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(25/01/2008 17:18:42)
Les datacenters sous pression pour faire mieux avec moins
Dans l'univers climatisé des centres de données la pression ne cesse de monter. Ils doivent évoluer de toute urgence pour pouvoir continuer à répondre aux demandes des grands comptes. Réunis au sein du Crip (Club des responsables d'infrastructure et de production), les responsables des datacenters d'une quarantaine de très grands comptes français ont procédé à un état des lieux où règnent contraintes et tensions. "Alors que les besoins sont en forte croissance, nous sommes confrontés à une pénurie de ressources", constate Philipe Sersot, président du Crip. Il est aussi, et surtout, responsable de la division Infrastructure, support technique et télécoms au Silca, le GIE créé par le groupe Crédit Agricole en 2005 pour réunir l'ensemble de la production informatique du groupe. D'un côté, les besoins de capacité de traitement vont croissant et l'on réclame une réactivité d'adaptation sur quelques jours ; de l'autre, il faut s'adapter dans un contexte de réduction des budgets et de renchérissement du coût électrique. "Il faut savoir que, désormais, pour un serveur de taille moyenne, le coût de sa consommation atteint, voire dépasse, celui de son prix d'achat en trois ans." Le tout s'inscrit dans un vaste mouvement de consolidation et de concentration. Consolidation, en effet, car les grands groupes veulent réaliser des économies d'échelle et réduisent le nombre de sites. Concentration également, avec une densification des serveurs. "Aujourd'hui, le ratio de consommation électrique au m² se situe entre 0,5 et 0,7 kWh/m². Demain la tendance indique très nettement 2kWh/m²." Une évolution qui soulève d'importants problèmes, dont celui de la climatisation qu'il faut souvent revoir de fond en comble. "Mais il faut savoir s'arrêter car la concentration des ressources rime aussi avec celle des risques." C'est donc un appel à l'échange d'expérience que lance le Crip à l'attention de tous ceux qui sont confrontés aux mêmes difficultés. Parmi les éléments qui permettent d'envisager l'avenir sous un jour plus ensoleillé, figurent les technologies de virtualisation auxquelles se consacre un groupe de travail. La virtualisation joue un rôle clé pour améliorer le ratio d'utilisation du parc installé, optimiser les investissements et réduire les coûts de fonctionnement. Pour Philippe Sersot, "la virtualisation de serveurs est déjà entrée dans les moeurs, même si de grands projets sont encore en phase de déploiement, et celle des réseaux monte en puissance". En fait, ce sont les capacités de stockage qui seraient le plus à la traîne en terme de virtualisation des ressources. (...)
(25/01/2008 16:55:21)Formation Open Source : boom sur le décisionnel et les PGI
La troisième version du baromètre des logiciels libres vient d'être publiée par l'Observatoire du logiciel libre. Créé par Anaska et ib-Groupe Cegos en 2005, il accueille désormais Altic, AtolCD et Audaxis pour sa première édition de l'année. Son objectif : faire un point tous les six mois sur le marché du logiciel libre, en se basant sur la formation comme indicateur d'adoption. En préambule, l'Observatoire indique que 2/3 des entreprises sont intéressées ou utilisent déjà des outils Open Source. Une tendance largement confirmée par le nombre de personnes formées qui a progressé de 27% en 12 mois, de décembre 2006 à décembre 2007. Autre fait marquant : les cursus de formation visent désormais un public plus large. Après les développeurs, administrateurs et autres DBA (qui constituent le gros des personnes formées), les organismes de formation s'adressent également aux utilisateurs et aux responsables fonctionnels. Le baromètre 2008 indique également que les outils décisionnels - BI et reporting - Open Source connaissent un grand succès depuis quelques mois car ils permettent de réaliser jusqu'à 50% d'économie en coût de licence tout en répondant bien aux problématiques des PME. Parmi les leaders du domaine, Jaspersoft (BI) et Talend (ETL). Dans ce domaine, Talend Open Studio s'impose comme une référence sur son marché, avec un nombre de personnes formées qui a presque triplé en 2007. Et ce n'est qu'un début. La progression du nombre de formations sur les progiciels Open Source - essentiellement le PGI Compiere pour le moment - est l'une des autres tendances fortes de 2007 qui devrait se poursuivre en 2008, selon les professionnels qui participent au panel. Avec les outils décisionnels c'est le segment qui progresse le plus vite (+32% en un an). Compiere représente aujourd'hui 20% des personnes formées à lui seul. A l'exception de Compiere, les alternatives (ERP5 notamment), ne décollent pas, en termes de formation délivrées. Ralentissement sur Linux, PHP et la bureautique L'engouement pour les clients riches Internet (RIA) basés sur une interface DHTML/Ajax semble également évident : il compense en partie la croissance plus faible de Linux et de PHP (respectivement +10% et +6%). Le baromètre, par domaines fonctionnels, montre aussi que la croissance des formations à Linux a ralenti (+10% entre 2006 et 2007, contre +30% entre 2005 et 2006). Les formations PHP initiales enregistrent, quant à elles, un net ralentissement (+6%) Les bases de données n'ont progressé que de 3%, mais elles représentent 10% des formations à elles seules. Quant aux cursus bureautiques, mis à part Firefox et OpenOffice.org qui sont de plus en plus largement adoptés par les entreprises, les autres outils Open Source ne séduisent pas. En 2006, les formations « bureautique » représentaient environ 10% du volume des formations totales. En 2007, elles n'atteignaient plus que 1,6%. (...)
(25/01/2008 16:29:16)Les dix priorités des DSI pour 2008, selon le Gartner
Le budget IT des entreprises augmentera de 3,15% en France en 2008 (3,37 % dans le monde), selon une enquête annuelle réalisée par le Gartner. Le cabinet américain a interrogé 1 500 directeurs des systèmes d'information dans le monde, dont 52 en France, sur leurs priorités techniques, business et stratégiques. En tête du palmarès des technologies les plus citées par les DSI français, on retrouve le décisionnel, les applications d'entreprises (CRM, ERP) et les nouveaux outils de communication, dont la voix sur IP. Les applications et architectures orientées services (SOA) ne figurent qu'en dixième position. Notons par ailleurs l'absence dans le top 10 de la virtualisation, de la consolidation, ou encore de la green IT (des thématiques probablement intégrées dans d'autres catégories). Côté business, l'amélioration de la compétitivité, le lancement de nouveaux produits et services, ainsi que la pénétration de nouveaux marchés sont identifiées par les DSI comme les principales actions à développer cette année. La volonté d'acquérir de nouvelles sociétés est plus marquée sur l'échantillon français : elle apparaît en cinquième position des priorités business alors qu'on ne la trouve qu'à la dixième place au niveau international. L'innovation est également un enjeu stratégique dans les entreprises françaises (citées par 31% des DSI) en comparaison du reste du monde (14%). Le Gartner souligne que les DSI sont de plus en plus conscients que la qualité et la stabilité de leur système informatique est cruciale pour faire la différence avec la concurrence. Attirer de nouveaux clients, développer des relations étroites avec eux et les servir plus rapidement fait partie de leur cahier des charges pour 2008, ce qui explique leur intérêt pour les outils de décisionnel et de CRM. Le Gartner note par ailleurs que le turn-over des DSI est également moins important en France. Ils passent en moyenne 6,3 ans dans une même entreprise, contre 4,3 ans au niveau mondial. (...)
(25/01/2008 16:04:11)Trimestriels Microsoft : fortes ventes sur les solutions d'entreprise
Deux milliards de dollars de mieux que prévu. C'est, selon Chris Liddell, directeur financier de Microsoft, ce que vient d'engranger l'éditeur américain sur son deuxième trimestre fiscal (au 31 décembre), avec un chiffre d'affaires de 16,37 Md$, en nette progression (+30%) par rapport à l'an dernier lorsque les investissements effectués sur Vista avaient alourdi les comptes. Les analystes (Thomson Financial notamment) n'avaient tablé que sur 15,95 Md$ de chiffre d'affaires, assorti d'un bénéfice par action de 46 cents. Ce dernier s'établit finalement 50 cents à la faveur de résultats eux-aussi en forte progression par rapport à ceux de 2006 (impactés alors par un report de revenus des ventes de coupons de mise à jour de Vista et Office 2007). Au deuxième trimestre 2008, le bénéfice opérationnel a cette fois augmenté de 86,66% à 6,48 Md$, et le bénéfice net, de 79,24%, à 4,7 Md$. La comparaison avec le résultat net de l'an dernier (2,6 Md$) est d'autant plus significative qu'au 2ème trimestre 2006, Microsoft avait inscrit une charge exceptionnelle de 1 Md$ pour pallier les retards de Vista et d'Office 20007. + 38% sur les gammes professionnelles dont Office et Dynamics Dans le détail, les ventes de systèmes d'exploitation clients, dont Vista, ont progressé de 68% à 4,3 Md$, avec un bénéfice opérationnel en hausse de 83% à 3,35 Md$. Le chiffre d'affaires de l'activité des solutions d'entreprise (Business Division), incluant la suite bureautique et la gamme de progiciels de gestion Dynamics, a bondi de 38%, à 4,8 Md$, affichant un bénéfice opérationnel de 3,18 Md$. Une division jusque-là dirigée par Jeff Raikes, remplacé le mois prochain par Stephen Elop, ancien cadre exécutif d'Adobe et de Juniper. Concernant les logiciels pour serveurs et bases de données, comme Windows Server, les ventes progressent de 15% à 3,2 Md$, avec un bénéfice opérationnel de 1,1 Md$, en hausse de 19%. Sur l'activité de services en ligne (Live Search, portail MSN...), Microsoft a vu son chiffre d'affaires augmenter de 38%, à 863 M$, mais subit en revanche une perte opérationnelle de 245 M$, en raison notamment du rachat de la régie publicitaire en ligne aQuantive. Enfin, la division loisirs, qui englobe notamment l'activité Xbox, enregistre une modeste progression de son chiffre d'affaires (+3%), à 3 Md$ (presque 5 Md$ sur six mois), mais elle affiche un bénéfice opérationnel de 357 M$ (524 M$ sur le semestre), alors qu'elle était déficitaire de 302 M$ un an plus tôt. En rythme annuel, l'exercice se terminant fin juin prochain, Microsoft annonce une prévision de 59,9 milliards de dollars, elle aussi supérieure aux attentes. L'éditeur serait moins exposé aux évolutions cycliques des autres fournisseurs du secteur IT. Lui dépend plus étroitement des ventes de PC, basées sur des cycles plus longs et actuellement particulièrement favorables. (...)
(25/01/2008 14:45:33)La conférence Demo montre un Web 2.0 plus professionnel
Pour Chris Shipley, productrice exécutive de la conférence Demo, « les entreprises innovent de plus en plus, notamment dans le domaine des outils collaboratifs. C'est le signe que Web 2.0 bouge progressivement vers les applications métiers ». Elle en veut pour preuve les quelque 80 nouvelles solutions présentées à l'occasion de sa conférence annuelle consacrée aux technologies innovantes. Organisée le 28 janvier à Palm Desert en Californie, la quatrième édition Demo marque aussi un tournant dans cette conférence qui jusqu'alors était surtout l'occasion de montrer des technologies sorties de labo, certes innovantes mais parfois... déroutantes. Au programme de cette quatrième édition, on trouvera notamment le traducteur de messagerie instantanée de SpeakLike. Disponible en version bêta, SpeakLike traduit actuellement les textes en anglais, espagnol et chinois. Des versions adaptées au vocabulaire des secteurs médicaux et juridiques devraient prochainement voir le jour. De son coté, Huddle.net présentera une application conçue pour le site de réseau social Facebook. Elle devrait offrir aux utilisateurs de Facebook un environnement de collaboration semi-professionnel avec la possibilité de programmer des alertes, des rappels ou encore des cycles d'approbation de documents et projets. Rove Mobile et Legitime Technologies, pour leur part, s'attaquent au smartphone. Objectif ? Proposer un environnement et des fonctionnalités permettant à l'utilisateur de retrouver ses habitudes de travail sur PC sur le téléphone. Le premier s'intéresse davantage à la prise de contrôle à distance à partir d'un smartphone tandis que le second devrait présenter une solution de messagerie, compatible avec Exchange, Lotus Notes et plusieurs services de Webmail. Baptisée LegiText, cette solution étend les fonctions de messagerie déjà présentes sur le smartphone en y ajoutant notamment des outils destinés à la collaboration. Intérêt de Demo : pouvoir juger de technologies innovantes A l'occasion de Demo, les participants pourront également assister à la présentation d'outils dédiés à la sécurité ou encore au développement. C'est notamment le cas de Mandiant qui devrait lancer sa solution de détection des programmes espions, virus et autres outils de phishing. Elle serait selon Chris Shipley innovante de par sa capacité à détecter, résoudre et surtout anticiper les problèmes. StackSafe pour sa part présentera un outil de test doté d'environnements virtuels, spécifiquement conçu pour faciliter le déploiement d'applications et autres évolutions d'un programme existant. Livré avec des tests préconçus, la solution de StackSafe permet de mesurer précisément l'impact d'un déploiement sur l'existant. Quant à Blist, start-up de Seattle (US), elle présentera une solution pour simplifier la gestion des données en entreprise. Elle s'appuie sur une infrastructure de bases de données open source et propose une interface graphique de type Web qui se veut avant tout très simple avec des manipulations de type « glisser-déposer ». Enfin, la GRC (gestion de la relation client) n'est pas oubliée pour cette quatrième édition de Demo puisque l'éditeur Pathworks Software sera présent avec Helpstream, un logiciel s'appuyant sur les technologies Web, offrant des fonctions collaboratives pour simplifier les relations entre le client et le support notamment. Commercialisé sous forme de service, Helpstream fournit également les fonctions d'un programme de GRC. (...)
(25/01/2008 14:15:52)Bill Gates, un (presque) altermondialiste à Davos
Retrouvez Bill Gates à Davos dans notre reportage vidéo Devant le gotha planétaire réuni dans les alpages suisses à l'occasion du Forum économique mondial de Davos, Bill Gates a troqué son uniforme de dirigeant de Microsoft pour endosser celui de philanthrope humaniste. Dans un discours contrastant avec ceux habituellement tenus dans ce canton des Grisons, le fondateur du groupe de Redmond a plaidé en faveur d'un renouveau des valeurs du capitalisme, une révolution devant profiter à l'ensemble de l'humanité. Vers un capitalisme créatif A la tête de la plus puissante organisation caritative du monde, Bill Gates a exhorté le parterre de dirigeants présents à Davos à s'engager sur la voie d'un « capitalisme créatif », reposant notamment sur une collaboration accrue entre les entreprises, les gouvernements et les ONG. A la clé : la résolution des problèmes des plus pauvres pas exclusive d'une bonne santé des acteurs économiques. « Nous devons trouver un moyen pour que les aspects du capitalisme servant les personnes les plus fortes profitent aussi aux plus pauvres », a-t-il martelé. L'idée d'un capitalisme créatif associe les « deux principaux buts de la nature humaine : la satisfaction de ses propres intérêts et l'altruisme », a développé le fondateur de Microsoft. Selon lui, tout en conservant leur sens inné des affaires, les entreprises peuvent trouver de nouveaux moyens pour résoudre les principaux problèmes affectant un milliard de pauvres, qui souffrent de malnutrition, d'un manque d'eau ou de médicaments. Autant d'éléments considérés comme acquis par le reste de la planète, selon Bill Gates. Bien sûr, l'ex-homme le plus riche du monde ne voue pas le capitalisme aux gémonies : « Le système conduit par des intérêts particuliers est responsable d'incroyables innovations qui rendent la vie meilleure. Mais pour que cette puissance profite à tous, nous devons redéfinir le système. » Et cette redéfinition passe notamment par la remise en cause de ce qui a fait la raison de vivre de Microsoft depuis sa création : le profit. Les dirigeants d'entreprises doivent, selon Bill Gates, changer leur façon de penser et ne pas chercher à réaliser des bénéfices des nouveaux modèles économiques basés sur la philanthropie. Il n'est pourtant pas question de tirer un trait sur la raison d'être des entreprises : la reconnaissance du bien qu'elles font dans le monde en venant en aide aux autres induit une valeur économique, « améliore la réputation d'une société, attire les clients. Dans un marché où les profits ne sont pas possibles, la reconnaissance prend la place des bénéfices. » Bill Gates et Bono refont le monde et lancent le projet Red Plutôt que de se lancer à la poursuite de buts certes vertueux mais éloignés de leur activité, les entreprises doivent, selon Bill Gates, miser sur leur activité pour aider les autres, en s'associant aux gouvernements des pays les plus pauvres pour leur fournir des ressources. Et de citer l'exemple d'une société danoise qui met à disposition du Vietnam son vaccin contre le choléra pour 1 $ la dose. Autre illustration, la campagne Red se veut l'exemple même de ce que doit être le capitalisme créatif. Impliquant de nombreuses sociétés comme Gap, Motorola, Dell ou Armani, le projet serait né sur le zinc d'un bar, au sortir d'une nuit rythmée par ces conversations au cours lesquelles on refait le monde. En l'espèce, la conversation réunissait deux amis : Bill Gates et Bono, le chanteur du groupe U2. Le projet Red vise à reverser une partie des bénéfices réalisés grâce à la vente de différents produits à la recherche médicale pour l'Afrique. Dell et Microsoft prévoient ainsi de distribuer certains modèles de la gamme XPS du constructeur dans le cadre du programme. A l'heure actuelle, Red aurait contribué à hauteur de 50 M$ aux projets de recherche contre le Sida et le paludisme, et deux millions d'Africains reçoivent quotidiennement des médicaments qui « leur sont vitaux », selon Bill Gates. Avant l'annonce de cette association entre l'éditeur et le fabricant, Microsoft avait mis en oeuvre cette idée d'un nouveau capitalisme à travers son programme éducatif Unlimited Potential, chargé d'apporter des compétences IT et du matériel aux élèves des pays émergents. Conformément à la définition du capitalisme créatif exposée par Bill Gates à Davos, Microsoft entend, à travers ses projets éducatifs, utiliser le caritatif comme un levier pour ses futures activités et préparer les marchés émergents à devenir les prochains consommateurs des produits mis au point à Redmond. (...)
(25/01/2008 13:43:44)Sage recrute 1 000 collaborateurs dont 600 pour ses partenaires
Sage France annonce un plan de recrutement ambitieux pour 2008. Le spécialiste des logiciels de gestion compte en effet sur 1 000 collaborateurs de plus d'ici à la fin de l'année, pour lui et pour ses partenaires Ce programme intervient après l'intégration des sociétés acquises ces trois dernières années - Adonix, C2G, Elit, Cogestib, Xperts, KDP, XRT - et l'extension de l'éditeur sur de nouveaux marchés, en particulier vers les grosses PME (de 200 à 2 000 salariés et plus) et sur les marchés verticaux. Afin d'accompagner son propre développement, Sage prévoit 400 collaborateurs supplémentaires sur l'ensemble de ses 25 sites en France. Ces embauches concernent des candidats aux profils variés : des techniciens conseil et des ingénieurs support pour étoffer sa hot-line, des consultants techniques et avant-vente, des chargés de projet, des formateurs et des ingénieurs support et fonctionnels. Les postes à pourvoir visent également des analystes-programmeurs, chefs de projet et chefs de produit, pour bâtir de nouvelles offres ou pour suivre l'évolution des offres actuelles de l'éditeur. Sage compte aussi sur des commerciaux et des ingénieurs d'affaires et sur des spécialistes du marketing produits, clients et distribution pour contribuer à l'élaboration de sa stratégie, tant dans le domaine des produits que de la relation clients ou partenaires. Des outils pour aider les partenaires à recruter Dans le même esprit que l'éditeur de solutions de gestion d'infrastructures HP Software et Microsoft, l'éditeur va également aider son réseau de partenaires - revendeurs et intégrateurs - à trouver 600 collaborateurs sur des profils similaires. Pour l'aider à réaliser ces embauches, Sage a décidé d'impliquer ses ressources internes et des professionnels du recrutement et de la formation. «Nos revendeurs et intégrateurs ont besoin d'un accompagnement spécifique pour réaliser leurs embauches, expose Christine Coudert, directeur marketing partenaires et prospects. Ils n'ont pas les moyens d'une démarche qui, par ailleurs, ne s'inscrit pas dans leur coeur de métier. Nous les aidons, d'une part, en mettant à leur disposition des outils pour qu'ils recrutent eux-mêmes, et aussi en intervenant à 100% dans la formation et la recherche des nouveaux talents.» Ces futures compétences viendront renforcer l'écosystème Sage fort aujourd'hui de quelque 10 000 collaborateurs. (...)
(25/01/2008 10:43:54)Le e-commerce a bondi de 35% en 2007, selon la Fevad
La Fevad (Fédération du e-commerce et de vente à distance) publie son baromètre annuel du e-commerce en France. Ce secteur a représenté 16,1 Md€ de revenu en 2007, soit une progression de 35% par rapport aux 11,9 Md€ de 2006. La Fevad maintient ses prévisions pour les années à venir : 20,9 Md€ en 2008, 26,2 en 2009 et 32,4 en 2010. En trois ans, ce chiffre d'affaires devrait tout simplement doubler. Chez les adhérents de la Fevad (une trentaine de sites, qui représentent près de 40% du total du e-commerce français), les sites de ventes aux professionnels ou BtoB affichent la plus forte progression, avec une croissance annuelle de 34% (contre 32% en 2006). Viennent ensuite les produits high tech, avec un chiffre d'affaires de 1 Md€, en hausse de 22%. Pour les ventes de fin d'années, c'est également une des catégories les plus prisées, juste derrière les produits culturels (CD/DVD et livres). Parmi ces produits high tech, la Fevad a dressé un « hit parade ». Arrivent en tête les balladeurs MP3, suivis des appareils photo numériques, des consoles de jeux vidéos, des cadres photos numériques, des clés USB, des GPS, des téléphones mobiles, des disques durs externes, des ordinateurs portables, et des webcam. Un français sur trois achète sur Internet Non seulement l'année s'est bien déroulée, mais elle se conclut favorablement pour les e-marchands. Le chiffre d'affaires de Noël 2007 est monté à 3,25 Md€ contre 2,5 en 2006. Les soldes de janvier s'annoncent également fastes. L'étude spécifique menée sur cette période montre des comportements de clientèles très adaptées au e-commerce. 43% des personnes interrogées se félicitent de l'absence de déplacements, 36% évitent les files dans les commerces. Le e-commerce paraît plus rapide et même plus sécurisant en terme de stocks, on sait par le Net si le produit est disponible, le paiement et la livraison sont sécurisés. Enfin, les clients ne sont que 14% à souhaiter faire leurs courses de fin d'année le week end, 86% préfèrent la semaine dont la moitié après 20h, le e-commerce est bien le mode d'achat le plus pratique. Gauthier Picard, directeur général de rueducommerce se montre effectivement satisfait des ventes, même si une hypothèse plus élevée étaient formulée. Les grèves de novembre auraient du favoriser les ventes en ligne, les particuliers passant plus de temps chez eux, mais, elles ont au contraire ralenti leurs achats en ligne. En terme de produits, Gauthier Picard place en tête les consoles de jeux (Wii et PS3), les cadres photo numériques (événement de l'année), et des produits déjà bien lancés comme les GPS, les ordinateurs portables, qui se vendent tout au long de l'année, et les baladeurs MP3. L'étude de la Fevad montre également le dynamisme d'un secteur économique à part entière. La France compte 36 900 sites de e-commerce fin 2007, contre 23 900 un an auparavant et 15 200 fin 2005. « Avec un crédibilité forte auprès des consommateurs, note Marc Lolivier délégué général de la Fevad, 2007 a été l'année de la confiance des consommateurs, un français sur trois achète en ligne, le phénomène est irréversible ». (...)
(25/01/2008 09:39:36)L'emblématique enseigne Surcouf à vendre
Cette fois c'est officiel. PPR a bien décidé de se désengager de Surcouf, sa filiale dédiée à la distribution de matériel informatique et d'électronique grand public. Plus précisément, le groupe de François Pinault cherche à céder à un investisseur une part majoritaire de l'entreprise qui a réalisé 247 M€ de chiffre d'affaires en 2007. Jean-François Palus, le directeur financier précise qu'il n'y pas encore de discussion en cours. L'objectif de l'opération est de donner à l'enseigne les moyens d'accélérer sa croissance avec des approches qui pourraient, sans que rien ne soit décidé, consister à la recentrer sur le concept de foire de l'informatique qui a fait son succès ou reprendre l'extension du nombre de ses magasins. Son expansion entamée en 2002 lui a permis de se doter de 5 points de présence en France, 3 à Paris et en région parisienne, un à Bordeaux et un à Strasbourg. Elle a toutefois tournée court suite à la montée en puissance de la Fnac, une autre filiale de PPR, sur la vente de produits high-tech. Ce qui est certain, c'est que le distributeur a besoin d'un plan de relance sur lequel travaille déjà Yves Lagier qui a récemment remplacé Alain Delgrande au poste de PDG de Surcouf. (...)
(25/01/2008 09:31:52)EMC lance son premier service logiciel en ligne
EMC vient de lancer en Amérique du Nord l'offre de sauvegarde en ligne MozyEnterprise récupérée par le rachat de Berkeley Data Systems cet automne. Celle-ci permet d'automatiser par Internet la sauvegarde et la récupération sécurisées des données de PC et de serveurs sous Windows. C'est la première application vendue par le fournisseur comme un service (mode SaaS) depuis sa plateforme EMC Fortress, qui proposera ultérieurement d'autres services. Elle est également fournie en ligne par certains partenaires d'EMC. En France, cette offre doit être lancée dans le courant de l'année. Elle sera, de la même façon, proposée directement par EMC et relayée parallèlement par des partenaires. A partir de 5,25 $ par mois pour un PC MozyEnterprise comptait déjà 500 000 utilisateurs, souscripteurs individuels ou entreprises. EMC en a renforcé les fonctions de sécurité pour les applications professionnelles : gestion de clés, authentification et autorisation (avec l'offre de RSA, division sécurité de EMC), affectation d'un maximum de 2 To de capacité physique, options de disponibilité et de support pour les grandes organisations. Outre-Atlantique, l'abonnement mensuel revient à 5,25 $ par mois par poste de travail (de bureau ou portable), auxquels s'ajoute 0,70 $ par mois par gigaoctet protégé. Il en coûte 9,25 $ mensuels pour chaque serveur Windows supporté, auxquels s'ajoutent 2,35 $ par gigaoctet protégé. EMC a par ailleurs indiqué avoir noué un partenariat avec Verizon Business pour l'exploitation de son architecture EMC Fortress et du service MozyEnterprise. (...)
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