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(05/08/2008 15:13:50)
JO de Pékin : de fausses billetteries en ligne mises hors d'accès
Au chapitre des duperies, la vente de faux tickets d'entrée est un classique du genre. Les JO de Pékin n'y échappent évidemment pas et l'une des principales billetteries frauduleuses mises à jour, www.beijingticketing.com, vient tout juste d'être mise hors d'accès, suite à la demande formulée par les responsables olympiques auprès d'un juge californien. Trente-trois Australiens ont notamment perdu, au total, près de 100 000 A$ après avoir retenu des tickets sur ces sites et l'Australie a ouvert hier son numéro d'appel national (1800 055 555) à l'intention des personnes pensant s'être fait berner. Le principal site incriminé avait l'apparence d'un site officiel, arborant logos des JO, ainsi que numéro de téléphone et adresse postale aux Etats-Unis et en Europe. Néanmoins, Linda Burney, la ministre du commerce australienne, note que s'il pouvait inspirer confiance de prime abord, un examen plus attentif faisait apparaître plusieurs éléments douteux, en particulier l'utilisation d'un vocabulaire anglais assez pauvre et la présence d'erreurs grammaticales. D'autres acheteurs, américains et européens, auraient également été piégés. Le 27 juillet, le site officiel des Jeux olympiques a par ailleurs indiqué que tous les tickets d'entrée avaient été vendus. (...)
(05/08/2008 11:24:04)Forrester voit l'avènement du Daas d'ici deux ou trois ans
Les bases Oracle et autres SGBD d'entreprise ont encore de beaux jours à vivre avant d'être détrônés par les bases de données disponibles en ligne. Néanmoins, prévient Forrester, la technologie mûrit rapidement, et répond déjà à un certain nombre de besoins. D'ici deux ou trois ans, estime le cabinet d'études, les Daas (Database-as-a-service, SGBD hébergés et mutualisés pour plusieurs entreprises) feront partie intégrante des solutions informatiques d'entreprise. Forrester invite donc les DSI (directeurs des systèmes d'information) et DBA (administrateurs de bases de données) à se pencher dès maintenant sur le phénomène. Plusieurs facteurs, indique Noel Yuhanna, l'analyste de Forrester auteur de l'étude, laissent penser que les offres de Daas deviendront sous peu courantes. D'abord, souligne-t-il, malgré la pression sur les prix engendrée par l'apparition d'offres Open Source sérieuses, le coût moyen d'un SGBD d'entreprise a crû ces dernières années d'environ 18% par an, « et aucun fournisseur ne montre de signe laissant penser qu'il pourrait réduire ses prix ». Quant aux offres Open Source, elles nécessitent tout de même d'allouer des ressources coûteuses : matériel et surtout personnel à former et entretenir. Des bases facturées à l'usage, sans coût d'administration en sus Deuxième argument, les besoins de bases de données se multiplient, notamment pour développer et tester des applications. Puis vient le déploiement, qui multiplie les risques de fragmentation des données (lorsque des données concernant un même client ou une même opération se retrouvent dans plusieurs bases). L'apparition d'offres de bases de données à la demande, accessibles en ligne via des technologies classiques (Rest, Soap, ODBC, JDBC, SQL...) et facturées à l'usage, résout ces problèmes, explique Noel Yuhanna. Du moins une grande partie d'entre eux ; notamment lorsque le besoin se limite à pouvoir stocker, retrouver et mettre à jour une donnée, ce qui est le cas de nombreuses applications. Le Daas représente ainsi une solution économique et simple pour des applications collaboratives (tous les participants disposent d'un endroit unique, en ligne, pour partager leurs documents), ou bien pour de l'archivage, puisque l'espace de stockage est illimité (c'est l'affaire de l'hébergeur) et offre de meilleures performances que la bande lorsqu'il s'agit de retrouver des données. Les principaux freins au Daas : les temps de réponse et la sécurité des données [[page]] Evidemment, précise Forrester, il y a des freins. La sécurité des données vient en premier à l'esprit, et elle est intimement liée aux procédures mises en place par l'hébergeur et à sa viabilité et sa crédibilité sur ce marché. Le temps de réponse peut aussi être un facteur déterminant : si le Daas constitue une réponse idéale pour un portail collaboratif ou pour stocker des données accessibles depuis un appareil mobile (dans les deux cas, l'utilisateur sait qu'il passe par Internet et qu'il y aura une certaine latence), il paraît inconcevable pour des applications transactionnelles ou des applications utilisées simultanément par des milliers d'utilisateurs - sauf à disposer d'infrastructures spécifiques, ce qui éloigne de l'idée originale d'une infrastructure de bases de données partagée. Noel Yuhanna donne dans son étude plusieurs conseils pour choisir son prestataire. La liste est encore restreinte. Amazon, avec SimpleDB, Force.com et sa Platform-as-a-service et EnterpriseDB avec Postgres Plus Advanced Server Cloud Edition sont ainsi cités comme les premiers sur ce marché. Néanmoins, l'analyste de Forrester estime que les grands éditeurs du marché devraient prochainement les concurrencer. Déjà, Microsoft propose une bêta de son offre SSDS (SQL Server Data Services), et Oracle devrait faire évoluer ses offres Apex et OnDemand en ce sens. Forrester attend pour très bientôt les offres de Sun, Google et IBM Forrester s'attend aussi à ce que Sun redéfinisse son offre suite au rachat de MySQL : Sun proposait déjà une offre hébergée sur son infrastructure, tandis que MySQL était présent sur le service de 'cloud computing' d'Amazon, EC2. Google dispose aussi d'une offre Daas, mais pas promue en tant que telle pour l'instant : la base de données en ligne BigTable est pour l'instant un composant intégré à Google AppEngine, son offre de développement et de stockage d'applications en ligne. BigTable sert également de support de stockage aux services bureautiques de Google, et Forrester estime que le moteur de recherches devrait rapidement le présenter comme une offre Daas à part entière. Reste IBM, qui dispose de tous les éléments pour constituer une offre Daas. Big Blue en a d'ailleurs mis une en place dans certains de ses centres de Cloud Computing, pour de gros clients. (...)
(05/08/2008 10:38:37)Groupe Open lance son OPA sur Sylis et annonce ses semestriels
Le calendrier s'accélère pour la SSII Groupe Open. La semaine dernière, l'Autorité des marchés financiers (AMF) donnait son visa pour le lancement d'une OPA sur sa concurrente Sylis. L'opération a débuté hier, lundi 4 août. Ce projet avait été annoncé par Groupe Open le 7 juillet dernier. Les actionnaires de Sylis ont jusqu'au 18 septembre pour se prononcer. Cette OPA se compose d'une OPA principale à 4,25 euros par action et d'une OPE avec 10 actions Groupe Open pour 27 actions Sylis. Les deux peuvent se combiner. Cette opération est dite « non sollicitée », le conseil d'administration de Sylis n'ayant pas donné son accord. Rappelons qu'elle permettrait l'émergence d'une SSII de 325 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) annuel, sur les bases de l'exercice 2007, 187 M€ venant de Groupe Open, 138 M€ de Sylis. Des semestriels modestes pour Groupe Open [[page]] Groupe Open annonce parallèlement ses résultats semestriels. Ils montrent un CA de 95,2 M€ en hausse de 4,2% de manière organique (7,1% à périmètre courant). Le résultat opérationnel serait de 4,5%. Pour expliquer ces chiffres modestes, Groupe Open invoque « le recul des contrats en régie impactant transitoirement les taux d'occupation ». Ils sont de 88% sur ce premier semestre contre 90% lors du précédent. La SSII relève également « la stabilité des tarifs alliée à un taux de turn-over en hausse à 25% qui ont pesé sur la marge ». Par ailleurs, Groupe Open se donne jusqu'à fin décembre de cette année pour simplifier ses propres structures : fusionner ses deux filiales Teamlog et Open IT et présenter un seul « véhicule » à la cotation. Rappelons que Groupe Open s'est défait de sa filiale distribution Logix, vendue le 19 février dernier à l'Américain Arrow. Logix, avec 493 M€ de CA, représentait pourtant 75% du CA de Groupe Open. Mais la direction de celle-ci a décidé de se recentrer sur une activité unique, celle de SSII. En vendant Logix, elle se donne les moyens de ses ambitions avec une première proie qui serait Sylis. (...)
(05/08/2008 09:29:47)L'éditeur français GL Trade reçoit une offre de rachat de SunGard
L'Américain SunGard, fournisseur de solutions pour les institutions financières et le secteur public, et spécialiste de la continuité de services, vient de proposer d'acquérir 64,51% du capital de GL Trade, 4ème éditeur français de logiciels (au classement Truffle). A la tête de 1 400 collaborateurs, GL Trade développe des logiciels destinés à la communauté financière (solutions de back-office et front-office, outils de connectivité, applications de diffusion d'informations financières...). Coté sur Euronext Paris, le Français a réalisé un chiffre d'affaires de 203,25 M€ et un bénéfice net de 23,8 M€ sur son année fiscale 2007. Il vient d'annoncer un chiffre d'affaires de 108,2 M€ (+15%) sur son premier semestre 2008, échu fin juin. L'offre d'acquisition de SunGard s'établit à 41,70 euros par action. Le fournisseur américain indique que son offre fait apparaître une prime de 24% par rapport au cours de l'action de GL Trade au cours de clôture du 31 juillet dernier (+53% par rapport au cours du 05 mai, avant les rumeurs de transaction). Une complémentarité géographique SunGard compte 25 000 clients sur 50 pays, parmi lesquels les 50 plus grandes institutions financières. De son côté, GL Trade gère 1 600 clients (dont 20 grands acteurs de la finance) et dispose de bureaux dans 26 pays. Les implantations géographiques respectives des deux fournisseurs sont complémentaires. SunGard possède une forte présence en Amérique du Nord, tandis que le Français a déployé ses solutions de négociation et de connectivité en Europe et en Asie. GL Trade réalise 80% de son chiffre d'affaires hors de France : 22% en Grande-Bretagne, 27% dans les autres pays européens, 16% sur le continent américain et 15% en Asie. L'an dernier, en juillet, SunGard avait racheté la SSII française GTI Consultants. (...)
(04/08/2008 17:01:30)Le fruit des Assises du Logiciel entre les mains d'Eric Besson
Faire de l'industrie du logiciel une priorité d'action publique et soutenir le développement des éditeurs français à l'international. Ce sont, sans surprise, les deux premiers axes de propositions remis à Eric Besson par l'Afdel, à l'issue des Assises du Numérique. C'est Patrick Bertrand, président de l'Association française des éditeurs de logiciels, qui les a transmises, le 30 juillet, au secrétaire d'Etat chargé du développement de l'Economie numérique. Issues du travail des différentes commissions de l'Afdel, ainsi que des débats menés pendant les Assises du logiciel qui ont réuni une cinquantaine de personnes en juin dernier, ces propositions soulignent également la nécessité de renforcer les moyens de protection de la propriété intellectuelle du logiciel. Enfin, l'association n'oublie pas de rappeler qu'il faudrait aussi faciliter l'accès des marchés publics aux éditeurs. Le document remis par l'Afdel à Eric Besson sera diffusé intégralement en septembre. Le Plan Numérique 2012 repoussé à septembre L'étude des contributions apportées pendant les Assises du Numérique par les différents intervenants (acteurs du secteur de l'informatique et utilisateurs, parmi lesquels l'Afdel et l'April) doit déboucher sur le Plan Numérique 2012. La remise de ce document au Premier Ministre a été repoussée en septembre. Eric Besson devait initialement le communiquer fin juillet à François Fillon. (...)
(04/08/2008 16:58:56)Pour Google, la vie totalement privée n'existe pas
Chez Google, la vie privée n'est qu'une vue de l'esprit. C'est du moins le message que semble faire passer l'hégémonique acteur du Web après qu'un couple américain l'eut poursuivi pour avoir mis en ligne des photos de sa maison sur Street View. Ce service vient compléter Google Maps et Google Earth en offrant aux internautes des clichés réalisés par les équipes de Google dans les rues de plusieurs villes. Le moteur de recherche peut ainsi proposer des images prises au niveau du sol, en complément des photographies aériennes jusqu'alors disponibles. Rapidement, plusieurs internautes se sont inquiétés et ont protesté contre les clichés mis en ligne, ce qui a obligé Google à flouter les visages des passants et les plaques minéralogiques photographiés. Des mesures insuffisantes aux yeux d'Aaron et Christine Boring, selon lesquels les clichés de leur maison mis en ligne par Google illustrent « la conduite insouciante [du groupe] et ont causé des souffrances mentales (sic) ». En réparation, les deux Américains réclament 25 000$. Réponse laconique de Google : « Même en plein désert, la vie totalement privée n'existe pas ». Une assertion affligeante, aux yeux de Ken Boehm, le président du NLPC (National legal and policy center), un organisme de promotion de l'éthique dans la vie publique. Selon lui, « l'hypocrisie de Google est à couper le souffle. Peut-être que dans le monde de Google la vie privée n'existe pas, estime-t-il. Mais dans le monde réel, la vie privée revêt une importance fondamentale et est rognée petit à petit par des entreprises comme Google. » (...)
(04/08/2008 16:56:15)Un set d'outils pour passer outre la censure chinoise
A l'heure où certains reporters s'étonnent de ce que le gouvernement chinois pratique la censure sur Internet, un groupe d'activistes basé aux Etats-Unis rappelle qu'il y a moyen de passer outre. Tao Wang, directeur des opérations du GIFC (Global Internet Freedom Consortium), explique que les outils mis à disposition par son organisation sont utilisés quotidiennement par un million de personnes en Chine. Bien sûr, le gouvernement chinois prend des mesures contre ce type d'outils, et les éditeurs partenaires du GIFC sont donc engagés dans une course sans fin entre gendarmes et voleurs pour faire évoluer les logiciels. L'objectif poursuivi, indique le GIFC, est de faire tomber « le grand firewall ». Au sein du bundle proposé au téléchargement par le GIFC, on trouve Ultrasurf et FreeGate, pour visiter tous les sites Web, GTunnel et FirePhoenix pour protéger son adresse IP et les données transmises, et GPass pour un usage sans restriction de la plupart des protocoles courants d'Internet. (...)
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