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(07/05/2008 15:47:34)

Bill Gates : Microsoft a déjà oublié Yahoo

Après le retrait de l'offre de rachat de Yahoo par Microsoft samedi 3 mai, c'est au tour de Bill Gates de s'exprimer. Le co-fondateur de l'éditeur de logiciels a déclaré aujourd'hui, lors d'une conférence à Tokyo, que désormais Microsoft « se concentre sur sa stratégie d'indépendance ». Tout en déplorant avoir « fait beaucoup d'efforts pour parler à Yahoo », sans succès. En d'autres termes, aucune offre de rachat ne sera formulée dans les semaines qui viennent, et la porte entre ouverte hier par Jerry Yang, sous la pression des actionnaires, risque bien de se refermer définitivement. L'échec de cette OPA est également une claque infligée à Microsoft, qui cherchait, à travers cette opération, à accélérer son positionnement sur le marché de la recherche et de la publicité en ligne, dominé par l'intouchable mastodonte Google. Pas question cependant pour Bill Gates de faire profil bas. Il s'est employé à mettre en avant la suprématie de Microsoft dans le secteur des logiciels : « un nombre croissant d'appareils tournent grâce à nos outils », a-t-il déclaré. (...)

(07/05/2008 13:00:13)

Quatre arrestations dans une affaire d'arnaque autour de Paypal

Quatre personnes ont été arrêtées lundi 6 mai pour « escroquerie en bande organisée » et « recel d'escroquerie en bande organisée », dans le cadre d'une vaste arnaque autour de Paypal, le service de paiement en ligne appartenant à eBay. C'est un jeune Tunisien de 17 ans qui tirait les ficelles de ce réseau très bien organisé. Il est parvenu à se procurer les coordonnées de connexion Paypal d'internautes en leur adressant des mails renvoyant sur un site, clone de Paypal, selon une méthode dite de 'phishing' désormais bien éprouvée. Le jeune homme a ensuite tissé un petit réseau de complices en France, dont la mission était de blanchir l'argent récolté frauduleusement. Pour plus de précautions, il leur envoyait de petites sommes (entre 50 et 1500 euros) sur leurs comptes Paypal, en les chargeant d'acheter du matériel high-tech. Une partie du butin était ensuite expédiée en Tunisie, le reste leur servait d'argent de poche. C'est d'ailleurs dans un bureau de poste de Montpellier que le premier complice s'est fait pincer. Il s'apprêtait à envoyer un colis au cerveau de l'arnaque. La perquisition de son appartement a confirmé les soupçons des enquêteurs (empilement de matériel IT, bordereaux Chronopost à destination de la Tunisie, preuves sur son ordinateur). Ils ont ensuite remonté la filière et interpellé trois autres étudiants à Rennes, Valenciennes et Toulouse. Officiellement, la bande aurait ainsi pillé 19 internautes, pour un montant global de 20 000 euros, mais la police parle du piratage de 10 000 autres comptes Paypal. Le cerveau de l'opération, identifié, court toujours Quant au cerveau de l'arnaque, il a été identifié (il s'agirait d'un parent de l'un des étudiants français) mais court toujours et peut donc continuer à oeuvrer. [[page]]Les ambitions du jeune Tunisien ne se limitaient pas à Paypal France, il comptait également s'attaquer à des banques américaines, comme la Barclay's. L'Arsène Lupin en herbe se retrouve donc avec une commission rogatoire internationale sur le dos. Pour endiguer ce phénomène difficile à juguler, Paypal a envisagé de bloquer les internautes utilisant un navigateur obsolète, et dépourvu d'un filtre anti-phishing. Même mise en garde pour les utilisateurs de Safari, jugés insuffisamment protégés par Paypal. Le phishing est une arnaque en progression constante. Selon MarkMonitor, une société spécialisée dans la protection des noms d'entreprise, le phishing a touché 412 sociétés en France au quatrième trimestre 2007, en hausse de 38% par rapport à la même période de l'année précédente. Conscients de ce danger, Yahoo (avec DomainKeys) et Cisco (avec Identified Mail) ont réuni leurs efforts en créant standard de lutte contre le phishing, le DKIM (Domain Keys Identified Mail). Paypal et sa maison-mère eBay l'ont d'ailleurs immédiatement mis en place. Avec le résultat que l'on voit. (...)

(07/05/2008 11:47:35)

JavaOne : Sun présente sa technologie de client riche JavaFX

JavaFX est - une nouvelle fois - la vedette de JavaOne. Formellement annoncée lors de l'édition précédente de la conférence de Sun consacrée à Java, la technologie pour applications Internet riches (RIA) a cette fois fait l'objet de démonstrations : possibilité de glisser-déplacer l'application depuis le navigateur vers le bureau, lecture de vidéos haute qualité, effets multimédias en tout genre... D'abord présenté comme un langage de script s'appuyant sur l'environnement d'exécution Java (JRE), JavaFX désigne désormais la plateforme de client riche, incluant aussi le moteur d'exécution et le framework pour la vidéo. Le kit de développement sera accessible aux développeurs en juillet, et la version 1.0 de JavaFX devrait sortir cet automne, mais uniquement pour les ordinateurs de bureau. La version adaptée aux mobiles est programmée pour le printemps 2009. Une démo de JavaFX mais pas de plan précis pour Android Sun rejoint ainsi de façon un peu plus précise les rangs de Microsoft et Adobe, qui positionnent respectivement Silverlight et le duo Flash/AIR sur le terrain des RIA. L'objectif, a rappelé Rich Green, vice-président exécutif de Sun Software, est de fournir une expérience unique - avec JavaFX, bien sûr - « sur tous les écrans de votre vie ». A noter que durant son intervention sur la scène de JavaOne, Rich Green a présenté une version de JavaFX tournant sur une émulation d'Android, le système d'exploitation basé sur Linux initié par Google et l'Open Handset Alliance. Cependant, le service de relation presse de Sun a vite précisé qu'il ne s'agissait en aucun cas d'une annonce produit, et que Sun n'avait aucun plan pour le moment incluant Android. Quant à l'iPhone, Sun s'est borné à indiquer que la balle était dans le camp d'Apple. Ce qui lui fait un autre point commun avec Adobe. (...)

(07/05/2008 11:39:32)

Adobe veut diffuser Flash gratuitement sur les mobiles

Les formats Flash utilisables sans restriction et le lecteur diffusable sans royalties : voilà les principales inflexions de la stratégie d'Adobe pour s'imposer dans les appareils mobiles. L'éditeur a pris conscience de la nécessité de proposer une expérience utilisateur unique pour les contenus riches quelle que soit la plateforme utilisée par l'internaute. Et n'allez pas dire que cette nouvelle politique d'Adobe a été aiguillonnée par l'apparition d'une version mobile de Silverlight et l'accord entre Microsoft et Nokia. Pour Frédéric Massy, directeur marketing Europe de l'Ouest d'Adobe, il s'agit simplement de suivre l'évolution du marché : « Flash est présent sur 98% des ordinateurs personnels Mac et Windows, dit-il. Or aujourd'hui, il y a davantage d'appareils mobiles connectés que de PC. » Cette stratégie d'uniformisation est la suite logique d'une réorganisation intervenue quelques semaines plus tôt, explique de son côté Kevin Lynch, directeur technique d'Adobe, qui a regroupé les équipes de développement desktop et mobile en une entité unique qu'il dirige : Experience and Technology Organization. Pas d'Open Source, mais des protocoles et API ouverts Concrètement, Adobe publiera les spécifications de l'API de son Flash Player (pour en simplifier le portage), ainsi que les protocoles de Flash Cast (interface pour délivrer des services via un portail sur mobile) et AMF (format du langage ActionScript), annulera les restrictions sur l'utilisation des formats Flash (SWF et FLV/F4V) et éliminera les royalties sur les prochaines versions du Flash Player et du lecteur AIR (son offre d'application Internet riche). Pas de standardisation ni de mise en Open Source dans l'immédiat, donc. « Nous sommes un peu dans la situation que nous avons connue il y a quelques années avec PDF », commente Frédéric Massy. [[page]]L'ouverture de PDF a été progressive, et le format n'a été soumis à l'ISO que quand Adobe a jugé que son évolution devenait marginale. « On n'en est pas encore à ce niveau de maturité pour Flash. » Ces annonces font partie d'une initiative plus globale intitulée Open Screen Project, à laquelle sont conviés les fabricants d'appareils mobiles, les opérateurs, les fournisseurs de contenu, etc. Ont déjà répondu à l'appel, notamment, les opérateurs japonais NTT DoCoMo et taiwanais Chunghwa Telecom, et les industriels Nokia, Sony Ericsson, Samsung, Motorola et LG. Adobe espère que cette alliance inclura aussi des opérateurs européens. « C'est un écosystème excessivement complexe, note Frédéric Massy, particulièrement en Europe. » Un milliard de mobiles équipés de Flash Lite d'ici à 2009 Adobe comptabilise aujourd'hui 500 millions d'appareils embarquant sa technologie Flash Lite. Et il estime que fin 2008 ou début 2009, ce nombre devrait doubler. D'ici là, le projet Open Screen aura peut-être aussi abouti à un système de mise à jour automatisée des lecteurs Flash sur les mobiles, pour éviter les désagréables écrans noirs. « C'est très important », confirme Kevin Lynch, qui reconnaît : « Nous ne pouvons faire cela tout seuls. » Apple, qui refuse pour l'instant de voir Flash Lite s'installer sur l'iPhone, le jugeant trop léger justement, ne fait pas partie de la liste des partenaires. Cette annonce favorisera-t-elle un rapprochement ? « La balle est avant tout chez Apple, répond Frédéric Massy. Il n'y a rien de spécifique lié au lancement de ce projet. Mais le fait de fédérer plusieurs acteurs pourrait jouer... » (...)

(07/05/2008 11:07:28)

La distribution doit se tourner vers les réseaux sociaux, mais avec prudence, dit Gartner

D'après Gartner, les réseaux sociaux représentent une véritable opportunité financière pour la distribution, toutes activités confondues. Jusqu'à présent, les acteurs du secteur s'en sont servi pour cibler leurs campagnes publicitaires à une population relativement jeune. Aujourd'hui, il leur faut élargir cette cible. A ses recommandations, le cabinet d'études adjoint néanmoins quelques conseils de prudence. Le cabinet d'études insiste sur la mine d'informations concernant les consommateurs que représente les réseaux sociaux. Bien sur, ces données sont parfois difficiles à obtenir, et suscitent de nombreuses controverses quant à la protection des données personnelles. Gartner souligne toutefois que les consommateurs sont prêts à lâcher un peu de leur intimité en échange d'un service ou d'une réduction - un peu comme pour le système des cartes de fidélité des magasins. Selon Gartner, l'arrivée des réseaux sociaux sur les mobiles représentera une autre manne pour la distribution. Il ne s'agit que d'un marché émergent pour le moment, mais promis à un bel avenir, selon le cabinet. Ce dernier cite ainsi l'exemple d'un consommateur qui pourrait bénéficier d'une promotion en magasin à condition de diffuser l'information à quelques amis de son réseau via son portable, et attirer ainsi plus de trafic. Attention, la popularité d'une marque se fait et se défait très vite Le cabinet invite néanmoins les distributeurs à la prudence, en listant aussi une série de risques. La popularité d'une marque ou d'un produit se répand en effet de manière virale. Mais si ce bouche à oreille numérique comporte bien évidemment des revers. Un échange entre amis mentionnant une erreur de prix, de promotion, voire d'adresse du site Web se propagera à grande vitesse, tout comme la critique d'un produit par un internaute. Enfin, trop d'informations tuent l'information. Si un site communautaire fournit un trop grand nombre de publicités, l'internaute peut se retrouver perdu face à cet amoncellement d'offres, et tout bonnement quitter le site. Gartner conseille aux distributeurs de préférer des applications interactives, dans lesquelles le consommateur aura l'impression de participer à la conception ou à l'amélioration d'un produit par exemple. (...)

(07/05/2008 09:49:03)

Le fondateur de TomorrowNow s'attaque au support de SAP R/3

Des prestations de maintenance autour des applications de gestion SAP R/3 qui diviseraient par deux les dépenses annuelles consacrées à ce poste. C'est l'offre que vient de constituer, aux Etats-Unis, la société Rimini Street en profitant, pour l'annoncer discrètement, de la tenue concomitante à Orlando de la conférence utilisateurs Sapphire de l'éditeur allemand SAP (04-07 mai 2008). Rimini Street a été créée en 2005 par Seth Ravin, qui n'est pas un inconnu pour SAP. C'est lui qui, cette année-là, avait revendu à l'éditeur allemand la société TomorrowNow, spécialisée dans la maintenance des applications Oracle. Une acquisition qui, par la suite, devait causer bien des tracas à SAP, accusé par Oracle de vol d'informations par son intermédiaire (l'instruction est en cours). La société dirigée par Henning Kagermann aimerait bien, depuis quelques mois, se séparer d'une filiale devenue plutôt embarrassante. Une prestation à prix cassé alors que SAP augmente ses tarifs En s'attaquant au support de SAP R/3, Rimini Street espère tirer profit de la récente décision de SAP de supprimer son option de « Basic Support » tarifée à 17%, en faveur d'une option plus complète, proposée à 22%. Prévue pour démarrer début 2009, la prestation de support de Rimini Street vise en effet les entreprises qui répugnent à lâcher des versions de progiciels qui leur conviennent encore parfaitement, même si elles commencent à dater. Des utilisateurs qui, toutefois, ne sont pas prêts à débourser plus que de raison pour conserver ces applications. (...)

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