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(15/11/2011 10:16:50)
La Gendarmerie Nationale s'équipe pour inspecter les terminaux mobiles
La Gendarmerie Nationale possède des missions de police judiciaire sur la plus grande partie du territoire national. Dans ce cadre, elle se retrouve de plus en plus confrontée à des terminaux mobiles : téléphones, smartphones, terminaux GPS...
Pour aider les gendarmes dans les enquêtes criminelles, la Gendarmerie Nationale a décidé de s'équiper d'une solution permettant d'extraire des données logiques et physiques de la majorité des terminaux mobiles : contacts, historique des appels, vidéos, textes, photos... y compris les données effacées.
Le choix de l'UFED de Cellebrite
Après un an de tests, la maréchaussée a décidé de s'équiper d'UFED (Universal Forensic Extraction Device) de Cellebrite. Les détails du contrat n'ont pas été révélés. Plusieurs centaines d'appareils seront livrés.
Selon le constructeur, l'appareil est capable d'extraire les données de plus de 4000 modèles de terminaux mobiles sous iOS, Android, Blackberry, Symbian ou PalmOS. Il est également capable de récupérer des données effacées par l'utilisateur. L'extraction serait conforme aux exigences judiciaires en matière de preuve et pourrait être réalisée sur le lieu même d'un crime.
L'éditeur de logiciels de mobilité Swing Mobility vise l'international
En 2003, Patrick Metzger créait Swing Mobility, un éditeur spécialisé en solutions logicielles pour les populations en situation de mobilité. Aujourd'hui, il a largement dépassé le stade de la start-up et veut prendre place parmi les éditeurs en pointe sur ce secteur. Swing Mobility affichait un chiffre d'affaires de 6,5 millions d'euros (ME) en 2010, elle devrait passer à 12 ME en 2012.
Plus de 10% du CA est réalisé en indirect, c'est l'une des conditions du développement commercial qui cible avant tout les PME. Des filiales sont créées à l'international pour prendre place rapidement sur le créneau de la mobilité. En Allemagne l'an passé, en Suisse cette fin d'année. La société est également présente au Maroc avec l'aide d'un distributeur, Substancium.
La société couvre la mobilité des commerciaux et des techniciens itinérants (fiches produits, passage de commande, gestion de notes de frais), mais aussi les responsables des services à la personne en déplacement. Par exemple, des infirmières avec pocket vital, un terminal et logiciel de gestion du dossier patient et de traitement des actes médicaux. Swing a également mis au point le logiciel SAP (service à la personne) pour la gestion de ces services, de la prise de contact à la facturation.
Rachat d'un spécialiste du MtoM
Swing Mobility est organisée en trois divisions : business software qui édite des logiciels de mobilité en entreprise, embedded solutions chargée de créer et vendre des objets communicants et les logiciels associés (après le rachat de Nogema Ingenierie, spécialisée en MtoM), enfin, mobile marketing, pour accompagner des solutions mobiles d'un point de vue marketing. Sur ce point, l'éditeur a racheté une agence de web marketing : adPhone.
La croissance externe et le rachat de compétences appartiennent à une étape récente, l'éditeur a depuis le départ mis au point ses propres outils, comme swing studio (outil de conception d'applications mobiles multiplateformes sous .Net), ou swing agility outil de back office pour ses clients finaux qui leur permet de gérer les logiciels de gestion de mobilité de leurs personnels. L'éditeur est ainsi très autonome au plan technique, ce qui lui permet aujourd'hui d'amorcer sa phase de développement commercial. Son fondateur Patrick Metzger a d'ailleurs débuté comme magasinier avant de se former à l'informatique et de concevoir une entreprise autour des solutions de mobilité.
Les grossistes IT profitent de la vente des tablettes
Au vu du nombre croissant de tablettes tactiles commercialisées, il est logique que ces plates-formes nomades représentent une part grandissante du chiffre d'affaires des grossistes IT en Europe. Au mois d'octobre 2011, cette proportion s'élevait à 12,2% (contre 5,6% il y a un an) des revenus totaux des très nombreux distributeurs dont le cabinet Context analyse les résultats de vente tous les mois. Le négoce de tablettes est ainsi apparu comme la troisième source de chiffre d'affaires de ces intermédiaires entre fabricants et revendeurs.
A titre de comparaison, les ventes de PC portables, de desktops et de serveurs ont représenté durant cette période respectivement 61,2%, 18,5% et 6,6% des revenus des grossistes informatiques actifs sur le marché européen.
La vente de PC décline au troisième trimestre 2011 selon Gartner
Comme ailleurs en Europe de l'Ouest, les ventes de PC ont aussi reculé en France lors du troisième trimestre 2011. Durant cette période, le nombre d'ordinateurs commercialisés dans l'Hexagone s'est élevé à 2,7 millions d'unités, soit 2,1% de moins qu'il y a un an. Cela aurait pu être pire, puisque «le dépassement des prévisions sur le segment professionnel a permis aux résultats globaux d'être meilleurs que prévu », note Isabelle Durand, analyste principale chez Gartner. Dans le détail, les chiffres du cabinet d'études montrent que les ventes aux entreprises ont progressé de 10%. Cette belle performance n'a toutefois pas suffi à compenser le recul de 9,2% en volume enregistré sur le segment des particuliers grand public. Pour Gartner, la diminution des ventes de netbooks (-21%) et de PC (-11%) associée à la hausse du nombre de tablettes commercialisées expliquent la mauvaise tenue du marché grand public.
La baisse des ventes atteint -11% en Europe de l'Ouest
Malgré ces mauvais résultats, les acteurs présents sur le marché français des PC trouveront peut-être matière à se consoler en constatant que la situation est pire ailleurs. En Allemagne, par exemple, où les ventes ont reculé de 7,9%. Ou encore, au Royaume-Uni où la baisse a atteint -10,8%. Plus globalement, le marché français du PC a mieux résisté que l'ensemble des marchés d'Europe de l'Ouest dont les ventes cumulées se sont dépréciées de 11,4% en volume à 14,8 millions d'unités. Là encore, la faiblesse du marché grand public est principalement en cause. Les ventes aux particuliers ont en effet chuté de 18,7% alors que celles aux entreprises progressaient dans le même temps de 2,1%. « Ces chiffres sont d'autant plus décevants que le troisième trimestre est traditionnellement fort sur le segment grand public grâce à la période du back-to-school », commente Meike Escherich du Gartner. Analysés par type de produits commercialisés, les résultats de l'étude trimestrielle de Gartner montrent une décroissance de 12,6% des ventes de PC mobiles (de 40% pour les netbooks) et de 8,7% pour celles de desktops.
Asus en plein boom
Dans cette situation préoccupante, HP peut s'estimer heureux d'avoir conservé sa position de numéro un des constructeurs en Europe de l'Ouest. Malgré les incertitudes créées par son projet, aujourd'hui abandonné, de se séparer de sa division PSG, le fabricant a vu la baisse de ses livraisons se limiter à -7,5%. Il conserve ainsi une part de marché de 22,7% contre 21,8% un an plus tôt. De son côté, Acer poursuit sa descente aux enfers. Les ventes trimestrielles du taïwanais ont reculé de 45%. Il reste toutefois encore loin devant son poursuivant immédiat, en l'occurrence Asus qui vient de conquérir la troisième place du classement de Gartner. Auréolé d'une croissance de ses ventes de 20,3%, le constructeur coréen s'arroge 10,6% des livraisons de PC en Europe de l'Ouest et relègue ainsi Dell en quatrième position. Ce dernier dispose d'une part de marché de 9,8%, quasiment inchangée à période comparée de 2010. Apple continue quant à lui d'occuper la cinquième place du podium tout en enregistrant une hausse de près de 2 points de sa part de marché (à 7,6%) grâce à des ventes en hausse de 19,6%.
CA World 2011 : CA Technologies propulse les applications dans le cloud
Une informatique en phase avec le rythme d'évolution de l'entreprise, « IT at the speed of business ». C'est le mot d'ordre de CA Technologies pour sa conférence CA World 2011 qui accueille 5 000 personnes à Las Vegas jusqu'au 15 novembre, clients et partenaires. « L'un des principaux problèmes pour un chef d'entreprise, c'est de voir ce qu'il veut faire et de ne pas pouvoir avancer assez vite, parfois à cause de l'informatique », a exprimé dimanche soir Bill McCracken, PDG de l'éditeur américain spécialisé dans les solutions de gestion du système d'information.
A sa suite, Vivek Kundra, premier DSI (CIO) de la Maison Blanche, de 2009 à 2011, a expliqué comment il avait taillé dans les dépenses informatiques du gouvernement américain en rationalisant les systèmes et en réduisant les duplications. 
Vivek Kundra, ancien CIO de la Maison Blanche, sur CA World 2011 (crédit : M.G.)
A ce poste, il a expliqué avoir plaidé pour une politique axée d'abord sur le cloud, soulignant qu'il fallait repenser la façon dont les services étaient apportés au citoyen. Il a déploré les sommes investies dans des applications inopérantes, soulignant que les utilisateurs des services publics se souciaient moins du nombre de datacenters mis en oeuvre que du temps passé à faire la queue.
3 milliards de dollars
Ces deux dernières années, CA a déboursé 3 milliards de dollars pour acquérir diverses technologies (celles d'Oblicore de 3Tera, Nimsoft, 4Base, Hyperformix, ITKO, WatchMouse...) et développer les outils adaptés à un paysage IT où, désormais, l'existant doit cohabiter avec les clouds publics, privés ou hybrides. « Les nouvelles options accroissent la complexité et requièrent un autre modèle de gestion IT capable d'apporter des services à la demande », a poursuivi lundi matin David Dobson, vice-président exécutif de CA, numéro deux du groupe. CA décline sa stratégie en actions : modéliser les services IT, les assembler, les automatiser, en garantir la disponibilité et les sécuriser. Le tout en restant agnostique vis-à-vis des plateformes. 
David Dobson, vice-président exécutif de CA Technologies (crédit : M.G.)
En regard de ces besoins, l'éditeur propose notamment CA AppLogic, une solution issue du rachat de 3Tera, pour déployer et gérer des applications dans le cloud. En amont, pour déterminer quelles applications peuvent migrer vers quel type de cloud, il avance maintenant CA Cloud 360, l'une des nouveautés de ce CA World. Pour améliorer la performance des services, que ceux-ci soient dans le cloud ou dans les environnements traditionnels, il apporte CA Business Service Insight (ex CA Oblicore Guarantee). Enfin, a rappelé David Dobson, CA Clarity PPM (Project Portfolio Management) fournit le cadre et les outils pour gérer le portefeuille de projets IT.
Trois mois pour porter un service dans le cloud
Dans le domaine du cloud, cette édition 2011 de CA World n'a pas été chiche en annonces. En premier lieu, CA Cloud 360 Intelligence Methodology fournit une approche normative pour aider les DSI à valider quelles applications peuvent être installées dans un cloud privé, conservées dans un environnement classique, ou encore celles qui sont adaptées à un cloud public ou éligibles à un environnement de cloud hybride. Un processus en quatre étapes qui associe plusieurs produits CA à l'intervention de consultants experts de la virtualisation et du cloud, pour la plupart issus des rangs de 4Base Technologies, acquis en 2010.
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Face au modèle hybride et à la pression subie pour accélérer la mise à disposition des applications et services, la DSI se trouve confrontée à des choix difficiles, a exposé Andi Mann, vice-président, responsable des solutions Enterprise et Cloud chez CA Technologies. « Quel serait le coût d'une erreur ? », figure parmi les questions sensibles. La démarche CA Cloud 360 commence par la découverte et l'analyse du portefeuille d'applications, au cours d'un atelier d'une journée, suivi par une analyse approfondie conduite par CA. Les niveaux de service des applications sont ensuite définis, avant d'évaluer les ressources physiques et virtuelles nécessaires, puis de simuler le comportement de l'application cloud ou hybride en environnement de production. A chaque étape, CA recourt à l'une de ses offres : Cloud Services, Clarity PPM On Demand, Oblicore Guarantee On Demand, la suite Capacity Management and Reporting, Virtual Placement Manager et, pour la simulation, la suite CA Lisa, développée par ITKO (société rachetée en juin 2011). Cloud 360 permettrait, selon CA, de créer certains services cloud en trois mois.
Une place de marché sur Cloud Commons
Les annonces de CA World 2011 concernent par ailleurs l'écosystème Cloud Commons. Cette communauté de 3 000 membres, créée pour favoriser partage et collaboration, accueille tant les entreprises que les fournisseurs de services, les développeurs et les éditeurs de logiciels (ISV). Elle s'enrichit désormais d'une « place de marché » où il est possible d'acheter, de vendre ou de comparer des solutions cloud. « Nous y avons déjà plus de 25 services cloud et appliances disponibles, a indiqué Andi Mann, en assurant que le nombre de références allaient s'étendre rapidement. On peut aussi y acheter des produits CA tels que ARCserve, Service Desk Manager ou Oblicore Guarantee, configurés sous la forme d'appliances destinées à être exploitées dans des clouds mis en oeuvre avec AppLogic.
Pour les développeurs et les éditeurs indépendants, membres de la communauté, qui veulent collaborer autour de projets de logiciels pour le cloud, CA annonce aussi le Studio Cloud Commons Developer. Il permet de concevoir des solutions prêtes à tourner, sans coût, en cloud privé ou public en s'appuyant sur la plateforme AppLogic.
Déjà annoncé en juin dernier, CA Automation Suite for Clouds permet de faire évoluer les datacenters existants en déployant des services en cloud privé. La suite fournit des workflows pré-conçus pour mettre à disposition des infrastructures physiques et virtuelles, ainsi que des services applicatifs. Un système de tarification s'appuie sur un moteur de facturation et de reporting financier qui associe l'utilisation des services à des centres de coût, ou bien à des clients ou des utilisateurs.
CA Automation Suite for Clouds
Gestion des accès et des identités
Enfin, CA Technologies a ajouté deux services à ses solutions IAM as-a-service, destinées à gérer les identités et les accès dans le cloud. CA IdendityMinder as-a-service permet aux utilisateurs de gérer eux-mêmes certains éléments : ils peuvent réinitialiser les mots de passe, demander d'accéder à certaines ressources et gérer leur profil. Le logiciel peut donner autoriser les utilisateurs à accéder à des services disponible dans le cloud et sur site. L'autre produit, CA FedMinder as-a-service, permet de mettre en place un accès unique (SSO) entre des domaines sécurisés, à la fois dans le cloud et sur site. Il supporte SAML 1.1 et 2.0 et facilite la fédération avec des sites web partenaires. L'administrateur peut par ailleurs déterminer quelles sont les informations qu'il peut partager avec les partenaires et sous quelles conditions. La suite IAM comprend déjà deux autres logiciels que CA vient de renommer : CA AuthMinder as-a-service (anciennement CA Arcot A-OK for WebFort) et CA RiskMinder as-a-service (ex CA Arcot A-OK for RiskFort).
L'Europe veut se doter d'une plateforme technologique sur le HPC
Beaucoup d'acteurs industriels comme Allinea, ARM, Bull, CAPS entreprise, Eurotech, Partec, STMicroelectronics et Xyratex se sont associés à des organismes de recherches comme le BSC (Barcelona SuperComputer), le CEA, le CINECA, le Fraunhofer, Forschungszentrum Jülich et le LRZ HPC pour créer une plateforme technologique européenne.
L'objectif de l'ETP (European Technology Platform), selon les partenaires, est de définir les priorités de recherche en Europe pour développer une technologie européenne dans l'ensemble de la chaîne de valeur du HPC. Avec cette collaboration, ils souhaitent par ailleurs « renforcer la compétitivité européenne en matière de HPC, une capacité essentielle pour la recherche future et de l'innovation ». La gestion du parallélisme extrême dans des architectures HPC et la réduction de la consommation d'énergie sera deux domaines clés du programme européen.
Dans le cadre de l'initiative, le consortium qui se met en place sera ouvert à toutes les entreprises ou les personnes qui ont des activités européennes de R&D relatives au HPC. Un plan de recherches sera également présenté à la Commission européenne pour trouver des financements supplémentaires.
Cette opération rappelle l'initiative de la Chine de vouloir construire des supercalculateurs avec des puces chinoises.
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