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(04/01/2008 17:36:32)

NetApp achète Onaro, spécialiste des grands SAN

NetApp (Network Appliance) met la main sur Onaro, spécialiste des logiciels de gestion du stockage. Fondé en 2001 et rentable depuis 2006, cette société développe des logiciels pour le stockage temps réel, le paramétrage et le contrôle de SAN (storage area network). Ses outils permettent d'anticiper les répercussions sur les performances et la redondance des modifications sur des SAN de grande envergure. Ontaro compte à peine une centaine de clients, mais la société affirme que près d'un tiers des cinquante plus grosses sociétés américaines utilisent son produit SAN screen. Le savoir-faire d'Ontaro complète bien celui de NetApp. Il lui permet de se positionner directement contre l'offre Smarts d'EMC et contre celle de spécialiste comme Akorri et WysDM. Chez EMC, on prend cette annonce avec dédain. On considère que, plutôt que d'être complémentaires, les deux offres sont trop éloignées et devraient plus distraire NetApp que rendre son offre plus compétitive. A moins que, justement, Net App s'intéresse de plus près aux grands SAN. Ce rachat, qui fait suite à ceux réalisés par IBM et Dell fin 2007, semble indiquer que 2008 pourrait être l'année de la concentration sur le créneau du stockage. Comme 2007 fut celle de la concentration dans le domaine des logiciels applicatifs et plus particulièrement du décisionnel. (...)

(04/01/2008 17:34:29)

Meraki Networks lève 20 M$ pour mailler San Francisco en WiFi

Le fournisseur de réseau WiFi Meraki Networks vient de réaliser une deuxième levée de fonds de 20 M$ auprès de divers investisseurs, parmi lesquels Sequoia Capital. Cette somme lui permettra de poursuivre le déploiement d'un réseau WiFi dans la ville de San Francisco. Ce projet de grande envergure, initié en octobre 2004 par le maire Gavin Newsom, prévoit de fournir un accès WiFi aux 800 000 habitants de la ville. A l'époque, un partenariat avait été conclu avec Google et Earthlink, qui étaient censés participer au chantier (dont le montant était alors estimé entre 14 et 17 M$). Google et Earthlink se sont finalement dégagés du projet, et Meraki Networks a profité de ce désistement pour proposer sa solution de réseau basée sur une architecture « mesh » sans fil (maillé) à très bas prix, dont l'installation ne nécessite aucune compétence technique, et dont la gestion est réalisée grâce à un système de monitoring sur Internet. « Le déploiement du réseau se fait petit à petit, un peu au porte à porte, explique Sanjit Biswas, PDG et fondateur de Meraki Networks. Avec un simple routeur de 50 $, quiconque disposant d'un accès Internet peut décider de créer un réseau auto-déployable, puis le partager avec ses voisins. » Le réseau s'enrichit ensuite automatiquement des autres accès disponibles dans le voisinage. L'intérêt d'un tel système est d'offrir un accès dont le prix ne dépasse pas quelques euros par mois, et demande un investissement initial très faible. En février dernier, la start up, créée en 2006 et située à Mountain View, avait déjà levé 5 M$ auprès de diverses sociétés dont - ironie du sort - Google faisait partie. Au cours des six derniers mois, Meraki a déployé 500 relais (répéteurs) WiFi, créant ainsi un réseau accessible à 40 000 utilisateurs et couvrant une surface de 5 km2 dans la métropole californienne. Cette deuxième levée de fonds lui permettra d'installer entre 10 000 et 15 000 répéteurs supplémentaires, et de couvrir un périmètre de plus de 100 km2. (...)

(04/01/2008 17:28:53)

IBM réorganise sa division Système par type de clientèle

La division Système d'IBM, qui réalise près de 5 Md$ de CA, quitte son organisation autour de ses lignes de produits pour se centrer sur les besoins des clients. Quatre nouveaux départements ont été annoncés, dont trois centrés sur les entreprises clientes : un département qui se consacrera aux grands comptes, un autre qui se concentrera sur les PME-PMI et un pour les marchés verticaux. Quant au dernier département, celui de l'électronique, il reste centré sur les composants. (...)

(04/01/2008 15:19:36)

Une ville de l'Etat de New York accuse IBM de pollution

Quelque 90 habitants d'Endicott, une commune du Comté de Broome, dans l'Etat de New York, ont déposé une plainte contre IBM pour pollution. Ils reprochent au constructeur, implanté sur leur site entre 1924 et 2002, d'avoir contaminé l'environnement pour plusieurs décennies, ce qui occasionne des problèmes de santé à la population. IBM, qui fabriquait là ordinateurs, circuits imprimés, circuits intégrés et autres produits associés, n'aurait pas pris à l'époque toutes les dispositions requises pour protéger les habitants d'Endicott contre les substances chimiques auxquelles il recourait dans sa production. Dans un document de 43 pages, les plaignants énumèrent parmi les produits utilisés par le constructeur du trichloréthylène, du trichloroéthane, du benzène et du trichlorotrifluoroéthane. Autant de substances qui se sont diffusées dans l'air, le sol et les eaux souterraines sur et aux environs de l'ancien site de l'usine. Les habitants s'y trouvent exposés par ingestion, inhalation ou contact dermique. Michael Maloney, porte-parole d'IBM, rappelle que le constructeur a mis en place dès 1979 un programme pour remédier à cette pollution, démarche qui a été notamment renforcée en novembre 2002 par l'installation de systèmes de ventilation installés sur 440 propriétés. « La pollution est à l'oeuvre sur ce site depuis plusieurs décennies, contrecarre pour sa part Ellen Relkin, l'une des avocates des plaignants. Et ce n'est que récemment que l'on a découvert qu'elle s'était infiltrée jusque dans les maisons et les lieux de travail ». Pour elle, l'argent déjà dépensé par IBM et les actions engagées par le constructeur n'ont apporté pour l'instant qu'une réponse partielle au problème. (...)

(04/01/2008 12:35:21)

Facebook victime d'un logiciel espion

Des chercheurs de Fortinet, éditeur spécialisé dans la sécurité, viennent de découvrir un widget (contraction de window et gadget) suspect chez Facebook. Ce widget, qui se propage très rapidement au sein du réseau communautaire, se présente sous la forme d'une requête malveillante baptisée « Secret Crush ». Le message propose à l'internaute de découvrir qui, parmi ses « amis », lui voue un amour secret. Seule condition, l'utilisateur doit télécharger une petite application (en réalité un logiciel espion qui s'installe sur l'ordinateur de l'utilisateur), puis faire suivre le message à cinq de ses amis. Cette application comporte un programme d'affiliation qui permet de rediriger du trafic vers Zango, un site spécialisé dans les adwares et déjà condamné à plusieurs reprises par la justice américaine pour "pollution numérique". Les conepteurs de ce logiciel espion sont financièrement récompensés, sur la base du nombre total de clics reçus par Zango. 3 % des membres de la communauté Facebook (soit un million de personnes) ont d'ailleurs déjà ouvert le message. « Cela démontre non seulement l'efficacité de la stratégie de propagation adoptée par le widget mais aussi le formidable levier de diffusion qu'offre une base de contacts aussi importante que Facebook », indique Guillaume Lovet, responsable de l'équipe en charge de l'analyse et du suivi des menaces chez Fortinet, qui a découvert cette vulnérabilité. Fortinet a mis en ligne une série un site avec une série de conseils pour éviter d'être infecté. Pour rappel, Facebook avait été victime de sa première campagne de spam le 21 décembre dernier. Un faux message de Mark Zuckerberg (fondateur du site communautaire) avait alors été envoyé à des milliers de membres. (...)

(04/01/2008 12:09:16)

Secteur financier : des dépenses IT ralenties en 2007

Les dépenses informatiques globales du secteur financier ont atteint 342,1 Md$ en 2007, selon Celent, un cabinet d'études spécialisé dans les applications IT mises en oeuvre par les acteurs de la finance. Les chiffres de Celent sont basés sur les tendances enregistrées dans ce secteur en Amérique du Nord, en Europe, et dans la zone Asie-Pacifique, auxquelles s'ajoute une évaluation des dépenses effectuées en Amérique latine et en Afrique. Par rapport à 2006, ces investissements n'ont progressé que de 5,9%, alors qu'ils avaient augmenté de 8,7% entre 2005 et 2006. « Dans toutes les régions, les taux de progression ont marqué le pas, contribuant à cette baisse généralisée, indique Jacob Jegher, analyste senior de Celent et co-auteur du rapport. Les institutions bancaires américaines ont été plus particulièrement touchées. » En dépit de la conjoncture délicate actuellement traversée par ce secteur d'activité, Celent prévoit une progression annuelle moyenne de 6,3% des dépenses informatiques des banques, organismes financiers et compagnies d'assurance sur les deux prochaines années, ce qui porterait le total des investissements à 386,7 Md$ en 2009. (...)

(04/01/2008 10:11:07)

Top 10 de 2007 : Facebook expose tous les excès des réseaux sociaux

Si le Web 2.0 est déjà aujourd'hui un concept réchauffé, une de ses composantes, le réseau social, a connu en 2007 une progression fulgurante. Cet été, une étude ComScore donnait une croissance de 72% pour le leader MySpace, et de 270% pour Facebook, son challenger. Et de tous les réseaux sociaux, on peut dire que c'est Facebook qui cristallise le phénomène, et expose ce qu'il peut y avoir d'excessif dans cette nouvelle tendance. Certes, Facebook peut être vu comme une plate-forme sur laquelle développer et exposer ses talents de développeurs. A en croire MySpace, qui a suivi un peu plus tard l'exemple de Facebook, c'est une des clés du succès. Facebook va d'ailleurs jusqu'à encourager financièrement les développeurs potentiels. Tandis qu'Alfresco, éditeur d'une plateforme de gestion de contenu, réfléchit à une utilisation professionnelle du réseau social, grâce à ces applications externes. Si on excepte cette utilisation professionnelle, le réseau social est emblématique du Web 2.0 : un service gratuit aux utilisateurs individuels, qui produisent eux-mêmes le contenu, et une monétisation encore relativement floue. Qui n'empêche pas l'argent d'affluer. Si on échappe à une entrée probablement fracassante en Bourse, on n'échappe pas, en revanche, après une prise de participation de Microsoft dans Facebook, à une valorisation totalement incroyable : 15 milliards de dollars. La stratégie de monétisation de Facebook illustre aussi, d'une part, la volonté d'exploitation des données personnelles à des fins mercantiles de ce type de site, et d'autre part, la grande naïveté des utilisateurs de ces sites, qui dans la grande majorité des cas confient leur vie privée à des services gratuits - mais à but lucratif - sans lire les conditions d'utilisation. C'est d'abord la méthode dite de publicité comportementale qui fait grincer des dents. MoveOn.org lance alors une pétition pour demander à Facebook davantage de respect de la vie privée. Puis le mécontentement se cristallise autour de Beacon, programme qui relie les profils des utilisateurs sur Facebook à leurs actions sur des sites affiliés. Facebook commence par expliquer que tout cela est parfaitement transparent, avant de dire que Beacon sera soumis à un strict principe d'opt-in. Un chercheur en sécurité indique alors que Beacon récupère des données, quel que soit l'avis de l'utilisateur. Facebook finit par présenter ses excuses : le réseau social n'a pas trouvé l'équilibre, entre respect de la vie privée et monétisation de ces données. Certains utilisateurs, en tout cas, ont compris la leçon : ils exploitent eux-mêmes leur profil sur le réseau social pour vendre de la publicité. Consolation, peut-être, ce ne sont pas les Français mais les Britanniques, les champions des réseaux sociaux. A tel point qu'Outre-Manche, on s'interroge sérieusement sur une interdiction de ces sites pour les employés des grandes entreprises. En France, les réseaux sociaux semblent concerner davantage les adolescents : d'après ComScore, Skyblog reste de loin le numéro un. (...)

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