à faire face aux défis environnementaux complexes actuel ». Trois axes principaux de recherche sont envisagés : fournir un accès aux recherches et aux informations scientifiques sur l'environnement, construire des plateformes de connaissances intégrées pour une meilleure coopération des différents acteurs (gouvernements, agences de l'ONU et autres organisations non gouvernementales), appuyer le développement d'infrastructures d'information et de politiques TIC nationales en matière d'environnement. Parmi ces projets, on trouve la mise à jour de la base données mondiale sur les zones protégées du Pnue. Les deux partenaires travaillent aussi à des portails d'informations environnementales pour tous. (...)

(19/02/2009 17:12:11)

VirtualBox, hyperviseur pour poste client de Sun, en version 2.1.4

Sun livre la version 2.1.4 de sa VirtualBox, son logiciel de virtualisation Open Source pour postes de travail x86. Cet hyperviseur de type 2 s'installe au dessus de Windows, de Linux, de MacOS et d'OpenSolaris. Il supporte des machines virtuelles sous Windows (de 2000 à Vista), Linux, Solaris, OpenBSD et MacOS. VirtualBox, dans le giron de Sun depuis le rachat de l'Allemand Innotek en février 2008, est sortie en version 2.0 en septembre 2008. En décembre dernier, la 2.1 marquait des progrès dans le support des extensions dédiées à la virtualisation d'AMD (AMD-V) et Intel (VT-x) et intègrait les spécificités des processeurs Nehalem (Core i7). Cette version 2.1.4 corrige des bugs, voit ses performances dopées, s'améliore au niveau des interfaces réseau et s'insère mieux dans les environnements VMware. (...)

(19/02/2009 17:04:51)

Delphi et JBuilder accessibles à la demande

Les nostalgiques des outils de développement de Borland tels que Delphi ou JBuilder vont pouvoir se réjouir : Embarcadero, qui les a rachetés en mai 2008, les propose en ligne, au sein d'une offre de distribution originale. Embarcadero All-Access inclut tous les outils de développement et de gestion de bases de données de l'éditeur, l'accès à ce portefeuille (plus de quarante en comptant les éditions différentes des logiciels) étant soumis au paiement d'une seule licence. L'éditeur a prévu quatre niveaux de membres, du Bronze (pour les développeurs ou administrateurs de bases de données isolés) au Platinum (pour les architectes et autres responsables de projets d'entreprise). Selon le niveau de membre et le type de licence retenu (au développeur nommé, au jeton...), chacun pourra puiser dans ce portefeuille les produits qui le concernent. La principale innovation est cependant seulement en train de se mettre en place. Embarcadero prévoit de rendre l'ensemble de ses outils accessibles en utilisation à la demande, directement depuis le Web, grâce à sa technologie InstantOn. D'ici à fin 2009, tous les outils devraient pouvoir ainsi s'utiliser sans installation en local. Embarcadero avait obtenu Delphi, C++ Builder ou encore JBuilder lors du rachat - pour 23 M$ - de Codegear, une entité autonome où Borland avait regroupé ses outils de développement. L'éditeur de JBuilder s'était rendu à cette solution après avoir vainement tenté de les vendre en 2006. Confronté au succès grandissant d'Eclipse, Borland avait décidé de concentrer ses efforts sur le marché de la gestion du cycle de vie des applications. (...)

(19/02/2009 15:47:05)

PAC : Les SSII indiennes représentent moins de la moitié de l'offshore réalisé en Inde

Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC), en France, l'ensemble des prestations informatiques réalisées en offshore a représenté un marché de 1,2 Md€ en 2008, soit 5% du marché des services informatiques de l'Hexagone. A lui seul, le marché de l'offshore en Inde a représenté environ un tiers de ce montant en 2008, soit 350 M€. Ce qui correspond, en volume, à 7 100 emplois à temps plein. Et les SSII occidentales ont représenté plus de la moitié de ce volume d'affaires réalisé en Inde, indique Frédéric Giron, consultant de PAC. « Le premier acteur est Capgemini, suivi, de manière assez lointaine, par IBM, Accenture et Atos, les trois se tenant dans un mouchoir de poche. » Vient ensuite Steria qui, malgré ses investissements, reste « très loin ». A l'horizon 2009-2010, PAC estime que la croissance moyenne de l'offshore indien pourrait dépasser les 50% : et le marché devrait totaliser 16 500 équivalents à temps plein d'ici à l'année prochaine. La crise devrait contribuer à maintenir un niveau élevé de recours à l'offshore Le cabinet considère, en outre, que le modèle indien sur la France s'est illustré au cours des dernières années par des investissements importants de SSII telles Capgemini, Steria, ou encore Atos Origin et également par la présence de plus en plus significative d'acteurs indiens, comme Wipro, Tata Consultancy Services (TCS), Infosys, et HCL. L'Inde est le premier pays d'accueil pour les dépenses offshore, « mais si on considère des régions, complète Frédéric Giron, l'Inde se situe derrière l'Europe de l'Est ». En décembre dernier, PAC estimait que la dépense informatique offshore des entreprises françaises, qui avait atteint les 1,2 Md€ en 2008 (+ 40%), devrait continuer à progresser pour s'établir à 1,740 Md d'euros en 2009. La crise économique devrait contribuer à maintenir un niveau élevé de recours à l'offshore, toutefois, note Frédéric Giron, « il reste un facteur limitant : le modèle offshore reste compliqué à mettre en oeuvre ». (...)

(19/02/2009 15:05:07)

Selon Intel, d'ici à 2012, un serveur sur quatre sera installé dans un méga-datacenter

Intel affirme que, d'ici à 2012, entre 20% et 25% des serveurs se trouveront dans des "méga-datacenters". Aujourd'hui, toujours selon Intel, ce type de sites ne représente que 10% du marché. Pour Intel, ces méga-datacenters sont ceux de grands acteurs comme Google, Amazon, Microsoft, les opérateurs telcos/Internet et les fournisseurs de services web 2.0 comme SalesForce. Sous l'effet de la crise, tous devraient connaître une forte augmentation de demandes d'externalisation ou de sous-traitance de la part d'entreprises en quête d'optimisation des coûts. Ces prédictions d'Intel préparent le terrain pour l'annonce imminente de ses premiers processeurs Nehalem pour serveur. Fondés sur la même architecture que le Core i7, ils constituent une rupture technologique qu'il convient de justifier en ces temps de vaches maigres. Capacité de traitement unique comme pour un processeur multicoeur Aujourd'hui, les datacenters qui déploient des environnements virtualisés - premier pas vers une architecture en cloud - optent le plus souvent pour des serveurs rack biprocesseurs milieu de gamme plutôt que pour des machines dernier cri. Les prix de ces bipro bénéficient d'une forte concurrence entre les constructeurs. Dans l'espoir de relancer le marché, Intel fait reposer sa stratégie "cloud computing" sur ses Nehalem. Le fondeur promet des plateformes optimisées pour s'insérer dans des datacenters où les serveurs seraient conçus pour être gérés en "pool", vus comme une capacité de traitement unique comme l'est un processeur multicoeur aujourd'hui. Il fait miroiter un ensemble de serveurs capable de réallouer dynamiquement leurs ressources pour optimiser la répartition de la charge de traitement. Willowbrook, carte-mère moins gourmande et prête pour la virtualisation Intel a aussi levé le voile sur "Willowbrook", une carte-mère conçue par ses soins qui ramène de 110-115 watts la consommation en veille d'un serveur Nehalem à moins de 85 watts. Promise pour la fin mars, elle sera dotée de fonctions dédiées à la virtualisation, tout particulièrement pour les entrées-sorties. Intel met en avant Virtual Machine Device Queues (VMDq), qui décharge l'hyperviseur dans ce domaine et souligne le rôle que pourrait jouer le bus PCI Express (PCIe) dans la virtualisation des périphériques d'entrées-sorties. Dans un datacenter, dont la taille serait telle que les coûts de personnel s'effaceraient devant l'ampleur de ceux des équipements, Intel estime que 75% des coûts de fonctionnement proviennent du coût de l'infrastructure (pour 50%) et de la consommation électrique (pour 25%). Pour un tel site dont les ressources serveur sont uniformisées autour de processeurs Nehalem, Intel identifie plusieurs sources d'économie au niveau des infrastructures. 57% proviennent d'une optimisation du code, autrement dit, d'une gestion fine des ressources en fonction de la charge, 23% sont dégagées par une amélioration de la consommation, 17% de serveurs aux cartes-mères optimisées et 3% de la conception du datacenter. (...)

(19/02/2009 12:55:51)

L'éditeur français Oslo Software reçoit 740 000 euros du réseau Finaréa

Créé en 2001, l'éditeur lyonnais Oslo Software vient d'obtenir un financement de 740 000 euros du réseau Finaréa pour renforcer ses équipes commerciales autour de sa solution Dreams (Dynamic resource allocation and management suite) et poursuivre son développement en France et à l'international. Sa technologie complète les outils de gestion de processus métiers (BPM) et de gestion des événements complexes (CEP) par l'allocation des ressources humaines ou matérielles à des tâches, de façon dynamique et en temps réel, en fonction des contraintes et de la prise en compte d'événements imprévus. Sa solution est en particulier mise en oeuvre par les industriels qui veulent améliorer leur qualité de service ou réduire le délai de mise sur le marché de leurs produits. Oslo Software a également développé des solutions adaptées à l'optimisation des processus dans les centres d'appels ou dans les services d'assistance aux utilisateurs. Réseau Finaréa, axé sur les petites enterprises Le réseau Finaréa met en relation des investisseurs avec les entrepreneurs de petites structures. Il a également vocation à accompagner les choix stratégiques des petites entreprises auquel il apporte ainsi un soutien financier. A son comité d'investissement figurent notamment Paul Henri Bénoit, chargé du financement des entreprises au Conseil régional d'Ile-de-France, et Marie-Claude Taillandier, responsable du crédit aux entreprises au sein d'Oséo. En septembre dernier, Oslo Software, co-fondé et dirigé par Emmanuel Gonon, avait déjà levé 2,7 M€ auprès de Script Capital, Capitalaira et NGI. Egalement directeur technique de la société, Emmanuel Gonon a été l'an dernier finaliste du prix du jeune dirigeant organisé par Ivy Executive Search, cabinet de recrutement de cadres exécutifs. (...)

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