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(14/11/2011 16:11:26)
Logitech abandonne sa plate-forme GoogleTV
Lors d'une conférence tenue devant des analystes et des investisseurs, le CEO de Logitech Guerrino De Luca a souligné que Google TV est un bon concept, mais dont les consommateurs ne sont pas encore prêts à s'équiper. Il a en outre sévèrement jugé le produit de Google TV, notant qu'il s'agissait selon lui d'un produit peu abouti pouvant être assimilé à une «version beta» qui aura coûté au total 100 millions de dollars à Logitech. Il a donc annoncé qu'une fois les stocks déjà produits vendus, Logitech ne poursuivrait pas la production du boîtier. Logitech suit ainsi l'exemple d'Intel, qui a également pris ses distances avec ce projet.
Pour rappel, ce boîtier avait été lancé en grande pompe à l'automne 2010 au prix de 299 dollars. Toutefois, au vu du maigre volume de vente, Logitech s'était vu contraint d'abaisser le prix du boîtier à 99 dollars en juillet.
Nouveaux partenaires pour 2012Selon le site britannique «The Register», un porte-parole de Google aurait annoncé de nouveaux accords avec des fabricants de hardware pour 2012, sans toutefois nommer les nouveaux partenaires de Google dans l'aventure. Selon l'agence de presse Bloomberg, qui cite des sources anonymes, LG Electronics pourrait présenter un téléviseur équipé du logiciel de Google TV en début d'année prochaine.
ICTJournal.ch
TélécomSudParis et l'Anssi forment à la cybersécurité
Afin de pouvoir faire face à la multiplication des attaques contre les systèmes d'information de l'État et des entreprises, le gouvernement a décidé de développer la formation en sécurité des systèmes d'information. Dans ce but, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) et l'école d'ingénieurs Télécom SudParis, ont établi un partenariat afin que les élèves de cette dernière puissent accéder au titre d'expert en sécurité des systèmes d'information (Essi).
L'établissement propose depuis plus de dix ans une option en sécurité des systèmes et des réseaux dès la troisième année. Son programme, conçu en concertation avec l'Anssi, couvre les aspects méthodologiques et techniques liés à la cryptographie et à la sécurité informatique. La formation est construite sur la base d'un référentiel de compétences métiers validé par la Commission nationale des certifications professionnelles.
Les formateurs de l'Anssi participeront à l'enseignement aux côtés des intervenants des entreprises partenaires et des enseignants-chercheurs de Télécom SudParis.
(...)
Les AMD Opteron 6200 16 coeurs enfin livrés
Après plus d'un an de confidences, AMD a annoncé la disponibilité de sa puce Opteron 6200 avec 16 coeurs, qui fait de lui le processeur x86 le mieux doté en coeurs. Les Opteron 6200, également connus sous le nom de code Interlagos, sont de 25 à 30 % plus rapides que leurs prédécesseurs 12 coeurs, les Opteron 6100, a déclaré John Fruehe, directeur du marketing produit chez AMD.
Ces puces sont attendues dans les prochaines semaines au sein des serveurs de Hewlett-Packard, de Dell, de Cray et d'Acer a précisé M.Fruehe. Elles inaugurent une nouvelle architecture baptisée Bulldozer, qui apporte des améliorations au niveau de la bande passante et des performances tout en réduisant la consommation d'énergie.
Les expéditions de puces ont été retardées de quelques semaines, a indiqué Dean McCarron, analyste chez Mercury Research. Ce retard arrive alors qu'AMD tente de renverser sa mauvaise fortune sur le marché des serveurs. Le fondeur de Sunnyvale a en effet perdu du terrain l'année dernière au profit d'Intel. Les parts de marché serveur d'AMD au niveau mondial étaient seulement de 5,5% pour le deuxième trimestre de cette année, tandis qu'Intel en accaparait 94,5%, selon IDC. AMD a également été obligé de traiter les plaintes de clients qui estimaient que l'entreprise ne respectait pas sa roadmap produits.
Des processeurs avec des vitesses allant de 1,6 à 2,6 GHz
Les cinq puces 6200 - les 6262 HE, 6272, 6274, 6276 et 6282 SE - sont cadencées à des vitesses d'horloge comprises entre 1,6 et 2,6 GHz, et sont vendues de 523 à 1019 $. Ces composants consomment de 85 à 140 watts et peuvent remplacer les anciennes puces 12 coeurs dans les serveurs puisqu'elles utilisent les mêmes sockets (C34 et G31).
« Le 6200 est destiné aux applications vraiment évolutives, des charges de travail qui ont beaucoup de threads tels que les bases de données, le cloud et l'informatique haute performance », a déclaré M.Fruehe. Ces processeurs ont été conçus pour les des environnements serveurs très virtualisés ajoute-t-il encore. Les systèmes d'exploitation Linux et Microsoft Windows Server 2008 vont pouvoir profiter de ces 16 coeurs, et plusieurs instances de machines virtuelles peuvent être créées pour traiter les transactions, précise-t-il.
L'architecture Bulldozer présente comme particularité de mixer au sein du processeur des unités de calcul entier et une unité flottante de sorte que plusieurs opérations peuvent être exécutées par cycle d'horloge tout en réduisant la consommation électrique. Parmi les autres améliorations de ces puces, citons la technologie Turbo Core, qui, comme chez Intel, peut augmenter la vitesse d'horloge jusqu'à 500 MHz dans tous les coeurs et jusqu'à 1 GHz sur certains noyaux en fonction des performances requises. Les liens HyperTransport 3.0 sont toujours au nombre de 4 et le contrôleur mémoire sur quatre canaux.
Opteron 4200, un demi Opteron 6200
AMD a également annoncé la disponibilité de l'Opteron 4200, qui pourra être livrée avec 6 ou 8 coeurs. Ces puces fonctionnent à des vitesses d'horloge comprises entre 1,6 et 3,0 GHz, et sont vendues entre 125 et 377 $. Les processeurs 4200 ont été conçus pour les environnements serveurs denses nécessitant des puces basse consommation, a précisé le responsable d'AMD. Ces composants consomment de 35 à 95 watts, soit environ 4,3 watts par noyau, selon le fondeur.
Il y a un intérêt croissant pour les processeurs basse consommation sur le marché des serveurs et certains constructeurs comme HP récemment commencent à regarder ailleurs, du coté d'ARM par exemple, pour aider les entreprises à diminuer leur facture électrique. Mais toujours selon M.Fruehe, les processeurs Opteron 4200 possèdent encore une longueur d'avance sur les puces ARM, qui font l'impasse sur des fonctionnalités indispensable aux serveurs, comme l'adressage mémoire et les instructions 64-bit. « Quand vous regardez certaines des choses d'ARM, c'est une bonne technologie, mais quand vous regardez le marché des serveurs et les besoins ... ils ne vont vraiment adresser qu'une petite partie du marché, tout en bas, là où certaines de ces choses n'ont pas d'importance », a déclaré M.Fruehe. « Les processeurs pour serveurs haut de gamme seront toujours nécessaires pour les machines back-end exécutant intensivement des applications manipulant beaucoup de données ou réalisant des calculs d'images dans le cloud (...) Il n'y a aucun moyen qu'un processeur ARM à 1,4 GHz soit capable d'offrir le même niveau de performances qu'une puce x86 ». Un seul coeur peut être pas, mais quand on sait qu'ARM travaille sur une architecture multi coeurs avec instructions 64 bits (ARMv8), le retard pourrait être vite comblé.
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Ces derniers mois, AMD a une fois de plus restructuré ses activités et la priorité du nouveau PDG, Rory Read (ex-Lenovo), est de stimuler l'activité à forte marge commerciale. Le dirigeant a d'ailleurs reconnu que les clients s'étaient plaints de l'incapacité d'AMD à fournir ses produits à temps, et qu'une de ses priorités était de régler les problèmes de fabrication et d'expédition des puces. L'Opteron 6200 est un processeur très important dans la stratégie serveur d'AMD car c'est un produit clef pour s'ancrer dans les datacenters, selon M.McCarron de Mercury Research. «Cela fait partie de leur programme de réimplantation. Ils ont connu une lente érosion ces dernières années ». Dell est le premier à annoncer que son serveur PowerEdge R815 (voir ci-dessous) pourra accueillir cette puce et passer ainsi de 48 à 64 coeurs max. La seul option supplémentaire pour ce serveur sera l'option mémoire à 1600 MHz.
AMD a connu quelques victoires importantes avec cette puce, a poursuivi l'analyste. L'une d'elles se situe au laboratoire national d'Oak Ridge du Département américain de l'Énergie, où un superordinateur appelé Titan est construit avec des processeur AMD 16 coeurs et les puces graphiques NVIDIA pour offrir un maximum de 20 Pétaflops en pointe. Ce supercalculateur dépassera le K japonais, qui, avec 8 Pétaflops, était jusqu'à présent l'ordinateur le plus rapide du monde dans la liste Top500.org publiée en juin dernier.
Le lancement de cet Opteron arrive enfin juste avant les processeurs Intel Xeon E5, qui sont déjà en fabrication et devraient arriver sur les serveurs dans la première moitié de l'année 2012. Intel a déjà 400 certifications environ pour son Xeon E5, a déclaré Kirk Skaugen, vice-président et directeur général de l'activité Intel Data Center Group, lors d'une conférence la semaine dernière.
Reconnaissance faciale : l'Allemagne s'apprête à poursuivre Facebook
Contestant la fonctionnalité de reconnaissance faciale utilisée pour le marquage des photos sur le réseau social, l'autorité allemande chargée de la protection des données - Hamburgischen Beauftragten für Datenschutz und Informationsfreiheit (HmbBfDI), basée à Hambourg, a entamé des procédures préliminaires en vue d'intenter une action en justice contre Facebook. L'autorité a décidé de mettre fin aux négociations engagées avec le géant des réseaux sociaux, estimant qu'elles étaient inutiles, « dans la mesure où Facebook refuse d'accorder aux utilisateurs un consentement rétroactif. » En Allemagne, les lois sur la protection des données obligent les entreprises à informer clairement les utilisateurs sur la manière dont leurs informations personnelles sont utilisées. L'autorité de Hambourg fait valoir que cela n'a pas été le pas le cas quand Facebook a commencé à utiliser la technologie de reconnaissance faciale pour marquer les photos et suggérer d'autres amis.
En guise de compromis, Facebook a proposé d'ajouter une case à cocher par laquelle les utilisateurs peuvent accepter les termes, les conditions et la manière dont sont utilisées ces données. Mais l'autorité de Hambourg estime que cette solution ne suffit pas à légitimer la collecte et l'usage des données biométriques. Par ailleurs, cette case ne serait disponible que pour les nouveaux utilisateurs, ce qui signifie que ceux qui ont déjà opté pour le service ne pourront pas donner leur consentement a posteriori. Pour Johannes Caspar, Commissaire de Hambourg chargé de la protection des données et de la liberté de l'information, « ces mois de pourparlers avec Facebook ont débouché sur des résultats décevants. » Quant à Maik Möller, le porte-parole du Hamburgischen Beauftragten für Datenschutz und Informationsfreiheit, il a indiqué que l'autorité avait été mandatée par les autres représentations allemandes pour prendre toute action nécessaire, et une procédure judiciaire va être engagée auprès du Tribunal Administratif de Hamburg. « Facebook s'expose à une amende pouvant aller jusqu'à 300 000 euros et à une ordonnance d'interdiction, » a-t-il précisé.
Facebook n'a pas convaincu
L'entreprise de Mark Zuckerberg n'est pas d'accord avec l'autorité allemande. Elle estime que l'action judiciaire est inutile, parce que sa fonctionnalité est conforme aux lois de l'Union Européenne sur la protection des données. « Nous avons donné une explication claire et une information complète à nos utilisateurs en matière de suggestions d'identification sur les photos et nous fournissons à ceux qui veulent désactiver cette fonction des outils très simples pour le faire. Nous avons suggéré plusieurs options pour rendre les utilisateurs encore plus attentifs à notre politique sur la vie privée et nous sommes déçus que l'Autorité de Hambourg ne les ait pas acceptés, » a indiqué l'entreprise dans un communiqué.
Reste cependant une question liée à la compétence du tribunal, puisque le siège européen de Facebook est basé en Irlande. Selon le Professeur Joseph Cannataci, expert-consultant pour le Conseil de l'Europe sur les questions de protection des données dans l'espace européen et coordinateur du projet de recherche « Consent » sur le consentement, financé par l'UE, bien que la Constitution allemande protège le droit de la personne et le concept d'autodétermination informationnelle selon lequel « c'est le pouvoir de l'individu de décider lui-même, sur la base du concept d'autodétermination, quand et dans quelle mesure toute information relevant de sa vie privée peut être communiquée à autrui », les lois fondamentales d'autres pays de l'UE pourraient ne pas aller dans le même sens. Le projet « Consent » se concentre sur les questions de sécurité de la vie privée en relation aux réseaux sociaux en ligne et au contenu généré par l'utilisateur.
Une directive européenne sur la protection des données à revoir
Or « la directive européenne de protection des données de 1995 ne prévoit pas explicitement le droit à l'autodétermination informationnelle, comme la Constitution allemande, » indique le Professeur Cannataci. Par ailleurs, la directive n'est pas transposée dans les législations des États membres de la même manière. Si bien que les différentes autorités européennes de protection des données ne peuvent pas prendre des mesures identiques à celle de l'Autorité allemande contre Facebook. « La Commission européenne ferait bien de lancer et mettre en oeuvre une réforme globale du régime de la protection des données», a déclaré Joseph Cannataci, se référant à l'annonce faite lundi par Viviane Reding, Vice-présidente de la Commission européenne, en charge de la justice, des droits fondamentaux et de la citoyenneté, et par Ilse Aigner, le Ministre fédéral allemand chargé de la protection des consommateurs. Leur proposition de loi pour réformer la directive européenne sur la protection des données sera déposée d'ici la fin janvier 2012.
Aux États-Unis, Facebook doit également faire face à des procédures judiciaires liées à des questions de protection de la vie privée. La Federal Trade Commission (FTC) pourrait accuser le réseau social de pratiques commerciales trompeuses. La FTC a enquêté sur Facebook suite à la publication, en décembre 2009, de détails concernant certains utilisateurs après des changements dans les paramétrages de confidentialité du réseau social. Pour mettre fin à cette procédure, Facebook serait sur le point d'accepter de revoir sa politique de gestion des données personnelles, et de se soumettre à un audit sur la vie privée chaque année.
(...)(14/11/2011 14:43:19)1 000 offres d'emploi IT sur Lesjeudis.com à Lille
Après Toulouse, puis Rennes, c'est à Lille que se tiendra la prochaine édition du salon de l'emploi informatique Lesjeudis.com. Le 17 novembre prochain, recruteurs et candidats du secteur IT se donneront rendez-vous de 10h à 18h au sein du parc d'activités Euratechnologies (165 avenue de la Bretagne - bâtiment Leblan-Lafont - Lille) pour une journée de recrutement. Les visiteurs (des profils de niveau Bac+4/5) pourront postuler à plus de 1 000 offres concernant des administrateurs réseaux, des chefs de projet, des consultants, des développeurs, des ingénieurs d'étude, des intégrateurs, etc. Les postes à pourvoir émanent d'une majorité de SSII : Additeam, Ajilon, Altran, Apside Capgemini, Consort NT, Econocom, GFI, Open, Osiatis, SII, Sopra ou encore Steria. Des offres sont également proposées par Crezeo, une start-up spécialisée dans la conception de réseaux sociaux professionnels, et également par des spécialistes de l'assurance (Axa), de la sécurité (Netasq), de l'hébergement web (OVH) et de l'emploi en région Nord-Pas-de-Calais (L4M).
Pour la première fois, le Pôle régional numérique, cluster réunissant près de 200 entreprises locales, sera présent sur le salon.
L'entrée est gratuite et soumise à la validation du CV, soit à l'accueil, soit par pré-inscription en ligne.
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Google fait ses emplettes pour Google+ et Chrome
Google souhaite améliorer son réseau social et a annoncé pour cela l'acquisition de la société Katango, pour un montant non communiqué. Cette dernière propose un logiciel qui trie automatiquement les amis des abonnés de Facebook et les contacts iPhone au sein de groupes. Pour cela, il utilise un algorithme analysant une multitude de données et des interactions en ligne.
La firme de Moutain View veut utiliser cette technologie pour améliorer les cercles et les rendre plus interactifs. Katango, qui a lancé son application iPhone en juillet et son application web en août, a été fondée dans le but d'automatiser le processus souvent fastidieux de créer, éditer et maintenir des listes d'amis sur les réseaux sociaux.
Bradley Horowitz, vice-président de Google a confirmé l'acquisition en écrivant « depuis le début, j'ai indiqué que nous avions de grandes ambitions pour les cercles. Etes-vous prêts à mettre un peu de magie dans vos cercles. Car ces gens sont des magiciens ». Il y aura peut-être besoin d'un peu d'intégration, car l'application Katango ne fonctionne pour l'instant pas avec Google+. Une chose est sûre, l'application Katango sur iPhone a été retirée de l'App Store pour indiquer que Google venait de la racheter.
Des plug-ins pour Chrome
Deuxième rachat pour Google, Apture, il s'agit d'une start-up spécialisée dans les plug-ins multimédias au sein des pages web. La société propose aux éditeurs de sites d'intégrer sa technologie d'informations contextuelles, nommé Apture Highlights. Ainsi, en sélectionnant un nom, une fenêtre affiche plusieurs éléments relatifs au nom, extrait de Wikipedia, YouTube, Flickr, etc. La jeune pousse a indiqué sur son site, que les équipes allaient rejoindre la division Chrome de Google pour créer une meilleure expérience utilisateur sur le web. Le montant de l'acquisition n'a pas été dévoilé.
Adobe promet des correctifs pour Flash mobile... mais pour combien de temps ?
Danny Winokur, le responsable d'Adobe en charge du développement interactif, a déclaré dans un blog que l'éditeur livrerait une ultime version de son Player Flash pour les terminaux Android et pour la tablette PlayBook de RIM avant d'arrêter son développement. La dernière version 11.1 a été livrée vendredi. Cependant, M.Winokur a promis que l'éditeur continuerait à livrer des correctifs pour le Player Flash. « Nous allons bien sûr continuer à fournir des patchs pour les vulnérabilités critiques et des mises à jour de sécurité pour les périphériques existants, » a déclaré Danny Winokur. La référence à « des bogues critiques » ne veut pas dire grand-chose, dans la mesure où Adobe qualifie généralement toutes ses mises à jour de sécurité pour Flash de « critiques ».
De son côté, Brad Arkin, directeur de la sécurité et de la confidentialité des produits chez l'éditeur, a renouvelé la promesse. « Adobe va continuer à livrer les mises à jour de sécurité pour le Player Flash mobile après l'ultime mise à jour, » a-t-il déclaré dans un message publié sur Twitter. Mais, ni Danny Winokur, ni Brad Arkin, n'ont précisé combien de temps la version 11 du Player Flash pour smartphones et tablettes bénéficierait de mises à jour de sécurité. Jeudi, le service des relations publiques d'Adobe a refusé de se prononcer sur un calendrier de support pour le logiciel.
Une politique de support difficile à comprendre
Andrew Storms, directeur des opérations de sécurité chez nCircle Security, a trouvé étrange qu'Adobe ne dise rien à ce sujet. « Pourquoi ne nous le diraient-ils pas ? », s'est-il interrogé. « Cette absence d'information dérange tout le monde. S'ils ont décidé d'une date pour en finir avec les mises à jour, il est certain que cela incitera les utilisateurs et les développeurs à prendre leur distance avec Flash plus rapidement. » Autre hypothèse émise par le responsable de nCircle Security : peut-être qu'Adobe n'a pas encore pris de décision à ce sujet, ou que l'éditeur est lié par ses engagements auprès d'un ou plusieurs fournisseurs de services mobiles.
Les politiques de support d'Adobe ne permettent pas de savoir le temps qu'il reste à vivre à son Player Flash, contrairement à Microsoft, qui a défini un calendrier de mise à jour pour ses produits - cinq ans pour les produits grand public, dix ans pour les logiciels d'entreprise. Au lieu de cela, Adobe s'engage à assurer le support de la version en cours de ses produits et la version tout de suite en dessous. Cependant, il est arrivé qu'Adobe décide, contre toute attente, de l'arrêt rapide du support d'un produit « en raison de l'évolution du marché et de l'impact pour les clients», comme on peut le lire sur son site internet. Ainsi, en février, Player Flash 9 était mise à la retraite, alors que la version 11 du lecteur d'Adobe n'avait pas encore été livrée. Motif : l'ancienne version datait de cinq ans et sa part de marché était dérisoire, 2% seulement.
Des mises à jour nécessaire pour la sécurité
La manière dont Adobe traite son Player Shockwave apporte peut être un meilleur indice : alors que la version 11 du Player a été introduite en mars 2008, Adobe continue toujours à livrer des correctifs pour les utilisateurs, dont une toute dernièrement. Ironiquement, jeudi, Adobe a livré un correctif pour son Player Flash, non seulement une version 11.1 pour Android, mais aussi pour les navigateurs de bureau sous Windows, Mac OS X et Linux. Cette mise à jour corrige 12 failles, toutes considérées comme critiques, la plupart liées à des problèmes de corruption de mémoire.
C'était la neuvième fois cette année qu'Adobe livrait une mise à jour pour son Player Flash, soit deux fois plus qu'en 2010. Les utilisateurs exécutant des navigateurs Internet de bureau, autres que Chrome - Google a également mis à jour son navigateur jeudi, avec le patch du Player Flash - peuvent télécharger la dernière version sur le site d'Adobe. Les utilisateurs d'Android doivent passer par l'Android Market pour obtenir leur mise à jour.
(...)(14/11/2011 11:44:54)L'opération Ghost Click du FBI met fin au botnet Esthost
6 estoniens ont été arrêtés et une procédure d'extradition est en cours pour qu'ils soient jugés aux Etats-Unis, indique le FBI dans son communiqué de presse sur l'opération Ghost Click. Cette dernière a nécessité deux ans d'investigations et l'aide de sociétés comme Trend Micro pour mettre fin à une cyberfraude qui a généré 14 millions de dollars en prenant le contrôle de 4 millions d'ordinateurs zombies dans 100 pays. Aux Etats-Unis, l'agence fédérale a recensé 500 000 ordinateurs corrompus dont quelques-uns à la NASA.
Les PC et les Mac étaient infectés par le cheval de troie, DNSchanger. Celui-ci permettait de rediriger les utilisateurs vers des sites web où le gang gérait la publicité, via de faux sites liés à Apple par exemple. Ce malware pouvait aussi diffuser de faux anti-virus ou empêcher certaines mises à jour des systèmes d'exploitation.
Trend Micro va un peu plus loin sur son blog et explique que ce botnet utilisait la société Rove Digital, maison mère de plusieurs sociétés impliquées, Esthost, Estdomains, Cernel, UkrTelegroup, etc. Rove Digital n'était pas seulement l'hébergeur du trojan, mais disposait de l'infrastructure de serveurs de commandes et contrôle, ainsi que les moyens de monétiser les redirections. Le botnet a d'ailleurs reçu comme nom Esthost par la firme de solution de sécurité. Elle indique que les serveurs criminels ont été éteints pour les remplacer par des serveurs DNS sains.
Mise à jour iOS 5.0.1 : Les soucis de batterie persistent
Plusieurs utilisateurs du dernier smartphone d'Apple se plaignent toujours de la faible autonomie de leur terminal. Certains possesseurs ont en effet signalé que la mise à jour logicielle de l'OS d'Apple (IOS 5.0.1) n'avait pas permis de régler le problème d'autonomie des batteries auquel elle était censé remédier. Pire, les utilisateurs ayant procédé à la mise à jour du système d'exploitation ont indiqué, sur le forum de discussion d'Apple,, que la batterie de leur smartphone se vidait encore plus vite qu'auparavant.
« Après la mise à jour 5.0.1, la batterie de mon iPhone s'est vidée encore plus vite ! », rapporte un utilisateur. Quelqu'un d'autre a t-il rencontré ce problème ? » «J'ai rencontré la même perte d'autonomie », note un autre possesseur d'iPhone 4S. « Après l'installation de 5.01 j'ai rechargé totalement mon terminal avant d'aller me coucher et au bout de 7 heures, la batterie s'était déchargée de 79%. Elle a même perdu 5% de plus, le temps que je rebranche mon smartphone et que je publie ce message. »
«Avant d'avoir effectué la mise à jour 5.0.1 , je n'avais pas noté de problèmes de batterie sur mon iPhone 4S, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui », déplore un troisième utilisateur
Cependant, tout le monde ne semble pas d'accord sur ce point, «Après la mise à jour, l'autonomie de ma batterie s'est nettement améliorée », témoigne cet internaute. « Les utilisateurs qui ont continué à rencontrer des problèmes n'ont peut-être pas correctement appliqué la mise à jour, ou bien faisaient-ils tourner des applications en tâche de fond. C'est sans doute une erreur d'utilisation », ajoute t-il encore.
Pour sa part, Apple n'a pas encore apporté de réponses à ces commentaires.
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L'électronique mobile en auxiliaire de santé
Rock Health, un incubateur de start-ups, a passé en revue les produits de 36 entreprises comme Digifit, Zamzee, NewYu, Zeo et Withings avant d'arriver à ces conclusions : les consommateurs recherchent des appareils élégants et en vogue (comme les produits Apple, selon le rapport), valant autour de 99 euros et qui permettent surtout d'aider à perdre du poids. De leur côté, les médecins ont à l'oeil les derniers appareils qui permettent aux patients de surveiller les maladies chroniques comme les troubles cardiaques ou le diabète. On note aussi que les gadgets pour surveiller ses signes vitaux, sa consommation de calories, et ses cycles de sommeil ont la cote.
UP de Jawbone, figure parmi les appareils cités dans le rapport, tout comme AgaMatrix, un lecteur de glycémie approuvé par Apple. Basis, un bracelet qui mesure le pouls, les mouvements, la transpiration et la température (199 $) fait partie de cette liste. Pour surveiller les cycles de sommeil, il y a Lark (de 99 à 129 $), un bracelet qui enregistre les mouvements nocturnes et réveille en douceur. Il se synchronise avec un smartphone et émet des vibrations sur un point de pression de l'intérieur du poignet pour un réveil progressif.
Autre aspect de cette tendance alliant santé et high-tech, un système de puce électronique embarquée dans un comprimé développé par Novartis. Ce genre de médicaments permettrait d'enregistrer la réponse du patient à la molécule via une appli pour smartphone. Novartis essaie actuellement d'obtenir le feu vert des autorités européennes pour commercialiser ce système, appelé Proteus, d'ici l'année prochaine.
On trouve aussi à la pointe de cette tendance Striiv, MOTOACTV, Adidas MiCoach Pacer, Fitbit, Affectiva Q Sensor, Basis, BodyMedia BodyFit et Nike+GPS.
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