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(11/12/2007 17:43:36)

En France, 80% des grandes entreprises manquent d'outils de veille adaptés

La majorité des grands comptes de l'Hexagone souffrent d'un manque de dispositifs de veille adaptés. C'est la tendance observée par le premier baromètre des pratiques de veille stratégique, réalisé par l'éditeur de logiciels de veille stratégique Digimind auprès d'une centaine de grands comptes français. Pour 76% des répondants, Internet est considéré comme une source importante à essentielle. Du coup, les veilleurs passent plus d'un tiers de leur temps à y rechercher de l'information, et jusqu'à 80% dans certaines entreprises, et cela au détriment de la production de contenus à forte valeur ajoutée (telles que les analyses, rapports, tableaux de bord,...). De plus, 80% des entreprises interrogées ne surveillent régulièrement que moins de 500 sources d'information (contre plus 5 000 pour les plus performantes), alors même que plus de 80% des entreprises expriment comme première priorité le fait de « ne pas passer à côté d'une information stratégique ». Principales difficultés invoquées par les responsables de la veille : la méconnaissance des sources disponibles et le manque d'outils adaptés. Et en effet, plus de 80% des entreprises ne disposent pas de solutions spécialisées couvrant toutes les étapes de la veille, de l'identification et de la surveillance automatique de sources, à la diffusion de rapports et tableaux de bord - en passant par l'analyse et le partage qui sont considérés comme la deuxième priorité du dispositif de veille. Pourtant, la veille stratégique occupe aujourd'hui une place clé dans les grandes entreprises françaises, notamment pour développer des parts de marché (72%), innover (70%), appuyer la croissance externe (41%), et exporter (40%). (...)

(11/12/2007 17:42:49)

L'Afnor rejette PDF 1.7 pour son manque de sécurité et d'unité

Une sécurité et une signature électronique aléatoires ainsi qu'un manque d'unité entre normes PDF. L'Afnor, qui a voté contre la normalisation du format PDF 1.7 la semaine dernière - le seul vote négatif sur 14 voix -, donne ces deux points pour justifier sa position. « Nous sommes tombés sur un consensus sur le Non [ndlr, avec commentaires] après qu'une enquête publique a été ouverte et les commentaires qui en découlent examinés », explique Clément Chevauché, chef de projet de la commission de la normalisation de l'archivage à l'Afnor. Résultats des commentaires, « sur une quarantaine recensés, trente tournaient autour de la signature électronique et de la sécurité », explique-t-il. Un nombre jugé important d'autant qu'ils ont été formulés par des experts compétents. Si la France est le seul pays à avoir rejeté la norme, le Japon ainsi que les Etats-Unis [qui ont approuvé la norme, NDLR] ont également émis de nombreux commentaires sur la sécurité, ajoute Clément Chevauché, sans toutefois en détailler la teneur. Parmi les autres points qui ont poussé l'Afnor vers le Non, Clément Chevauché invoque des problèmes généraux liés aux relations entre toutes les normes PDF. « PDF 1.7 constitue une 15e norme autour de PDF, ça fait beaucoup, il faut en clarifier les relations. Au risque de rendre son implémentation très difficile. Il existe également, dans le corps de la norme, des spécifications qui ne sont pas des normes, donc, pas faites pour une norme stable. » Rappelons que les sous-groupes PDF/Archive et PDF/Exchange sont également des normes ISO. Prochaine étape dans le processus : à la mi-janvier, une commission doit examiner les commentaires et y répondre. Pour, à terme, intégrer les modifications à la future évolution de PDF. (...)

(11/12/2007 16:23:00)

Paris On Rails lève le voile sur Ruby On Rails 2.0

Un pas vers la maturité. A l'occasion de Paris on Rails, conférence dédiée au langage Ruby on Rails, David Heinemeier Hansson, son créateur, a présenté les évolutions de la version 2.0 du framework. « Dans la version 2.0, nous avons mis l'accent sur le design d'applications basées sur REST », a-t-il déclaré. Les développeurs de cette mouture ont en effet choisi de s'appuyer sur REST (Representational State Transfer) plutôt que SOAP pour véhiculer les messages dans les applications Web. Si cette version semble installer le cadre applicatif dans la continuité, comme l'indique Richard Piacentini, fondateur de Nuxos une SARL hexagonale, organisatrice de l'événement, à nos confrères d'IDG News Service, Ruby on Rails 2.0 marque également une rupture avec le passé, abandonnant certaines fonctions embarquées depuis les premières versions. Et c'est un bienfait, analyse David Heinemeier Hansson, qui déclare sans ambages : « Nous voulions nous débarrasser de ces mauvaises lignes de codes historiques ». Certaines de ces fonctions seront désormais disponibles sous forme de plug-in. « Installez les et votre application continuera de fonctionner », dit-il. Au-delà des considérations techniques, Ruby On Rails a reçu le soutien de grands noms du secteur. Sun, d'abord, qui a récemment embauché l'équipe de JRuby, une implémentation de Ruby pour les machines virtuelles Java. Puis Microsoft qui, quant à lui, a recruté les développeurs de RubyRLR, une passerelle entre Ruby et le framework .Net. Autant de supports qui aident à la propagation du framework. Pénurie de développeurs Si Ruby semble prendre son envol, il apparaît qu'il reste toutefois en retrait en termes de popularité par rapport à PHP, son grand concurrent. Alors que le PHP Forum de Paris a accueilli plus de 500 développeurs, Paris On Rails, pour sa deuxième édition, recense quelque 240 chefs de projet et développeurs. Soit moitié moins. Si « la France est historiquement un des pays où PHP est le plus populaire », commente Richard Piacentini, il ressort toutefois que Ruby souffre d'une pénurie de développeurs. Ce qui ne devrait pas durer, assure David Heinemeier Hansson, et reste un des prochains défis que devra affronter le framework. (...)

(11/12/2007 16:21:51)

Attaque en série de datacenters à Londres

La semaine dernière, un datacenter dans le quartier de Kings Cross à Londres a été la victime d'une attaque à main armée. Déguisés en policiers, les hors-la-loi ont menotté les gardiens avant de dérober du matériels (cartes-mères, processeurs...) pour un montant de 4 M$. C'est le troisième datacenter londonien à être la cible d'une attaque de ce genre en deux mois. (...)

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