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(08/12/2011 17:14:32)

L'Afdel veut porter les débats du numérique au-delà de la sphère TIC

Avec ses « Cahiers du numérique », dont le premier exemplaire vient d'être publié, l'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, souhaite porter les débats qu'elle soutient au-delà de son écosystème naturel, auprès des « institutionnels, politiques, décideurs économiques, citoyens et consommateurs », ainsi que le souligne son président Patrick Bertrand dans son éditorial. Cette revue trimestrielle, livrée dans une version imprimée et déclinée au format électronique, a été lancée la semaine dernière à l'occasion des Assises du Numérique, organisées à l'Université Paris Dauphine par le gouvernement français.

De fait, son premier numéro, tiré à 3 000 exemplaires, n'a pas été adressé aux seuls professionnels du secteur, au premier rang desquels les adhérents de l'association, mais également aux parlementaires, aux cabinets ministériels et aux dirigeants des entreprises du SBF 120 pour les sensibiliser à ces sujets, souligne Loïc Rivière, secrétaire général de l'Afdel. « Le numérique est un sujet transversal, souvent relégué aux rubriques consommation, et que le grand public voit à travers ce prisme, alors que ses enjeux économiques et sociétaux sont fondamentaux », poursuit-il. « La neutralité d'Internet, le financement de l'innovation en France, la régulation du secteur, la mise à jour des infrastructures... Ce sont des sujets qui doivent concerner chacun d'entre nous. »

Analyse et décryptage

L'Afdel a donc réalisé les Cahiers du numérique avec un souci de pédagogie, souligne son secrétaire général, pour sensibiliser l'ensemble des publics. « Nous analysons les modèles économiques et les phénomènes de concurrence, faisons intervenir des sociologues et portons un regard macro-économique sur ces questions ». Le premier numéro, daté de décembre, s'ouvre sur un entretien avec Eric Besson, ministre de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique. Celui-ci y affirme qu' « aucun gouvernement n'a autant soutenu les PME innovantes du numérique », à l'heure où les parlementaires ont remis à l'ordre du jour le statut de la JEI, Jeune entreprise innovante (*), raboté il y a un an par la loi de finance 2011.

Au fil des pages, l'Afdel a par ailleurs demandé au blogueur Frédéric Cavazza de décrypter l'entreprise 2.0, au consultant Olivier Ezratty d'évoquer la bataille des brevets et donne des nouvelles des start-up (Kobojo et ses jeux multiplateformes, Pretty Simple, Mixvibes, Tigerlili...). Fixé à 100 euros, l'abonnement annuel à la revue vise d'abord les entreprises et les administrations. « Sur le web, le contenu sera plus ouvert vers le grand public », complète Loïc Rivière.

(*) Une initiative saluée conjointement cette semaine par l'Afdel, Syntec numérique et le SNJV, syndicat national du jeu vidéo.

(...)

(08/12/2011 16:47:22)

Packard Bell rappelle des batteries de portables qui surchauffent

Packard Bell a relancé une ancienne campagne de rappels de produits concernant les ordinateurs EasyNote MX36, MX37, MX51 et MX52, produits entre juillet 2007 et mai 2008, pour cause de surchauffe de la batterie. Celle-ci pourra être changée gratuitement.

« Ce rappel prolonge la campagne lancée en décembre 2009. Seule l'intervalle de fabrication des modèles éventuellement concernés a été modifiée », précise le constructeur. Les unités concernées ont principalement été commercialisées en Europe.

Les cellules des batteries des modèles concernés peuvent provoquer des court-circuit internes, qui peuvent entraîner un risque de surchauffe, voire s'enflammer. Toutefois, sur une vingtaine de cas recensés, elles n'auraient occasionné que des brûlures superficielles.

Les possesseurs des modèles mis en cause peuvent demander une batterie de rechange, gratuite, sur le site internet de Packard Bell. Il leur est aussi recommandé de retirer la batterie de leur ordinateur et de passer à une alimentation secteur tant qu'ils n'auront pas reçu la batterie de rechange.

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(08/12/2011 16:40:17)

Erreurs de programmation : Java coûte plus cher que Cobol

Le monde est plein de logiciels mal conçus qui exposent les entreprises à beaucoup de risque, selon une analyse réalisée sur 745 applications. Ces problèmes sont issus de la programmation qui ne se conforme pas aux bonnes pratiques de codage et d'architecture. Cette pratique est aussi appelée « dette technique ». Un code de mauvaise qualité, fruit d'un manque d'investissement ou d'une faible compétence, peut-être le responsable d'un arrêt du SI, d'une faille de sécurité, d'une performance médiocre ou d'une corruption des données. La réparation de chaque ligne de code a un coût, ou une « dette technique » qui s'accumule. Le meilleur exemple de cette « dette technique » est le fameux bug de l'an 2000. De nombreuses applications étaient prêtes à représenter le millénaire en 00, mais en l'interprétant comme étant 1900. Les entreprises ont dépensé des sommes astronomiques pour mettre à jour leurs applications.

Cast Software, éditeur d'outils testant la qualité des logiciels en matière de codage et d'architecture, a analysé les 745 applications (issues de 160 entreprises de 12 secteurs industriels) qui combinent 365 millions de lignes de code. L'analyse a recensé1800 types d'erreurs de développement dans les applications écrites en Java EE, Cobol,. Net, C, C + + et d'autres langages de programmation.

Java coûte plus cher à réparer que Cobol

Cast a compté le nombre d'erreurs et a évalué la dette technique moyenne à 3,61 $ pour réparer chaque ligne de code. Ce chiffre est basé sur ce qu'il en coûterait pour réparer chaque erreur à hauteur de 75 $ de l'heure. En regardant les différents langages de programmation, Java EE est le plus onéreux à 5,42 $ par ligne de code, tandis qu'une erreur sur Cobol ne coûte que 1,26 $. Bill Curtis, ingénieur en chef chez Cast, estime que « Cobol est mieux fait parce que le code est plus âgé. Les programmeurs « se sont battus dessus depuis 30 ans » et ont réussi à corriger les erreurs les plus critiques ». En ce qui concerne Java, Bill Curtis, explique qu'il ne peut que spéculer sur les problèmes, mais déclare qu '«il y a beaucoup de gens qui font du Java aujourd'hui et qu'ils n'ont pas vraiment de solide formation en informatique. »

L'étude menée par Cast intéresse beaucoup d'entreprises et d'université qui se penchent avec intérêt sur ce concept de dette technique. Ainsi, le cabinet Gartner a renchérit sur ce sujet en parlant de « dette IT » et en estimant le coût de cette maintenance a posteriori à 500 milliards de dollars en 2010. Elle devrait même atteindre 1000 milliards de dollars dans quelques années.

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(08/12/2011 16:15:50)

Le cloud bientôt « conquérant » de Huawei

Lors d'un voyage de presse en Chine, nous avons pu visiter le centre de recherche et développement de Huawei à Shanghai. Un immeuble impressionnant qui a couté la bagatelle de 3 milliards de Yuan au constructeur chinois et accueille 8 000 personnes. Une vitrine technologique pour accueillir des petits groupes de clients étrangers. Secret industriel oblige, nous n'avons pas visité les laboratoires de recherche, seules les parties exposition nous étaient ouvertes et elles ressemblaient malheureusement au show room que nous avions déjà parcouru à Shenzhen qui présentait la galaxie produits et services du constructeur (voir illustration ci-dessous).



Le centre de Shanghai est également une plate-forme de démonstration des solutions mises en oeuvre chez Huawei et qui pourraient être déployées chez des clients. 600 serveurs par exemple alimentent les postes de travail de type client léger sur protocole RDP. Un serveur dessert une vingtaine d'utilisateurs. « Le salarié peut prendre n'importe quel poste pour travailler et jusqu'à 200 000 PC peuvent être gérés par notre staff », nous a assuré Zhu Zhi Liang, le porte-parole de Huawei. Ce dernier met en avant les économies d'énergie réalisées avec cette solution et chiffre même à 71% la réduction possible, soit une consommation passant de 78 à 22 watts (d'un PC classique à un client léger avec un écran LCD). Rien d'extraordinaire en Europe ou aux États-Unis, mais en Chine où les coupures de courant ne sont pas inhabituelles dans certaines régions, les économies d'énergie sont une des priorités du régime.

Un cloud développé avec les ressources internes

L'autre grand chantier de la division entreprise de Huawei, c'est bien sûr le cloud computing avec des développements maison. « Nous grandirons plus vite avec nos propres solutions. Nous fournissons déjà le Big Cloud de China Mobile  avec près de 1 000 serveurs déployés (...) mais également le cloud du système de santé chinois pour de l'aide au diagnostic médical (voir ci-dessous) et assurer la centralisation des ressources des hôpitaux. » Huawei fournit également des capacités de calcul en ligne à Unicom, l'autre grand opérateur chinois, et des ressources à la Shanghai Middle School.

Comme nous l'avons déjà abordé dans un premier sujet, Huawei est aujourd'hui un des principaux fournisseurs de serveurs aux acteurs chinois du web, la plate-forme d'e-commerce Alibaba et le moteur de recherche Baidu. Fort de sa maitrise des infrastructures serveur, réseau et stockage, le constructeur chinois a construit sa plate-forme cloud computing en développent ses propres solutions d'orchestration et d'automatisation en réutilisant des composants libres.  Si Huawei collabore bien sûr avec les principaux éditeurs du marché de la virtualisation - VMware, Microsoft ou Citrix - pour travailler avec certains opérateurs sur des plates-formes IaaS, il privilégie le logiciel libre. Très fort en Chine, Huawei doit affronter une rude concurrence en Europe : SSII, opérateurs, constructeurs américains ou japonais... le cloud computing a déjà plusieurs visages en France qu'il soit public ou privé. La bataille se fera ici sur le service et pas uniquement sur les prix. Le chinois ne désire pas brader ses produits et ses services même s'il sait ajuster ses tarifs au plus juste quand il le faut. Un concurrent qui affute ses armes avant de partir à la conquête du monde. De l'aveu même de Huawei, son cloud n'en est encore qu'à la première génération et avec un marché intérieur encore en croissance, la division entreprise du chinois a encore de beaux jours devant elle.

 

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(08/12/2011 16:03:15)

Pétition en ligne pour réhabiliter Alan Turing

Une pétition en ligne a été lancée pour réhabiliter le mathématicien et  informaticien anglais Alan Turing. Le document demande l'annulation, à titre posthume, de sa condamnation pour indécence. Le pionnier de la science informatique a été reconnu coupable d'infraction pour homosexualité en 1952, lorsque les actes homosexuels étaient illégaux au Royaume-Uni. Pour éviter la prison, il a été condamné à la castration chimique et a subi de graves effets secondaires. Il est mort deux ans après d'un empoisonnement au cyanure, un suicide selon l'enquête qui s'ensuivit,

Alan Turing, bien que patriote déclaré, s'est plaint d'être harcelé par les services de sécurité suite à sa condamnation. Ces derniers ont supposé que le scientifique pouvait constituer un risque en raison de sa sexualité et de ses voyages à l'étranger. Durant la guerre froide, les homosexuels ayant eu connaissances de secrets d'Etat étaient considérés comme une cible de chantage potentiel pour des puissances étrangères.

Plus de 7 000 signatures

Au cours de la seconde guerre mondiale, le scientifique a dirigé les recherches sur les codes secrets générés par la machine Enigma utilisée par les nazis. Il a ensuite aidé à créer le premier ordinateur moderne, la Manchester Small-Scale Experimental Machine.

L'e-pétition, qui a recueilli plus de 7 000 signatures, affirme que la façon dont on a traité Alan Turing et son décès sont une honte pour le gouvernement britannique et pour  l'histoire du Royaume-Uni.  En 2009, des milliers de personnes s'étaient déjà mobilisées  pour que l'Etat anglais présente des excuses posthumes. Le Premier Ministre d'alors, Gordon Brown, avait répondu qu'il était désolé pour l'épouvantable façon dont Turing avait été traité en raison de son homosexualité.

La date de clôture de la pétition a été fixée à novembre 2012. Si le document parvient à rassembler 100 000 signatures, il deviendra éligible pour une discussion à la Chambre des communes.

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(08/12/2011 15:21:47)

Atos réitère son objectif d'entreprise « zéro e-mail » à l'horizon 2014

En février dernier, Thierry Breton, le PDG d'Atos, avait fait état d'un projet visant à se débarrasser de la messagerie interne. Ses propos avaient suscité la stupéfaction dans les médias, qui ont consacré de gros titres à cette annonce, et l'incrédulité des commentateurs. D'ici à trois ans, Thierry Breton veut mettre un terme à la messagerie interne et encourager les salariés d'Atos à utiliser des plates-formes de réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour communiquer entre eux, en plus des systèmes de messagerie instantanée disponibles en interne. Selon le PDG, Atos a découvert que certains salariés recevaient plus de 100 courriels par jour, et que la lecture et la réponse à ces messages prenaient jusqu'à 20 heures sur leur temps hebdomadaire de travail.

Cette semaine, dans une interview à la BBC, Thierry Breton s'est dit « surpris, voire intrigué » de l'agitation provoquée par ses propos. Le dirigeant d'Atos explique que les jeunes salariés entrants dans l'entreprise n'ont pas l'habitude d'utiliser des systèmes de messagerie interne comme Outlook. Selon lui, ils sont plus familiers de Facebook et de Twitter, ou de systèmes de messagerie externes comme Hotmail et Yahoo. Le patron d'Atos n'interdit pas l'utilisation de systèmes de messagerie externes, précisant qu'il s'en sert lui-même. Mais il estime que les systèmes de messagerie d'entreprise favorisent la surcharge d'informations et «  polluent notre environnement de travail ». Celui-ci ajoute que les systèmes de messagerie internes véhiculent des messages inutiles et gaspillent le temps de ceux qui les reçoivent et doivent en assumer la gestion.

Une démarche assez pragmatique

Au mois de février dernier, lors d'une conférence consacrée à l'innovation, le responsable avait déclaré : « Les entreprises doivent aller plus loin dans cette voie : l'e-mail, ne sera bientôt plus considéré comme la meilleure manière de travailler et d'échanger.» Atos a déclaré avoir mis en place des outils de collaboration et des plates-formes sociales communautaires pour partager et garder trace des idées exprimées sur des sujets comme l'innovation, le Lean Management, et les ventes, pour accompagner l'effort visant à réduire les échanges de données et les recherches inutiles.

L'an dernier, le fournisseur Salesforce.com avait déclaré que la plupart des e-mails envoyés au travail « n'étaient pas pertinents». L'enquête commandée par l'entreprise avait révélé que 70% des salariés recevaient des mails, directement ou en copie, sans intérêt.

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(08/12/2011 14:57:41)

OpenDNS développe le chiffrement des requêtes DNS publiques

OpenDNS (un service gratuit de routage DNS), a publié une preview de son outil, DNSCrypt qui va chiffrer les requêtes DNS (Domain Name System) entre l'ordinateur d'une personne et le service de recherche de l'entreprise, ce qui pourrait bloquer les risques d'interception.

Les requêtes DNS sont une partie fondamentale du fonctionnement de l'Internet. Une recherche DNS convertit un nom de domaine en une adresse IP qui peut être tapée dans un navigateur. Les FAI procurent des services DNS à leurs clients, mais OpenDNS exécute propre outil de recherche qui est selon lui plus rapide et mieux sécurisé. David Ulevitch, fondateur et PDG d'OpenDNS explique, « dans la conception d'Internet, les requêtes DNS sont envoyées en clair entre un utilisateur et le fournisseur de DNS. Le dialogue est vulnérable à une interception via une attaque de type man-in-the-middle. » Il ajoute que cela peut arriver sur des réseaux non sécurisés comme les cafés ou les lieux publics. Il souligne que même certains FAI ont été accusés d'espionner les activités de leurs clients.

Le problème des requêtes DNS publiques est qu'elles n'ont pas intégrés les extensions DNS Security (DNSSEC), un protocole de sécurité conçu pour protéger le DNS, précise le dirigeant. DNSSEC substitue le chiffrement avec une clé publique à la signature numérique du DNS affecté lors de l'enregistrement d'un site web. Ce protocole est conçu pour stopper les attaques comme la pollution du cache, dirigeant un utilisateur qui tape une bonne adresse vers un faux site.

Comme son nom l'indique, DNSCrypt chiffre les requêtes, ce qui signifie que si le trafic est intercepté, le pirate ne sera pas en mesure de voir le contenu. L'outil Open Source est gratuit mais il est uniquement disponible pour Mac OS X.

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(08/12/2011 14:12:04)

Une app LeBonCoin pour iPhone

Le très populaire site de petites annonces Leboncoin.fr a mis à disposition sur l'App Store sa première application officielle. Gratuite, elle permet d'accéder à l'ensemble des fonctionnalités du site, comme consulter et passer une annonce.

L'application (compatible iPhone, iPod touch et iPad) permet de consulter les quelques 17 millions d'annonces postées sur le site et classées par thématiques et par régions. Il est ensuite facile de contacter directement les vendeurs, soit par téléphone, soit par e-mail. Il est également possible de publier à tout moment ses propres annonces.

Leboncoin.fr est le 1er site français de petites annonces gratuites en France (plus de 13 millions de visiteurs uniques au mois d'octobre 2011, source : Médiamétrie//Netratings).

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(08/12/2011 14:01:31)

E-commerce : la France n'est pas encore un marché mature selon une étude PwC

Même s'il est devenu un acteur incontournable à certaines périodes de l'année comme les soldes et Noël, l'e-commerce en France dispose encore d'une large marge de progression. L'étude du cabinet PwC, publiée ce jeudi 8 décembre, révèle en effet que 23% des internautes ont effectué leur premier achat en 2010. Désormais, les deux-tiers des cyberacheteurs passent commande au moins une fois par mois.

La France n'est pas encore un pays mature dans l'utilisation d'internet comme canal d'achat. Pour preuve, 21% des internautes américains et 16% des internautes britanniques passent commande plusieurs fois par semaine, alors qu'ils ne sont que 8% en France. "Ces divergences entre pays s'expliquent en partie par la disponibilité de l'offre : en 2009, seules 56 des 100 plus grandes enseignes en France proposaient un site marchand", souligne l'étude.

Des acheteurs devenus consommateurs réguliers

Aujourd'hui, en France, deux-tiers les cyberacheteurs achètent sur internet au moins une fois par mois, tandis que 10% sont des acheteurs occasionnels. Plus de la moitié de cette population (81%) plébiscite les "pure-players" comme Amazon ou eBay, ces plateformes visibles uniquement sur la toile, non transposées dans des magasins physiques.

A ce sujet, CDiscount, eBay, Vente Privée et PriceMinister sont les quatre pureplayers les plus appréciés des internautes français, qui ont passé commande au cours des douze derniers mois. Cette étude a été réalisée entre août et septembre 2011, auprès de 7 000 web acheteurs.

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