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(11/12/2007 16:19:32)

EMC remet enfin Invista au goût du jour

Dans une version 2.0 très attendue, Invista, l'outil de virtualisation du stockage en réseau d'EMC, supporte enfin VMware officiellement et améliore nettement la fiabilité et les performances de la version précédente. Le logiciel Invista 2.0, qui est commercialisé dans la zone de 100 000 $ pour un volume de stockage de 10 To, administre des switches Brocade ou Cisco pour assurer la gestion et la migration dynamique des volumes. Cette version 2.0 exploite aussi des contrôleurs en cluster. Les éléments constitutifs d'un environnement Invista peuvent être éloignés les uns des autres de 500 mètres maximum. Les spécialistes du secteur considèrent que cette version 2.0 sonne l'heure de la maturité pour Invista. Elle supporte 8000 volumes virtuels, soit le double dont était capable la version 1.0. Toutefois, pour des raisons de rentabilité, Invista n'assure pas les fonctions de réplication pour lesquelles il faut toujours acquérir SRDF. Invista avait été lancé en 2005 à l'attention des gros consommateurs d'équipements de stockage qui utilisaient au moins cinq baies. Invista se pose en concurrent de SAN Volume Controller (SVC) d'IBM, de TagmaStore d'Hitachi Data Systems et aussi des produits de DataCore, de FalconStore et d'Incipient. A ce jour EMC revendique 200 utilisateurs d'Invista. (...)

(11/12/2007 16:07:13)

Le Web 3 prend du recul sur les phénomènes du Web 2

Loïc Le Meur a donné le coup d'envoi ce matin de l'édition 2007 de sa conférence Le Web 3, deux jours de présentations mais aussi de réflexion sur l'état présent du Web et son avenir. Organisé à Saint-Denis, au nord de Paris, la conférence compte 1800 personnes enregistrées - acteurs du Web, capitaux-risqueurs, journalistes... - venus du monde entier (la conférence se tient d'ailleurs en anglais), ainsi qu'un nombre impressionnant d'orateurs issus d'horizons divers. De fait, si Loïc Le Meur, ex-médiatique patron de la plateforme de blog SixApart Europe, s'est un peu brûlé les ailes en touchant de trop près le monde politique l'année dernière, il n'a semble-t-il rien perdu de son entregent. Le programme de la conférence comporte bien quelques passages obligés, où les dirigeants de start-up tentent de faire partager leur enthousiasme sur leur idée, mais elle permet surtout de prendre du recul sur beaucoup de thèmes. La conférence a ainsi démarré avec le thème de l'identité numérique, un sujet brûlant alors que les faux profils de personnages célèbres se multiplient sur les réseaux sociaux, que les moteurs de recherche spécialisés dans les personnes émergent, et que les analystes mettent en garde les jeunes gens sur les traces qu'ils laissent et qui pourraient les handicaper plus tard. Le blog en tant que retour à un média originel On peut également citer June Cohen, de TED Conference (organisateur de conférences), qui a comparé le mouvement actuel autour des blogs à un « retour aux origines ». Pour elle, « la majorité des blogueurs ne cherchent pas à concurrencer le New York Times, mais juste à être eux-mêmes, [...] à communiquer avec leur famille, leurs amis ». Comme cela se pratiquait avant la télévision, avant les journaux, avant les livres. Dans les années 60, un « orateur persuasif » tel que Kennedy bénéficiait de la façon dont on consommait alors la télévision, a expliqué June Cohen, pour développer un discours et bouger les foules. Aujourd'hui, ce média peut être le Web. L'aspect social, mis en vedette par le thème omniprésent des réseaux sociaux, a également été évoqué sous l'angle du design. Grâce à une intervention totalement décalée du célèbre designer Philippe Stark sur le rôle social du design. Qui a expliqué qu'un produit doit être précédé par un concept, rendant service à l'utilisateur. Alors que la plupart des produits aujourd'hui sont composés de « 10% d'utile et de 90% de merde autour », destinés à des « consommateurs cibles ». Difficile dans ces conditions de monter sur scène, ensuite, avec un robot-lapin programmable. Mais Rafi Haladjian, dirigeant de Nabaztag, a relevé le défi, et profité de l'occasion pour présenter une évolution : la capacité de son lapin à lire des étiquettes RFID à proximité. « On peut coller une étiquette sur les clés de ses enfants, de façon à ce que, quand ils rentrent de l'école, le lapin envoie un email pour dire que les enfants sont bien rentrés. » Autre application : Gallimard a initié une collection de livres pour enfants équipés de tags RFID, et le lapin peut ainsi faire la lecture aux enfants. Entre ce nouveau type de baby-sitter et les « sonneries visuelles » et personnalisables de Vringo à envoyer à tous ses contacts téléphoniques, Le Web 3 donnait aussi un aperçu de ce qui peut advenir. (...)

(11/12/2007 15:09:04)

Les utilisateurs de Facebook vendent leur propre publicité

Les membres du réseau social Facebook semblent avoir goûté aux joies de la publicité... qu'ils font eux même. Selon nos confrères du New-York Times, plus de 1 500 utilisateurs du réseau ont décidé de poster eux-mêmes des publicités sur leurs profils personnels. Cette opération a été réalisée avec l'aide de Weblo, un réseau publicitaire situé à Montréal, qui considère que « la popularité online peut rapporter de l'argent. ». Pour le Canadien, les utilisateurs de Facebook doivent être rémunérés pour leur temps passé sur le réseau social et le nombre d'amis qu'ils ont réussi à attirer sur leurs pages . Ainsi, Weblo compte partager les revenus générés par ces publicités avec les membres de Facebook. Et ce, en dépit du fait que Facebook n'autorise pas ses membres à publier eux-mêmes des publicités sur leurs pages. Chris Kelly, responsable des données personnelles, avait déclaré au mois de novembre que le groupe ne souhaitait pas que les profils de ses membres se transforment en capharnaüm. Ce qui n'a pas empêché Rocky Mirza, le PDG de Weblo, d'encourager les membres de Facebook à vendre de l'espace publicitaire sur leurs pages personnelles, précisant que cette pratique leur était autorisée en tant que créateurs de contenus. Reste à savoir combien de temps encore Facebook laissera faire une opération qu'il n'approuve pas. (...)

(11/12/2007 15:04:34)

L'action AMD à son plus bas niveau depuis 4 ans

AMD, qui rêvait d'Austerlitz, vit Waterloo. Le fondeur voit ainsi le cours de son titre atteindre, à moins de 9 $, son plus bas niveau depuis plus de quatre ans. A titre de comparaison, l'action s'échangeait à plus de 40 $ en février 2006. AMD, qui se voyait en redoutable vaisseau lors du rachat d'ATI en juillet 2006, ne ressemble plus qu'à un frêle esquif pâtissant du lancement largement décevant du Phenom. L'échec - peut-être provisoire - du quadri-coeur tient non seulement à des performances qui peinent à convaincre les acquéreurs, mais également à un bogue dans la mémoire cache de troisième niveau peu engageant. La tempête que traverse AMD est encore accentuée par les conséquences de la guerre des prix qui l'oppose à Intel : si ce dernier n'en pâtit guère, AMD voit son chiffre d'affaires reculer de 23% en 2007. Pire, AMD sort du top 10 des fabricants de semiconducteurs cette année. Il passe ainsi de la 8e à la 11e place du classement iSuppli, loin derrière Intel qui consolide sa première position avec un CA en hausse de 8% sur un an. Le cours du titre AMD valorise le groupe à 5 Md$. Un chiffre qui sonne comme un cruel constat d'échec : le fabricant vaut aujourd'hui moins que ce qu'il avait versé pour se payer ATI (5,4 Md$). A titre de comparaison, la valorisation de Nvidia atteint 19 Md$, celle d'Intel 162 Md$. (...)

(11/12/2007 12:43:11)

LIPS publie ses premières spécifications

Si Google comptait surfer sur la vague Open Source pour séduire le marché des télécoms avec son système Android basé sur Linux, il risque de se mordre les doigts... Moins d'un mois après son annonce, des opérateurs tels que Orange, Bouygues Telecom, Telecom Italia, British Telecom mais aussi des fabricants et éditeurs de réunis sous le consortium LIPS pour Linux Phone Standards Forum, ont finalisé la première mouture de leurs spécifications. Le groupe avait publié un premier jet en juin dernier qui vient aujourd'hui d'être enrichies d'interfaces pour gérer la téléphonie mais aussi la messagerie instantanée, le courrier électronique, les calendriers, etc. Ouvert, le système s'adresse d'abord aux développeurs qui souhaitent créer des applications pour cette plateforme, d'où le focus sur les API. « Une possibilité qui n'est pas, par exemple, proposée sur d'autres plateformes telles que celle de l'iphone d'Apple... », précise Bill Weinberg, directeur général de LiPS qui ajoute : « LIPS se différencie de l'Open Handset Alliance, l'association derrière la plateforme Android de Google, parce que nos spécifications permettent de créer des implémentations interopérables de Linux, là où Android est déjà une implémentation de Linux en soi ». En d'autres termes, l'approche retenue par LIPS est plus celle d'un organisme qui cherche à standardiser le marché plutôt qu'à l'occuper avec un nouveau système d'exploitation. Fort de cette stratégie, LIPS s'attend à de nombreuses exploitations de sa plateforme dans les mois à venir par les fabricants et éditeurs de logiciels. Reste que LIPS n'est qu'une nouvelle tentative d'association dans le monde de la téléphonie mobile qui compte déjà LIMO, groupe de travail qui réunit Motorola NTT DoCoMo, Vodafone, Samsung autour d'un projet également basé sur Linux. Plus européenne, l'initiative LIPS n'en est pas moins concurrente de LIMO ou de l'Open Handset Alliance. (...)

(11/12/2007 10:37:08)

L'augmentation des dépenses IT ralentira en 2008, selon IDC

En 2008, les dépenses informatiques des entreprises vont progresser plus lentement qu'en 2007, en raison des incertitudes économiques. Un flottement qui devrait plus particulièrement pénaliser les Etats-Unis. Selon le cabinet d'études IDC, la progression mondiale de ces dépenses devrait s'établir entre 5,5% et 6% sur l'année, une prévision à comparer aux 6,9 % de croissance enregistrés sur les dépenses informatiques en 2007. Aux Etats-Unis, l'augmentation des dépenses informatiques pourrait n'atteindre que 3 à 4% en 2008, contre 6,6% cette année, indique Frank Gens, vice-président des études chez IDC. L'effet de ce ralentissement sera d'abord ressenti sur le matériel, puis sur le logiciel et, enfin, avec un effet plus graduel, sur les services. Du côté des fournisseurs, les efforts d'investissement vont porter sur les zones géographiques qui présentent les meilleures perspectives de croissance. Pour IDC, il s'agit principalement du Mexique, de la Pologne et de la Turquie, suivis de l'Argentine, la Colombie, l'Arabie Saoudite, la Thaïlande, les Emirats arabes unis et le Vietnam. Selon le cabinet d'études, sur ces pays, les investissements des fournisseurs informatiques vont augmenter de 16% en 2008. (...)

(11/12/2007 10:00:58)

L'Inria fête 40 ans de recherche informatique publique

L'Inria (Institut National de Recherche en Informatique et en Automatique), qui a doublé ses effectifs depuis 2000 et prévoit d'ouvrir trois centres (Bordeaux, Lille et Saclay) l'année prochaine, organise, pour son 40e anniversaire, un programme de conférences sur le futur de l'informatique, les relations avec les entreprises et l'histoire de l'organisme. Pour "fêter sa maturité", l'Inria débat sur 12 thèmes scientifiques, économiques et sociaux faisant intervenir des chercheurs de l'organisme public, mais aussi des personnalités du monde extérieur comme Peter Fleischer (juriste de Google Europe), Jean-François Abramatic (vice-président R&D de ILOG, ancienne filiale de l'Inria) ou encore les philosophes Michel Serres et Bernard Stiegler. On y discute, entre autres, de la transformation de l'ingénierie par l'informatique, de la convergence de l'informatique avec la biologie et des dynamiques possibles entre la recherche et l'entreprise. Le forum permet aussi aux équipes de l'Inria de présenter aux grandes entreprises quelques-uns des 150 projets de recherche en cours. En point de mire, une recherche résolument tournée vers le monde des sociétés où le partenariat est la règle. Ces projets éclectiques vont de la prévision de gestion des foules (en partenariat avec la SNCF) à la simulation temps réel pour applications médicales en passant par les étiquettes RFID et les mathématiques financières. L'institut quarantenaire en profite également pour revenir sur son histoire et son parcours pour mieux appréhender son futur. D'une création Gaullienne (sous le nom d'Iria) - pour cause d'indépendance française - à la création de jeunes pousses et la reconnaissance industrielle et internationale, l'Inria est passé par des hauts et des bas. Autant de thématiques développées à l'occasion de ce forum. La rédaction de www.lemondeinformatique.fr couvrira l'événement. (...)

(11/12/2007 09:41:40)

Quest Software enrichit son offre de gestion d'accès avec PassGo

L'éditeur californien Quest Software vient d'annoncer la signature d'un accord avec PassGo Technologies en vue de racheter cet éditeur britannique spécialisé dans les solutions de gestion des accès et des identités en environnement Web et Unix, notamment. PassGo dispose en particulier de solutions d'authentification Single Sign On (SSO) pour l'accès aux applications d'entreprise. Il est prévu que l'acquisition se réalise début 2008. Les outils de PassGo viendront s'ajouter aux produits de gestion des autorisations d'accès et d'authentification de Quest Software, ce dernier élargissant ainsi son offre de solutions multiplateformes. Très axé sur les environnements Windows (Active Directory, Exchange Server, SharePoint, SQL Server, .Net et Windows Server), Quest Software dispose également de solutions pour les plateformes Unix, Linux et Java. John Rainford, le PDG de PassGo, deviendra vice-président de PassGo Products, sous les ordres de Steve Dickson, vice-président et directeur général de la division Windows de Quest Software. Il y a un mois, Quest Software avait déjà effectué un rachat dans un autre domaine. Le Californien avait alors acquis les actifs de Provision Networks, un éditeur de solutions de virtualisation de postes de travail. (...)

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