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(11/06/2007 16:42:49)
Avec Propero, VMware aborde la virtualisation du client desktop
En rachetant la jeune pousse britannique Propero pour 25M$, VMware monte d'un cran. Le numéro un mondial de la virtualisation des serveurs s'intéresse de plus en plus à celle du bureau des postes clients. Le rachat de Propero peut être vu comme le signe avant-coureur d'un affrontement frontal avec Citrix, le spécialiste incontesté du domaine, et plus particulièrement de son produit Desktop Server. Propero était une des quatre start-up spécialisées dans le domaine de la virtualisation du bureau du poste client avec Leostream, Dunes et Provision. (...)
(11/06/2007 16:33:30)Lancement d'une grande campagne de certification en PHP
Les derniers préparatifs pour l'organisation de la deuxième édition de Paris Capitale du Libre finissent et déjà le salon ouvre ses portes aux Palais des Congrès le 13 juin. En avant-première, une certitude : PHP sera l'invité spécial de la rencontre. Pour le célébrer, les sociétés Anaska et Zend ont choisi d'annoncer le lancement conjoint d'une grande campagne « Pour 2007 », autour de la certification PHP et du programme de formation associé. Ces deux acteurs importants de la communauté PHP ont une vraie expertise sur le sujet, puisque le premier est l'un des spécialistes des formations sur les technologies Open Source en France tandis que le second est à l'origine du Zend Engine, le moteur Open Source de PHP et l'initiateur du projet collaboratif Zend Framework. PHP est en effet devenu le langage Open Source incontournable pour les développements Web. De plus en plus intégré comme filière officielle par les grands groupes français, il demande un besoin croissant de compétences. Ouvert à ceux qui développent en PHP depuis un an au minimum Pourtant, il existe de graves manques autour de PHP. A commencer par sa relative facilité d'apprentissage (bon nombre d'étudiants en école d'ingénieurs l'apprennent seuls, en plus des autres technologies DotNet ou Java). Auteur de l'ouvrage « PHP Avancé », architecte Open Source, consultant et directeur technique d'Anaska, Cyril Pierre de Geyer a pris conscience d'un autre inconvénient de PHP : son déficit de certifiés. « Il existe actuellement très peu de certifiés PHP en France. Or, le problème rencontré par les recruteurs est l'impossibilité de faire la différence entre deux candidats qui lui assureront connaître PHP. Entre les débutants prétentieux et les développeurs modestes, il est difficile de se faire une opinion sur les capacités réelles d'un individu. Nous sommes arrivés à la conclusion qu'il est urgent de professionnaliser cette technologie par une formation adaptée, suivie d'une certification. Nous proposons donc une formation pour ceux qui développent en PHP depuis un an au minimum. Ceux qui veulent passer la certification peuvent le faire s'ils ont 4 ou 5 ans de PHP derrière eux. D'ici la fin de l'année 2007, 24 sessions de préparation à la certification sont programmées sur 8 dates différentes, avec pour objectif de dépasser les 100 certifiés PHP d'ici à la fin de l'année 2007. » Le projet Anaska / Zend permet donc d'élever le niveau de compétence des développeurs PHP grâce au cursus de préparation à la certification « PHP Expert Certifié ». Cette formation de 5 jours offre la possibilité de voir (ou de revoir) à la fois les aspects techniques de PHP et d'éviter les pièges courants liés au développement Web. Cette formation se termine par le passage de la certification PHP, sous la forme d'un QCM. « Les personnes qui veulent venir nous voir à Paris Capitale du Libre auront la possibilité de passer des mini-tests pour évaluer leurs compétences en PHP. Sur le site emploi/formation, nous leur proposons également 400 offres environ. De l'emploi sur du Libre, rien que sur du Libre, » conclut Cyril Pierre de Geyer. (...)
(11/06/2007 16:18:48)ODF recule aux Etats-Unis, IBM reste serein
Tout n'est pas encore joué. Alors que l'adoption du format de fichier OpenDocument par plusieurs Etats américains semblait acquise par avance, une série d'initiatives viennent freiner la marge de progression de ce format soutenu par le monde de l'Open Source - et format par défaut dans la suite OpenOffice. Si l'Etat de New York est venu se greffer à la liste des "early adopters" d'ODF, le Texas, l'Oregon, la Floride, le Connecticut et, plus récemment, la Californie font machine arrière. Sans définitivement abandonner l'idée d'utiliser ODF dans leurs échanges de documents, ces Etats ont transformé ce qui semblait être une recommandation d'usage en une simple étude de cas. Mettant en sommeil les projets de loi, et repoussant aux calendes grecques la formalisation d'ODF. Un constat qui rejoint la décision prise par le Massachusetts qui, s'il constitue toujours le bastion pionnier du standard ouvert, a rapidement changé son fusil d'épaule, optant pour la formule édulcorée d'un traducteur bi-directionnel. Comme celui développé par Clever Age en collaboration avec Microsoft. L'Etat de New York et le Minnesota restent quant à eux mois radicaux, préférant avancer sur la pointe des pieds, déclarant d'emblée qu'il ne s'agit que d'une étude de faisabilité. De l'influence des lobbyistes Certains y verront une preuve de la puissance du lobbying de Microsoft qui, pour barrer la route à l'adoption d'ODF et d'applications supportant le format, s'est rapproché des comités censés valider les projets de lois. D'autres mettront en avant les trop lourdes spécifications techniques qui, misent entre les mains de sénateurs, demeurent indigestes. Y compris pour ODF, même si le dossier technique est beaucoup plus léger que celui du format concurrent Open XML défendu par Microsoft. " Nous sommes des experts de politiques publiques. "Décider de standards techniques n'est pas notre métier', rappelle Don Betzold, sénateur démocrate du Minnesota. Pourquoi alors basculer vers un format compliqué, aussi ouvert soit-il? Don Betzold insiste sur le fait que si le lobbying de Microsoft était évident, IBM, de son côté, le principal sponsor d'ODF, n'était pas non plus innocent. "Microsoft avait ses intérêts. IBM avait les siens", commente-t-il. IBM reste toutefois serein Pour Bob Sutor, vice-président des standards et de l'Open Source chez IBM - fervent défenseur d'ODF -, le recul des Etats américains dans l'adoption d'ODF constitue une étape dans l'évolution naturelle d'un standard. "Nous avons pu constater cela avec d'autres standards. Prenons le Web par exemple. Il s'est popularisé vers 1994 et 1995. Avec le recul, il débuta dans les années 80. Pour la plupart des standards, cela prend entre 5 ou 10 ans pour s'établir. Ils débutent à travers des comités, existent par eux-mêmes et ensuite, arrivent les intérêts commerciaux. Les services Web ont démarré en 2000, mais nous avons vu la SOA arriver entre 2004 et 2005." Pas lieu dès lors de s'inquiéter, semble-t-il supposer. ODF suit une trajectoire normale. Il s'agit simplement d'une période de transition. D'autant plus que la lenteur des processus des comités législatifs des Etats ralentissent les négociations. Il se veut toutefois confiant : "Les changements sont bien en cours". Des changements bien plus importants pourraient par ailleurs se produire. Car si pour l'heure aucune convergence entre les formats ODF et Open XML n'est à prévoir pour des raisons techniques - "la technologie XML de Microsoft n'est pas bonne"-, Sutor anticipe que l'éditeur de Redmond se mette à développer d'ici quelques années un autre format, plus proche d'ODF en termes d'architecture. Et " ainsi, je pourrais penser à une convergence naturelle qui unira les deux [formats, ndlr]". (...)
(11/06/2007 17:42:46)IBM lance une OPA amicale sur Telelogic
IBM veut racheter Telelogic, éditeur suédois d'outils d'analyse et de gestion du développement logiciel. IBM propose 21 couronnes suédoises par action - soit un bonus d'environ 21% par rapport au cours de Bourse du 31 mai dernier - ce qui valorise la transaction à 5,2 milliards de couronnes suédoises (557 ME). L'offre, qui courra tout le mois de juillet, a été approuvée par le conseil d'administration de Telelogic. « L'acquisition de Telelogic aidera nos clients à piloter des processus de développement efficaces, qui sont vitaux pour la livraison des produits », explique dans un communiqué Danny Sabbah, le directeur général de Rational, la branche architecture logicielle d'IBM. De fait, avec l'acquisition de Rational en décembre 2002, IBM a constitué une gamme répondant aux besoins de divers intervenants d'un projet, du développeur à l'architecte, le tout relié à une offre méthodologique (RUP, Rational unified process). Un leader sur le marché des outils pour architectes Toutefois, le créneau sur lequel se battent désormais Borland, Mercury, Serena ou Telelogic est celui de l'encadrement du développement : gérer les portefeuilles de projets, les ressources, hiérarchiser les demandes, suivre les évolutions, bref, faire en sorte que les projets s'achèvent à temps et sans dépassement de budget. On retrouve là les segments du PPM (Project portfolio management) et de l'ALM (Application lifecycle management). Telelogic est également présent sur le segment du BPM (où il côtoie déjà IBM) et sur celui des outils pour architectes. Sur ce marché, Telelogic se mesure à des acteurs comme IDS Scheer, Troux Technologies, Proforma, ou encore Mega International, tous cités dans le carré des leaders du quadrant Gartner publié début 2006 (Enterprise architecture tools). Telelogic occupe la place la plus enviée de ce quadrant - en haut à droite - grâce au rachat de Popkin Software, éditeur de System Architect, effectué au printemps 2005. Telelogic apportera donc à IBM des produits dans un domaine où Rational est absent, ainsi que son expertise des clients de petite et moyenne taille. Si les actionnaires approuvent la transaction, Telelogic sera intégré à la division Rational d'IBM, a fait logiquement savoir IBM. Qui assure que son intention est de préserver les produits, les 1100 employés et les 8000 clients de l'éditeur. (...)
(11/06/2007 14:44:30)SAP ouvre un laboratoire de co-innovation à Palo Alto
Avec l'ouverture, à Palo Alto (Californie), du « Co-innovation Lab », SAP concrétise sa volonté de renforcer la collaboration au sein de son écosystème, en particulier pour trouver des solutions de gestion spécifiques par secteurs industriels. Ce laboratoire de co-innovation doit offrir aux éditeurs indépendants, aux intégrateurs et aux partenaires technologiques de l'éditeur de PGI (progiciels de gestion intégré), un accès à l'environnement SAP, pour travailler conjointement avec les clients autour des nouvelles technologies. Il vise également à démontrer comment tirer parti des architectures orientées services (SOA) auxquelles la plateforme d'intégration SAP Netweaver donne notamment accès. Ce faisant, l'objectif est principalement de réduire les coûts d'intégration et les cycles d'innovation. Parmi les partenaires fondateurs de ce laboratoire, on trouve Cisco, HP, Intel et NetApp. Simuler les performances de façon réaliste Un environnement de travail opérationnel sera fourni pour les projets conjoints. Il simulera un centre de données hétérogènes incluant le matériel et les logiciels d'infrastructure des différents participants, récréant de façon réaliste les performances des applications en situation réelle et les systèmes de sécurité requis pour les accès Web (Internet et intranet). Novell fait partie des premiers éditeurs indépendants ayant prévu de lancer des projets dans le cadre du laboratoire. Du côté des fournisseurs d'infrastructure, Citrix Systems et F5 se sont également engagés. L'ouverture du « SAP Co-innovation Lab » fait suite à une expérience pilote du même genre mise en place de novembre 2006 à avril 2007 pour les fournisseurs de solutions réseaux. (...)
(11/06/2007 12:46:51)Augmentation du nombre d'offres de stages pour les élèves ingénieurs
Depuis deux ans, l'augmentation des offres de stages destinées aux étudiants en école d'ingénieur ont augmenté de 59%. L'enquête, conjointement menée par l'éditeur Hobsons et le site Kelformation montre qu'en 2003-2004, une « grande école » recevait en moyenne 1 607 offres de stages, 1 915 offres en 2004-2005 et 2 555 offres en 2005-2006. Selon toutes vraisemblances, la tendance sur l'année 2006-2007 est encore à la hausse. Ces chiffres signifient également qu'un élève de dernière année a le choix entre 9 offres différentes en moyenne, de 2 à 20 propositions selon la réputation de l'école. L'une des raisons évoquées par les analystes de l'étude est la tension sur le marché de l'emploi des jeunes diplômés bac+5 (niveau master) : « la concurrence entre recruteurs se déplace du jeune diplômé vers le stagiaire. » Autres enseignements : 67% des offres envoyées sont destinées aux étudiants de troisième année, alors qu'aujourd'hui, la plupart des écoles proposent également des stages de première et deuxième année. « Cela montre que les entreprises souhaitent avoir des stagiaires en passe d'être diplômés sans doute parce qu'ils sont plus opérationnels, mais surtout parce qu'ils sont « embauchables » à l'issue du stage », indique Arnaud Gastaud, responsable de la marque Kelformation. D'ailleurs, la plupart des étudiants en école d'ingénieur en informatique mettent un soin particulier à choisir l'entreprise dans laquelle ils feront leur stage de dernière année, sachant que c'est en réalité une pré-embauche qui se joue. Les grandes écoles souhaiteraient des stages plus courts et davantage axés première et deuxième années Pourtant, l'étude fait également état de manques du côté des entreprises. Les écoles souhaiteraient davantage d'offres pour les première et deuxième années, plus de missions à l'étranger et des stages plus courts (3 mois, quand les entreprises recherchent des stagiaires pour une durée de 6 mois). Syndrome du mouvement « génération précaire », résurgence post CPE (contrat première embauche) ou prise de conscience de la valeur et du potentiel des étudiants ? « C'est surtout le marché de l'emploi qui est extrêmement porteur. Il fait évoluer la demande, même si les autres éléments peuvent jouer », répond Olivier Fecherolle, directeur délégué de Kelformation. « Aujourd'hui, on ne prend plus un stage « par défaut » et les entreprises aux bonnes pratiques tirent cet apprentissage vers le haut. » Toujours est-il que ces futurs diplômés, visiblement plus cotés que leurs prédécesseurs ont l'avantage de bénéficier d'une conjoncture qui leur est particulièrement favorable. Plus que jamais ils ont tout intérêt à entretenir la concurrence entre les entreprises (y compris d'un point de vue financier), de vérifier sur Internet ou dans les bureaux des étudiants la fiabilité des stages (et vérifier aussi les listes noires mises à leur disposition par les stagiaires déçus) afin de bien se former, se constituer un CV avec des références intéressantes et de rejoindre ensuite la structure qui leur permettra de commencer leur carrière dans les meilleures conditions. Et pour les futurs stagiaires, le décret d'application légiférant sur les stages serait bienvenu. (...)
(11/06/2007 12:38:25)Google néfaste à la vie privée de ses utilisateurs selon Privacy International
Google ne fait que peu de cas du respect de la vie privée de ses utilisateurs. C'est ce qui émane du classement établi par Privacy International, qui place le gargantuesque moteur de recherche dernier d'une liste de 23 acteurs majeurs du Web. Google est ainsi la seule des sociétés examinées à tomber dans la catégorie de niveau 6 répertoriée comme « hostile à la vie privée » en raison de la « surveillance totale des utilisateurs » qu'elle met en place. Parmi les autres groupes apparaissant dans l'anti-palmarès, Microsoft hérite du niveau 4 pour ses « sérieuses lacunes » et Yahoo du niveau 5 pour les « menaces substantielles » qui pèse sur les internautes. « Nous sommes conscients que la décision de placer Google en bas de classement fait naître une controverse mais, à travers l'ensemble de nos recherches, nous avons trouvé de nombreuses déficiences dans l'approche qu'a Google de la vie privée, qui vont bien au-delà de celles des autres sociétés », indique Privacy International. » Dans la foulée de ce classement, Simon Davies, le PDG de l'institut, a adressé une lettre ouverte à Eric Schmidt, le patron de Google, l'accusant d'avoir engagé une campagne de dénigrement en réponse à la dernière place obtenue par son groupe : « deux journalistes européens nous ont indiqué avoir été contactés par Google ». Le moteur de recherche leur aurait rapporté que Privacy International se trouve au milieu d'un conflit d'intérêt et privilégierait Microsoft plutôt que Google. Selon le groupe de Mountain View, l'un des membres de Privacy serait également employé par Microsoft. En réponse à ces accusation, Simon Davies exige des excuses d'Eric Schmidt. Sur le même sujet Google : la conservation des données personnelles inquiète l'Europe (...)
(11/06/2007 12:07:58)Bouygues Telecom lance son offre de convergence fixe-mobile
Nous vous l'annoncions en fin d'année dernière, et c'est officialisé aujourd'hui par Bouygues Telecom : l'opérateur lance Business Synchro, son offre de convergence fixe-mobile-Internet. Cette solution vise les PME de 20 à 500 salariés. Elle s'appuie sur les partenariats conclus avec Cirpack, Altitude Telecom et ETDE. Bouygues Telecom estime que « 58% des entreprises sont convaincues que la convergence fixe-mobile va s'imposer comme la norme dans les trois prochaines années ». Ce qui justifie, selon lui, le lancement de Business Synchro. L'offre fait converger uniquement les services voix (téléphonie fixe et mobile) et data (Internet). L'opérateur ne se place pas dans une démarche de convergence technologique, à l'image des solutions Unik de France Télécom et Twin de Neuf Cegetel. « L'ergonomie et la complexité de l'ergonomie du tout en un vont trop révolutionner les usages. Aujourd'hui, nous n'y croyons pas », analyse Richard Viel, directeur général adjoint de Bouygues Telecom Entreprise, Développement et Wholesale. Simplifier l'usage et éliminer le PABX « L'idée est d'offrir aux utilisateurs un usage synchronisé de leurs différents outils télécoms et informatiques », explique Jean-René Cazeneuve, directeur de Bouygues Telecom Entreprise. Entre autres fonctionnalités disponibles : numérotation unique et abrégée, sonnerie synchronisée entre le téléphone fixe et mobile, lancement d'un appel en un clic (clic to call), messagerie vocale unique entre le fixe, le mobile avec la possibilité de recevoir et d'écouter ses messages vocaux dans depuis sa messagerie électronique... Bouygues Telecom propose trois packages, de 30 E à 45 E HT/mois selon l'équipement de l'entreprise. Ces offres comprennent un accès Internet (ADSL, ADSL doublé et sécurisé ou SDSL, selon les besoins de l'entreprise) et les services classiques d'un PABX en mode hébergé. Par ailleurs les appels internes à l'entreprise depuis et vers les fixes et les mobiles, indifféremment, sont illimités. Les communications émises depuis les fixes ou les mobiles de l'entreprise vers des mobiles extérieurs ou depuis les mobiles internes vers des fixes externes sont facturées 0,12 E/minute. Si le client souhaite garder son infrastructure, libre à lui. La migration peut être progressive, assure Bouygues Telecom. Qui espère conquérir 20% du marché du Centrex IP. (...)
(11/06/2007 11:45:19)Microsoft publie un outil pour vérifier la compatibilité avec Vista en entreprise
Alors que le système d'exploitation Vista est disponible en entreprise depuis novembre 2006, Microsoft vient seulement de publier un outil de diagnostic en bêta pour déterminer si les PC sont compatibles avec Vista. Téléchargeable sur le site de la société - après une inscription préalable à Windows Live ou Passport -, cet outil vérifie le matériel et les pilotes installés sur les PC composant un parc, pour indiquer si un passage à Vista et Office 2007 est possible en l'état, s'il faut améliorer le matériel ou le changer. Ce test arrive une semaine après deux autres outils pour faciliter la migration vers Vista, le Data Encryption Toolkit for Mobile PCs qui permet de définir une politique de cryptage pour les portables de l'entreprise en utilisant BitLocker de Vista, et le Virtual Hard Drive (VHD) Test Drive pour étudier comment se comportent les applications de l'entreprise sous Vista. (...)
(11/06/2007 11:05:45)Intel pourrait faire son retour dans les cartes graphiques
Intel pourrait faire son retour dans le petit monde des cartes graphiques. Huit ans après une première tentative peu couronnée de succès - qui se souvient de la puce i740 lancée en 1997 et arrêtée 18 mois plus tard ? - , le fondeur pourrait faire son retour sur ce marché, selon des informations convergentes issues de plusieurs fabricants de cartes vidéo. Après l'échec des années 90, Intel n'avait pas totalement abandonné le créneau des composants dédiés au graphisme et s'était focalisé sur les chipsets intégrant des fonctions vidéo. Le retour d'Intel dans le domaine des cartes graphiques - annoncé par certaines sources pour 2008 - le placerait en concurrence des deux géants du secteur, ATI et nVidia. Il se murmure que le fabricant des Core 2 Duo pourrait s'allier avec nVidia. Une association pas dénuée de sens puisqu'elle répondrait au rachat d'ATI par AMD, le principal concurrent d'Intel. (...)
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