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(14/12/2011 10:29:05)

Pour développer son SI, Wysecom a choisit la voie interne

Wisecom est un centre de contacts qui est sous-traitant pour de nombreuses entreprises. Dans son activité, le système d'information est un différenciant important par les possibilités qu'il offre de s'interfacer avec les informatiques de ses clients. De plus, il est au coeur de sa qualité de service et de sa performance.

Après avoir étudié plusieurs possibilités, notamment celles similaires à ses concurrents qui s'appuient en général sur des progiciels plus ou moins intégrés entre eux, Wisecom a décidé d'internaliser totalement la création et l'évolution de son système d'information. Celui-ci, réalisé à façon, est conçu au plus près des équipes métier. Une équipe adéquate a été recrutées en interne et proposent aux téléconseillers qu'elle côtoie les outils générateurs de confort, de productivité et de valeur ajoutée pour les clients.

Des socles applicatifs normalisés

Cependant, un développement à façon ne signifie pas un bricolage. Wisecom a ainsi développé des socles applicatifs normalisés pour chaque type d'opération (prise de rendez-vous, télévente, etc.) sur lesquels viennent se plugger des développement sur mesure spécifiques à chaque process en fonction du client concerné (gestion appel/mail, interfaçage avec le SI client...).

De ce fait, chaque opération pour un client donné bénéficie d'une seule application afin de faire gagner en efficacité les équipes de téléconseillers, l'interfaçage avec chaque SI de client est optimisée et maîtrise des coûts et des délais grâce à l'utilisation des socles communs. La société n'a pas communiqué sur les budgets mis en oeuvre.
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(14/12/2011 10:22:50)

Selon une étude PAC, les infrastructures bénéficient du développement des clouds

L'étude Services d'Infrastructure qui vient d'être réalisée par le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC) détaille et analyse les principaux acteurs, segments, prestations et verticaux de ce marché en France. Elle revient notamment sur le fort impact du cloud sur ce marché. Malgré la croissance considérable du secteur du cloud computing, cet impact ne se traduit pas par un arrêt des investissements dans l'infrastructure interne. On pourrait presque dire « au contraire ». Selon PAC, le recours au cloud permet de recentrer l'infrastructure interne sur les éléments les plus porteurs de valeur pour l'entreprise, laissant le cloud s'occuper des banalités. L'industrialisation induite par le cloud amène des économies, donc des marges budgétaires qui sont rapidement absorbées par de nouveaux projets.

Côté fournisseurs de services d'infrastructures, la pression de la concurrence s'intensifie, les opérateurs télécoms devenant prestataires de cloud et donc de nouveaux concurrents, tout comme des acteurs pure player (Google, Amazon...). Le marché des services d'infrastructure reste importants avec une valeur de 12 milliards d'euros par an en France, soit environ la moitié du marché des services informatiques..
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(14/12/2011 10:05:32)

Marketing et réseaux sociaux, les internautes toujours méfiants

Alors que les marques déploient des plans marketing soigneusement étudiés pour capter l'attention des internautes sur les réseaux sociaux, une majorité de ces derniers (57%) ne souhaitent pas interagir avec elles, selon l'étude annuelle Digital Life de TNS Sofres publiée le mardi 13 décembre. Elle recense les comportements de 72 000 internautes dans 60 pays. Au total, 59% des français interrogés ne veulent pas s'engager avec les marques via les médias sociaux. Toujours en France, seulement 29% des consommateurs postent des commentaires en ligne sur leurs offres et leurs produits.

L'étude Digital Life indique toutefois les raisons pour lesquelles les individus s'engagent parfois avec les marques. Par exemple, 47% des internautes français postant des commentaires le font, certes pour fournir des conseils, mais surtout de manière intéressée puisque parmis eux 53% espèrent pouvoir bénéficier de promotions et d'offres spéciales.

Au final, seulement 15% des internautes français considèrent les réseaux sociaux comme un bon endroit pour acheter des produits. Ils sont en outre 21% à avoir déjà participé à des achats groupés, mais seulement 8% ont déjà payé via leur mobile (contre 14% en Europe et 34% en Chine).

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(14/12/2011 11:00:55)

Free Mobile a reçu le feu vert de l'Arcep pour lancer son offre

L'Autorité de régulation des communications électroniques (Arcep) a annoncé que l'opérateur Free dispose désormais d'un réseau 3G couvrant plus de 27% de la population. Il respecte ainsi ses engagements de couverture et doit maintenant commercialiser son offre avant le 12 janvier 2012, comme cela est inscrit dans son autorisation.

Le taux de couverture 3G atteint par Free Mobile étant supérieur à 25% de la population, la société peut bénéficier dès à présent, conformément aux termes des autorisations délivrées aux opérateurs mobiles 3G, de l'itinérance sur le réseau d'un opérateur mobile tiers, en l'occurence Orange, afin de pouvoir fournir ses services mobiles sur l'ensemble du territoire dès son ouverture commerciale. Celle-ci devra intervenir, au plus tard, le 12 janvier 2012. Xavier Niel, dirigeant historique de Free, a promis de diviser par deux la facture de téléphonie mobile des Français.

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(14/12/2011 10:44:42)

Symantec conjugue sauvegarde et protection dans 2 packs pour TPE

Pour les entreprises ayant moins de dix postes de travail, Symantec a constitué deux packs de sécurité Norton pour les ordinateurs sous Windows XP, Vista et Windows 7. Des outils de protection des PC y sont associés à cinq licences de Norton Ghost 15.0, logiciel de sauvegarde et de restauration des données. Ce dernier peut effectuer la sauvegarde d'un système complet ou se limiter à certains dossiers, de façon programmée ou en réponse à un événement. Il peut aussi enregistrer des « points de récupération » sur des sites distants via FTP.

Outre Ghost, le premier pack inclut cinq licences de la suite Norton Internet Security 2012 qui combine un antivirus et une protection contre les logiciels espions et les vols d'identité. Cette offre met en oeuvre les technologies Insight 2.0 et Sonar pour prévenir les menaces et avertir l'utilisateur si l'une de ses applications est touchée par un malware. Norton Safe Web affiche des alertes lorsque l'utilisateur navigue sur le web et bloque les sites non sécurisés.

Le deuxième pack associe le logiciel de sauvegarde à cinq licences de Norton AntiVirus 2012.

Ces Pack Small Business sont respectivement vendus 80 euros environ, pour celui incluant Norton Internet Security 2012, et 50 euros avec Norton AntiVirus 2012 (prix moyens constatés). Ils couvrent la protection de cinq postes sur une durée d'un an.

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(13/12/2011 17:14:54)

SAP s'associe à NetBase pour analyser les médias sociaux

SAP va revendre le logiciel d'analyse des médias sociaux de l'éditeur NetBase. Ce dernier fait partie d'une catégorie d'acteurs qui se développe. Sa plateforme ingère les données issues de médias sociaux, tels que Facebook et Twitter. Elle analyse ensuite ces informations pour récupérer les commentaires émis sur les produits et les marques qu'elle communique aux entreprises concernées. L'offre de NetBase est concurrente de celle de l'éditeur Radian6 qui a été acheté au début de l'année par Salesforce.com. Des fonctions de surveillance des médias sociaux existent également dans la suite de RightNow, acquise de son côté par Oracle.

Selon Byron Banks, vice président marketing pour les solutions analytiques métiers, SAP aurait pu lui-même développer ce type de technologie (*), mais s'associer avec NetBase lui permet d'entrer dans le jeu plus rapidement. Il n'a pas précisé pourquoi SAP n'avait pas plutôt racheté l'éditeur. Le logiciel sera vendu à partir de janvier comme une extension, sous le nom de SAP Social Media Analytics (by NetBase). Son prix sera basé sur le nombre d'utilisateurs et le nombre de sujets qu'une entreprise voudra suivre sur les médias sociaux, a indiqué Lisa Joy Rosner, responsable marketing de NetBase. 

30 téraoctets de données sur un an

L'application cloud de NetBase consiste en une base d'informations de 30 To, rafraîchie au fur et à mesure au rythme d'environ 90 millions de « posts » chaque jour, selon Byron Banks. Le système rassemble les « opinions » récupérées sur une année complète à travers les médias sociaux. Mais ce qui différencie vraiment NetBase des autres offres de ce type, ce sont ses capacités de traitement en langage naturel, souligne Lisa Joy Rosner. « Lorsque quelqu'un dit : « J'aime l'iPhone, il est cool », notre système comprend que « il » se rapporte à l'iPhone », donne-t-elle en exemple. NetBase peut aussi détecter différents niveaux dans l'expression, notamment la distinction qui s'exprime entre « I like iPhone » et « I adore the iPhone ». 

SAP a déterminé environ une douzaine de point d'intégration possibles avec ses autres produits, en particulier avec ses modules CRM (gestion de la relation client) et son portefeuille de solutions décisionnelles BusinessObjects BI. Pour l'instant, aucune des ces intégrations n'est disponible, mais les clients pourront accéder à une API (sous la forme d'un service web) pour les projets qu'ils souhaiteront lancer rapidement.

L'éditeur allemand compte proposer le produit NetBase au-delà des départements marketing, selon Byron Banks. Selon lui, les équipes commerciales peuvent l'utiliser pour ajuster leur stratégie de tarification et mieux comprendre les clients. Les équipes de développement produit pourraient s'en servir pour améliorer leur processus de planification. « Quelles tendances dans la mode pour le printemps prochain ? Si vous produisez en offshore, vous devez le savoir », souligne le vice-président marketing.

Dépasser la surveillance des médias sociaux

Pour l'analyste Zach Hofer-Shall, de Forrester Research, les entreprises devraient dépasser la simple surveillance des médias sociaux. Il faudrait mettre ces données dans des tableaux de bord marketing, écrit-il en citant une banque de détail ayant créé un 'index de santé des marques' qui combine le volume et les sentiments exprimés dans les conversations en ligne, les scores de ses enquêtes en ligne et les réponses recueillies par téléphone.
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Plus encore, les entreprises devraient relier les données des médias sociaux à celles de leurs clients, afin de cibler particulièrement les clients ayant des discussions sur les sites communautaires. « Cette approche soulève des questions relatives au respect de la vie privée et présente des limites lorsqu'il s'agit d'associer les informations entre elles, mais elle a montré son efficacité pour certaines marques grand public », selon lui. Des entreprises comme Fliptop proposent des services censés faciliter cette démarche, ajoute-t-il. Fliptop permet de constituer, à partir d'une adresse e-mail, des profils incluant des informations issues de Twitter, Facebook et LinkedIn.

SAP veut aller au-delà du département marketing

Il est important de reconnaître que l'analyse des médias sociaux n'en est qu'à ses débuts, souligne de son côté Susan Etlinger, analyste chez Altimeter Group, qui a conseillé NetBase et plusieurs de ses concurrents. « C'est tellement nouveau et cela vient de partout », a-t-elle confirmé à nos confrères d'IDG News Service. C'est constitué d'un ensemble d'acteurs de différents types qui sont liés les uns aux autres ». Elle ajoute que Radian6, avec ses tableaux de bord, représente un peu l'archétype général. Tandis que des sociétés telles que NetBase et Crimson Hexagon disposent de capacités d'analyse textuelle plus avancées. 

NetBase a également constitué une base de données plus importante, ce qui lui donne un avantage sur ses rivaux, estime encore Susan Etlinger. Concernant le partenariat avec SAP, « il faudra faire des études de faisabilité », considère-t-elle. « Entre Radian6 et Salesforce.com, les structures ne sont pas si différentes, tandis que les outils de SAP et NetBase sont très différents. Il ne s'agit pas seulement de marketing, mais de développement de produits, de planification logistique, et par essence, tout endroit dans l'organisation d'une entreprise où les médias sociaux pourraient mettre les données en perspective ». 

(*) Début 2010, SAP France avait présenté un prototype d'outil destiné à l'analyse des réseaux sociaux, SNA (Social network analyser), développé par le Centre d'innovation de SAP BusinessObjects.

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(13/12/2011 16:58:49)

Microsoft porte OneNote sur iPad

Microsoft a annoncé hier la mise à jour de son application  OneNote pour iOS spécialement conçue pour les tablettes  iPad. Ce bloc-notes numérique est la première application Office à fonctionner sous iOS. L'éditeur avait livré une édition de son outil de prise de notes pour iPhone en janvier 2011. En présentant la version 1.3 de OneNote, Microsoft a déclaré que l'application avait été optimisée pour l'iPad et tournait en pleine résolution plutôt que l'application d'origine conçue pour iPhone.

«Depuis le lancement de OneNote pour iPhone il y a un an, nous avons relevé une demande récurrente de la part de nos clients qui voulaient une version pouvant être utilisée plus facilement sur le grand écran de l'iPad » a déclaré Michael Oldenburg, technicien au sein du groupe Office, dans un billet de blog.


WiFi, nouvelle interface, prise en compte des tableaux

La version 1.3 de OneNote ajoute également plusieurs fonctionnalités, comme la possibilité de synchroniser ses carnets de notes via le WiFi, une interface à onglets, et la prise en charge des tableaux dans les notes. Les utilisateurs peuvent  aussi relier OneNote à différents  terminaux -  iPhone, iPad et PC sous Windows - en utilisant le service de stockage en ligne et de synchronisation Microsoft SkyDrive

La version gratuite de OneNote pour iOS permet de créer et de modifier 500 notes. Pour dépasser cette limite, les utilisateurs   américains devront payer 11,99 € pour nombre illimité de notes sur un iPad. OneNote 2010  - pour Windows - est proposée pour 79,99 € avec Office Home,  Student 2010, Business 2010 et Office Professionnal Professionnel 2010.

Microsoft devrait également porter son client Lync 2010 sur   iPhone et iPad  Cette plateforme gère l'unification des communications dans l'entreprise et permet aux utilisateurs de choisir entre le courrier électronique, la messagerie instantanée ou les téléconférences.

« Les versions de Lync 2010 pour iPhone, iPad, Android et Nokia Symbian ont été déposées dans leurs appstores respectifs et ils seront disponibles très prochainement », a assuré Pat Fox, directeur marketing d'Office, dans un billet de blog. Les livraisons de Lync 2010 pour Windows Phone 7 ont débuté avant-hier sur le Marketplace de Microsoft.

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(13/12/2011 16:25:47)

Selon la Cnil, les mobiles ne sont pas assez sécurisés

L'étude de Médiamétrie "Smartphone et vie privée" réalisée pour le compte de la Cnil montre que 89% des utilisateurs de terminaux mobiles conservent sur leur appareil des données de contact, 86% des données multimédias, 40% des données à caractère secret (codes divers, coordonnées bancaires, informations médicales, etc.). Ils sont aussi très intéressés par de nouveaux services comme pouvoir stocker leurs cartes de fidélité sur leur mobile (51%) ou même des données médicales (46%). Ils sont aussi 38% à être déjà attirés par la technologie de paiement sans contact (qui concerne les terminaux équipés d'une puce NFC).

Malgré tous ces usages, ils sont majoritairement conscients (65%) que les données contenues dans leur téléphone ne sont pas bien protégées. Ils sont encore 30% à n'avoir aucun code de protection actif sur leur téléphone. Beaucoup pensent, à tort, qu'il n'est pas possible d'installer un antivirus sur son smartphone, alors que pourtant 20% des terminaux tournant sous Android en sont équipés. Autre signe de laxisme, 71% des personnes qui téléchargent des applications ne lisent jamais leurs conditions d'utilisation.

Les jeunes plus sensibles aux questions de sécurité

Ce sont au final les plus jeunes (15-17 ans) qui se révèlent aussi les plus prudents. Ils sont 82% à considérer qu'il est gênant d'enregistrer ses codes secrets (contre 76% en moyenne). Dans cette tranche d'âge, ils sont 37% à utiliser un code de verrouillage spécifique (contre 31% en moyenne). Enfin, 30% personnalisent l'accès aux informations qu'ils publient sur les réseaux sociaux selon leur type de contacts (contre 19% en moyenne).

En France, les utilisateurs de smartphones sont en majorité des hommes (59%), urbains (42%) utilisant un appareil fonctionnant sous Android (33%). D'autre part, sept personnes sur dix n'éteignent jamais leur smartphone. Cette enquête a été réalisée en ligne en novembre 2011 auprès de 2 315 utilisateurs de smartphones âgés de 15 ans et plus.

Pour consulter l'étude de la Cnil : www.cnil.fr/la-cnil/actualite/article/article/smartphone-et-vie-privee-un-ami-qui-vous-veut-du-bien/?tx_ttnews%5BbackPid%5D=2&cHash=aea48e3e9df859117d05f7cd9934d8c3

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