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(31/03/2008 18:40:10)

Intel et STMicro se débarrassent de leurs mémoires Flash dans Numonyx

Numonyx voit enfin le jour. Annoncé il y a un an par Intel et STMicroelectronics, cette joint-venture réunit les activités de mémoire flash des deux fondeurs. Ils mettent en commun des activités actuellement peu rentables, voire en perte. Et sous le nom brillant de mémoire flash, on trouve surtout une activité focalisée sur les mémoires de type NOR, une "vieille" technologie qui sert au stockage fixe des données, comme c'est le cas dans un bios, ou à l'exécution de programmes résidents. Mais, lorsque l'on parle aujourd'hui de mémoires flash, les vraies vedettes sont celles de type NAND. Très demandées, elles jouent le rôle d'un disque dur ou d'une disquette. On en trouve partout. Dans les clés USB, bien sûr, mais aussi dans l'iPod, premier produit grand public à l'utiliser à grande échelle. A l'avenir, ce seront les téléphones portables qui devraient tirer le marché. Alors que les deux Sud-Coréen Samsung et Hynix se partagent 63% du marché Nand, Numonyx ne joue pas dans la même cour. Il devrait réaliser près de 90% de ses 3,6 Md$ de CA prévisionnel avec la vente de flash NOR. L'autre difficulté de naissance que Numonyx va devoir surmonter, c'est la concurrence de IM Flash Technologies, la joint venture qu'Intel à monté fin 2005 avec Micron sur le marché des mémoires flash... NAND. Intel et Micron viennent d'annoncer un nouveau record avec des mémoires NAND cinq fois plus rapides que les précédentes. Sur un marché hyperconcurrentiel, la guerre sera terrible. Selon iSuppli, le CA du marché des Flash NAND a baissé de 3,9% au dernier trimestre 2007, alors que l'institut s'attendait à une hausse de 3%. Numonyx sera détenu à 48,6% par STMicroelectronics, à 45,1% par Intel tandis que le fonds d'investissement Francisco Partners verse 150 M$ pour obtenir 6,3% du capital. On peut en extrapoler une valorisation d'environ 2,4 Md€. Parallèlement, Numonyx va recevoir 450 M$ pour financer ses dettes. Sur 8000 salariés, 2500 viendront d'Intel. La société affiche huit centres de recherche et développement. (...)

(31/03/2008 18:30:32)

Les salariés d'IBM restent mobilisés contre les transferts d'activités

Par une nouvelle action, menée jeudi dernier 27 mars sur différents sites français d'IBM (La Gaude, Montpelier, Clermont-Ferrand, Nice, Paris et Ecully) et, à l'échelle européenne, dans le monde virtuel de Second Life, les collaborateurs d'IBM ont souhaité rappelé à leur direction qu'ils restaient vigilants sur les projets de vente d'activités impliquant le transfert de salariés. Si le mouvement trouve principalement son origine dans le projet BlueSky relatif au transfert vers AT&T des activités de services réseaux (NSD) d'IBM, les responsables du personnel ont précisé que leur protestation s'appliquait à l'ensemble de la politique de transferts d'IBM, « personne n'étant à l'abri ». Sur le blog relayant les actions menées, le bilan de jeudi dernier fait état d'une centaine d'avatars ayant participé à la manifestation virtuelle, principalement en Belgique, en Italie, en Espagne et en France, mais également, par solidarité, au Royaume-Uni, en Suisse, au Canada et en Allemagne. En savoir plus : Le blog de protestation virtuelle des salariés d'IBM (...)

(31/03/2008 18:00:22)

Le Munci va créer un syndicat professionnel

Le Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens (Munci) essaime sur le terrain syndical. L'association d'informaticiens a en effet entériné samedi, lors de son assemblée générale, la décision de créer un syndicat de branche en marge du Munci. Objectif de cette nouvelle structure, dont le nom n'a pas été dévoilé : la défense des intérêts collectifs chez les prestataires de services informatiques. « Concrètement, nous souhaitons fédérer les salariés et les indépendants des sociétés de prestations intellectuelles (conseil, ingénierie, informatique...) relevant de la branche Syntec », explique Régis Granarolo, président du Munci. Aujourd'hui, un nouveau club professionnel se créé chaque mois en France et en Europe, et de plus en plus de salariés souhaitent s'investir dans les élections des IRP (institutions représentatives du personnelles : délégués syndicaux, délégués du personnel, comités d'entreprise) de leurs sociétés. » Une nouvelle répartition des tâches devrait donc rapidement voir le jour entre le Munci et ce nouveau syndicat, dont les statuts sont en cours de d'analyse. En l'occurrence, un certain nombre de missions - notamment d'assistance juridique et de lobbying - lui seront dévolues. « Notre syndicat fonctionnera sur le même principe de démocratie participative que l'association, précise Régis Granarolo. Nous nous sommes par ailleurs rapprochés de l'Unsa (Union nationale des syndicats autonomes), et nous réfléchissons d'ores et déjà à l'opportunité de fusionner à terme avec un autre syndicat professionnel ». De son côté, le Munci entend renforcer son rôle d'information et de conseil auprès de ses adhérents. En particulier, le premier exemplaire d'une lettre de veille professionnelle, destinée à paraître à échéance trimestrielle, leur sera envoyée d'ici quelques semaines. De la même manière, un programme d'ateliers et de conférences thématiques est en cours de finalisation. L'association entend, en outre, renforcer son partenariat avec les éditeurs, pour permettre à ses membres d'accéder à des formations à moindre coût. Enfin, l'une de ses priorités sera cette année la création d'une cellule Emploi, assurant un suivi des offres et des recruteurs (lutte contre la discrimination à l'embauche, sociétés à conseiller ou au contraire à éviter...). (...)

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