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(29/01/2008 19:38:08)
Microsoft prône l'interopérabilité à Solutions Linux
Communication entre solutions hétérogènes oblige, les éditeurs de logiciels en Open Source et les acteurs traditionnels du logiciel sont amenés à cohabiter. Ce matin, en séance inaugurale du salon Solutions Linux (jusqu'au 31 janvier au Cnit de Paris La Défense), les représentants du libre Wallix, Canonical (le sponsor de la distribution Linux Ubuntu), Ingres et Red Hat côtoyaient Oracle et ... Microsoft. Ce dernier avait dépêché pour l'occasion Tom Hanrahan, son directeur de l'interopérabilité avec Linux, au moment même où Bill Gates était accueilli à la Mairie de Paris. Il faut reconnaître à Tom Hanrahan un certain crédit sur le sujet du libre. Avant son embauche par Microsoft, au printemps 2007, il était responsable de l'ingénierie à la Fondation Linux. Et depuis septembre dernier, il dirige le laboratoire ouvert conjointement par Microsoft et Novell à Cambridge (Massachusetts) pour optimiser la cohabitation des systèmes d'exploitation Microsoft Windows Server et SUSE Linux Enterprise. Après l'intervention de Kuassi Mensah, responsable produits chez Oracle, et l'énumération des différentes contributions d'Oracle à la communauté des standards ouverts (parmi lesquelles Cluster File System 2 et Btrfs), ce fut au tour de Tom Hanrahan d'évoquer les contacts de Microsoft avec le monde Open Source. Et de citer la collaboration avec Zend pour améliorer la stabilité des applications PHP sur Windows Server, l'aide proposée autour du fonctionnement du navigateur Firefox sous Vista, le portail collaboratif Codeplex qui héberge des projets Open Source, les deux millions de visites sur « Port 25 » (en France, Porte 25), le blog tenu par le laboratoire Open Source de Microsoft, ou encore les quelque 40 versions différentes de Linux tournant dans le laboratoire en question. Avec la montée en puissance rapide des centres de données exploitant les technologies de virtualisation, l'ancien collaborateur de la Fondation Linux voit évidemment se développer la cohabitation de Windows avec les systèmes d'exploitation en Open Source, qu'il s'agisse de Linux ou de l'hyperviseur de Xen. (...)
(29/01/2008 17:42:30)Sinequa expose RPM2, projet de résumés intelligents et multimédias des contenus en ligne
Sinequa, l'institut Eurecom, Wikio (un des derniers projets de Pierre Chappaz) et le LIA (Laboratoire informatique d'Avignon) ont entamé des travaux exploratoires sur un vaste projet de recherche documentaire. Baptisé RPM2, pour résumé plurimedia, multimedia et multi-opinions, l'initiative vise à apporter aux utilisateurs un ensemble synthétique des informations de tout format. Le projet, financé à 50% par l'ANR (Agence nationale de la recherche) et 50% par Sinequa, doit déboucher sur la mise au point de méthodes de résumés automatiques multi-documents mêlant le texte, l'audio et la vidéo et permettant des classifications selon les opinions exprimées dans les divers documents. « L'idée est de cataloguer tous les documents et de les présenter de façon synthétique. On pourrait par exemple avoir pour une requête simple comme 'Ségolène Royal', une vidéo, un résumé d'articles, un dessin et un résumé de ses discours [issu de fichiers sonores, ndlr], raconte Gaëlle Recourcé, responsable des Sinequa Labs. C'est un résumé multimédia qui s'enrichit mutuellement. » Une savante alchimie que l'on doit à la collaboration des technologies d'analyse de l'image et vidéo de l'institut Eurecom et celles de traitement automatique de la parole et de résumé multi-documents de LIA. Si l'indexation repose sur la transcription, la création de résumés tient en des techniques plus évoluées. Pour le résumé, on peut par exemple créer un chapitrage des flux de données pour distinguer des parties, ou extraire les moments forts d'une vidéo. « Quand on analyse un match de foot, on est capable de repérer lorsqu'un but est marqué », commente Gaëlle Recourcé. Autant de techniques utilisées par l'Institut Eurecom. Restait à régler la partie analyse des émotions afin d'intégrer, à l'ensemble, une prise en compte de l'opinion ou des sentiments transmis dans le document analysé. Cette partie incombe au LIA, spécialisé dans le traitement de la parole. Les laboratoires d'Avignon opèrent une différenciation intelligente des résultats en fonction du traitement d'une seule et même source afin d'en dégager des opinions différentes. « Il s'agit de voir la différence linguistique de deux sources et de présenter deux facettes de l'information. » « Les résultats obtenus seront un atout décisif pour notre solution d'Enterprise Search Sinequa CS » ajoute Jean Ferré, président de Sinequa. Les premiers résultats devraient être livrés à l'automne. (...)
(29/01/2008 17:39:13)Intel mise sur l'énergie verte
Intel investit dans l'énergie verte. Au point de devenir, selon l'EPA (agence américaine de protection de l'environnement), le plus gros acheteur d'énergie verte des Etats-Unis. Le fondeur compte en effet acheter cette année 1,3 milliard de kilowatts/heure en REC (Renewable Energy Coupons ou coupons d'énergie renouvelable), soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 130 000 maisons individuelles américaines, ou 46% de la consommation annuelle électrique d'Intel aux Etats-Unis. Ces coupons ne correspondent pas directement à un achat d'énergie propre, il s'agit plus d'investir dans des producteurs d'énergies renouvelables, via un distributeur agréé (en l'occurrence Sterling Planet). Ce procédé permet aux entreprises ne pouvant pas contrôler leurs approvisionnements énergétiques de réduire leur empreinte énergétique en offrant une compensation financière pour l'énergie non-renouvelables qu'elles utilisent. A moins d'en être le producteur direct, il est en effet difficile de savoir si l'électricité alimentant sa salle de serveur provient d'une ferme d'éoliennes ou d'une centrale au charbon. Pour Matt Clouse, directeur du programme de partenariat Green Power au sein de l'EPA, cet achat massif de coupons est aussi une question d'image publique : « la plupart des sociétés qui achètent de l'énergie verte sont orientées vers le grand public et elles dépensent énormément d'argent pour leur image de marque. Cet achat est franchement une méthode « low-cost » pour ajouter une touche environnementale à leur marque. » Même si officiellement aucun prix n'est annoncé, Matt Clouse estime qu'Intel devrait payer entre 2 et 4 dollars le millier de kilowatts/heure, pour un investissement total compris entre 2,6 M$ et 5,2 M$. (...)
(29/01/2008 16:49:48)L'Epitech voit son titre homologué par l'Etat
Neuf ans après sa création, l'Epitech voit son titre « d'Expert en technologies de l'information » homologué par l'Etat. Cette homologation lui permet de porter son titre au Répertoire national des certifications professionnelles, niveau 1. Pour Nicolas Sadirac, directeur de l'établissement, cette intégration a été rendue possible en raison du taux élevé de placement de ses diplômés dans les entreprises, autant que par le souci d'enseigner au plus près des réalités du monde de l'entreprise. « Cette certification impose le respect de deux éléments, indique-t-il. Les cursus doivent être en parfaite adéquation avec les besoins du marché, et la profession doit également présenter des garanties sur son avenir. » Preuve de l'adéquation des cursus avec les attentes des entreprises, les résultats d'insertion professionnelle, particulièrement élevés dans la plupart des écoles d'ingénieurs. L'Epitech n'échappe pas à la règle : en effet, 98% de ses étudiants diplômés sont embauchés immédiatement après leur stage, et 96% sont en CDI. De même, 95% des diplômés sont directement embauchés sous le statut « cadre » ou « cadre supérieur ». Ces bons résultats ont d'ailleurs été un élément fondamental dans le choix de la Commission. (...)
(29/01/2008 16:44:00)Bill Gates signe avec Bertrand Delanoë sur le thème de la solidarité
« Ce que j'ai aimé, c'est l'aspect valeur et solidarité de Bill Gates. » Bertrand Delanoë, maire de Paris, n'a pas mâché ses mots. A l'occasion de la signature d'un accord entre la Mairie de Paris et Microsoft, Bill Gates, futur retraité de l'éditeur de Redmond, est venu apporter sa contribution à l'édifice social, éducatif, et innovant entrepris par la Ville de Paris. « Le capitalisme créatif peut avoir un impact positif », rappellera Bill Gates pour l'occasion. Un rappel du Forum économique mondial de Davos qui a eu lieu la semaine dernière. Aucun accord purement technologique n'a été scellé. Il s'agit davantage de partenariats en faveur de la solidarité et du développement durable. Programme de formation d'animateurs de centres d'hébergement et sociaux de la capitale, emplois programmés pour les jeunes en difficultés ou les informaticiens allocataires du RMI, autant d'initiatives sociales qui viennent s'aligner sur les activités humanitaires de Bill Gates et de sa Fondation Bill and Melinda Gates. Le fondateur de Microsoft doit en 2008 quitter ses fonctions pour se consacrer à sa fondation. Un projet que Bertrand Delanoë a par ailleurs décidé de mettre en avant en l'invitant à la prochaine réunion des Grands élus du monde, sorte d'ONU des « pouvoirs publics locaux » à l'échelle mondiale. « J'ai l'intuition que nous n'avons pas fini de nous voir », résumera Bertrand Delanoë, à la fin de son intervention. Certes, un des intérêts de la venue de Bill Gates était aussi lié à Microsoft. En point d'orgue, l'élargissement du programme de parrainage de start-up Idées aux secteurs du design et des technologies écologiques. L'accord prévoit l'ouverture du projet à 20 entreprises supplémentaires par an, portant ainsi le portefeuille d'entreprises soutenues par Idées à 40. Enfin, dernière initiative où s'entrechoquent technologie et oeuvre sociale, l'ouverture prévue en 2009 du premier Centre sportif numérique, localisé Porte de Montreuil, qui proposera « aux jeunes du quartier » un parc de Xbox. Chacune renfermant des jeux développés pour l'occasion, avec une dimension pédagogique. Bill Gates a cloturé sa venue en encourageant la France dans le concours Imagine Cup dont la finale se tiendra en juillet 2008 à Paris. La thématique : trouver des solutions innovantes aux problèmes de l'environnement. (...)
(29/01/2008 16:32:02)Solutions Linux : L'OSA ouvre un chapitre en Europe
Suscité par l'adoption accélérée des solutions Open Source par le marché, l'Open Solutions Alliance (OSA) s'est créée il y a un an outre Atlantique, avec l'objectif de structurer les offres des éditeurs pour proposer aux entreprises des solutions intégrées et simples à déployer, en garantissant l'interopérabilité de leurs différentes briques, depuis les couches d'infrastructure jusqu'aux applications. L'OSA se décline maintenant en Europe. Ce matin, sur le salon Solutions Linux (au Cnit de Paris La Défense jusqu'au 31 janvier), Bertrand Diard, directeur général de l'éditeur français Talend et membre fondateur de l'Alliance, a annoncé la création du chapitre européen de l'OSA « pour se rapprocher au plus près de l'écosystème local - communautés, éditeurs et sociétés de services - et de ses spécificités culturelles, économiques et réglementaires ». Pour le fondateur de Talend, cette initiative constitue pour l'Europe une opportunité, parmi d'autres, pour donner un rayonnement à l'écosystème européen de l'Open Source afin qu'il devienne un acteur de poids sur le secteur des technologies. Cette antenne européenne disposera de son autonomie sur les questions de marketing et de développement d'activité, « tout en conservant une cohérence globale sur les questions transversales d'interopérabilité », a souligné Bertrand Diard. Elle devrait être mise en place dans les trois prochains mois avec une implication particulière de Talend, Wallix et Ingres. Plusieurs membres de l'OSA ont leur siège social en Europe, parmi lesquels Talend, Onepoint, Openbravo ou Redmayne-Bentley Stockbrockers. D'autres, comme Ingres, y réalise déjà une part importante de leur activité. L'OSA devrait prochainement créer d'autres chapitres régionaux, sans doute en Asie et en Amérique du Sud. En savoir plus : Le site de l'Open Solutions Alliance (...)
(29/01/2008 13:56:22)Wall Street déçu par les excellents résultats de VMware
Résultats 4e trimestre 2007 (clôture le 31 décembre) Chiffre d'affaires : 412 M$ (+ 80%) Bénéfices nets : 78 M$ (+152%) Résultats exercice 2007 Chiffre d'affaires : 1,325 Md$ (+88,5%) Bénéfices nets : 218 M$ (+ 154%) "L'orgasme VMware a pris officiellement fin lundi dernier". Aussi pertinent qu'abrupt, ce commentaire de notre confrère The Register résume bien le retournement de l'opinion des boursiers à propos de VMware, numéro un de la virtualisation des serveurs. Aussi déçus par des résultats trimestriels pourtant excellents que leurs espoirs étaient irréalistes, ils ont fait chuter le cours de son action de plus de 25% sur le marché gris. Tout au dépit de voir leur fantasme se volatiliser (ce qui est normal par définition), ils n'ont pas noté que les outils d'administration ont atteint 62% du CA de VMware en 2007 alors qu'ils ne pesaient que 43% en 2006. Cela revient à dire que les ventes générées par les hyperviseurs, qui représentaient 57% du CA 2006, ne pèsent plus que 38% en 2007. Autrement dit, VMware semble montrer que la phase "gestion de la virtualisation" est déjà bien entamée et qu'elle risque moins dans le conflit avec Hyper-V de Microsoft qui s'annonce. Il semblerait aussi qu'une prévision d'augmentation du CA pour 2008 de 50% avec une part croissante du service n'a pas eu l'heur de plaire aux spéculateurs. C'est pourtant le signe d'un ancrage de VMware dans les datacenters, d'où il sera plus difficilement délogeable par IBM, Sun, Microsoft et consorts. Chez VMWare, on déclare commencer 2008 "avec plus de 100 000 clients, 5000 salariés, 500 partenaires et que 10 000 suivront prochainement... Alors que d'autres (Microsoft, NDLR) commencent à entrer sur le marché, VMware et ses partenaires continuent d'élargir et d'approfondir nos solutions hautement fiables de virtualisation de bout en bout." On compte consacrer d'importants efforts en 2008 à la mise au point de produits pour la sécurité et le poste client virtuel. "Une nouvelle suite d'infrastructure virtuelle" figure aussi parmi les projets. (...)
(29/01/2008 12:49:59)Ebay renforce la sécurité de PayPal avec le rachat de Fraud Sciences
Rien n'arrête eBay dans sa boulimie de rachats, pas même le départ de son CEO Meg Withman annoncé il y a une semaine. Le spécialiste du paiement en ligne PayPal, filiale du géant américain, vient en effet de s'offrir Fraud Sciences, qui conçoit des outils d'analyse de risque informatique et de lutte contre la fraude, pour un montant de 169 M$. Les fondateurs de Fraud Sciences, Yossi Barak, Shvat Shaked et Saar Wilf rejoindront les équipes de Paypal, et les technologies développées par la société israéliennes seront progressivement intégrées à l'ensemble des plateformes d'eBay, dont PayPal. Créé en 2001, Fraud Sciences revendique « un taux de fraude inférieur à 0,01%, sur plus de 150 000 transactions ». Le rachat devrait être finalisé d'ici les 30 prochains jours. eBay estime que cette opération « ne perturbera pas ses prévisions financières pour 2008 ». PayPal dispose de 57 millions de comptes utilisateurs actifs, répartis dans 190 pays. (...)
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