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(12/09/2008 09:54:55)

Sage consacre un institut au développement des entreprises

En créant l'Institut Sage, Pascal Houillon, président de Sage France, a l'ambition d'apporter un soutien concret aux entrepreneurs, et tout particulièrement, dans un premier temps, à ceux d'entre eux qui s'engagent dans une reprise d'entreprise. Contre toute attente, ce n'est pas du tout la promotion de l'outil informatique qui explique l'initiative de l'éditeur de logiciels de gestion. « Notre objectif est d'aider les PME françaises à se développer, affirme Pascal Houillon. Nous avons tous intérêt à ce que ces entreprises grandissent, exportent, se structurent. » Lui-même a géré plus de trente acquisitions de sociétés, en dix ans, pour le compte de la filiale française de Sage. A partir de son expérience, il s'est forgé la conviction que tout commence vraiment lorsque la transaction est signée. C'est ce qu'il explique sur son blog « Idées sur la reprise », ouvert l'an dernier. Un réseau social de dirigeants échangeant leur expérience [[page]]Pascal Houillon explique que de nombreux acteurs interviennent déjà en amont des opérations de rachat (banques, sociétés de conseil en fusion/acquisition...) ou, comme l'APCE (Agence pour la création d'entreprise), pour assister la création d'entreprise. « A l'inverse, nous voulons intervenir pendant la période suivant la reprise, en créant un réseau social pour que les dirigeants échangent des expériences et des bonnes pratiques », continue Pascal Houillon. Acteurs institutionnels, réseaux d'entrepreneurs et universitaires enrichiront le contenu. Parmi les partenaires de l'Institut figure déjà le CRA, association de 'cédants et repreneurs d'affaires'. Au nombre des thèmes qu'il est prévu d'aborder figurent la gestion des collaborateurs, la passation de pouvoir avec l'ancien patron, ou encore la façon dont il convient d'aborder les plus gros clients... En complément du réseau social, des rencontres seront organisées sur le terrain, dans le cadre d'un tour de France. « Un acte citoyen et personnel » [[page]]L'Institut Sage sera officiellement lancé le 23 septembre prochain. « D'ici six à dix mois, nous espérons compter 500 chefs d'entreprises dans le réseau social, projette le président de Sage France. Nous souhaitons y accueillir des contributeurs bénéficiant d'une reconnaissance quant à leur parcours. Nous savons que de nombreux dirigeants souhaitent transmettre leurs compétences managériales ou métier. » Pour Pascal Houillon, cet institut est une entreprise de longue haleine. Il reconnaît qu'il s'agit, pour lui, « d'un acte citoyen à titre personnel » mené en prenant appui sur Sage France. La filiale prévoit d'y consacrer un budget de 400 000 euros et deux personnes à temps plein. Quant aux intervenants réguliers, il leur faudra dégager plusieurs jours par mois pendant cinq ans, prévient le dirigeant. « Pour que cette initiative fonctionne, il faut avoir de fortes convictions. Il faut vouloir aider son pays. » (...)

(11/09/2008 15:49:35)

HP revend EDS Consulting France à SIA Conseil

SIA Conseil, cabinet spécialisé dans le conseil en management (180 consultants, 32 milions d'euros de chiffre d'affaires), a réalisé le 10 septembre sa première opération de croissance externe en rachetant EDS Consulting France (35 consultants, 8 millions d'euros de chiffre d'affaires) pour un montant confidentiel. Jean-Pierre Corniou, actuel président de la firme, rejoint SIA Conseil avec ses équipes pour devenir Directeur général adjoint. Les deux fondateurs de SIA Conseil en 1999, Mathieu Courtecuisse et Jérôme Miara, demeurent directeurs généraux. Jean-Pierre Corniou, outre le rôle de gestion attaché à son titre, aura en charge de « porter la culture IT » de ce groupe aujourd'hui extérieur au petit monde des TIC, selon ses propres mots. Une vente sans doute prévue même avant le rachat Le rachat d'EDS par HP semble avoir précipité les choses, mais la cession d'EDS Consulting France était déjà dans les cartons avant cette opération. « Le modèle du conseil en France est très différent de ce que EDS concevait sous ce vocable dans les autres pays,» indique Jean-Pierre Corniou. En effet, EDS Consulting est, dans le monde, essentiellement une structure d'expertise technologique qui vient en appui des activités classiques de la SSII. En France, à l'inverse, EDS Consulting était avant tout une structure de conseil en organisation qui cultivait une indépendance de vue technologique. [[page]]Selon Jean-Pierre Corniou, « associer l'activité de conseil avec celle d'une SSII est très difficile, comme on l'a vu dans les rachats de Ernst & Young par Capgemini, de PWC par IBM, etc. Le seul à y parvenir en France est Accenture. EDS est très industriel dans son approche, très efficace pour son métier mais pas pertinent pour faire du conseil et de l'innovation organisationnelle. En cabinet, l'unité d'oeuvre est le contrat de 50 000 euros alors que pour une SSII, c'est plutôt 100 millions d'euros. Or les procédures sont communes si une même société fait les deux... Ca ne peut pas coller. » "Sortir l'informatique de son ghetto" « D'habitude, c'est une SSII qui se développe dans le conseil métier ; ici, c'est l'inverse avec un spécialiste du conseil métier qui se dote d'une culture IT ; cela devrait permettre de sortir l'informatique de son ghetto, se réjouit Jean-Pierre Corniou. Quand vous parlez d'informatique à un PDG, il vous parlera de coût, pas de création de valeur. Il faut changer cet état des choses. » Jean-Pierre Corniou ne peut s'empêcher de parier sur l'avenir : « le rachat d'EDS par HP est significatif du développement croissant de véritables usines IT dont l'industrialisation va aller de plus en plus loin. Ces structures n'ont pas vocation à faire du conseil en management. Les cabinets de conseil rattachés à des SSII vont donc progressivement s'en séparer... » (...)

(11/09/2008 14:43:22)

Les acteurs de la gestion de contenu standardisent l'accès aux référentiels

Trois des principaux fournisseurs mondiaux de la gestion de contenus d'entreprise (ECM, enterprise content management), EMC, IBM et Microsoft, ont développé ensemble une spécification d'interopérabilité basée sur les services Web, baptisée CMIS (content management interoperability services), afin de faciliter les échanges entre leurs référentiels respectifs. Cette initiative est soutenue par quatre autres acteurs représentatifs sur ce secteur : Open Text, numéro 2 mondial du marché de l'ECM en 2007 (selon Gartner), SAP et Oracle, numéro 1 et 2 des progiciels de gestion intégrés (Oracle disposant lui-même de sa propre solution d'ECM) et Alfresco, acteur de la gestion de contenu en Open Source (qui vient de livrer une version compatible avec l'offre SharePoint Server de Microsoft). CMIS bientôt soumis à l'Oasis Les partenaires doivent soumettre ce mois-ci à l'organisme de normalisation Oasis (organization for the advancement of structured information standards) cette spécification qui se concrétise dans une interface de programmation (API) indépendante des plateformes et des langages. La ratification de CMIS par l'Oasis pourrait intervenir d'ici fin 2009. Les plateformes de gestion de contenu ont vocation à gérer des données et documents générés par de multiples applicatifs et sont amenés à accéder à différents référentiels, ce qui nécessite généralement la mise au point d'interfaces personnalisées. L'arrivée de CMIS est donc particulièrement bienvenue, tant pour les entreprises que pour les éditeurs indépendants. Cette spécification permettra aussi de simplifier les développements et la construction d'applications composites et de mash-up par les équipes métiers. L'éditeur Alfresco indique de son côté qu'il propose déjà certains éléments du projet : des liaisons CMIS REST et services Web pour se connecter à son référentiel de contenu et un langage de requête CMIS de type SQL pour l'interroger, ainsi que des tests CMIS pour vérifier la compatibilité sur les liaisons REST. (...)

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