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(06/08/2008 16:30:09)

Google veut doper ses Apps sans chasser sur les terres d'Office

Google prévoit d'ajouter des briques supplémentaires à ses services bureautiques en ligne, les Google Apps. Destinés aux entreprises, les prochains outils ne devraient pas alourdir la facture dont s'acquittent les clients professionnels du géant du Web. « Notre but est de valoriser l'offre à prix constant et de proposer des choses étonnantes aux entreprises », a résumé Dave Girouard, le président de la division entreprises de Google. L'initiative du groupe californien s'inscrit dans le cadre concurrentiel l'opposant à Microsoft sur le terrain des outils bureautiques et collaboratifs. Les deux titans de l'IT ont certes adopté des stratégies différentes - Google mise sur un modèle Saas composé de services de base tandis que Microsoft continue de distribuer Office en version à installer sur le poste client - mais ils n'en convoitent pas moins tous deux le marché professionnel. En proposant plus de services pour un coût inchangé, Google entend augmenter largement le nombre de ses utilisateurs. « Nous voulons nouer des relations commerciales avec beaucoup d'entreprises, confirme Dave Girouard, et cela importe plus que de savoir exactement combien nous gagnons de dollars par utilisateur. » Google ne détaille pas les briques qu'il souhaite ajouter à ses services bureautiques. Le président de la division entreprise précise néanmoins que Google s'attachera à développer des applications tendant à simplifier le travail collaboratif. Aussi, il n'est pas question pour Google de chercher à concurrencer Office en proposant autant de fonctionnalités qu'en compte la suite de Microsoft. Le tableur de Google, par exemple, n'est pas conçu pour réaliser des opérations complexes alors qu'« Excel est très bon pour cela. [Mais] il existe des millions de choses pour lesquelles vous pouvez utiliser notre tableur, explique Dave Girouard, et à propos desquelles nous pensons que nous comme largement meilleurs qu'Excel. » (...)

(06/08/2008 13:59:11)

Mozilla invite les internautes à imaginer le navigateur de demain

Mozilla donne coup d'envoi d'un chantier visant à imaginer la navigation Web de demain. A cette fin, l'éditeur de Firefox invite toutes les bonnes volontés à se joindre à son projet, qu'il mène en collaboration avec Adaptive Path, l'entreprise ayant refondu l'interface de Facebook. Des travaux doit naître Aurora, un navigateur rassemblant les innovations qui auront été soumises par les participants. Déjà, les Mozilla Labs ont mis en ligne une première vidéo illustrant « l'un des futurs possibles » pour les navigateurs et montrant comment les internautes pourront utiliser ce type de logiciel pour le travail collaboratif, avec des fonctionnalités de messagerie instantanée nativement intégrées à l'application. Des fichiers peuvent être échangés directement et affichés immédiatement en plein écran dans le navigateur. C'est ce type d'idées que Mozilla attend des participants. Dans un billet de blog, le vice-président de Mozilla Labs, Chris Beard, explique que l'éditeur espère que le plus grand nombre rejoindra le projet, et pas seulement des développeurs. Les suggestions pourront prendre la forme de morceaux de code, prêts à l'emploi, ou de simples idées couchées par écrit ou illustrées par un dessin ou une vidéo. La seule contrainte imposée aux internautes souhaitant apporter leur pierre à l'édifice, est que leurs idées doivent pouvoir être librement modifiées ou validées. Pour cela, elles seront soumises à une licence Creative Common, ou Mozilla Public pour les prototypes applicatifs. (...)

(06/08/2008 13:38:50)

Annuels Cisco : l'équipementier ne connaît pas la crise

Cisco publie ses résultats annuels 2008, son année fiscale se terminant au 30 juin. Ils font apparaître un chiffre d'affaires annuel de 39,5 Md$, en hausse de 13%. Le bénéfice net s'élève à 8,1 Md$, en progression de 9,8%. John Chambers, le CEO, table pour le long terme sur une progression de son CA de 12 à 17% par an. Sur les deux prochains trimestres (qui seront de l'année fiscale 2009 de Cisco et de l'année calendaire 2008), Chambers pronostique 8 et 8,5% de hausse. Sur le quatrième trimestre de l'exercice 2008, le groupe n'a pas essuyé la crise économique américaine. Par produits, et en partant de ceux qui progressent le moins, les routeurs sont en hausse de 8%, les switchs de 5%, les communications unifiées de 20%, les applications de services réseaux de 30%. Pour l'ensemble de l'année, Cisco relève quelques évènements marquants : débuts d'un plan de développement en Chine portant sur 16 Md$ de CA sur plusieurs années, transformation de sa vision du datacenter par la virtualisation, lancement de l'ASR 1000 en routeurs. (...)

(06/08/2008 13:34:57)

Siemens pourrait quitter Fujitsu-Siemens

Le groupe Siemens et sa joint venture avec Fujitsu, Fujitsu Siemens Computers, font le silence radio (*), mais il semble bien que le groupe allemand souhaite se désengager de cette co-entreprise. Le Wall Street Journal de mercredi 6 août affirme que la direction de Siemens a informé le groupe japonais de son intention de vendre. Celui-ci, toujours selon le quotidien des affaires américain, ne serait pas disposé à lui acheter sa participation. Siemens a engagé un important programme de cession. Dernier épisode en date celle de sa filiale dans les PABX, Siemens Enterprise Networks, largement restructurée avant cession. Le cas de la joint venture dans les PC est plus complexe, Siemens ne peut agir seul puisqu'il est à 50/50 avec le Japonais et cette filiale est sur un marché aux cycles beaucoup plus courts que dans les PABX. Cette co-entreprise est d'ailleurs dans une situation de baisse de ses ventes, par exemple en France (**) face à des concurrents comme HP, Acer et même Dell, les trois leaders mondiaux du marché. (*) Aucun interlocuteur n'a souhaité nous répondre sur ce sujet. (**) Selon IDC France, la part de marché de Fujitsu Siemens est passée de 5,57% à 4,60% entre 2006 et 2007. Au total, le constructeur a vendu 7% d'ordinateurs en moins, passant de 480 000 à 445 000 unités vendues. Les desktops grand public baissent de 46% et ceux vendus en entreprises de 27%, en revanche les portables vendus en grand public grimpent de 42%. (...)

(06/08/2008 12:01:19)

Sun appelle les fabricants de SSD à définir des standards en commun

Les fabricants de SSD devraient s'unir et établir un organisme qui définirait les standards dans ce domaine. Tel est l'avis de Michael Cornwell, qui supervise la technologie mémoire flash chez Sun. Le constructeur a récemment indiqué qu'il comptait généraliser l'emploi des SSD (solid state drives, remplaçants, à base de mémoire électronique, des disques durs) dans ses gammes serveurs et stockage. Mais, comme l'explique Michael Cornwell, faire la promotion de cette technologie est aujourd'hui relativement difficile. En l'absence de standards, de performance, notamment, c'est le critère classique du coût au gigaoctet qui domine les discussions. Et à cette aune, le SSD fait pâle figure. Selon le cabinet d'études iSuppli, le coût moyen est de 0,37 $ au gigaoctet pour un disque dur magnétique classique, contre près de dix fois plus, 3,59 $, pour un disque à mémoire électronique. Sun aimerait de son côté insister sur les bénéfices, en termes de temps d'accès ou d'efficacité énergétique. Le constructeur a indiqué qu'il avait déjà pris langue avec un fabricant à ce sujet, sans donner de nom. Le mois dernier, Sun avait collaboré avec Samsung pour améliorer la durée de vie des mémoires flash, de 100 000 à 500 000 cycles lecture/écriture. Parmi les organismes qui pourraient fédérer les fabricants de SSD, Michael Cornwell cite l'Idema (International Disk Drive Equipment and Materials Association). Mais d'autres travaillent déjà sur le sujet, tels que l'INCITS (International Committee on Information Technology Standards) et le Jedec (Joint Electron Device Engineering Council). (...)

(06/08/2008 10:46:43)

Tous les ordinateurs portables susceptibles d'être saisis aux frontières américaines

A l'heure où la Chine focalise l'attention des tenants des droits de l'Homme et des libertés individuelles, les Etats-Unis suscitent l'ire de ces derniers. Washington vient en effet de rendre public un texte autorisant les agents des douanes à saisir n'importe quel appareil électronique. Ordinateurs portables, baladeurs, disques durs portables et smartphones sont donc, au nom de la sécurité, susceptibles d'être examinés dès lors que leur propriétaire franchit une frontière américaine. Le texte, issu du Département de la sécurité intérieure (DHS), précise que cette possibilité offerte aux agents des douanes est essentielle pour la découverte d'informations relatives au terrorisme, aux trafics de stupéfiants ou à l'immigration illégale. Il précise que n'importe quel voyageur pénétrant ou quittant le territoire américain peut voir les appareils électroniques qu'il transporte confisqués par les douanes. Lesquelles ont alors toute latitude pour en analyser le contenu. Elles peuvent, pour cela, se faire assister d'un traducteur, d'un spécialiste du chiffrement ou, en cas de suspicion de violation de la Loi, de divers experts. Si le document du DHS vient d'être rendu public, les mesures qu'il présente sont en réalité déjà en vigueur. Selon nos confrères d'IDG News Service, plusieurs voyageurs ont rapporté s'être faits saisir leur ordinateur portable sans que leur bien leur soit restitué par la suite. De nombreux critiques n'ont pas tardé à fuser du côté des associations de défense des libertés et d'une partie de la classe politique. Beaucoup accusent le texte d'autoriser des fouilles trop intrusives et de violer les libertés individuelles. Selon l'Electronic Frontier Foundation, les ordinateurs renferment des informations familiales, médicales, financières, qui pourraient facilement être copiées et se retrouver dans les bases de données gouvernementales. « Les mesures qui viennent d'être révélées sont vraiment inquiétantes », a résumé le sénateur Russ Feingold. (...)

(06/08/2008 12:54:26)

SAS acquiert IDeaS et ses outils d'optimisation pour le secteur du tourisme

L'éditeur américain SAS, fournisseur de solutions d'analyse de données, vient de compléter son offre métier avec l'expertise de son compatriote IDeaS, racheté pour un montant non communiqué. Société de 200 employés basée à Minneapolis, IDeaS a développé pour le secteur du tourisme (hôtellerie, transport aérien, location de voitures, parking...) des solutions d'anticipation de la demande et d'optimisation du chiffre d'affaires. SAS compte adapter celles-ci à d'autres domaines d'activité, en complément des offres du même type dont il dispose déjà -sur le secteur de la distribution, notamment. Améliorer chiffre d'affaires et profitabilité Les méthodes d'amélioration de la profitabilité (revenue management, yield management) proposées par IDeaS sont mises en oeuvre depuis plusieurs années dans le secteur du tourisme. Elles permettent de rentabiliser au mieux les offres commerciales d'un transporteur ou d'un hôtelier, en optimisant le taux de remplissage d'un avion, par exemple, ou en planifiant au plus juste les besoins en personnel dans le cas de réservations hôtelières. SAS va combiner ses technologies d'analyse et celles d'IDeaS pour proposer des solutions permettant d'adapter la tarification des offres en fonction de l'analyse en temps réel du comportement des consommateurs. Des solutions en mode SaaS IDeaS a choisi le modèle SaaS (software as a service, utilisation des logiciels en ligne) pour commercialiser ses solutions. Hyatt International et Fairmont Hotels figurent parmi ses utilisateurs. Les acquisitions réalisées par SAS se portent généralement sur de petits éditeurs qui lui permettent de compléter son offre avec des technologies spécifiques qu'il peut exploiter dans ses applications. Au premier trimestre, il a ainsi racheté Teragram pour ses outils de traitement du langage. SAS a réalisé 2,15 Md$ de chiffre d'affaires sur son année fiscale 2007. (...)

(06/08/2008 11:11:59)

L'impact environnemental des TIC étudié par l'ONU

Le groupe de travail Green ICT (TIC vertes) créé par l'ITU (International Telecommunications Union) s'est vu confier par l'ONU la double mission de mesurer et de réduire l'impact des TIC (technologies de l'information et de la communication) sur l'environnement. La création fait suite à l'invitation de Ban Ki-moon, le secrétaire général de l'ONU, faite à l'ITU d'accélérer ses travaux autour du réchauffement climatique. Rappelons que depuis l'accord du Protocole de Kyoto, en 1997, le nombre des utilisateurs des TIC dans le monde a triplé ! Présidé par David Faulkner, responsable des recherches sur les accès réseaux de BT, le groupe étudiera dans un premier temps les dommages environnementaux provoqués par les TIC. Dans un deuxième temps, c'est sur la réduction de ces dommages qu'il s'attardera, en particulier au profit des secteurs de l'énergie, des transports et du bâtiment. « Les TIC contribuent au réchauffement global », a convenu Hamadoun Touré, le secrétaire général de l'ITU, « mais le plus important est qu'elles sont la clé de la surveillance et de la réduction de ses effets. » L'ITU, selon les méthodes d'estimation de l'impact des TIC sur les changement climatiques qui sont retenues actuellement, pourrait aider à réduire ces émissions de l'ordre de 15% à 40%. (...)

(06/08/2008 09:52:25)

Semestriels SSII : Team Partners recule de 2,2% et GFI patine à l'international

En pleine restructuration interne, avec changement de direction, Team Partners Group affiche des résultats négatifs mais assez logiques. Son chiffre d'affaires (CA) se monte à 65,6 M€ sur le premier semestre 2008, en repli de 2,2% par rapport au même semestre de l'exercice précédent. La société indique avoir poursuivi sa restructuration financière : étalement des dettes fiscales et sociales obtenu auprès des administrations concernées, moratoire pour la dette bancaire, réussite de l'augmentation de capital du mois de juin dernier (avec 11,3 M€ récoltés). GFI freiné en Italie et en Espagne Quant à GFI, la SSII présidée par Jacques Tordjman, elle progresse de 3,2%, à périmètre constant, sur le premier semestre 2008 avec un chiffre d'affaires de 191,3 M€ (+ 5,2% au deuxième trimestre). Sa croissance totale s'établit à 13,8% sur le semestre et à 15,5% sur le 2ème trimestre. GFI a intégré plusieurs acquisitions : 100% de BTD acquis en septembre 2007, la division ingénierie de Viveo reprise en avril 2008, 100% de Bull portuguesa computadores acquis en avril 2007, 100% également des filiales canadiennes Accovia et GFI Logiciels. La SSII française a par ailleurs été freinée à l'international, en particulier en Italie. Sur ce pays, elle enregistre un recul de son CA organique de 13,2% sur le semestre (avec 28,9 M€ de CA). L'Espagne recule également de 2,8% (avec 53,4 M€ de CA semestriels). Au total, sur le semestre, l'international est en repli de 3,6%, la France progressant de 7,1%. Sodifrance en hausse de 5,5% A périmètre constant, le CA semestriel de Sodifrance a progressé de 5,5%. Sinon, avec 34,3 ME, contre 23,8 cette progression serait de 43,8%. La SSII s'attend à un CA annuel de 72 ME qui »devrait se situer dans la fourchette basse de sa prévision annoncée » selon son propre communiqué. La société invoque pour le 2ème trimestre un décalage dans la mise en oeuvre de grands projets, suite à des études techniques préalables plus complexes qu'annoncé. (...)

(05/08/2008 15:54:36)

La vie privée de Larry Page décortiquée grâce à Maps, Earth et View

Aux grands maux les grands remèdes, se sont probablement dit les responsables du NLPC (National Legal and Policy Center), un organisme spécialisé dans la défense de l'éthique dans la vie publique, après que Google a fait part du peu d'attachement qu'il porte à la notion de vie privée sur le Web. A un couple qui reprochait au moteur de recherche d'avoir mis en ligne des clichés représentant le domicile familial, le pantagruélique groupe californien a répliqué que « même en plein désert, la vie totalement privée n'existe plus. » Forts contrarié par cette assertion, le NLPC a décidé de prendre Google a son propre jeu et d'illustrer, en utilisant les outils mis en ligne par le moteur, le danger potentiel qu'ils représentent. Les tenants de l'éthique ont ainsi concocté un PDF de sept pages fourmillant de détails sur la vie quotidienne d'un « haut dirigeant de Google », dont l'identité n'a pas été révélée. Selon le site Valleywag, il s'agirait de Larry Page, le co-fondateur de Google. Dans un premier temps, on apprend que le ponte vit dans une spacieuse villa de Palo Alto, dont on peu voir la façade grâce à une photo issue de View Street. Une vue aérienne, via Google Earth, confirme que la demeure est luxueuse : patio intérieur, piscine, parc paysager, rien ne manque. Dans un souci du détail, le NLPC indique même que 253 mètres séparent la grille d'entrée de la porte de la maison. Pratique pour d'éventuels monte-en-l'air, qui s'apercevront qu'une partie de leur travail est ainsi pré-machée. Ils n'auront par exemple aucune difficulté pour reconnaître la voiture du maître des lieux grâce au cliché - une nouvelle fois issu de View Street - sur lequel la plaque minéralogique est parfaitement visible. Car jacking, mode d'emploi [[page]] Et si nos malfaiteurs préfèrent les joies du 'car jacking' à celles de la cambriole, il leur suffira, pour commettre leur larcin, de se positionner le long du trajet emprunté quotidiennement par l'un des patrons de Google. La tâche sera facilitée par la photo aérienne présentée dans le document du NPLC : la route séparant la résidence de la potentielle victime de son lieu de travail y est clairement identifiée et l'itinéraire détaillé. On apprend que le chemin mesure 7 kilomètres et que 11 minutes suffisent pour aller du domicile au bureau. Les internautes les plus vils auront même, grâce au NLPC, le loisir de sélectionner les points stratégiques pour intercepter le véhicule du 'top executive' : les carrefours imposant l'arrêt par des Stops ou des feux rouges sont tous répertoriés et photographiés. La voie suivie par le NLPC est certes contestable et ne manquera certainement pas de faire grincer de nombreuses dents. Certains objecteront sans doute qu'il est vain de s'en prendre à Google, dont le seul tort pourrait être d'avoir mis en ligne des outils autorisant une incursion dans la vie privée de tout le monde, ou presque. Certes, rétorqueront les autres, Google ne désire évidemment pas jouer les Big Brother : il n'est qu'un éditeur et n'a pas d'autre but que de gagner de l'argent. Cependant, la froideur - voire le cynisme - qui entoure sa conviction (« la vie totalement privée n'existe plus ») n'en est pas moins stupéfiante. Et a servi de détonateur pour qu'explose la colère du NLPC. (...)

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