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(28/08/2007 16:56:25)
France Télécom négocierait avec le Conseil de concurrence
France Télécom aurait accepté d'engager des négociations avec le Conseil de la concurrence, en vue de faire baisser l'amende de 60 M€ qu'il risque depuis cinq ans, nous apprend l'AFP. A l'époque, une plainte avait été déposée par Club-Internet et Liberty Surf (Alice aujourd'hui) pour « non respect des lois de la concurrence » et « abus de position dominante dans l'ADSL » (via Wanadoo, qui disposait à l'époque de 90% des parts de marché, contre 50% aujourd'hui). Seule condition pour l'opérateur historique : ne plus contester les plaintes. D'après l'AFP, si cette « procédure de transaction » (en vigueur depuis 2001) aboutit, la sanction encourue par France Télécom pourrait être réduite de moitié. Le Conseil de la concurrence tranchera sur le dossier France Télécom avant la fin de l'année. (...)
(28/08/2007 16:23:19)L'hétérogénéité règne dans la boite à outils des développeurs
Quelque 69% des développeurs interrogés par Borland affirment utiliser au moins deux plateformes de développement d'applications. 42% déclarent développer à la fois en Java et en .Net et 33% disent même utiliser des outils en provenance de plus de trois éditeurs. Cette étude souligne l'hétérogénéité des outils de développement utilisés et, partant, le dynamisme et l'émulation qui règnent dans le monde du développement. Borland s'est lancé entre mai et juin dernier dans cette enquête auprès de 300 de ses clients. Les résultats confirment - bien sûr serait-on tenté d'écrire - le choix de l'éditeur de se recentrer sur les outils ouverts de gestion des cycles de développement, alias ALM (application lifecycle management). Classé aux premières loges par des études conduites par le cabinet Evans Data, Borland constate que les développeurs sont toujours à la peine pour gérer complètement les processus de développement. Parmi les principales difficultés à surpasser pour y parvenir, les développeurs interrogés par Borland citent le manque de synchronisation des processus, le manque de visibilité et de traçabilité au long du cycle de développement, la faible interactivité entre les différents outils et, enfin, le manque de métrique. (...)
(28/08/2007 16:17:43)La gestion de charge des serveurs en hausse de 15% au deuxième trimestre
La demande d'outils de gestion de charge des serveurs explose. Selon le cabinet Dell'Oro, le chiffre d'affaires de ces logiciels a atteint 264 M$ (+15%) au deuxième trimestre. Cette progression profite à Cisco qui reprend à F5 la première place du marché. Suivent Citrix, avec NetScaler, Nortel, Radware et Foundry. Selon Dell'Oro, les logiciels de gestion de charge (load balancing) constituent la majeure partie du champ d'applications qui comporte aussi l'optimisation des WAN, l'accélération d'application et la gestion de trafic. (...)
(28/08/2007 16:03:22)Pano, un poste de travail virtualisé
Décidément Nick Gault aime la virtualisation. Après avoir fondé XenSource, l'entrepreneur s'attaque avec sa société, Pano Logic, au poste de travail. Son concept : un boîtier auquel on connecte des périphériques tels que clavier, souris, écran ou des enceintes 2.1. Cette boîte, baptisée Pano Device, se relie alors via le réseau de l'entreprise à un serveur distant, le Pano Management Server, pour ouvrir une instance virtuelle sous XP ou Vista et lancer les applications habituelles de l'utilisateur. Sans logiciel, le Pano Device ne peut pas subir d'attaques externes, et même l'usage de clés USB - qui pourraient elles-mêmes être infectées - est régi par les droits d'accès définis sur le serveur. De plus, les communications entre le boîtier et son instance virtuelle sont cryptées en AES 128-bits. Ce qui, selon Pano Logic, offrirait des conditions de sécurité optimales, puisque seule la partie serveur reste à protéger. Côté économie, Pano Logic promet que son système - sans maintenance côté utilisateur et n'ayant besoin que de 5 watts pour son alimentation électrique - permet d'économiser jusqu'à 70 % du coût total d'utilisation d'un poste de travail classique. Pour l'instant, l'ensemble Pano ne fonctionne que dans un environnement strictement Windows et utilise VMWare comme solution de virtualisation. Mais Nick Gault laisse déjà entrevoir des possibilités d'évolution vers Linux, XenSource et Citrix. Les produits Pano Logic seront disponibles fin septembre 2007 contre le paiement d'un abonnement mensuel de 20 $ par utilisateur incluant le support technique ou une licence perpétuelle de 300 $ à laquelle il faut ajouter 60 $ par an pour accéder au support technique. (...)
(28/08/2007 15:38:02)Microsoft recrute des hackers sur un blog
Microsoft vient de créer un blog à destination des hackers. Encore pauvre en contenu, le blog est sobre. Un simple bandeau noir mentionne le nom du site, « hackers @ microsoft », suivi d'un message d'accueil rédigé par un certain Techjunkie. « Salut le monde », écrit-t-il, avant d'avertir : « l'objectif de ce blog est très différent de celui des autres blogs que vous pouvez visiter sur MSDN » (le même réseau que Microsoft réserve en principe à ses développeurs). Il détaille plus loin : « oui, Microsoft fait appel aux hackers, il est temps de vous en présenter certains et de vous exposer ce qu'il font exactement ». La firme de Redmond fait en effet régulièrement appel à une patrouille de « white hat hackers » (par opposition aux black, qui sont illégaux) pour détecter les bogues et autres failles de ses logiciels. (...)
(28/08/2007 15:24:32)Grenoble Ecole de management aide les PME à vendre leur technologie
En portant le projet de recherche européen Eubbsi (European business to business sales institute) Grenoble Ecole de Management s'est fixé l'ambition de développer un programme de formation commun à l'attention de professionnels de la vente de solutions technologiques intervenant sur le marché B-To-B. Qu'il s'agisse de dirigeants, de cadres de PME technologiques ou de créateurs de start-up: tous sont concernés. Développé avec le soutien de trois partenaires académiques, en Grande-Bretagne, en Grèce, et en Hongrie, et d'un spécialiste du e-learning, l'Eubbsi se concrétise par la création d'une formation individualisée, qui mixe enseignement à distance et présentiel sur une période de 6 mois. Au commencement du programme, le participant réalise un diagnostic de ses compétences commerciales, à l'aide d'un tuteur qui le suivra durant sa formation. En fonction de ses besoins, il pourra choisir cinq modules en e-learning (dans un catalogue de 45 cours disponibles) et suivre cinq séminaires thématiques portant sur les principales étapes du processus de vente à l'école. A l'issue du programme, le participant recevra une certification attestant de l'acquisition de ses nouvelles compétences. Une première session de 10 participants a déjà débuté en juin . D'autres dates sont d'ores et déjà prévues pour le dernier trimestre 2007. Le tarif de cette formation se situe autour de 800 € par participant. (...)
(28/08/2007 15:11:05)L'Inde, stratégique pour la croissance de SAP
En un an, SAP a doublé le nombre de ses clients en Inde, passant de 1 000 à 2 000 entreprises depuis août 2006, alors qu'il lui avait fallu neuf ans pour atteindre son millième client dans ce pays. C'est ce qu'indique l'éditeur allemand, numéro un mondial sur le marché des PGI (progiciels de gestion intégrés) après la toute première visite en Inde de sa direction au grand complet, illustrant l'importance croissante du pays pour l'éditeur, tant comme marché que comme site de développement de sa technologie et d'implantation de centre de services. Henning Kagermann, PDG de SAP, cite en exemple l'accélération de sa croissance indienne pour illustrer la capacité de sa société à parvenir à l'objectif annoncé de 100 000 clients en 2010, d'une part en ciblant davantage les PME, très dynamiques sur le territoire indien, et d'autre part en développant de façon très offensive son implantation sur les marchés émergents (en Inde et en Chine notamment). SAP réitère son intention, annoncée en 2006, d'investir 1 Md$ en Inde d'ici 2010. Une partie de ces fonds seront consacrés au renforcement de ses laboratoires de recherche et développement et de ses centres de services et de support, l'Inde représentant maintenant une plaque tournante stratégique pour SAP dans ce domaine, avec un centre à Bangalore (ouvert en 1998) et un autre à Gurgaon (inauguré en 2006). Ce dernier fournit à l'éditeur et à ses clients internationaux une gamme complète de services sur de multiples catégories de produits. Henning Kagermann précise que les laboratoires indiens de SAP sont les plus importants centres de R&D et de support pour l'éditeur hors d'Allemagne. (...)
(28/08/2007 12:35:43)Microsoft prévoit son gestionnaire de configuration pour novembre
Le successeur de Systems Management Server 2003 est prêt et il arrivera en novembre prochain. Désormais baptisé System Center Configuration Manager 2007 (SCCM 2007), il est déjà disponible en téléchargement pour les abonnés Technet. Ce logiciel s'inscrit dans le plan à plus grande envergure de Microsoft : le Dynamic Systems Initiative (DSI), qui vise à avoir une plateforme d'administration commune pour tous les produits Microsoft. La version du SCCM disponible sur Technet présente déjà des points intéressants, comme la possibilité de démarrer et réparer à distance un PC éteint, ou l'installation d'une quarantaine forçant les PC nouvellement installés sur le réseau à mettre complètement à jour leurs systèmes pour avoir accès au réseau. (...)
(28/08/2007 12:30:29)Acer / Gateway enraye le rachat de Packard Bell par Lenovo
Retournement de situation dans le monde du PC. Le constructeur taiwanais Acer, en rachetant Gateway pour 710 M$ hier lundi 27 août, fait capoter l'éventuelle fusion entre Lenovo et Packard Bell, promise à un bel avenir dans la sphère de la micro-informatique. Acer hérite en effet d'un accord historique signé en 2006 entre Gateway et John Hui, principal actionnaire de PB Holding (maison mère de Packard Bell), garantissant à Gateway un droit de premier refus (right of first refusal - qui lui donne l'opportunité de s'opposer aux opérations de rachat) dans le cas d'un rachat de PB Holding. Ce contrat remonte en fait à 2004. A l'époque, Gateway se porte acquéreur d'eMachines, un constructeur de PC fondé par John Hui. Lorsque ce dernier décide alors de prendre des parts dans PB Holding, il offre à Gateway ce droit de premier refus, en échange d'une clause de non-concurrence. A l'annonce des intentions de rachat d'Acer, Gateway a donc décidé de faire jouer son droit. Donnant un coup d'arrêt à la transaction entre Lenovo et Packard Bell, mais surtout, s'installant, lui et le Taiwanais, à la table des négociations, à la place du Chinois. Acer pourrait ainsi réaliser deux acquisitions. Le 7 août, Lenovo annonçait être en négociation avec Packard Bell. Le Chinois, à l'époque, semblait être le premier repreneur, battant Acer, également en lice pour l'acquisition. Lenovo, le grand perdant Le Chinois, qui a repris les activités de PC d'IBM en 2005, serait alors le grand perdant de l'histoire. Outre le fait de manquer une acquisition stratégique, il récupère un concurrent de taille sur la marché européen, analyse le cabinet IDC. « Ce rachat peut également considérablement ralentir la croissance de Lenovo en Europe », explique Bryan Ma, directeur de recherche IDC pour les systèmes personnels (Asie Pacifique). Ce qui en soit constitue une raison suffisante, semble affirmer IDC. Même son de cloche chez Forrester, qui rappelle que c'est sur le marché du PC grand public que les choses vont se jouer. Pas de crainte pour HP et Dell sur le segment professionnel, confirme le cabinet. « Le premier contre-coup se fera d'abord ressentir chez Lenovo. Acer a clairement donné un signe fort au marché, en annonçant qu'il se séparerait de la division professionnelle de Gateway, alors déficitaire. » Le Taiwanais devrait alors revisiter la gamme de Gateway pour en redorer le blason, explique le cabinet. Le constructeur serait déjà en pour-parler avec d'éventuels repreneurs. Reste qu'Acer devra digérer, s'il rachetait dans la foulée Packard Bell, une double acquisition. (...)
(28/08/2007 08:53:52)Avec son viewer gratuit, BO veut propager le format de Crystal Reports
Depuis la mi-août, Business Objects propose de télécharger un logiciel de visualisation gratuit pour consulter et explorer des rapports créés avec Crystal Reports, diffusés dans leur format natif (.rpt). En général, lorsqu'un créateur de rapports Crystal diffuse un document, il s'agit d'un rapport statique que l'on peut visualiser et imprimer tel quel. Outre la possibilité d'ouvrir le fichier sans l'application d'origine, Crystal Reports Viewer XI permet au destinataire du rapport Crystal d'explorer les données qu'il contient et de constituer seul de nouvelles présentations, sans faire appel au créateur du rapport. Il s'agit d'un logiciel certainement attendu par une partie des utilisateurs de Crystal Reports puisqu'on peut déjà trouver, dans la sphère des développeurs, des outils servant à visualiser les fichiers produits par ce logiciel de création de rapports, très répandu. En revanche, dans les espaces de discussion sur le Web, d'autres utilisateurs jugent inutiles ce visualiseur de rapports qui ne permet pas de rafraîchir les données. Quoi qu'il en soit, pour Business Objects, ce lancement a sans doute une plus large portée. « Il me semble qu'avec cet outil de visualisation, on assiste à une nouvelle étape du combat entre Microsoft et Business Objects, estime de son côté Philippe Nieuwbourg, fondateur de Decideo, un site spécialisé sur l'actualité des solutions décisionnelles. La réussite d'un logiciel ne dépend aujourd'hui plus tant de ses fonctions que de la diffusion de son format. Il suffit de regarder les grandes manoeuvres autour du format "XML" de la nouvelle suite Microsoft Office pour comprendre que le format d'un document est plus stratégique que les fonctions du logiciel qui a servi à le créer. » Et de rappeler l'exemple d'Adobe, qui a su imposer son format PDF en diffusant gratuitement son outil de visualisation (Adobe Reader), tout en réalisant un chiffre d'affaire important avec Adobe Acrobat. « Microsoft a parfaitement compris cela et sa percée dans le décisionnel va probablement l'amener à tenter d'imposer par la pratique ses propres formats, considère encore Philippe Nieuwbourg. Business Objects doit également tenter d'imposer son format ou au moins permettre à plusieurs formats de se développer en parallèle. Cette annonce me semble donc plus une question de format qu'une question d'outil. » (...)
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