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(14/11/2011 10:27:38)
Trimestriels Micropole : croissance sur fonds de vigilance économique
Micropole annonce une croissance organique de 13,4% à 25,3 millions d'euros (ME) au 3ème trimestre. Globalement, le CA progresse de 22% à 27,2 ME. Sur neuf mois, il se monte à 80,5 ME en organique avec 10,4% de hausse. La croissance totale sur neuf mois, elle, s'élève à 85,3 ME en progression de 17%.
La société explique ces bons résultats par ses recrutements et le dynamisme du carnet de commandes. Christian Poyau, le PDG, estime « le carnet de commandes est toujours satisfaisant à ce jour, mais nous restons cependant vigilants compte tenu du contexte macro-économique qui soulève des interrogations ».
La vidéoconférence au secours des réunions de CE
En l'occurrence, un représentant du personnel ne se trouvait pas dans l'établissement où avait lieu la réunion et s'est donc joint à celle-ci en utilisant la vidéoconférence. Or cette possibilité n'avait pas été prévue au règlement intérieur et pouvait donc entacher les décisions prises lors de cette réunion. La Cour vient de rejeter cette contestation. Cependant, une limite a été fixée de manière ferme au nom de la confidentialité : il ne faut pas qu'il soit nécessaire de procéder à un vote à bulletin secret.
Contrôle des billets en RFID au FC Lorient
L'originalité de la solution est d'être mixte : les billets simples sont identifiés par un code barre, les cartes d'abonnement par une puce RFID. Le contrôle tient compte des tarifs spéciaux en affichant les conditions d'utilisation du dit tarif lors du contrôle. De plus, les données de contrôles peuvent être synthétisées et servir à des études a posteriori comme, par exemple, les heures d'arrivée de tel type de supporter selon tel type de match ou le déroulement du remplissage des tribunes.
Le coût du projet n'a pas été communiqué. Mais le club revendique une importante baisse de la fraude liée à des billets « égarés » et réédités puisque les billets « égarés » sont désormais annulés informatiquement.
Le marketing grignote lentement les budgets des DSI selon Gartner
C'est Peter Sondergaard, senior vice-président (au Gartner tout le monde est vice-président, mais pas toujours senior) du Gartner qui a montré le couperet de la guillotine : d'ici 2014, 25% des budgets informatiques gérés par les DSI vont leur échapper, au profit des directeurs marketing. En 2017, ces derniers auront même des budgets informatiques plus importants que ceux de leurs collègues de l'informatique.
Pour apaiser la douleur, le docteur Peter Sondergaard accompagne son diagnostic de trois sujets de réflexion que les DSI doivent appréhender : l'adoption d'une approche post-moderne du business, la poursuite de la simplicité dans leurs projets, l'emploi de la "destruction créatrice".
Première attitude conseillée aux DSI, adopter une approche post-moderne du business. Le Gartner entend par ce concept, une entreprise centrée sur le client et alimentée par l'explosion de l'information, la collaboration et la mobilité. Le tout rendu possible par le cloud computing.
2011 : 3% des dépenses vont au cloud
Dans la zone EMEA, le Gartner estime ainsi que 16 milliards d'euros seront consacrés aux services de cloud public en 2011, représentant environ 3% des dépenses informatiques de la zone. Ce chiffre est estimé à 20 milliards d'euros en 2012, et les services de cloud public vont croître plus de 10 fois plus vite que les dépenses globales des entreprises dans la zone EMEA jusqu'en 2015.
«Dans l'entreprise post-moderne, c'est travailler sur les clients, savoir comment vous le faites et comment vous les impliquez dans vos processus qui compte », a lancé Daryl Plummer, vice-président au Gartner. «Vous devez satisfaire vos clients, car ils veulent entrer en contact avec votre entreprise à travers leurs préoccupations immédiates. Ces clients pourront faire une partie du travail parce qu'ils ont un intérêt direct dans vos résultats. Impliquer vos clients et les fidéliser permet de prolonger la vie de votre entreprise. »
Deuxième point, la simplicité, celle apportée par les DSI dans leurs projets informatiques. Pour créer cette simplicité, les DSI doivent mettre les clients et leurs besoins au centre de leur design et rendre l'expérience utilisateur plus simple par la construction de solutions sensibles au contexte. La demande pour plus de simplicité a été renforcée par le passage à des technologies mobiles, et sensibles au contexte informatique.
La prise d'informations contextuelles
Sur ce dernier point, le Gartner évoque par exemple la prise d'informations contextuelles, sur les individus dans le monde physique (leur emplacement et le moment de la journée), et sur leurs habitudes d'utilisation dans le monde numérique. « En 2015, vos appareils numériques en sauront plus sur vous que vous n'en saurez sur eux », a estimé Hung LeHong, vice-président de recherche chez Gartner. « Les entreprises doivent être prêtes à créer, de manière simple, mais riche en expériences clients, à travers n'importe quel appareil et n'importe quel environnement. »
Troisième sujet, les responsables informatiques doivent envisager « la destruction créatrice ». En clair, l'élimination des technologies existantes et, plus sélectivement, l'élimination des systèmes à faible impact, la prise de risques calculés pour employer de nouvelles solutions, dont les effets vont menacer ou carrément éliminer les vieux systèmes.
Conclusion, bien que les départements informatiques soient considérés comme d'excellents fournisseurs de services pour l'entreprise, leurs responsables ont besoin d'être moins des prestataires de services internes que des leaders. « Leurs partenaires ont besoin de leur leadership en vue d'atteindre de meilleurs résultats», a déclaré Tina Nunno, vice-présidente au Gartner. « Dans le même temps, ils veulent que l'informatique soit peu coûteuse, sûre et fiable ».
1/3 des Français utilisent leur mobile pour des opérations bancaires
Pour permettre aux consommateurs d'effectuer des opérations bancaires via leur smartphone, certaines banques ont développé des applications mobiles. Toutefois, seuls 34% des Français savent que la leur en propose une. De plus, ils ne sont que 8% à l'avoir téléchargé. Si 85% des consommateurs ne sont pas intéressés par ce genre d'innovation, c'est tout simplement parce qu'ils préférent se rendre directement dans une agence bancaire (50%) ou parce qu'ils choisissent l'ordinateur de préférence (43%). Par ailleurs, lorsqu'il est question de payer à l'aide de son smartphone, 57% des Français jugent cette solution pratique, voire innovante pour 53% de consommateurs.
Cette étude a été réalisée les 28 et 29 octobres 2011 auprès d'un échantillon de 1.013 individus âgés de 15 ans et plus.
Sapphire Madrid : SAP pointe les gains obtenus avec HANA
Simplifier le paysage IT figure parmi les ambitions qu'affiche SAP avec son appliance HANA (High-performance analytic appliance). Vishal Sikka, directeur technique de la société, l'a redit sur les conférences européennes Sapphire et TechEd, à Madrid, la semaine dernière. La technologie d'analyse in-memory mise à l'oeuvre dans HANA traite en temps réel d'énormes volumes d'informations, issues de bases décisionnelles ou transactionnelles, sans pré-agrégation des données. A la clé, une capacité à explorer davantage de données, avec une interactivité accrue, dans des délais plus courts.
Dans les cas les plus notables, les améliorations sont surprenantes. « Des résultats obtenus en 4 à 8 secondes contre 18 heures auparavant », expose par exemple Vishal Sikka, même s'il reconnaît que l'accélération ne sera pas aussi spectaculaire avec toutes les applications. Le directeur technique affirme que de nombreux clients HANA ont déjà multiplié par un facteur 1 000 la rapidité de leurs analyses. Et certains ont obtenu leurs réponses 10 000 fois plus vite. Dans ce club des « 10K », on trouve la multinationale indienne Essar (acier, énergie, communications...), le Chinois Nongfu Spring (fournisseur de boissons), l'Américain The Charmer Sunbelt (vins et spiritueux), l'Université Cornell, située dans l'Etat de New York, et SAP lui-même.
Deux secondes contre trois jours
Un seul client fait mieux : le Japonais Yodobashi, distributeur de produits électroniques. C'est l'unique membre du club 100K pour l'instant. Il utilise HANA pour calculer les avantages gagnés par les 5 millions de clients engagés dans son programme de fidélité. « Et cela va 129 000 fois plus vite qu'avant », assène Vishal Sikka, puisque deux secondes suffisent maintenant à Yodobashi pour le faire, contre trois jours auparavant. Ce qui permet de calculer les avantages acquis lorsque le client est encore dans le magasin. « The Charmer Sunbelt devrait bientôt rejoindre ce club des 100K », pressent le directeur technique.
Vishal Sikka suggère à chacun de tester à son tour les performances d'HANA. « Vérifiez les choses par vous-mêmes, jouez avec la sandbox », invite-t-il. SAP a ouvert un site pour consulter des démonstrations en direct : « Experiencesaphana.com ». Deux scénarios y sont proposés. Le premier propulse au coeur d'un conglomérat de plusieurs milliards de dollars dont on explore les données opérationnelles à l'aide de CO-PA (Profitability Analysis) Accelerator. Le deuxième scénario simule les énormes volumes d'informations générés dans les circuits de distribution de la mode. Il faut s'enregistrer pour les consulter.
Red Bull a installé Business Warehouse sur HANA
A Madrid, SAP a annoncé que HANA pouvait remplacer la base de données sur laquelle s'appuie son datawarehouse BW. Pour démontrer les bénéfices de cette solution, l'éditeur a donné la parole à Red Bull, dont les deux représentants ont déboulé sur la scène de Sapphire en combinaison de pilote de Formule 1 (le producteur de boissons énergisantes possède l'écurie de course avec le champion du monde Sebastian Vettel). En moins de deux semaines, ces utilisateurs de BW ont installé HANA et compressé leur base de données à 80%, passant de 1,5 teraoctet à moins de 300 Go. Parmi les avantages, plus de réplication vers des infocubes et le responsable des applications d'entreprise de Red Bull, Christian Stoxreiter, explique que le processus de reporting a été dopé de bout en bout, surtout par la réduction du temps de chargement des données. Ces dernières sont récupérées pendant la nuit sur différentes zones horaires (Red Bull est présent dans 160 pays). L'année prochaine, la société prévoit d'étendre l'application à la gestion des promotions et à la planification.
SAP fournit HANA sous la forme d'une appliance logicielle. Pour la partie matérielle (serveurs et stockage virtualisé), il s'appuie sur une dizaine de partenaires : IBM, HP, Dell, Fujitsu, Cisco, Lenovo, EMC/VMware et Hitachi. Dernier arrivé de la liste, ce dernier combine ses offres Adaptable Modular Storage 2000 et Compute Blade 2000 avec HANA. De son côté, EMC va associer HANA à ses technologies de stockage multi tiers (FAST) et l'appliance pourra s'installer dans des baies VMAX.
EMC Forum 2011 : le Big Data et les PME à l'honneur
Pour sa huitième édition parisienne, l'EMC Forum était placé sous le thème du Big Data. Un sujet prisé par le spécialiste des solutions de stockage depuis le rachat d'Isilon Systems en novembre 2010. Désormais intégrée à EMC en tant qu'entité autonome, Isilon est rattachée à la division VIG sous la houlette de Philippe Gardé, directeur des ventes, comme nous l'a expliqué Jean-Yves Pronier, directeur marketing France. « Une équipé dédiée assure la commercialisation des produits VNX, Atmos et Isilon, mais les commerciaux restent spécialisés ».
Avec le recul, le responsable marketing revient sur la réaction en chaîne dans le monde du stockage avec le rachat de 3Par par HP (aout 2010), d'Isilon par EMC (nov 2010) et de Compellent pour Dell (déc 2010). Sur la fin précipitée de l'accord entre EMC et Dell sur la commercialisation des baies Clariion, Jean-Yves Pronier assure que la transition a été bonne pour les systèmes VNX même si le démarrage a été moins facile sur l'entrée de gamme, les VNXe. « Le bilan est aujourd'hui plutôt positif avec le recrutement de 160 nouveaux partenaires, après un flottement dû au changement grossiste. » TechData Azlan a en effet remplacé Distrilogie. La bataille se joue aujourd'hui avec Dell pour conserver la main sur les clients. « On a recruté de nombreux partenaires tiers sur la partie PME pour accompagner le lancement des produits ».
Un vBlock sur base VNXe pour les PME
Autre sujet d'actualité chez EMC, vBlock, la plate-forme de stockage virtualisé conçue avec VMware et Cisco. Ici aussi le démarrage a été lent. EMC France a recruté les équipes commerciales avant ventes au premier trimestre 2011 avec une mise en place opérationnelle à la fin de deuxième trimestre. « Avec la plate-forme vBlock, nous avons pour ambition de servir les gros, les moyens et les petits. Nous répondons aujourd'hui aux besoins des gros et des moyens et une ouverture du package à VNXe associé pour l'occasion aux routeurs Catalyst de Cisco n'est pas exclue ». Ce petit bloc n'irait pas forcément dans un datacenter et pourrait plus facilement adresser le marché des PME.
Partenaire d'EMC, MTI pousse l'offre vBlock. Présent sur l'EMC Forum, Damian Saura, vice président en charge des ventes chez MTI est revenu sur la question. « Nous constatons une forte adhérence sur l'offre vBlock notamment pour tous les projets avec une réflexion cloud ». Une business unit est d'ailleurs dédiée à VCE avec l'arrivée d'experts recrutés début 2011. M.Saura profite de l'occasion pour mettre en avant ses offres Care et Cloud Storage. La première assure la surveillance et l'analyse à distance des infrastructures des clients, et permet de remonter rapidement les problèmes éventuels pour les régler sans interrompre l'activité. Cette offre de services repose sur Nimsoft Monitoring System. La seconde offre repose sur la solution Atmos Cloud Storage d'EMC. MTI Cloud Storage se décline aujourd'hui en 4 offres dédiées : l'archivage donnant aux utilisateurs une capacité pour entreposer leurs données qui sont généralement stockées dans des infrastructures très couteuses ; la sauvegarde via un service externalisé pour éviter les problèmes de fiabilité des sauvegardes sur bandes magnétiques ; les services de fichiers pour avoir accès aux fichiers distants de manière transparente et sécurisée. Enfin, l'offre pour les applications permet d'utiliser la plateforme MTI pour les exécuter dans le cloud. Côté tarif, l'intégrateur annonce un tarif commençant à 20 centimes le Go. « Pour l'instant, l'offre repose deux datacenters au Royaume-Uni, mais on ne s'interdit pas d'en avoir un en France ou en Allemagne », précise Damian Saura. Quoiqu'il en soit, cette société britannique qui a son siège social aux Pays-Bas échappe au fameux Patriot Act américain nous assure le dirigeant.
Big Data et VM sur les baies Isilon
Pour le Big Data, Damian Saura estime qu'EMC n'avait pas de bons produits avant de racheter Isilon Systems. « On les connaissait déjà, il était naturel de regarder cette offre pour sensibiliser nos clients à cette solution. » Xavier Guérin, directeur commercial Europe du Sud chez Isilon est revenu sur le rachat et l'intégration au sein d'EMC. « Notre marché historique [le Big Data] connaît un élargissement vers le monde de la finance notamment grâce à notre intégration dans EMC. Isilon vient compléter les produits VNX mais sur le créneau du scale-out NAS. » Dernièrement, Isilon a fait par lui avec une démonstration très intéressante relayée sur YouTube : le projet Lightning qui consiste à faire tourner des machines virtuelles basées sur VMware sur des baies de stockage. En octobre dernier, Pat Gelsinger, directeur général d'EMC avait expliqué lors d'une table ronde avec un groupe de journalistes que « lors d'EMC World en mai dernier, nous avions montré des VM fonctionnant sur des baies VNX, mais aussi sur des clusters NAS de la gamme Isilon. En interne, nous avons également migré des VM sur des baies Symmetrix VMAX ». D'autres projets sont en cours de développement chez Isilon mais nous reviendrons sur ces annonces un peu plus tard, notamment l'intégration à Navisphere, l'outil d'administration d'EMC.
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