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(15/12/2011 10:16:20)
ETC référence Huawei sur la partie réseau
Lundi dernier, le directeur général Europe de SDG, Paul Eccleston, a expliqué aux dirigeants de ses filiales, la portée du référencement de Huawei. Cet accord porte sur la distribution des produits datacom, vidéoconférence et vidéo surveillance. « Il nous manquait un partenaire en networking pour le haut de gamme, explique Bruno Barrat, directeur général France de ETC-SDG, qui assistait à la réunion. Huawei veut passer de 28 à 31 milliards de dollars de CA mondial, c'est un constructeur de poids sur son marché et un partenaire important pour le groupe SDG».
En France, ETC va recruter 5 à 7 collaborateurs uniquement pour proposer les produits et solutions de Huawei à ses revendeurs. Une équipe dédiée à ce constructeur et directement rattachée à Bruno Barrat. Elle s'activera non seulement sur les produits datacom, mais sur la vidéoconférence que propose également Huawei. La perte de Tandberg data, racheté par Cisco, et qui passait par une quarantaine de partenaires d'ETC, a créé un vide chez le grossiste. « Nous sommes orphelins de ces produits que nous retrouvons avec Huawei », souligne Bruno Barrat. ETC va donc revenir vers des partenaires spécialisés pour cette gamme de produits.
40% des revenus d'ETC
L'ensemble des produits de networking et d'infrastructure (serveurs, réseaux), représente 40% du chiffre d'affaires d'ETC. C'est dire l'importance du partenariat signé avec Huawei pour le grossiste. SDG-ETC fonctionnant de manière de plus en plus intégrée, évalue et référence ainsi de nouvelles solutions pour tous les pays où il est implanté. « Je suis hyper optimiste et hyper motivé pour déployer les solutions de ce nouveau partenaire note Bruno Barrat. Nous allons également présenter leurs produits de vidéosurveillance, une première pour nous. Et nous intéresser à d'autres pans de leur offre très complète ».
Huawei sera présent au salon IT Partners, pour sa grande présentation au marché français, tout comme ETC habitué des lieux.
HP inaugure ServiceOne, offre de certification services
ServiceOne, annoncé au mois de juillet dernier est opérationnel depuis début novembre (début de l'année fiscale chez HP) est une évolution des services existants de HP. « Nous voulions d'abord les simplifier, note Christophe Jousselin, directeur ventes technologie services commercial, SMB et channel.
Un partenaire aura ainsi un seul niveau de collaboration, mais pourra revendre des services HP soit en tant que « spécialiste » soit comme « expert ». Deux certifications simples. « Spécialiste » concerne les ventes des divisions PC, imprimantes, services, les « expert » travaillant sur les offres stockage (3Par ou Eva), A-Series, Blade Matrix, et les solutions pro actives. En fait, le partenaire sera qualifié ServiceOne en tant que société et ses ingénieurs seront certifiés, une distinction importante et réservée à ce type de partenariat.
Elargir les prestations de services
ServiceOne va également élargir les prestations de services. Non seulement le partenaire pourra revendre Care Pack, l'offre de services packagés de HP, mais aussi des offres en contrats pour les partenaires experts. Il interviendra tout au long du cycle de vie des produits. Les partenaires seront également rémunérés en conséquence et auront accès à des prestations plus larges. Les marges arrière sur les services étaient de 4%, elles pourront atteindre jusqu'à 6% pour les partenaires de niveau expert. C'est le nerf de la guerre. Les partenaires « expert » auront également accès au capital intellectuel des produits HP.
ServiceOne est intégré dans PartnerOne, le grand programme général de HP. La partie France a déjà certifié des partenaires dans ce nouveau programme, une soixantaine, 41 comme spécialistes et 17 en tant qu'experts. La société veut aller jusqu'à une centaine de partenaires d'ici un an sur ce programme très spécifique.
Dans la deuxième moitié de 2012, les grossistes devraient être impliqués dans ce programme et de nouvelles offres en maintenance seront intégrées dans ServiceOne.
Plus de 200 milliards de vidéos regardées sur le web
Près de 88,3 milliards de ces 201,4 milliards de vidéos, soit 43,8%, ont été visionnées sur des "sites Google", catégorie dont YouTube représente 99%. A la deuxième place suit Youku Inc. avec 2,3% de parts de marché. 4,6 milliards de vidéos en ligne ont été regardées sur la plateforme chinoise en octobre 2011.
Vevo arrive troisième, avec 3,7 milliards de vidéos, soit 1,8% de parts de marché. A noter: 97% des vidéos de Vevo ont été vues sur la chaîne YouTube de la plateforme. Facebook est quatrième avec 1,3%, suivi de Dwango Co. Ltd avec 1,2%.
En septembre, YouTube avait été classé numéro un de la vidéo en ligne aux Etats-Unis en termes d'audience comme en nombre de flux dans une enquête Nielsen report publiée le 3 novembre. En termes de "temps par spectateur", en revanche, c'est le service de VOD Netflix qui s'était illustré.
(...)(15/12/2011 09:43:43)Skydrive arrive sur l'iPhone
Microsoft a mis à disposition des mobinautes une application Skydrive pour iPhone, son service de stockage virtuel qui propose 25 Go en ligne. Elle reprend toutes les options de gestion et de partage de la version déjà disponible pour Windows Phone. Il est désormais possible d'accéder, de visualiser et de partager tous ses fichiers (documents Office, photos, vidéos, etc.) depuis son smartphone.
L'application Skydrive autorise le chargement de documents directement depuis le terminal, l'envoi de liens vers des fichiers par e-mail ainsi que la création et la suppression de fichiers ou de dossiers. Elle est disponible sur l'App Store (pour l'iPhone) et le Marketplace (pour les Windows Phone). Le service de base est gratuit, il suffit de disposer d'un compte Hotmail ou Windows Live pour utiliser ce disque virtuel en ligne.
(...)(15/12/2011 09:43:13)Annuels Dimension Data : Une bonne croissance et des ambitions dans le cloud
L'intégrateur Dimension Data publie son chiffre d'affaires (CA) annuel, pour un exercice clos au 30 septembre dernier. Il s'élève à 5,8 milliards de dollars, en hausse de 14,8% (à taux de change constants). Le bénéfice d'exploitation est également en croissance, de 10,8%.
C'est l'activité intégration qui constitue l'essentiel du chiffre d'affaires, 78%, avec un CA de 4,5 milliards de dollars US. Elle est en croissance de 12,8%, son bénéfice en hausse de 7%. Les autres activités du groupe sont également en croissance, 6,% pour la branche solutions internet, 22,9% pour Plessey et 24,3% pour Express Data.
La société se félicite de ses chiffres, non affectés par la crise. Elle prévoit pour 2012 de renforcer ses activités dans le cloud, après la création d'une division ad hoc.
Logica supprime 1300 emplois en Europe
La SSII anglaise, Logica, a annoncé une révision des prévisions de ses résultats annuels. Elle mise sur une croissance de 3% contre une estimation le mois dernier de plus de 3% de son chiffre. Les raisons de cet avertissement sont expliquées dans un communiqué « nombre de nos clients repoussaient des dépenses à court terme et réduisaient certains investissements pour se protéger d'un avenir économique incertain ».
En conséquence, Logica annonce un renforcement de son plan de restructuration. Elle va supprimer 1300 emplois, soit 3% de ses effectifs. Les principaux pays concernés sont le Bénélux où entre 450 et 550 personnes seront touchées et l'Angleterre et Suède avec 650 postes supprimés. Pour ces derniers, les activités de gestion des infrastructures de Logica seront affectées avec l'accélération de l'automatisation et le recours à l'externalisation.
Les annonces de Logica ont eu un impact sur le cours de bourse de Cap Gemini. Les analystes sont inquiets sur l'impact de la crise sur les SSII.
La télémédecine se met en place doucement
Lancée par deux professionnels de santé (un médecin et un gestionnaire), cette plateforme en ligne permet aux internautes de profiter de conseils médicaux à distance. L'objectif est de renforcer l'accès aux soins dans les zones reculées. Pour profiter de ce service, il suffit de s'inscrire sur le site en question, puis d'indiquer l'objet de sa demande et la tranche horaire durant laquelle le médecin généraliste ou spécialiste peut prendre contact. Les internautes peuvent également fournir via la plateforme des documents médicaux tels qu'une radio, une ordonnance ou des résultats d'analyse.
Ce service de téléconseil médical est accessible à 3 € la minute par téléphone, ou à 13 € par prestation de conseil réalisé par messagerie électronique. A long terme, la société France médecin souhaite développer la télémédecine libérale, qui permet à un professionnel de santé agréé d'établir un diagnostic ou une prescription médicale à distance.
Les nouveaux noms de domaine attendus en janvier 2012
C'est à Singapour, le 20 juin 2011, que l'Icann a autorisé l'utilisation de nouveaux suffixes dans les adresses web. Les premiers à en profiter devraient en toute logique être les entreprises et les villes, dans des visées marketing évidentes. Ainsi, à la place d'un traditionnel .com ou .fr, il va bientôt falloir s'habituer à ".microsoft" ou un ".paris".
Du 12 janvier au 12 avril 2012, une première vague de demandes pourra être adressée à l'Icann. Le processus d'attribution, encore abstrait, promet toutefois d'être complexe et relativement cher. Le ticket d'entrée pourrait se situer à plus de 100.000$ (73.333€ environ).
L'Icann n'a jusqu'à présent accordé que 22 noms de domaines génériques (contre environ 250 extensions, correspondant chacune à un pays). La dernière extension autorisée a été le fameux .xxx, réservé à l'industrie pornographique.
(...)(14/12/2011 16:00:11)Google s'empare de Clever Sense et de son assistant personnel
Google s'est offert la start-up Clever Sense, créatrice d'Alfred, une application mobile de recommandations personnalisées de lieux, pour un montant non encore divulgué. Le géant des bons de réduction Groupon aurait également été sur les rangs pour racheter Clever Sense. Mais c'est la firme de Moutain View qui a eu le dernier mot avec ce rachat qui lui permettra de se renforcer dans le domaine des recommandations locales. En septembre dernier, Google s'était emparé de Zagat et de ses guides gastronomiques, ce qui lui avait permis de disposer des meilleures offres de restaurants et des recommandations des consommateurs sur leurs endroits favoris.
Alfred est un assistant personnel qui fournit des suggestions sur les restaurants, les bars et sur la vie nocturne dans la localité où l'utilisateur se trouve.
Une application pour le grand public et les professionnels
Babak Pahlavan, co-fondateur et PDG de Clever Sense, a précisé, dans une note publiée sur le site Internet de la start-up, que l'application Alfred pouvait inclure d'autres sources de données et services. Pour lui, la découverte de l'information locale est importante et les particuliers, comme les professionnels, profiteront de l'acquisition de la société.
Le patron de Clever Sense estime aussi qu'aujourd'hui, il est devenu plus que nécessaire d'avoir un assistant personnel compétent, toujours prêt à ses côtés, qui passera au crible la surcharge d'information quotidienne et offrira des choix réellement pertinents en fonction de ce que l'on aime ou ce que l'on veut faire.
Andy Rubin, vice-président de l'activité mobile chez Google, avait cependant déclaré, lors de la conférence AllThingsD Asiad en octobre dernier, qu'il ne pensait pas qu'un smartphone devait faire office d'assistant. « Vous ne devriez pas communiquer avec votre smartphone, mais plutôt être en communication avec quelqu'un grâce à celui-ci », avait-il souligné.
La plateforme, autour de laquelle Alfred est bâti, est décrite par son éditeur comme étant conçue « pour connecter le monde en ligne avec le monde hors ligne en fournissant des recommandations aux utilisateurs, en tenant compte de leur temps, du lieu et de leurs intentions ».
L'assistant est disponible pour les terminaux sous Android et également pour les iPhone et les iPad.
Un moteur d'extraction intégré dans la plate-forme Clever Sense traite d'importants volumes de données non structurées en utilisant le traitement du langage naturel, l'apprentissage automatique statistique, et des algorithmes de data mining. Il est informé des intérêts des consommateurs et de leurs préférences en se fondant sur des interactions avec diverses sources, comme les applications de Clever Sense, mais aussi avec Facebook et Twitter.
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