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(13/12/2011 16:09:54)

Apple désire acheter Anobit, spécialiste du stockage flash

Cela fait longtemps qu'Apple n'a pas fait d'acquisition notamment sur la partie hardware, les dernières étant Intrinsity et P.A Semi. Les rumeurs reviennent en force sur une probable acquisition dans le domaine. Selon un article d'un quotidien économique hébreu Calcalist, Apple serait en négociation pour racheter Anobit. La société israélienne, fondée en 2006, a inventé un circuit spécial, appelé Memory Signal Processor, qui renforce la fiabilité et la longévité des mémoires flash MLC Nand, à travers un algorithme de correction d'erreurs.

Son produit s'adresse aux tablettes et aux smartphones pour améliorer la performance de la mémoire flash. La firme de Cupertino pourrait débourser entre 400 et 500 millions de dollars pour acquérir les technologies d'Anobit, qui dispose de 25 brevets validés (sur 91 au total). Apple fait déjà partie des clients d'Anobit, tout comme Samsung et Hynix qui fournit la mémoire de l'iPhone 4S.

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(13/12/2011 15:36:02)

Un magazine sur mesure avec Youmag

Avec la multiplication des sources d'information sur Internet (journaux en ligne, blogs, tweets...), la revue de presse quotidienne est devenue une activité prenante. Si certains grands groupes bénéficient encore de revues de presse quotidiennes sur les sujets concernant l'entreprise et son marché, beaucoup ont choisi de passer par un agrégateur de news - Google Actus, Netvibes, Flipboard, Zite ou Pulse - pour gagner du temps. Youmag, une jeune pousse créée par Guillaume Multrier (Webedia et ancien dirigeant d'Aegis Media) et Antoine Levêque (ancien dirigeant de Marvellous Isobar), propose ainsi un agrégateur de news qui se présente sous la forme d'un élégant magazine numérique pour iPad. À la différence de Google Actualités ou de NetVibes, qui restent 100% web (HTML et Javascript), Youmag est une application gratuite pour iPad disponible en version bêta sur l'App Store depuis le 12 décembre. Les versions pour iPhone, Android et online sont attendues courant 2012 nous a précisé Antoine Levêque.



Un dashboard peuplé de news

Doté d'une interface particulièrement élégante et épurée, Youmag permet de composer un tableau de bord spécial actualité en sélectionnant une liste de thématiques : Politique, International, Sciences, Informatique... On peut ensuite déterminer des sujets plus précis comme le ski ou le vélo pour afficher les dernières actualités sur le thème. On conçoit donc en quelques clics un magazine personnalisé avec des vignettes, avec ou sans photos, qui affichent les dernières news du moment. On aurait aimé un peu plus d'actualités par page, mais l'accent a visiblement été mis sur la lisibilité et le confort de lecture. En complément, l'application propose également la « Une  de Youmag» qui rassemble les news à ne pas manquer, et la « Une de mes amis », qui pioche dans les contenus partagés sur les médias sociaux (Facebook pour commencer) pour afficher une synthèse des activités de ses connaissances. À la différence de certains concurrents (voir plus haut) qui se contentent  de trier et d'afficher les actus, l'équipe dirigeante de Youmag insiste sur le travail d'un pool éditorial chargé de hiérarchiser les informations affichées dans chaque thématique. L'application connaît encore quelques petits bugs, avec des disparitions intempestives, mais dans l'ensemble, elle est parfaitement fonctionnelle. Une application à découvrir.

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(13/12/2011 15:04:23)

Google Apps commence à séduire les grands comptes

« Nous allons annoncer dans les quatre à six prochaines semaines, la signature de contrat avec plusieurs sociétés, avec des centaines de milliers d'utilisateurs migrant sur les Google Apps » a déclaré dans une interview Amit Singh, vice-président de Google Entreprise. Les contrats comprendront des entreprises, des administrations et des établissements universitaires, ce qui montre que les applications hébergées dans le cloud gagnent du terrain pré ajoute encore le dirigeant. Les Apps, une suite d'outils de collaboration et de communication, ont été lancées en 2007, principalement pour les petites entreprises. Mais la firme de Moutain View a rajouté des fonctionnalités pour séduire les DSI des grandes entreprises.

Bien que la plupart des logiciels de collaboration et de communication restent sur site, un marché dominé par Microsoft et IBM, les entreprises commencent à porter ces applications vers le cloud. Les sociétés saluent le fait de ne plus avoir de maintenance des logiciels sur leur datacenter et de gérer les matériels (achats, paramétrage, administration). Microsoft a répondu à ce phénomène en présentant Office 365, qui semble-t-il recueille un certain succès auprès des PME.

En attendant Google + version entreprise

Amit Singh a réitéré les propos d'autres responsables de Google en indiquant que les clients des Apps disposeront prochainement d'une version entreprise du réseau social Google+. Cette dernière est déjà utilisée en interne chez Google, où elle a contribué à améliorer la productivité et la façon dont les gens collaborent, souligne le dirigeant. Quand Google+ version entreprise sera intégré aux Apps, l'éditeur s'attend à un fort décollage des contrats.

Le marché des logiciels de collaboration intégrant un composant réseau social d'entrepris, va croître annuellement de 61 % jusqu'en 2016. Cette année-là, Forrester Research estime que ce marché représentera aux Etats-Unis 6,4 milliards de dollars contre 600 millions de dollars en 2010.

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(13/12/2011 14:20:05)

Des bugs obligent SAP à reporter la mise à jour de son portail communautaire

C'est Mark Yolton, vice-président en charge du Community Network de SAP, qui a annoncé la nouvelle vendredi soir sur son blog. Le lendemain, il a donné davantage de détails pour justifier la décision de SAP de reporter le lancement de son nouveau portail communautaire. Il a aussi adressé ses excuses et endossé la responsabilité des problèmes. « Qui faut-il blâmer pour ce report ? Pas la peine d'aller chercher plus loin... J'en assume le fait, » a-t-il écrit. « Le site sera online à un moment ou un autre en début d'année prochaine, » a-t-il continué.

« Il reste encore un certain nombre de problèmes techniques essentiels ou très importants à résoudre pour mettre à jour la plateforme. A l'approche de la date de lancement, on s'attend à ce que la gravité des problèmes diminue et qu'il ne reste plus que des détails à régler. Mais à quelques jours de la mise en ligne prévue, il reste encore trop de questions critiques ou de bugs, et parfois, le fait de résoudre un problème en amène un autre. »

Par exemple, « la recherche indexée ne fonctionne pas correctement, ce qui rend la cartographie de la totalité du contenu du SCN (SAP Community Network) impossible, » a expliqué Mark Yolton. « C'est important, parce que environ la moitié des membres de notre communauté utilisent la recherche plutôt que la navigation pour accéder au contenu. Surtout, le mode de recherche sera encore davantage favorisé dans la version remaniée du site, où la place des contenus à été entièrement modifiée. » Par ailleurs, « SAP ne peut effectuer aucun test de charge sur le nouveau système tant que tous les éléments ne sont pas opérationnels, » a-t-il ajouté.

Des problèmes de sécurité

Un autre problème vient de la mise en oeuvre de fonctionnalités de micro-blogging sophistiquées dans le nouveau site. « Nous avons constaté que les auteurs ne pouvaient même pas placer leurs blogs dans la bonne catégorie, ni les éditer ou les mettre en forme facilement, et parfois ne parvenaient même pas à accéder à leurs propres blogs. » En outre, « SAP a encore besoin de travailler sur quelques petits défauts de log-in et de sécurité, » a encore écrit le responsable Community Network de SAP. Pris un par un, ces problèmes ne sont que de « petits désagréments » auxquels SAP pourrait remédier après le lancement. Néanmoins, dans leur ensemble « ils constituent un enjeu collectif auquel ne voulons pas exposer nos membres, ni leur donner la fausse impression d'un laisser-aller, » a-t-il ajouté.

La mise à niveau du SCN implique aussi un déménagement vers la plateforme Social Business de Jive Software. Mais, selon Mark Yolton, pour ces comportements bizarres, il faut blâmer les personnalisations apportées au système, et non la technologie sous-jacente de Jive. « L'équipe de développement a également ralenti son travail de correction des erreurs, » a-t-il précisé. « Entre le moment où nous avons identifié les bugs, le temps de développer des correctifs, de les appliquer et de faire les tests, y compris des tests réalisés par les membres de l'équipe eux-mêmes, 24 ou 48 heures sont passées. » Certains membres de l'équipe travaillant sur le projet se sont même portés volontaires pour travailler pendant les vacances, afin d'achever le nouveau site plus rapidement. Mais « je ne souhaite pas placer ce projet au-dessus des priorités de nos collaborateurs, » a ajouté Mark Yolton. «  Ceux-ci travailleront beaucoup mieux s'ils ont droit à une pause tout à fait nécessaire, » a-t-il encore écrit.

Des soucis chez d'autres éditeurs également

L'évènement a suscité des réactions plutôt mesurées de la part de certains membres de la communauté SAP. « En tant qu'utilisateur régulier du SCN, j'ai appris à vivre avec ses bizarreries et j'espérais comme beaucoup d'autres entrer dans la nouvelle plateforme, » a répondu l'utilisateur sur le blog de Mark Yolton. « Mais si quelque chose n'est pas prêt pour le prime time, pas la peine de livrer un produit à moitié fini pour s'en tenir aux délais. » De l'avis d'un autre commentateur, « le nouveau portail à l'air très excitant, mais nous préférons tous qu'il fonctionne correctement et qu'il soit ouvert quand vous aurez fini de le mettre au point, plutôt que d'avoir dans les temps un système inachevé, source de problèmes pour les utilisateurs. » Selon un autre intervenant « SAP n'est pas le seul vendeur de logiciels à éprouver des difficultés lors de la mise à jour de sites clients et utilisateurs importants. » Lors de la mise à jour de sa plate-forme de support technique, qui impliquait également - et c'est une coïncidence - un logiciel de Jive, Oracle a du faire face à plusieurs problèmes de performance. De même lors du remplacement de Metalink par le site My Oracle Support (MOS).

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(13/12/2011 14:03:34)

Microsoft héberge Hadoop dans Azure

Microsoft a installé Apache Hadoop sur son cloud public Azure, ainsi qu'il l'avait annoncé en octobre dernier sur PASS Summit 2011. Dans le cadre de la mise à jour de son service de cloud, l'éditeur vient de mettre à disposition une pré-version de cette plateforme d'analyse de données Open Source, souvent utilisée pour traiter les big data. Selon lui, celle-ci permet de déployer des applications Hadoop en quelques heures. Par ailleurs, les développeurs, qui disposent depuis septembre du SDK Windows Azure 1.5, se voient maintenant proposer, au-delà des outils .Net et Visual Studio, un kit de développement pour le framework JavaScript Node.JS (hébergés sur Github).

Avec cette mise à jour du service, Microsoft indique aussi simplifier les montées en charge. D'une part, parce que la taille maximum de la base de données SQL Azure se trouve multipliée par trois (150 Go contre 50 Go auparavant) pour le même prix, soit 500 dollars. D'autre part, en raison de l'arrivée de SQL Azure Federation avec lequel on peut découper des bases SQL Server de différentes tailles pour les faire migrer vers Azure SQL. Microsoft souligne la réduction au Go qui résulte de ces modifications et s'élève à 67% pour la plus grande base, ramenant le prix du Go à 3,33 dollars (mise à jour : 354,25 € pour 150 Go, soit 2,36 € par Go). Pour chaque Go transféré depuis ou vers Azure, les clients américains et européens vont payer 0,12 dollar, contre 0,15 dollar précédemment.

Analyser dans Hadoop Hive à partir de PowerPivot

Pour les utilisateurs de la plateforme Azure, le processus d'enregistrement a été facilité. En définissant des quotas d'usage, le service peut être testé gratuitement pendant 90 jours. L'utilisation et le détail des dépenses se consultent directement sur le portail d'administration Windows Azure. Microsoft dit par ailleurs avoir simplifié sa facturation avec une date de facturation unique pour les clients ayant plusieurs abonnements et une vue synthétique des factures.

En octobre, Microsoft avait annoncé qu'il s'appuierait sur la distribution d'Hadoop proposée par Hortonworks, société issue des rangs de Yahoo. De nouvelles bibliothèques JavaScript aideront les développeurs à construire des tâches MapReduce, ainsi que des pilotes pour analyser les données dans la base Hadoop Hive, à partir du tableur Excel et de son add-on PowerPivot.

Microsoft n'a pas précisé quand le service Hadoop serait disponible dans sa version complète. Pour utiliser l'actuelle pré-version, il faut s'enregistrer. A partir de ces inscriptions, Microsoft va sélectionner un certain nombre d'utilisateurs pour tester la plateforme, sur la base de modèles d'usage qu'il prévoit. 

Eclipse, MongDB, Solr/Lucene et Memcached

Avec la bibliothèque Node.js, les développeurs pourront créer des applications web qui fonctionneront sur une version Azure de SQL Server. Pour assister l'utilisation du framework, Microsoft propose un SDK incluant une copie de Node.js, une version de Windows PowerShell et un émulateur Azure. Les développeurs peuvent construire et tester leurs applications sur leurs propres machines, puis les charger sur Azure afin de les y déployer.

Microsoft procure également des outils et de la documentation pour intégrer dans Azure d'autres environnements ou briques Open Source, parmi lesquelles l'IDE (integrated developer environment) Eclipse, la base de données MongoDB, le moteur de recherche Lucene/Solr et la technologie de cache en mémoire distribuée Memcached. Le support de toutes ces technologies va permettre aux développeurs de « bâtir des applications sur Windows Azure en utilisant les langages et frameworks qu'ils connaissent déjà », note dans un billet Gianugo Rabellino, directeur des communautés Open Source chez Microsoft.

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(13/12/2011 13:38:07)

Capgemini s'engage en faveur de la parité hommes/femmes

La semaine dernière, Capgemini et sa filiale Sogeti, ont signé  avec cinq organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, Force Ouvrière) un accord sur l'égalité professionnelle en France. Cet accord concerne l'ensemble des 20 000 collaborateurs du groupe dans l'Hexagone qui comprend 25% de femmes. Il prévoit un objectif de 29% de jeunes filles au bout de trois ans, grâce à des actions dans les écoles et universités pour faire connaître les métiers technologiques et les possibilités de parcours professionnel. Les cabinets de recrutement partenaires devront présenter systématiquement parmi leurs recommandations au moins une candidature féminine.

Des actions à destination des jeunes parents

La SSII  entend également accroître le taux de promotion des femmes, en réduisant les freins à l'évolution (mobilité, accès à la formation, représentation des métiers). Un budget de 500 000 € a été dégagé dans le cadre de l'égalité salariale.

Une charte de la parentalité, signée par Capgemini le 13 mai 2011, recherchera les moyens pour mieux harmoniser vie professionnelle et vie privée. Il s'agira notamment de créer un environnement plus favorable aux jeunes parents et aux femmes enceintes et de briser les préjugés. Un guide de la parentalité permettra de donner à tous les salariés une information complète sur ce qui est fait pour mieux concilier l'activité professionnelle avec son rôle de parent. Une commission de suivi évaluera l'impact des mesures mises en oeuvre.

Un million d'euros chez Alcatel, 500 000 euros chez HP

D'autres entreprises de la high-tech se sont également engagées dans cette voie. En janvier 2011, Alcatel-Lucent (10 000 salariés dont 25% de femmes), annonçait la signature, en France, d'un accord sur l'égalité hommes /femmes et d'un plan  s'articulant autour de trois grands volets : la féminisation de l'entreprise et des filières grâce des campagnes de sensibilisation dans les filières techniques et auprès des acteurs de l'Education nationale, la promotion des carrières et des salaires des femmes grâce à une enveloppe d'un million d'euros sur trois ans et la conciliation entre vie privée et  professionnelle au sein du groupe

Chez HP France, la négociation égalité professionnelle dure depuis 2005, avec de longs moments d'interruption. Elle s'est concrétisée par la signature, en avril 2010, d'un accord visant à réduire l'écart salarial entre les femmes et les hommes. Un budget de 500 000 euros avait été alloué par la direction pour couvrir les rattrapages salariaux de 63% des femmes employées par HP, soit plus de 580 d'entre elles. Ces rattrapages collectifs ont eu lieu en juin 2010 et 2011. Une commission de suivi paritaire a également été mise en place pour traiter les cas individuels avérés d'inégalité entre les femmes et les hommes au niveau salarial, comme sur le plan de l'évolution de carrière. 2012, qui sera la 3ème et dernière année de la mise en application de l'accord, sera également celle de sa renégociation.

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(13/12/2011 13:20:32)

Embrane virtualise les services réseaux

Embrane a été fondée en 2009 par deux anciens dirigeants de Cisco Dante Malagrinò et Marco Di Benedetto (comme CTO). Ils avaient déjà participé à la création d'Andiamo, une société spécialisée dans le SAN acquise par Cisco, ainsi que de Nuova Systems, entrerprise qui a fourni la technologie Unified Computing System (UCS)  Chez Cisco, Dante Malagrinò a aidé  au développement de la stratégie Data Center 3.0, qui combiné virtualisation et matrice de commutation unifiée. De son côté, Marco Di Benedetto a travaillé sur l'élaboration de NX-OS, le système d'exploitation pour datacenter de Cisco.

Les autres collaborateurs d'Embrane, de cette jeune pousse,  sont issus de 3Com, HP, Juniper, Oracle, Alactel-Lucent, Array Networks et Palo Alto Networks. Embrane a levé 27 millions de dollars depuis sa création. Lightspeed Venture Partners, NEA et North Bridge Venture Partners sont les investisseurs présents au capital.

Le produit phare d'Embrane se nomme Heleos. Il s'agit d'une plateforme logicielle distribuée pour virtualiser les services des couches 4 à 7, comme l'équilibrage de charge, le pare-feu, le VPN, etc. Elle donne aux entreprises et aux fournisseurs de cloud la capacité de créer des offres clouds en mode IaaS (​​Infrastructure-as-a-service) en facilitant l'achat, l'allocation et la configuration de ces services.

Rapidité et flexibilité

Des instances de services réseaux peuvent être opérationnelles en moins de deux minutes, et la capacité peut être agrandie ou réduite en moins d'une minute, explique Embrane. La société ajoute que cela contraste par rapport à une architecture classique, avec des éléments matériels trop rigides, coûteux et souvent sous-dimensionnés, avec des paramétrages limités sur le multi-tenant et des complications sur la gestion des licences.

Heleos Elastic Services Manager et l'appliance virtuelle pour l'équilibrage de charge et le pare-feu / VPN sont dès à présent disponibles. Le logiciel fonctionne sur du matériel x86. Il ne prend pas en charge l'API OpenFlow pour la virtualisation du réseau. Embrane considère OpenFlow comme une API de la couche 2-3 de commutation/routage et non comme une API des couches 4-7, indique la start-up. Heleos supporte des licences « sans clé » dans laquelle les fournisseurs ne paient que pour ce qu'ils vendent ou ce qu'ils utilisent. Un abonnement annuel est aussi proposé

Les concurrents de l'offre d'Embrane sont les éditeurs d'appliances virtuelles  et / ou services sur du matériel x86. Vyatta, par exemple, dispose d'une offre concurrente sur le firewall / VPN, concède les dirigeants de la jeune start-up.
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(13/12/2011 12:06:36)

Open Data : l'UE veut rendre les données publiques accessibles à tous

Les États membres de l'Union européenne vont avoir l'obligation de numériser toutes les données de leurs administrations publiques. En effet, selon la proposition de loi avancée par Neelie Kroes, la commissaire chargée de l'agenda numérique auprès de l'Union européenne, tous les pays membres de l'UE seront obligés de rendre leurs données publiques disponibles dans des formats numériques. Selon la Commission, « c'est une énorme opportunité pour les entreprises de haute technologie, puisque le marché a été estimé à 400 milliards d'euros par an pour l'économie européenne, dont 100 milliards d'euros reviendraient à la recherche sur les technologies de traitement des données. » De l'argent sera également alloué à la création de portails Internet via le Programme-cadre pour l'Innovation et la Compétitivité (PIC) de l'UE. La Commission va également soutenir la recherche dans le domaine des infrastructures de données.

L'objectif est de tirer le meilleur parti de la « mine d'or » d'informations cachées dont regorge l'Europe. Par données des administrations publiques, il faut comprendre toutes les informations produites, collectées ou achetées par les organismes publics de l'Union européenne. Cela pourrait inclure des données géographiques, météorologiques, statistiques, les données de projets de recherche financés par des fonds publics, ou encore les livres numérisés par les bibliothèques. « C'est un signal fort à l'attention des administrations. Elles doivent comprendre que leurs données ont plus de valeur si elles les diffusent. Elles doivent donc commencer à s'en séparer dès maintenant. Ce cadre va leur permettre de rejoindre d'autres dirigeants avisés qui tirent déjà profit des « données ouvertes ».

Des données pour favoriser la croissance

Les contribuables ont déjà payé pour cette information. Le moins que l'on puisse faire, c'est de la remettre entre les mains de ceux qui veulent l'utiliser autrement pour aider les personnes, créer des emplois et de la croissance, » a déclaré Neelie Kroes, lors du lancement de sa proposition. La Commission rendra ses propres données disponibles via un portail web Open Data actuellement en développement, et qui devrait être lancé au printemps prochain. Il servira de point d'accès unique pour les données réutilisables de toutes les institutions, organisations, agences, et autorités nationales de l'UE.

Il est probable que les premiers bénéficiaires de cette régulation seront les start-up technologiques, qui transformeront les données brutes en applications pour smartphone, comme  des cartes, des informations sur le trafic en temps réel et la météo, des comparateurs de prix, etc. En plus de distribuer toutes les informations dans un format lisible à l'aide d'un terminal, les organismes publics devront aussi s'intéresser aux applications développées en vue de la réutilisation des données. Elles devront répondre aux demandes dans des délais fixes et ne seront pas autorisées à facturer plus que le coût lié à la demande individuelle pour accéder à ces données.

Pour plus de transparence du secteur public

En pratique, cela signifie que la plupart des données seront offertes gratuitement ou quasi gratuitement, sauf si la participation aux frais de traitement est dûment justifiée. Ces conditions conviennent particulièrement bien aux entreprises qui doivent démarrer rapidement, limitées en liquidité, et aux développeurs. La Commission affirme que ces dispositions permettront également d'accroître la transparence des administrations publiques: « L'Open Data est un instrument puissant pour accroître la transparence de l'administration publique, il améliore la visibilité d'informations, auparavant inaccessibles, informe les citoyens et les entreprises sur les politiques, les dépenses publiques et les résultats. » Enfin, cette proposition s'appliquera dans le plein respect des lois concernant le traitement des données personnelles.

Un certain nombre de pays, dont le Royaume-Uni et les Pays-Bas, ont déjà créé des portails Internet sur lesquels il est possible d'avoir accès à des données ouvertes. La semaine dernière, la France a lancé un portail qui répond exactement au cadre de la proposition de la Commission. Mais d'autres États membres traînent les pieds et continuent à publier leurs données exclusivement au format papier. Si la proposition de Neelie Kroes est adoptée par le Parlement européen et les États membres, elle pourrait entrer en vigueur en 2013. Les États membres disposeront alors de 18 mois pour la transposer dans leur législation nationale.

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(13/12/2011 10:34:40)

100 millions d'applications téléchargées sur Mac App Store

Apple annonce avoir franchi la barre des 100 millions d'applications et d'utilitaires téléchargées via le Mac App Store. Cette boutique de logiciels, intégrée depuis le mois de janvier à son système d'exploitation, est disponible sur tous ses ordinateurs actuellement en vente. Par ailleurs, la firme de Cupertino annonce un total d'un milliard d'applications téléchargées chaque mois via son App Store mobile.

Depuis le Mac App Store, il est possible aussi bien de mettre à jour son système d'exploitation que d'installer une suite bureautique, des jeux et une multitude de programmes dédiés à l'univers du Mac. De son côté, l'App Store propose plus de 500 000 applications mobiles. Depuis son apparition en juillet 2008, ce sont plus de 18 milliards de programmes qui y ont été téléchargés, désormais au rythme - en constante augmentation - d'un milliard par mois.

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(13/12/2011 10:32:03)

Le marché de la visioconférence explose selon IDC

La vidéoconférence d'entreprise et la téléprésence continuent de croître rapidement, selon Petr Jirovský, analyste chez IDC, avec plus de 20% de croissance dans les quatre derniers trimestres et avec douze années de croissance continue. A l'intérieur de ce marché, le seul segment de la téléprésence est en augmentation de 36,6% à 379,7 millions de dollars. Elle représente 55,8% du marché total de la visioconférence.

Selon Rich Costello, analyste senior chez IDC, « ce n'est que récemment que les réseaux d'entreprise et la technologie de vidéoconférence, incarnée par la HD et les systèmes de téléprésence, ont été capables de fournir des expériences de collaboration digne d'initier une session de vidéo, au lieu d'avoir une conférence téléphonique ou d'être obligé de sauter dans un avion.  IDC prévoit que la croissance des revenus dans ce marché se poursuivra au cours des cinq prochaines années, soutenue par un impact significatif des communications unifiées, des applications de collaboration, des systèmes de téléprésence, et des appareils de bureau et portables supportant la vidéo. »

Les résultats des fournisseurs montrent que cette croissance est effectivement forte :
Cisco affiche 32,5% de croissance sur ce troisième trimestre et reste le leader incontesté du marché, il détient désormais 51,6% du marché, ce qui est une amélioration par rapport aux 50,4% au 2ème trimestre de cette année  et aux 48,4% du 3ème trimestre 2010. Les revenus de Polycom, eux, ont augmenté de 19,4% au 3ème trimestre, depuis le 1er trimestre 2010, la société voit son chiffre d'affaires progresser entre 19 et 26%.

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