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(14/12/2011 15:59:01)
L'UE classe l'affaire de maintenance des mainframes IBM
En juillet 2010, la Commission européenne avait diligenté deux enquêtes. La première était liée aux plaintes déposées par TurboHercules, T3 Technologies et Neon Entreprise, qui se sont vues refuser la fourniture d'émulateurs mainframe pour cause de violation de brevets. Certains de ces droits avaient fait l'objet d'un accord Open Source. En août dernier, les trois acteurs ont abandonné leur plainte après négociation avec Big Blue.
L'autre enquête portait sur le comportement discriminatoire présumé d'IBM vis-à-vis de ces concurrents fournissant des services d'entretien pour les mainframes. La Commission craignait en effet l'existence de pratiques anticoncurrentielles en vue de verrouiller le marché des services de maintenance (en évinçant ses concurrents potentiels du marché), notamment en restreignant ou en retardant l'accès aux pièces de rechange dont IBM est le seul fournisseur. L'exécutif bruxellois indique dans son communiqué que « IBM s'engage à mettre rapidement ses pièces de rechange et ses informations techniques à la disposition des agents de maintenance indépendants, à des conditions commercialement raisonnables et non discriminatoires. » Les engagements sont juridiquement contraignants souligne la Commission et en cas de non-respect de ses obligations, « elle pourrait lui infliger une amende pouvant atteindre 10 % de son chiffre d'affaires total, sans avoir à prouver l'existence d'une quelconque violation des règles de concurrence de l'UE. » (...)
Selon Nvidia, les GPU pour consoles atteindraient « la dizaine de téraflops d'ici 2019 ».
Le concepteur de puces graphiques Nvidia pronostique que les consoles de jeu vont offrir des performances de l'ordre de la dizaine de téraflops d'ici la fin de la décennie. Ces consoles seront capables d'afficher en temps réel des vidéos avec la qualité que l'on retrouve aujourd'hui dans les fameuses scènes cinématiques d'introduction ou de transition dans les jeux actuels, selon le PDG de la compagnie Jen-Hsun Huang.
Les consoles de jeux de demain finiront par offrir le même niveau de performance que certains superordinateurs actuels, a-t-il poursuivi. Une PlayStation 3 a actuellement une capacité de traitement de quelques centaines de gigaflops seulement, selon M.Huang. Mais en 2019, les consoles de jeu se rapprocheront des performances du supercalculateur Red Storm, qui a été initialement conçu pour atteindre les 41,5 téraflops. Mais contrairement aux supercomputers qui exigent des mégawatts d'électricité pour fonctionner, les consoles de jeu à venir fonctionneront avec la même quantité d'énergie qu'aujourd'hui, a-t-il précisé.« Nous serons en mesure d'offrir ce niveau de capacité en 2019 dans une console de jeu consommant 100 watts », a ajouté le dirigeant.
Combiner GPU et CPU pour réduire la consommation électrique
Huang a fait ces déclarations ce mercredi à Beijing et ajouté que Nvidia s'efforce également d'améliorer les performances des GPU (unités de traitement graphique) équipant les supercalculateurs. Les puces graphiques de la société sont déjà installées dans certains des superordinateurs les plus rapides du monde pour aider à rendre les systèmes plus économes en énergie. En Chine, le Tianhe-1A, qui a brièvement occupé la première marche du podium Top 500 en 2010, emploie plus de 7 000 GPU Nvidia.
Combinées aux processeurs, les puces graphiques de Nvidia vont aider les superordinateurs à atteindre des performances plus élevées sans augmenter d'autant la consommation électrique, a indiqué M.Huang. Ce qui finira par permettre à un superordinateur d'atteindre une vitesse de traitement d'un exaflop (1 milliard de milliards d'opérations en virgule flottante par seconde) d'ici l'an 2019 en consommant seulement 20 mégawatts, a-t-il ajouté.
Actuellement en construction, le supercalculateur américain Titan va utiliser 18 000 GPU Nvidia. Le Titan aura une vitesse de pointe de 20 pétaflops, soit beaucoup plus que le superordinateur le plus rapide aujourd'hui, le K japonais, qui pointe à 8 pétaflops et consomme près de 10 mégawatts d'électricité.
ASG Software Solution acquiert Atempo, spécialiste du backup et de l'archivage
Le fournisseur américain de logiciels professionnels, ASG Software Solution a annoncé le rachat de la société californienne, Atempo. Celle-ci est spécialisée dans les solutions d'archivage et la protection des données. Basée à Palo Alto, elle va enrichir le portefeuille d'AGS Software en matière d'archivage et de sauvegarde des données. Atempo possède 13 bureaux dans le monde et plus de 4500 clients manipulant de larges volumes de données, dans différents secteurs d'activités comme notamment l'industrie, l'audiovisuel, la santé, les télécommunications, le secteur public et l'éducation. La technologie d'archivage d'Atempo permet la préservation des contenus numériques sur le long-terme, l'optimisation des ressources de stockage et la gestion des métadonnées répondant aux besoins de recherche/e-discovery et de conformité réglementaire.
Une orientation vers le cloud
Michael Wall, président directeur général d'Atempo, explique que « ASG apporte à Atempo une plateforme de croissance et d'expansion sur le marché du cloud ainsi qu'une plus grande couverture à l'échelle mondiale. » De son côté, Arthur Allen, président directeur général d'ASG, estime que « la flexibilité d'Atempo est idéale pour renforcer plusieurs de nos champs de compétence comme notamment notre offre cloud et nos solutions de gestion de l'information et d'infrastructure ». Si l'orientation vers le cloud computing ne fait aucun doute, les termes financiers de l'acquisition n'ont pas été dévoilés.
Base de données : SAP vise désormais la place de numéro 2
Le projet HANA, dont la paternité revient au fondateur de SAP, Hasso Plattner, et au CTO, Vishal Sikka, a été initialement présenté au milieu de l'année 2010 comme une plateforme permettant d'exécuter des charges de travail analytique beaucoup plus rapidement qu'avec les bases de données traditionnelles. Selon SAP, ce mode de fonctionnement où le système inscrit les données qu'il doit traiter en RAM, au lieu de les lire sur les disques, permet des gains en performance significatifs, voire très impressionnants.
Mais, rapidement, SAP a commencé à évoquer la capacité de HANA à gérer des charges de travail transactionnelles dans le domaine de l'ERP (Enterprise Resource Planning) et dans d'autres types d'applications, le positionnant comme une alternative éventuelle à certains produits, notamment la base de données phare d'Oracle. « C'est une opportunité très stimulante, parce qu'elle ouvre sur la possibilité de développer des applications totalement nouvelles », a déclaré Vishal Sikka à la keynote qu'il a donné à l'Influencer Summit de Boston. Sur une diapositive, il a montré la future pile logicielle basée sur HANA. À la base de la pile se trouvent HANA et les services d'infrastructure et de gestion du cycle de vie associés. Viennent ensuite les services d'applications, puis ABAP et les services de la plateforme Java, surmontés par les environnements de développement, et enfin les applications construites par SAP et celles des vendeurs tiers.
SAP bientôt numéro 2 dans les SGBD ?
SAP trace aussi d'autres perspectives, annonçant une série d'initiatives en relation avec HANA de la part de vendeurs de middleware et d'analytiques comme Tibco, du fournisseur d'ERP UFIDA, du vendeur de visualisation de données BI (business intelligence) Tableau and Jive Software, connu pour ses solutions de réseau social pour l'entreprise. « Dorénavant, SAP entend disposer d'un « écosystème tout à fait ouvert » pour HANA, » a indiqué Vishal Sikka. Cela paraît logique, bien sûr, étant donné que HANA est un produit relativement nouveau qui a beaucoup de choses à rattraper pour se mettre au niveau d'Oracle et d'autres. Cela n'a pas empêché un autre responsable de SAP de faire une prédiction très optimiste, mardi, après la keynote de Vishal Sikka. « Retenez-ce que je vais vous dire : en 2015, nous serons le deuxième vendeur de bases de données sur le marché, » a déclaré Steve Lucas, Global General Manager Business analytics and technology. « Je sais qui nous devons dépasser. Ce ne sont pas de petits acteurs. Il va nous falloir quelques années et beaucoup d'ingénierie pour y arriver. Mais nous le ferons. »
« SAP va également chercher à conclure des partenariats avec des éditeurs de logiciels qui intégreront HANA dans leurs produits, » a ajouté Steve Lucas. Une autre bonne manière pour SAP d'avancer vers son objectif serait d'ajouter le support HANA pour son logiciel phare Business Suite, dont de nombreuses mises en oeuvre fonctionnent sur Oracle. « Ce travail est en cours, et comme aucune date d'achèvement n'a été fixée, on peut s'attendre à une mise à jour pour la conférence Sapphire de l'année prochaine, » a déclaré Sethu Meenakshisundaram, CTO adjoint de SAP. « C'est un projet de première importance et nous avançons. » SAP n'a pas encore décidé « si elle vendra aussi HANA comme base de données autonome, » a encore déclaré Vishal Sikka dans une interview.
Déjà 100 millions de dollars de vente pour HANA
« En attendant, SAP a récemment franchi une étape avec HANA, dépassant les 100 millions de dollars de ventes, » comme l'a révélé le directeur technique de SAP au cours de sa keynote. HANA est vendu sous forme d'appliance par un certain nombre de fabricants. « Les 100 millions de dollars ne prennent en compte que les revenus de licence du logiciel de SAP, » a aussi précisé Vishal Sikka dans son interview. « Autre signe du succès de HANA, dans toutes les régions du monde, les clients ont racheté d'autres produits intégrant le système, » a ajouté le dirigeant. « CSC, l'un des leaders mondiaux dans le conseil, l'intégration de solutions d'entreprise et l'externalisation devrait adopter HANA, » a déclaré David McCue, vice-président et CIO de CSC, dans une interview. « La première instance de production concernera environ 1 téraoctet de données, mais CSC réfléchit, encore à quel type d'usage elle sera affectée, » a-t-il ajouté.
« HANA est un produit jeune, mais c'est aussi une solution viable, » a encore déclaré le CIO de CSC. « Nous sommes suffisamment confiants pour l'acheter, et nous réaliserons plusieurs mises en oeuvre pour le compte de nos clients, » a-t-il ajouté. Ce dernier a aussi donné un point de vue mesuré sur le projet à long terme envisagé par SAP pour HANA. « S'il est matériellement réalisé, le produit aura un très bon retour, » a-t-il estimé. « Sans aucun doute, HANA a montré dans sa version actuelle qu'il avait assez de ressources pour qu'on s'y intéresse. Mais comme toute prospective à long terme, celle-ci pourrait être contredite par les événements. »
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Hier à Boston, SAP a également abordé la question de sa stratégie logicielle dans le cloud computing, récemment agitée par le rachat de SuccessFactors pour 3,4 milliards de dollars. C'est le PDG du vendeur de logiciels de gestion des ressources humaines à la demande, Lars Dalgaard, qui sera placé à tête de l'activité cloud de SAP une fois la transaction achevée. Cette acquisition intervient après plusieurs années pendant lesquelles SAP s'est employé à peaufiner précisément son approche du logiciel dans le cloud. Cela n'a pas été une mince affaire pour un éditeur comme SAP, dépendant du modèle de logiciel sur site et du flux de revenus prévisibles et lucratifs rapportés par le renouvellement perpétuel des licences et les services de maintenance. Ce concept a du être bouleversé et remplacé par un système d'abonnement, devenu le standard du cloud.
« Mais SAP a encore le temps de voir venir, et l'expérience de SuccessFactors va être un atout majeur, » a déclaré Jim Hagemann Snabe, le co-CEO, lors d'un discours liminaire. « 80% des clients importants n'ont pas fait leur choix de stratégie pour le cloud, et pensent encore en terme de cloud privé. On voit aussi que les applications de pointe sont encore confiées à des services de cloud public. » « La combinaison de nos actifs et de SuccessFactors transforme une entreprise qui a essayé de bien faire les choses... en une entreprise qui va croitre rapidement dans le monde, » a-t-il ajouté. « Nous passons aussi d'un mode défensif, à un mode offensif. »
(...)(14/12/2011 14:15:57)L'Inria et France Brevets s'associent pour valoriser les brevets
France Brevets est un fonds de 100 millions d'euros qui s'inscrit dans le cadre du programme d'investissements d'avenir (PIA) lancé en 2009. Il est géré par la Caisse des Dépôts et l'Etat avec pour mission d'aider la recherche publique et privée à mieux valoriser ses portefeuilles de brevets. Après avoir passé un partenariat avec l'Institut Telecom en juin dernier, c'est au tour de l'Inria de signer aujourd'hui un accord avec France Brevets. La coopération portera sur plusieurs volets, le premier est l'apport des droits de propriété intellectuelle des laboratoires de recherches de l'Inria en collaboration avec des industriels et/ou des pôles de compétitivité. Ce portefeuille servira à la création de grappes de brevets spécifiques à certains secteurs. Bruno Portisse, directeur du transfert et de l'innovation à l'Inria explique : « cela peut concerner l'Internet du futur, le travail sur les protocoles, sur les codecs dans le multimédia ». Les TIC ont été la priorité de France Brevets pour l'année 2011, « ce secteur est très dynamique avec un fort potentiel. Il irrigue aussi d'autres secteurs comme l'énergie, la santé » précise Jean Charles Hourcade, directeur général de France Brevets. Des équipes comprenant des experts techniques et juridiques sont constituées pour mener à bien cette mission de suivi et d'identification des groupes de brevets.
Valorisation et standardisation
Les autres axes du partenariat portent sur la valorisation de ce portefeuille de brevets, notamment sur les aides financières pour protéger et valoriser ces droits. « Il s'agit d'un accompagnement sur un temps long. Par exemple, la brevetabilité du logiciel est un mécanisme sur le long terme » souligne Bruno Sportisse et Jean Charles Hourcade d'ajouter, « cela pérennise aussi les efforts de PME qui inventent, créent, dans les différents secteurs concernés, allant du dépôt jusqu'aux extensions à l'internationale ». Pour la valorisation, France Brevets dispose de plusieurs moyens, soit un mandat de valorisation avec une commission sur la cession des droits, soit il obtient un droit de sous-licencier, enfin le fonds n'exclut pas d'acquérir des brevets en propre. Enfin, le partenariat insiste sur l'impact des groupes de brevets sur la standardisation et la normalisation. Si 2011 a vu la priorité aux TIC Télécom, France Brevets va se pencher en 2012 sur d'autres sujets comme la chimie et les matériaux, mais aussi les sciences du vivant.
Face aux critiques, AdBlock Plus justifie l'affichage de certaines pubs
Hier, l'éditeur allemand Eyeo a livré la version 2.0.1 d'AdBlock Plus pour Firefox, laquelle aura par défaut, la fonctionnalité « Autoriser la publicité non-intrusive ». Celle-ci permet de ne pas bloquer les publicités à condition qu'elles ne soient pas intrusives, comme l'a fait savoir le co-fondateur Till Faida. Néanmoins, il reste possible de la désactiver. « Depuis plusieurs années, les utilisateurs nous disent qu'ils ne sont pas opposés aux publicités, mais qu'elles sont trop dérangeantes, » a déclaré Till Faida, qui travaille avec Wladimir Palant, le chef de projet d'AdBlock Plus depuis 2006. « Mais les webmasters font valoir qu'ils ne peuvent pas créer des contenus gratuits si nous bloquons la publicité et nous disent que nous supprimons leur seule source de revenus, » a-t-il ajouté.
La nouvelle fonctionnalité permettra d'afficher des pubs statiques, sans animation et sans bande-son, par exemple en texte seul et sans images cherchant à capter l'attention. De plus elles ne doivent utiliser qu'un script au maximum pour ne pas alourdir le chargement de la page. « C'est une sorte de compromis, » a reconnu Till Faida. « Mais notre position est claire : nous avons établi le profil des annonces acceptables et de celles qui sont trop intrusives pour être affichées. » Un sondage effectué auprès des utilisateurs d'AdBlock Plus a montré que, si 21% des utilisateurs de l'extension affirment ne vouloir aucune publicité, les autres 79% ont déclaré que la publicité était tolérable tant qu'elle n'était pas dérangeante.
« L'impact d'AdBlock Plus sur les revenus publicitaires des webmasters se fait sentir depuis deux ou trois ans, » a ajouté Till Faida. Selon Eyeo, qui se base sur la mise à jour de ses extensions sur ses serveurs, au moins 12 millions de personnes utilisent AdBlock Plus chaque jour. Mais le co-fondateur estime le nombre d'utilisateurs à environ 30 millions dans le monde. « Avec AdBlock Plus, certains sites ont vu leurs recettes publicitaires diminuer de 50 à 60%, » a-t-il précisé.
Des critiques depuis l'annonce de cette mise à jour
Depuis l'annonce des modifications apportées à l'extension la semaine dernière, les développeurs d'AdBlock Plus sont sous le feu des critiques. On les accuse, à tort, selon Till Faida, d'avoir passé une sorte d'accord avec les régies publicitaires. « Ils craignent que nous abandonnions nos principes et que nous collaborions avec Google, » a ajouté Till Faida, précisant que l'éditeur « n'a pas l'intention de soutenir les réseaux publicitaires de grande envergure comme Google. » AdBlock Plus ne sait pas identifier automatiquement les publicités polluantes. Par contre, Till Faida a confirmé avoir passé des accords avec plusieurs sites allemands. Ceux qui acceptent de diffuser des publicités qui répondent aux spécifications ne sont pas bloqués. Si d'autres réseaux publicitaires souhaitent se conformer à ce cahier des charges, AdBlock Plus pourra supprimer le blocage dès que les entreprises commenceront à diffuser des publicités conformes.
C'est le cas par exemple du site Netzwelt.de, spécialisé dans les nouvelles technologies. Sur ce site, si l'option « Autoriser la publicité non-intrusive » n'est pas désactivée, il affichera des publicités sponsorisées par Google au format texte seulement, lesquelles apparaitront après une recherche sur le web via le moteur de Google, » a expliqué Till Faida. Sur l'autre site partenaire T3N.de, AdBlock Plus, avec la fonction activée, laisse s'afficher des images statiques sponsorisées sur le côté droit de la page web. Le co-fondateur d'AdBlock a déclaré qu'Eyeo ne tire aucun bénéfice financier de ce changement. « Notre petite entreprise se consacre uniquement au développement d'AdBlock Plus, une extension gratuite. Elle est financée par les donateurs privés, concernés par les questions de confidentialité et de traçage des utilisateurs sur Internet, » a-t-il ajouté. « Dans ce domaine, les théories du complot ne manquent pas, » a déclaré Till Faida. Quant à cette nouvelle fonctionnalité, « elle était demandée, selon lui, par une large majorité. » La version 2.0 d'Adblock Plus pour Chrome est en cours de portage.
(...)(14/12/2011 11:50:27)Indicateur Apec : +53 % pour les offres IT depuis un an
D'après l'indicateur mensuel de l'Apec, qui suit les évolutions du marché de l'emploi par fonction, le volume des annonces à destination des informaticiens a de nouveau augmenté au cours du mois dernier. Ce baromètre montre en effet que dans l'IT, le volume des annonces, qui représentent 27% de l'ensemble des offres de cadres, a augmenté de 53% sur douze mois glissants*. Le nombre de propositions a progressé dans l'ensemble des filières, et c'est toujours l'Informatique de gestion qui regroupe le plus grand nombre de demandes. Dans cette catégorie, 4 067 offres ont été confiées à l'Apec au cours du mois dernier et 52 511 annonces ont pu être comptabilisées sur une année (+ 33%).
Plus de 19 000 demandes pour la fonction web
La demande en directeurs de systèmes d'information a fortement progressé au cours du mois dernier (+97% et 4 318 postes). La catégorie Maîtrise d'ouvrage et fonctionnel affiche elle aussi une belle progression (+89%, soit un total de 16 392 propositions). La fonction web, sites et portails Internet enregistre également une croissance importante (+82%) avec 1 710 annonces déposées au cours du mois dernier et 19 384 postes cumulés sur douze mois.
Egalement à la hausse, les offres en Exploitation et maintenance informatique (+-61%, soit 8 546 demandes déposées sur douze mois), en Systèmes réseaux et données (+56% et 28 561 annonces comptabilisées sur un an) et également en Informatique industrielle (+51% et 18 418 postes).
* C'est à a dire sur la période de décembre 2010 à novembre 2011, par rapport à la période de décembre 2009 à novembre 2010.
(...)
Nokia Siemens Networks cède ses activités télécommunications fixes
Moins d'un mois après avoir annoncé la suppression de 17 000 emplois, Nokia Siemens Networks (NSN) poursuit sa restructuration. Le conglomérat vend ses activités de télécommunications fixes à haut débit au fournisseur britannique d'équipements de réseaux et de communications Adtran. 400 employés de NSN passeront à Adtran dans des fonctions de recherche et développement, de marketing ou de services aux entreprises.
Marc Rouanne, responsable de la branche Mobile Broadband chez Nokia Siemens Networks, a expliqué cette vente : « Ce projet de cession s'inscrit dans le cadre de notre nouvelle stratégie visant à accroître notre attention au marché du haut débit mobile et des services.»
La transaction devrait, selon le communiqué, être complétée d'ici la fin du mois d'avril 2012. Les détails financiers n'ont pas été divulgués. Pour mémoire, NSN, qui compte 74 000 salariés, a annoncé en novembre dernier la suppression de 17 000 emplois dans le monde d'ici fin 2013. Une décision qui fait suite à des problèmes de rentabilité. Au troisième trimestre 2011, le bénéfice d'exploitation de NSN s'élève à six millions d'euros pour 3,41 milliards d'euros de chiffre d'affaires.
ICTJournal.ch (...)(14/12/2011 10:44:24)La région Aquitaine souhaite reprendre l'initiative sur le très haut débit
Les RIP menés par les collectivités locales ont connu une première génération. Celle qui a mené la fibre optique jusqu'aux entreprises et aux points d'intérêt publics. La région Aquitaine souhaite passer au FTTH, pour amener la fibre jusqu'à l'abonné. C'est son objectif de base.
Mais le paysage reste complexe. Un programme gouvernemental national est lancé (**), les opérateurs privés investissent, mais essentiellement dans les zones rentables. Comment la région peut-elle et doit-elle se positionner ? L'Aquitaine a défini des objectifs. Principe numéro un : apporter une seule réponse publique dans la région. Que ce soit le département, l'agglomération, les syndicats d'électricité ou autres, une seule réponse doit être visible.
Deuxième principe : découpler la construction des réseaux de leur commercialisation. La construction est opérée par des structures comme Gironde numérique (un département). La maîtrise d'ouvrage semble bien placée à cet échelon départemental. En revanche, la région est convaincue que son niveau est plus pertinent pour commercialiser. Elle souhaite créer une structure ad hoc. En complément, l'Aquitaine veut installer un système d'information mutualisé pour repérer le tracé du Très haut débit dans toute la région et dégager les priorités d'investissements. La Région va donc à la fois récupérer les RIP existants, donc les pérenniser, et engager un effort d'investissement pour assurer la couverture et commercialiser.
Un laboratoire des usages
La région se montre également innovante en matière d'usages. D'abord, elle va installer un laboratoire des usages, Aquilab. Il permettra aux porteurs de projet de tester leurs développements avant la mise sur le marché. Ensuite, la région va susciter la création d'un cluster sur le thème de la qualité du web. Trois start-up travaillent déjà pour élaborer un produit de e-réputation. La région a également mis sur pied, Aquitaine Proto, une structure pour financer des prototypes, avant tout sur les serious games, mais également en open source et dans es applications mobiles.
Enfin, mais le sujet est essentiel pour une région, l'Aquitaine veut porter le numérique dans ses territoires. Jusqu'alors, elle attendait les remontées, désormais elle veut susciter des projets autour de thématiques fortes : la e-santé, les déplacements (et le télétravail), la modernisation de la chaîne économique, la numérisation du patrimoine. Défini et adopté ces derniers mois, ce programme sera engagé début 2012, après une large concertation avec les autres collectivités de la région.
(*) RIP : Réseaux d'initiative publique
(**) Programme national très haut débit, Grand Emprunt, FANT (Fonds d'aménagement numérique des territoires).
Intercloud à la recherche de partenaires
InterCloud entend occuper un créneau à part dans le monde du cloud, celui de la garantie de la performance de l'accès sécurisé aux applications critiques. Une solution destinée aux entreprises, avec un lien privé.
La société, qui entend se développer à 90% en indirect, a engagé un programme pour le recrutement de 60 partenaires d'ici fin 2012, une douzaine sont déjà partenaires. Essentiellement des éditeurs, comme Prologue, des intégrateurs et des consultants. Ils agissent, soit en marque blanche, soit comme apporteurs d'affaires. InterCloud leur propose un programme d'accompagnement, de formation et de leads.
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