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(04/04/2008 18:14:00)
Contrôles de la CNIL : le mode d'emploi
La CNIL est la garante du respect de la Loi Informatique et Liberté. En quelles circonstances opère-t-elle des contrôles dans les entreprises et administrations ? (...)
(04/04/2008 17:34:00)LES RENCONTRES CIO DU DECISIONNEL 2008
« L'expertise de l'éditeur dans la réussite de vos projets » Maîtrise d'oeuvre des projets décisionnels : les meilleures pratiques (...)
(04/04/2008 16:54:00)LES RENCONTRES CIO DU DECISIONNEL 2008
« L'expertise de l'éditeur dans la réussite de vos projets » Optimiser la complémentarité éditeur - intégrateur (...)
(03/04/2008 18:19:02)Une piscine publique chauffée par des serveurs IBM
Les grands centres de données sont de véritables plaies pour l'environnement. Ce sont de gargantuesques consommateurs d'énergie. De plus, cette énergie est essentiellement transformée en une chaleur telle qu'il faut installer des systèmes de climatisation encore plus énergivores... Pour mettre fin à ce cercle vicieux, IBM vient de trouver une idée plutôt originale : tout simplement récupérer la chaleur perdue du centre de stockage d'un de ses clients pour chauffer une piscine publique ! Installé en Suisse dans un ancien bunker, le site de stockage sécurisé de la société de services Gib-services devrait générer l'équivalent de 2 800 Megawatts par an de chaleur perdue. Selon IBM, il serait théoriquement possible de récupérer jusqu'à 90% de la puissance électrique de départ. Largement suffisant pour réchauffer les Helvètes adeptes de natation. Mais surtout, l'opération éviterait ainsi 130 tonnes d'émissions carbone. (...)
(03/04/2008 18:03:09)Annuels ITS Group : +41% sur fond de campagne de recrutement
La société ITS Group, spécialisée dans le conseil et la gestion des infrastructures informatiques, affiche des résultats financiers en forte progression. Son chiffre d'affaires 2007 atteint les 50,3 M€, en hausse de 41% par rapport à l'an dernier. Le résultat net s'établit à 2,7 M€ (+40%) et la marge opérationnelle courante à 8,4%. La SSII, qui fête ses dix ans, vise les 100 M€ de chiffre d'affaires en 2011, avec une marge opérationnelle de 10%. Dans un plan baptisé Trajectoire 2011, elle détaille ses axes stratégiques : se développer en région (elle compte des agences à Paris, Nantes, Lyon, Lille, Laval) et renforcer son pôle conseil dans les projets d'infrastructures et d'infogérance pour les PME, notamment en s'appuyant sur iMedia, une société rachetée en janvier dernier. 214 recrutements en 2007, 250 prévus en 2008 ITS Group, qui emploie actuellement 600 salariés en France et en Suisse, compte par ailleurs intensifier sa politique de recrutement. Après avoir embauché 214 personnes en 2007, elle recherche 250 collaborateurs de plus cette année. Les profils sollicités : chefs et directeurs de projets techniques, spécialistes Unix (système et exploitation), des ingénieurs systèmes Microsoft, développeurs Java/J2EE et .Net. Des postes de directeur de projets sont également à pourvoir. ITS Group organise d'ailleurs la deuxième édition de ses « rencontres recrutement », le 10 avril prochain. (...)
(03/04/2008 17:46:57)Google licencie 300 salariés de DoubleClick
C'est un coup dur pour les employés de la régie publicitaire DoubleClick. Google a décidé de se séparer de 300 salariés de sa récente acquisition, rapportent nos confrères du New York Times. C'est une première pour le géant des moteurs de recherche qui annonce ainsi les premières suppressions de postes de son histoire. Les réductions d'effectifs représentent 25% de la force américaine de travail de DoubleClick, constituée de quelque 1 200 salariés. Les 300 autres employés de l'agence de publicité ailleurs dans le monde, notamment en Europe, seront eux-aussi concernés par des coupes, mais à une date ultérieure, a précisé Eric E. Schmidt, PDG de Google, sans pour autant confirmer le nombre de licenciements. « Depuis la finalisation du rachat de DoubleClick, le 11 mars 2008, nous nous efforçons d'adapter l'effectif américain de la régie à notre organisation, a déclaré Google mercredi dernier, dans un communiqué. Comme c'est le cas lors de nombreuses fusions, cette intégration doit passer par des réductions d'effectifs ». Et ce n'est pas tout. En parallèle de ce premier plan social, Google vient d'annoncer la mise en vente de l'activité de référencement de Performics, filiale de DoubleClick. En fournissant l'aide nécessaire aux clients afin qu'ils trouvent le meilleur placement de leurs annonces publicitaires sur Internet, que ce soit sur Google, ou sur ses concurrents Yahoo ou Microsoft, Performics présentait d'évidents problèmes de conflits d'intérêts. La société sera donc divisée en deux entités : Affiliate Marketing et Search Marketing. Google intègrera la partie Affiliate Marketing à son business et cèdera l'activité de référencement Search Marketing, à un tiers. En 2007, le géant des moteurs de recherche avait procédé à 6 100 nouvelles embauches, pour terminer l'année avec un effectif de 16 805 salariés dans le monde. (...)
(03/04/2008 17:45:51)Une extension QuarkXPress pour Silverlight
Visionner une mise en page QuarkXPress comme une application Web dans le lecteur Silverlight de Microsoft est désormais possible, via le module QuarkViewer. Téléchargeable gratuitement sur le site Quark Labs, cette « XTension » permet d'exporter à partir du logiciel de mise en page un document qui s'exécutera dans Silverlight, sur le poste de travail ou sur le Web, en conservant sa présentation d'origine et ses choix typographiques. QuarkViewer est disponible pour Mac et Windows. Ce module vise les graphistes souhaitant mettre leurs projets en consultation sur Internet. Pour l'éditeur Quark et ses partenaires, cela constitue aussi un moyen de valider l'utilisation de la plateforme Silverlight pour l'industrie graphique. Environnement d'exécution pour des applications Internet riches (mêlant textes, images, sons et vidéos), Silverlight concurrence les technologies Flash et AIR (Adobe Integrated Runtime) développées par Adobe. (...)
(03/04/2008 17:37:24)Xcalia passe dans le giron du groupe Progress
Editeur français de produits de connectivité des données, Xcalia a accepté une proposition de rachat de la part de Datadirect, une des divisions du groupe Progress Software. Close en février dernier, la transaction a été rendue publique il y a quelques jours. Pierre Violo, ancien PDG et actionnaire de Xcalia, explique que les discussions duraient depuis l'été 2007 : « Progress voulait s'engager plus avant dans SDO [Service data objects, spécifications de l'Oasis pour un modèle de programmation unifiée fournissant une couche d'abstraction pour l'accès aux données, NDLR]. En faisant leurs études, ils ont jugé que Xcalia avait la meilleure solution, et ils nous ont approchés. » Eric Samson et l'équipe de développement restent en place Pierre Violo est resté actif environ deux mois avant de passer définitivement la main. « Je ne voyais pas quel rôle j'aurais pu jouer, dit-il, l'activité française devenant un pôle de R&D. » L'ancien PDG explique que l'éditeur avait justement pris la décision de lever le pied sur le développement à l'international pour favoriser la R&D. La quinzaine de collaborateurs, « essentiellement en R&D », continuera de travailler pour Datadirect, et devrait être rejointe par d'autres personnes. D'ailleurs Eric Samson, cofondateur de Xcalia en 2000 (sous le nom Libelis, la société proposait alors une implémentation de JDO, standard Java d'accès aux données), rejoint Datadirect au poste de directeur technique pour les services de données. Comme le souligne Charles Gold, vice-président marketing de Datadirect, « nous avons été impressionnés par la technologie de Xcalia mais aussi par les développeurs et les architectes ». [[page]] Comme il se doit, Pierre Violo considère que ce rachat par un éditeur d'envergure mondiale est une bonne chose pour les employés, les clients et la technologie. Seul hic, alors que Xcalia propose une plateforme d'intermédiation des données adaptable avec tout middleware, la solution risque de perdre en neutralité, dans la mesure où Progress est lui-même un vendeur de middleware, concurrent de Tibco, Oracle, BEA. « Absolument pas, répond Charles Gold. C'est tout l'héritage de Datadirect, nous travaillons en toute autonomie par rapport à Progress. Regardez notre pilote ODBC, il n'a aucune extension propriétaire. Si vous êtes un Business Objects et que vous voulez que votre solution fonctionne avec toutes les bases de données, vous choisirez notre logiciel. Trois cents éditeurs embarquent nos pilotes de connexion aux bases de données. Et vous verrez que tous les produits que nous proposerons respecteront cette neutralité. » Charles Gold souligne par ailleurs la proximité culturelle entre Datadirect et Xcalia, les deux sociétés étant extrêmement présentes dans les instances de normalisation ; Xcalia participait ainsi aux comités travaillant sur SDO et SCA. Les solutions Xcalia seront progressivement introduites dans l'offre logicielle globale, et prendront à terme le nom Datadirect. Xcalia était l'un des éditeurs du programme Idées de Microsoft. Le montant du rachat n'a pas été communiqué, Xcalia étant majoritairement détenu par des fonds d'investissement (notamment Innovacom, Iris Capital, I-Source et Cap Decisif). (...)
(03/04/2008 16:27:00)Premiers fruits de l'alliance Accenture/Sun autour de la sécurité
En septembre 2006, Sun et Accenture annonçaient leur intention de collaborer sur la sécurité et la gestion des identités. Un an et demi après, les premiers fruits de leur travail sont arrivés. Regroupés sous le nom d'Accenture Smart Identity Solution, ces logiciels gèrent tous les besoins en identification et en authentification forte des entreprises, aussi bien au niveau logiciel qu'au niveau matériel (avec entre autres la prise en compte des données biométriques), y compris une gestion fine des droits d'accès à certaines applications, dont SAP. Bâtie pour être intégrée dans des systèmes d'informations hétérogènes, l'Accenture Smart Identity Solution se présente sous la forme de modules préconfigurés, prêts à être implémentés dans l'infrastructure existante sans risques et à moindre coût. « Nous avons réalisé tout le travail amont [à l'implantation d'une solution de sécurité], donc nos clients peuvent déjà réaliser de substantielles économies en ne le faisant pas eux-mêmes », explique Mark Herring, vice-président de l'infrastructure logicielle chez Sun. En y ajoutant une plus grande flexibilité d'usage et une administration simplifiée, les deux sociétés promettent une réduction des coûts moyenne de 20%. Accenture Smart Identity Solution rassemble quatre solutions différentes qui peuvent aussi être utilisées de façon indépendante. La première, Accenture Entreprise Identity Management Solution, s'occupe plus particulièrement de la gestion d'identités. La deuxième, Accenture Solution for Control and Compliance, intègre les produits de gestion d'identités avec les outils SAP de gouvernance. La troisième, Accenture SOA Jumpsart Solution for Sun Java CAPS, facilite le déploiement de solutions SOA basées sur Java, et la quatrième, Accenture Secure SOA Solution, sécurise complètement la mise en place d'une architecture orientée service avec les partenaires, fournisseurs et clients d'une entreprise. (...)
(03/04/2008 16:21:21)VMware préfère la bataille technologique à la bataille des prix
Positionné de façon très hégémonique sur le marché de la virtualisation, VMware continue de défendre bec et ongle son avance technologique. Pour preuve les arguments avancés en faveur de l'hyperviseur ESX sur son blog par Reza Malekzadeh, directeur marketing produit de VMware à l'international. ESX serait capable d'optimiser la gestion de la mémoire vive, contrairement à ce que peuvent faire XenServer 4 et la bêta d'Hyper-V. Ce qu'il appelle "surdimensionnement de la mémoire" repose sur deux technologies de gestion de la mémoire. La première permet à plusieurs machines virtuelles de partager des contenus similaires en RAM et donc d'économiser de l'espace mémoire. "Sans baisse notable de performances", précise Reza Malekzadeh. La seconde consiste, lorsqu'une machine virtuelle est inactive, à forcer le transfert de son empreinte mémoire sur disque. L'espace libéré profite alors aux autres. Du coup, à configuration égale, VMware permet le chargement de 14 à 40 machines virtuelles suivant la charge applicative attendue. XenServer et Hyper-V bêta, qui ne savent pas gérer le surdimensionnement mémoire, plafonnent à 7 machines virtuelles. Ramené au nombre de machines virtuelles exploitable par système, l'hyperviseur de VMware reste donc moins cher. La concurrence contrainte à jouer sur les tarifs Citrix et Microsoft se sont engagés de leur coté dans une course-poursuite après le leader incontesté. Leur argument maître ? Le prix. Fidèle à son habitude lorsqu'il rentre sur un marché, Microsoft pratiquera la stratégie de la terre brûlée. De toute évidence, Hyper-V sera gratuit pour le plus grand nombre. De quoi couper l'herbe sous le pied de la concurrence. De son côté, Citrix insiste aussi sur la modicité de ses tarifs. Un sujet sur lequel Vmware, longtemps intraitable, se fait désormais lui-aussi beaucoup plus conciliant. Mais ce n'est que contraint et forcé que l'éditeur continuera de baisser ses tarifs. Il tient à continuer de démontrer qu'il dispose d'une longueur d'avance technologique sur ses rivaux. (...)
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