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(06/05/2008 16:53:25)

Une pétition en faveur de l'accessibilité des sites publics aux personnes handicapées

Le site web-pour-tous.org a publié aujourd'hui une pétition revendiquant l'application de l'article 47 de la loi de février 2005 à propos de « l'égalité des droits et des chances des personnes handicapées en termes d'accessibilité numérique dans les services publics ». Trois ans après la sortie de la loi, le décret n'a toujours pas vu le jour, on en ignore les modalités, et pour les personnes concernées, les choses n'ont pas bougé d'un pouce. La loi de 2005 stipule par exemple que les services de communication en ligne de l'Etat, des collectivités territoriales et des établissements publics doivent être accessibles aux personnes handicapées. Elle précise également que les délais de mise en conformité des lieux existants ne peuvent excéder trois ans... une date largement dépassée. Autre voeu pieux de la loi, l'accessibilité des services de communication publique en ligne doit concerner « tout type d'information sous forme numérique, et ce quels que soient le moyen d'accès, les contenus et le mode de consultation ». D'après les signataires de la pétition (plus de 400 en une journée), 98% des sites Internet publics sont pourtant inaccessibles à de nombreuses personnes. Un appel direct à Eric Besson, secrétaire d'Etat à l'Economie numérique Pour les pétitionnaires, un site Internet accessible doit proposer du contenu consultable par n'importe qui, quel que soit son handicap (visuel, auditif, moteur) et quel que soit le matériel utilisé. Ils interpellent directement le président de la République ainsi que le Premier ministre : « Cette situation ne peut pas durer ! (...) L'Etat ne peut continuer à exclure, par simple négligence, 15% des citoyens du Web. ». Les auteurs de la pétition réclament une validation et une publication rapide par arrêté ministériel du décret, ainsi que l'implication des personnes handicapées dans ce projet. La balle est maintenant dans le camp d'Eric Besson récemment nommé secrétaire d'Etat chargé du développement de l'Economie numérique. Les signataires de la pétition espèrent qu'il prendra en compte leurs revendications dans le plan de développement des TIC qu'il doit présenter au Premier ministre dans quelques semaines. (...)

(06/05/2008 16:40:42)

Steve Ballmer aussi désigné coupable de l'échec de l'OPA

L'échec de l'offre de rachat de Yahoo par Microsoft n'a pas fini de faire des vagues. Si nombre de commentateurs s'inquiètent du sort de la direction de Yahoo, et plus particulièrement de Jerry Yang, son PDG, qui va devoir justifier son refus d'accepter l'offre de Microsoft devant des actionnaires blêmes d'assister au décrochage de 15% de l'action, d'autres, dont Tech Crunch, se demandent s'il ne risque pas d'y avoir aussi des dégâts collatéraux du côté de Redmond. La première victime pourrait bien être Steve Ballmer, alter ego de Jerry Yang chez Microsoft. Seul aux manettes depuis le retrait de Bill Gates, il aurait mis tout son poids dans la balance pour influer sur les négociations. Leur rupture, qui vient s'ajouter à la réussite très contestée de Vista, pourrait conduire le conseil d'administration de Microsoft à le démettre de ses fonctions. Depuis le début de la semaine, ce sanguin ne décolère pas. Il est toutefois tellement coutumier du fait que cela ne constitue pas un indice probant sur son avenir. Et puis, avec une décote de 15%, Yahoo reste à portée d'une OPA hostile... (...)

(06/05/2008 16:51:42)

AMD doit doubler sa part de marché s'il ne veut périr

En procès contre Intel pour abus de position dominante, AMD ne mâche pas ses mots. Dans ses conclusions rendues au tribunal, le fondeur précise en effet qu'à la fin de 2007, il détenait 13% du marché des processeurs, « moins de la moitié de ce qui est nécessaire pour se maintenir à long terme comme une société viable ». Expliquant que les efforts d'Intel pour les forcer à mettre la clé sous la porte sont en passe de réussir. Si l'on en croît AMD, Intel aurait tout simplement payé les constructeurs de PC pour qu'ils utilisent ses processeurs. Mais ces conclusions ont été modifiées à coups de feutre noir par le tribunal avant d'être publiées, tout comme les réponses d'Intel d'ailleurs. Déjà fragilisé par ses mauvais résultats récents et le retard pris sur le lancement de ses quadri-coeurs Opteron, AMD pourrait voir de toutes façons certains de ses clients partir chez Intel. (...)

(06/05/2008 16:10:35)

IBM juge l'entreprise de demain "avide de changement"

A en croire Daniel Chaffraix, président d'IBM France, l'entreprise de demain sera « avide de changement, innovante et avant-gardiste dans son approche client, révolutionnaire par nature, intégrée à l'échelle mondiale et authentique et responsable ». Telles sont les principales conclusions d'une étude menée par IBM auprès de 1 130 dirigeants d'entreprise (dont 95% interrogés en face à face par le management d'IBM), dévoilée ce matin par Big Blue. Si l'étude ne fait a priori que confirmer la façon dont les chefs d'entreprise se voient - des capitaines visionnaires, parés pour le changement, éthiquement et socialement responsables -, la comparaison avec l'édition 2006 de cette « Global CEO Study » laisse apparaître des évolutions étonnantes. Ainsi, il y a deux ans, la priorité était de s'adapter au marché. « Aujourd'hui, note Raphaël Capelli, vice-président France de Global Business Service (la branche conseil et services d'IBM), il y a plusieurs lignes sur l'agenda, plusieurs priorités avec des poids comparables. » Proportionnellement moins de PDG confiants face à la nécessité de changer La première priorité est de s'adapter au changement. Qu'il s'agisse de faire évoluer le modèle économique, de s'attaquer aux pays émergents ou de s'ouvrir à une nouvelle catégorie de consommateurs très Web 2.0, 83% des dirigeants interviewés disent attendre « des changements substantiels » dans les trois ans à venir. Ils n'étaient que 65% dans l'enquête précédente. En revanche, le fossé se creuse entre ceux qui pensent pouvoir s'adapter au changement et les autres. En 2006, l'écart était de 8%. [[page]]Cette année, il se monte à 22%. Pour Raphaël Capelli, cela montre « une certaine lucidité » de la part des chefs d'entreprise. « Ces derniers sont conscients, dit-il, des problèmes d'accès aux compétences, souvent résolus par des partenariats ou des rachats, eux-mêmes risqués. » Ils craindraient également les chocs culturels : les hommes sont-ils prêts à changer en même temps que l'entreprise ? IBM espère ainsi renforcer l'intimité avec ses clients Interrogé par IBM et présent lors de la divulgation des résultats de l'enquête, Jean Criton, directeur général de Banque Populaire Rives de Paris, abonde sur ce problème de conduite du changement : « Nous avons des outils superbes avec le CRM. Mais il y a le problème humain : il ne faut pas que les conseillers aient l'impression que la machine leur dicte leur comportement. » Etrangement, IBM dit ne pas avoir profité de cette étude pour évaluer la vision des technologies de l'information par les CEO. Toutefois, ce travail n'est pas fait en vain : chaque dirigeant interviewé sera recontacté par IBM pour un débriefing personnalisé. Comme l'explique Daniel Chaffraix, « le but est de créer une intimité des entreprises avec IBM autour de la valeur qu'IBM peut leur apporter [...] et de partager sur le fait que nous sommes capables, du fait de la largeur de notre portfolio, d'amener des réponses à des problématiques qu'on aura soulevées ensemble. En particulier sur ce différentiel entre 'je veux changer' et 'je sais changer'. » (...)

(06/05/2008 14:52:46)

Hachette Livre rachète la librairie numérique Numilog

La plateforme de distribution de livres électroniques Numilog, qui propose quelque 46 000 titres en ligne, va être absorbée par Hachette Livre. Ce dernier vient d'annoncer un protocole d'accord pour le rachat de cette société qui propose aux éditeurs des services de numérisation et de conversion de leur fonds au format électronique (e-book PRC, PDF ou audios -MP3 ou WMA). Numilog s'adresse également aux libraires avec des services de gestion des ventes de livres numériques en ligne (commande, facturation et livraison en marque blanche). Il a par ailleurs élaboré des solutions de bibliothèques virtuelles et des prestations d'impression à la demande. Le PDG de Numilog, Denis Zwirn, restera à la tête de la société qu'il a fondée en 2000. (...)

(06/05/2008 13:01:40)

SAP et Microsoft veulent aider les banques dans leurs projets SOA

SAP, Microsoft et quinze autres sociétés -SSII ou acteurs du monde bancaire- viennent de créer l'association BIAN (Banking industry architecture network) afin de partager leur expertises techniques et méthodologies pour faciliter l'évolution des systèmes informatiques des banques vers une architecture orientée services (SOA). Parmi les membres figure la SSII française Steria. L'association rappelle que les systèmes d'information en place dans les banques comportent toujours une large part de développements spécifiques. Ces derniers constituent une entrave de plus en plus gênante avec la globalisation des marchés financiers. BIAN se donne pour objectif d'encourager le développement de services standardisés, vers lesquelles les banques pourraient évoluer par étapes. L'une des difficultés rencontrées dans le cadre des projets SOA réside dans la définition sémantique des services (un sujet notamment évoqué lors des premières assises du développement de SI durables, en janvier dernier). C'est un chantier auquel SAP a commencé à s'atteler pour le secteur bancaire en créant, en 2005, le regroupement IVN (industry value network) for Banks qui rassemble 37 éditeurs et institutions financières. L'association BIAN (de droit allemand) a adopté une politique de propriété intellectuelle ouverte afin que les spécifications qui sortent de la collaboration de ses membres puissent être mises en oeuvre sur de multiples plateformes technologiques. (...)

(06/05/2008 12:45:43)

Sous pression, Jerry Yang joue une dernière carte

Depuis l'annonce du retrait de l'offre de rachat de Yahoo par Microsoft samedi 3 mai, Jerry Yang ne fait plus le fanfaron. Fini les provocations pour faire monter les enchères (Microsoft avait proposé 33 $ par action, Jerry Yang réclamait 37 $). Non seulement le PDG de Yahoo voit le cours de l'action s'écrouler de 20%, mais il doit en plus faire face aux interrogations des investisseurs et surtout au courroux de ses actionnaires. Deux fonds de pension de la ville de Détroit ont décidé de porter plainte contre la direction de Yahoo. Ils estiment en effet que le conseil d'administration n'a pas agi dans l'intérêt des actionnaires en refusant l'offre de Microsoft, et réclament des dommages et intérêts. Jerry Yang : C'est pas moi, c'est lui qui a commencé Sous pression, Jerry Yang a légèrement fait marche arrière, en déclarant que la porte n'était pas tout à fait fermée. « Si Microsoft a quoi que ce soit de nouveau à dire, nous serons ouverts. Je suis tout à fait disposé à les écouter », a-t-il déclaré à nos confrères de Reuters. Pas question cependant de perdre la face. Le PDG de Yahoo, qui détient 4% de la société, joue à c'est pas moi qui ait commencé, c'est Steve Ballmer. Il a ainsi déclaré : « ce sont eux qui sont à l'origine [des discussions], et ce sont eux qui sont partis ». Jerry Yang a tout intérêt à jouer finement s'il ne veut pas connaître le même sort que Terry Semel, son prédécesseur. Toujours selon Reuters, de nombreux actionnaires se sont prononcés en faveur d'un remaniement de la direction de Yahoo. Même Legg Mason, le deuxième plus gros actionnaire de Yahoo, tempère les ardeurs de Jerry Yang. En avril dernier, la société avait clairement apporté son soutien à Yahoo. Ben Miller, en charge du dossier, se déclarait prêt à s'engager dans un proxy fight (bataille de mandats) pour contrer Microsoft. Ce même Ben Miller a déclaré hier au New York Times que Legg Mason se serait finalement contenté d'une vente à 34$ par action - soit un dollar de plus que l'offre de Microsoft. Le sort de Jerry Yang devrait se jouer le 3 juillet, lors de la prochaine assemblée générale. (...)

(06/05/2008 10:02:54)

Pardus et Centaurus démentent vouloir démanteler Atos

Quelques jours avant l'assemblée générale qui devrait décider du sort d'Atos, la bataille qui oppose la direction de la SSII et ses deux principaux actionnaires prend des tournures de campagne électorale. Chacun des deux partis en appelle à la raison des actionnaires. Pardus et Centaurus ont publié hier, lundi 05 mai, une lettre affirmant qu'en aucun cas ils ne préconisent le démantèlement d'Atos, ni sa prise de contrôle, mais dénoncent le programme de réduction des coûts de la SSII (le plan 3o3). Pour les deux actionnaires, ce plan n'est pas suffisamment ambitieux, et ne répond pas à la rapidité de l'évolution du secteur des services informatiques. Ils pointent également du doigt le manque de rentabilité de la SSII. Si Atos a conclu l'année 2007 en beauté, avec un chiffre d'affaires de 5,855 Md€, en hausse de 8,5%, les résultats du premier trimestre sont décevants. Le chiffre d'affaires plafonne à 1,424 Md€, en baisse de 0,5% par rapport à la même période de l'année dernière, plombé par la vente de la filiale italienne en janvier dernier. Une issue incertaine Pardus et Centaurus enjoignent les autres actionnaires à les rejoindre en rejetant certaines résolutions qui seront soumises à leur vote lors de la prochaine AG, le 22 mai prochain. [[page]]Ils les encouragent par exemple à accepter l'admission de nouveaux candidats indépendants au sein du conseil de surveillance, et réclament purement et simplement le départ de Didier Cherpitel, président du conseil de surveillance d'Atos. Les autres revendications concernent les modifications du régime de retraite pour certains cadres, ou encore la réduction de la durée de mandat des membres du conseil de surveillance. De son côté, Didier Cherpitel a adressé le 30 avril dernier une lettre à ces mêmes actionnaires, fustigeant une nouvelle fois l'attitude déloyale et les tentatives de déstabilisation de ses opposants. S'il estime qu'il est légitime que des actionnaires représentant près de 23 % du capital de la société siègent au conseil de surveillance, il condamne les derniers agissements de Pardus et Centaurus, les accusant d'avoir « contacté des concurrents pour proposer de racheter la société » ou encore de « dénigrer publiquement l'entreprise et sa stratégie ». Ce différend paraît de plus en plus complexe à démêler. Les analystes n'osent pas trop s'avancer sur son dénouement. La banque d'investissements Bryan Garnier a par exemple refusé de s'exprimer à ce sujet, estimant qu'il s'agit d'un « conflit de personnes », donc « délicat à commenter ». (...)

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