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(18/04/2007 17:45:13)

Rapport « i2010 » : 65,5% des enseignants français ont utilisé un ordinateur en 2006

La Commission européenne a publié son rapport annuel d'avancement de l'initiative « i2010 » (promotion de l'économie numérique dans le cadre de la Stratégie de Lisbonne). Selon ce rapport, les TIC ont contribué pour 50 % environ à la croissance de la productivité de l'UE sur la période 2000-2004. Une autre bonne nouvelle : les logiciels et services (L&S) sont le secteur d'activités qui montre la croissance la plus rapide (5,9 % en 2006-2007). Cette analyse est partagée par le Syntec Informatique qui a récemment montré qu'avec une croissance de 6,5% en 2006, « la France se situait dans la bonne moyenne européenne. » Située derrière les pays leaders, la France tente de rattraper son retard « Bonne moyenne » ne signifie pourtant pas « meilleure que les autres ». Et contrairement à ce qui est parfois affirmé, ce rapport fait la preuve que la France ne fait pas partie des pays leaders de l'UE dans le domaine des TIC. Elle se situe derrière. Dans le domaine des logiciels et services, par exemple et en se référant au bilan 2006 du Syntec Informatique, elle est précédée par l'Espagne (8% de croissance en 2006), le Royaume-Uni et les Pays-Bas (7%). De plus, seuls 40% des foyers français ont accès à Internet... contre 70% au Royaume-Uni et en Allemagne. En outre, seuls 39,3% des Français étaient des utilisateurs réguliers d'Internet en 2006. Le rapport relativise les usages numériques en montrant que 9,5% seulement de la population française consulte les sites d'actualités (contre 19% de moyenne sur l'UE des 25). Enfin, dans le domaine scolaire, 65,5% des enseignants français ont utilisé un ordinateur en classe au cours de l'année 2006 (la moyenne européenne s'établissant à 74,3%). Des disparités numériques : le développement des TIC dans les écoles danoises est le plus avancé d'Europe Ce document montre une cartographie européenne inédite, de véritables disparités entre pays au sein de l'UE. Ainsi, on enregistre le plus grand nombre de ménages équipés d'une télévision numérique au Royaume-Uni. Six pays - Danemark, Pays-Bas, Finlande, Suède, Royaume-Uni et Belgique - montrent des taux de pénétration des connexions à haut débit plus élevés qu'aux Etats-Unis et au Japon. Le développement des TIC dans les écoles danoises est le plus avancé d'Europe, et dans ce pays, les entreprises sont les premiers utilisateurs d'Internet et du commerce électronique (e-business) dans l'UE. Le rapport note encore que les travailleurs sont les plus qualifiés dans le domaine des TIC au Royaume-Uni et en Suède et que les jeux et la musique en ligne ont la cote aux Pays-Bas. Quant à la Finlande, elle occupe la pôle position en ce qui concerne l'utilisation des points d'accès réservés au public et c'est le pays qui investit le plus dans la recherche sur le plan des TIC (64,3 % des dépenses de R&D des entreprises). Des signes encourageants... mais encore un long chemin à parcourir L'exemple de l'Italie est très intéressant. Loin derrière les autres pays européens dans le secteur L&S (croissance de 2% en 2006 selon le Syntec Informatique), il est en tête du marché pour les téléphones mobiles de la 3e génération et le développement de la fibre optique. Ce qui montre que les idées progressent, même si l'égalité est loin d'être atteinte en Europe. « Notre politique européenne intégrée pour la croissance et l'emploi commence à produire des résultats », a souligné Viviane Reding, commissaire européen responsable de la société de l'information et des médias en présentant ce rapport. « Toutefois, ne nous réjouissons pas trop vite. Les entreprises du secteur des TIC en Europe ne sont pas encore en mesure de bénéficier d'économies d'échelle en raison de la fragmentation réglementaire qui entrave la mise en place de services au niveau européen et qui empêche les opérateurs des communications en ligne et les entreprises de logiciels d'être compétitifs sur le marché mondial. L'UE et ses États membres doivent intensifier leurs efforts notamment pour supprimer les derniers obstacles sur le marché intérieur des services en ligne. » Bons élèves de l'UE, la Suède et la Finlande dépensent respectivement 3,9% et 3,5 % de leur PIB en recherche, dépassant ainsi l'objectif fixé à 3 % de l'UE dans le cadre de la Stratégie de Lisbonne. A quand un ajustement de la France dans les mêmes proportions pour montrer ses ambitions, son potentiel et spéculer à la hausse pour sa croissance économique et son avenir ? (...)

(18/04/2007 17:39:10)

« Pour un nouveau pacte avec la jeunesse », le futur de l'université en question

La réforme des universités serait-elle en marche ? Le 27 mars dernier, le professeur Pierre Lunel, délégué interministériel à l'orientation, a présenté le schéma national de l'orientation et de l'insertion professionnelle, sous-titré « Pour un nouveau pacte avec la jeunesse. » L'idée forte : que les jeunes soient informés le plus tôt possible sur les formations et leurs débouchés professionnels. Quatre axes sont développés via 28 mesures. Parmi elles : un dossier unique d'inscription, le tutorat d'étudiants plus avancés pour aider les « primo-entrants », ou la « la maison des anciens étudiants », définie comme « le lieu où s'organisent des réseaux pour agir efficacement, en matière de recherche de stages, de parrainage ou de conseils pour l'insertion professionnelle ainsi que, plus généralement, pour faire bénéficier les étudiants de l'expérience des anciens, prendre en compte la réalité du terrain et de la vie professionnelle. » Enfin, comme cela avait été évoqué avant la remise officielle du rapport de Pierre Lunel, les universités seront incitées à introduire des modules professionnalisants de base, où l'informatique aura sa place, aux côtés des « langues, connaissance du monde économique, techniques de recherche d'emploi, portefeuille de compétences. » A noter encore que ces propositions n'ont qu'un rôle indicatif et pourront être, ou non, suivies par le prochain gouvernement. (...)

(18/04/2007 17:14:12)

Les outils du Web sémantique arrivent

Alors que l'on commence à peine à digérer les concepts du Web 2.0, certains annoncent déjà le Web 3.0. Les éditeurs d'outils de programmation TopQuadrant et Franz ont annoncé lors de la conférence Web 2.0 Expo 2007 un environnement de développement et une base de données pour le Web sémantique. Le Web sémantique désigne un ensemble de technologies visant à rendre le contenu des ressources du Web accessible et utilisable par les programmes et agents logiciels, grâce à un système de métadonnées formelles, utilisant notamment la famille de langages développés par le W3C, selon la définition de Wikipédia. La technologie sémantique aide les ordinateurs à être un peu moins idiots. Pour les entreprises et les grandes organisations, elle peut être fort utile quand il y a une grande quantité de données à fusionner, ou dans des applications de recherche de données. Généralement considérée comme un sous-ensemble des technologies Web nouvelle génération du Web 3.0, le Web sémantique n'avait jusqu'à présent aucune réelle existence, principalement parce qu'aucun outil n'existait pour accomplir la tâche. S'il existe des projets Open Source tels que protégé ou SWOOP, ce sont des outils que les entreprises n'ont pas envie d'utiliser. La combinaison de TopQuadrant TopBraid Composer et de Franz AllegoGraph 64-bit RDFStore propose une approche adaptée aux entreprises. TopBraid Composer est une plate-forme pour développer des ontologies Web sémantique et des applications sémantiques. AllegroGraph 64-bit RDFStore est un entrepôt triple persistant massivement scalable capable d'effectuer les trois tâches importantes d'un triple entrepôt : charger, stocke et rechercher des données efficacement. La combinaison TopQuadrant/Franz fournit un environnement de développement graphique basé sur Eclipse qui permet de concevoir des applications Web sémantique et une base de données conçue pour monter en charge avec des quantités massives de données RDF (Resource Description Framework, modèles conceptuels de description de données). Si l'on est encore loin du Web sémantique tel qu'imaginé par le W3C il y a plus de dix ans, les outils pour construire le Web sémantique de demain sont maintenant là. (...)

(18/04/2007 17:13:12)

3,5 millions de développeurs Ajax

Dans une étude récemment publiée par le cabinet Evans Data « AJAX Development Survey », il apparaît que le nombre de développeurs ayant adopté Ajax a progressé de 50% en un an pour atteindre 3,5 millions. Cette étude, menée auprès de 385 développeurs utilisant ou évaluant Ajax, explore les patterns d'adoption, caractérise les applications créées avec Ajax et identifie les frameworks et les outils utilisés. Les extraits de cette étude de 200 pages que l'on peut consulter sur le site d'Evans Data concernent les frameworks primaires, les mash-ups initiés par les utilisateurs et les principales barrières d'adoption d'Ajax. Concernant les frameworks, il apparaît que les développeurs utilisent un nombre très varié d'outils. Avec 44%, Apache Struts est le framework le plus utilisé. Près d'un quart des développeurs (23%) utilisent Zend Framework, un framework pour construire des applications Web en PHP, reflétant ainsi la forte croissance de ce langage de script. Parmi les autres frameworks utilisés, on peut noter Spring (21%), Apache Cocoon (20%), Rails (16%). Ce dernier, un framework Open Source, montre également l'émergence du langage Ruby. Le framework Mono, une implémentation de la plate-forme .NET sur Linux, attire 12% des développeurs. Lorsqu'on questionne les entreprises sur les plus grands obstacles à l'adoption d'Ajax, elles sont en général d'accord sur le manque de formation et de compétences en technique de programmation. Pour plus de la moitié (58%), c'est le problème de la compatibilité des navigateurs. L'étude d'Evans Data suggère qu'il y aura une croissance continue de l'utilisation d'AJAX dans l'année qui vient. (...)

(18/04/2007 16:56:53)

Le Web 2.0 faussement collaboratif

Le Web 2.0, pas si participatif ? Alors que se tient à San Francisco la Web 2.0 Expo, illustrant le succès de la vague des sites collaboratifs déferlant sur Internet, le cabinet Hitwise publie une étude qui vient tempérer l'importance du tout 2.0. Les YouTube, Flickr, MySpace ou Wikipedia ont beau recueillir de fortes audiences, seuls de rares internautes jouent le jeu de la participation active. Selon Hitwise, les visiteurs de ces sites se comportent comme des téléspectateurs : ils regardent plus qu'ils ne créent. Et l'étude de citer des chiffres édifiants. Sur la plateforme d'échange de vidéos YouTube, acquise par Google pour 1,65 Md$, seuls 0,16% des internautes participent effectivement au service en envoyant leurs films. Même constat sur Flickr, le site communautaire de Yahoo axé sur la photo : les visiteurs sont seulement 0,2% à mettre en ligne leurs clichés. D'une manière générale, Bill Tancer, le patron de Hitwise, estime qu'il existe trois catégories d'internautes adeptes des sites dits 2.0 : 1% créent le contenu, 9% le partagent et 90% le consomment. Seule exception à ce ratio, 4,6% des visiteurs de l'encyclopédie Wikipedia sont également des contributeurs et participent à l'enrichissement de la base de connaissance. Paradoxalement, ce faible nombre de participants n'influe en rien sur la quantité de visiteurs que drainent les sites 2.0. En deux ans, leur audience a ainsi progressé de 668%, explique Hitwise, passant de 2% du trafic total sur Internet aux Etats-Unis, à 12,3%.. Symbole du succès du Web 2.0, Technorati, moteur de recherche de blogs, vient de signer son premier achat. Et les grands groupes ne sont pas en reste, comme Cisco, qui a mis la main au début d'année sur deux sociétés spécialisées dans les réseaux sociaux. D'aucuns s'inquiètent déjà et n'hésitent pas à comparer la fièvre 2.0 avec la bulle des années 2000. Des craintes tempérées par de nombreux experts qui rappellent, qu'à la différence de la précédente crise, le succès du Web 2.0 repose sur l'adoption, par les consommateurs, des outils mis à leur disposition. Cette fois donc, l'offre rencontre la demande. Hitwise a également profité de la Web 2.0 Expo pour livrer ses prévisions sur les futures stars du monde collaboratif. Yelp (les internautes donnent leurs avis sur leurs restaurants préférés, leurs dentistes, leurs centres de massage...), StumbleUpon (sélection de sites Web par les internautes suivants une liste de critères), Veoh (similaire à YouTube), WeeWorld (création d'avatars), Imeem (partage de listes de lecture) et Piczo (albums photo) sont, selon Hitwise, les valeurs montantes du Web 2.0. (...)

(18/04/2007 16:49:04)

Sun et Fujitsu dévoilent une gamme commune de serveurs en attendant Rock

Finalement les serveurs communs Sun et Fujitsu sont arrivés. Quatre ans après le début de la collaboration entre les deux constructeurs pour le développement du successeur de l'UltraSPARC IV+, les deux partenaires dévoilent enfin leur gamme commune : Serveur SPARC Entreprise. Composée de six serveurs, elle s'appuie sur le processeur l'UltraSPARC T1 « Niagara » de Sun pour l'entrée de gamme, et sur le SPARC64 VI de Fujitsu pour le milieu de gamme. Le tout tournant sous Solaris 10. Et avec une promesse de fournir 50 % de puissance en plus par rapport aux actuels Sun Fire et PrimePower pour une consommation énergétique équivalente. Pour les utilisateurs, les deux serveurs d'entrée de gamme ne sont pas une nouveauté puisqu'il s'agit des Sun Fire T1000 et T2000 commercialisés depuis décembre dernier. En milieu de gamme se trouvent les M4000 et les M5000 basés tous deux sur des processeurs bi-coeurs SPARC64 VI à 2,15 GHz. Le premier peut en contenir jusqu'à quatre, et le deuxième jusqu'à huit. Ils viennent en complément des Sun Fire V490. Enfin, les serveurs SPARC Entreprise se déclinent aussi en haut de gamme avec le M8000 et le M9000, basés sur des processeurs bi-coeurs SPARC64 VI à des fréquences allant de 2,28 GHz à 2,4 GHz. Le premier pouvant monter jusqu'à 16 processeurs et le deuxième jusqu'à 32 processeurs (64 en y ajoutant une extension). Une nouvelle fournée de serveurs est même déjà prévue dans 18 mois avec la commercialisation du processeur quadri-coeurs SPARC64 VII. Comme ils seront basés sur les mêmes châssis, les utilisateurs auront alors le choix entre acheter les nouveaux modèles ou mélanger SPARC64 VI et SPARC64 VII dans un même serveur. Et pourtant cette gamme n'est pas vouée à un grand avenir chez Sun. « Le domaine des architectures traditionnelles va subsister dans les années qui viennent, mais chez Sun, nous pensons que les serveurs avec processeurs multi-threading (NDLR : comme Niagara ou Rock) vont s'imposer car ils sont plus performants, prennent moins de place et consomment moins», affirme Jean-Yves Migeon, responsable marketing serveur de Sun lors du lancement de cette gamme. D'ailleurs, dès que le processeur Rock sera disponible, des serveurs sur cette puce seront commercialisés pour les salles de serveurs et le haut de gamme. Qui va alors utiliser les SPARC Entreprise ? Les clients dont les applications métiers doivent être redéveloppées entièrement pour bénéficier des avantages d'un processeur multi-threading et qui ne voudront pas supporter les coûts d'un tel développement. (...)

(18/04/2007 16:16:05)

Web 2.0 Expo : Google annonce son outil de présentations en ligne

A l'occasion de la Web 2.0 Expo de San Francisco, Eric Schmidt, PDG de Google a dégainé une application en ligne de présentations qui viendra étayer son offre de bureautique hébergée, Google Docs and Spreadsheets. Avare de détails, Eric Schmidt a seulement indiqué que l'application sera capable de générer et partager des présentations, mais a effacé d'un revers de la main toute comparaison avec Powerpoint, ou même avec Office. "Google Docs n'offre pas toutes les fonctionnalités que peut proposer Office, a-t-il déclaré. [...] Ceux qui utilisent des services sur le Web et qui ont besoin d'avoir accès et de partager des présentations, utiliseront cette application. Cela illustre la puissance du Web 2.0." L'outil de présentation, qui reste pour l'heure sans nom, rejoindra le pack des Google Apps, ensemble d'applications hébergées combinant notamment une messagerie, un agenda, une messagerie instantanée, un traitement de texte et un tableur. Gratuit pour les petites structures, Google offre une version Premium qu'il commercialise depuis février auprès des grands comptes pour 50 $ par utilisateur et par an. En juillet 2006, Gartner prédisait que Google achèterait un Powerpoint en ligne et anticipait l'acquisition de www.thumstacks.com. (...)

(18/04/2007 15:08:52)

IDF : Intel promet du Wimax en option dans Centrino pour 2008

A l'occasion de l'IDF (Intel Developer Forum), Intel a annoncé qu'il intégrerait la technologie sans fil Wimax dans la prochaine génération de sa plateforme Centrino. La technologie sans fil sera livrée en option dans Montevina, le successeur de Santa Rosa qui doit être commercialisé le mois prochain, explique Intel. Et ce, dès 2008. Notons que Montevina devrait embarquer un processeur Penryn gravé à 45nm et intégrer un décodeur vidéo en natif. Le WiFi restera donc au centre du Centrino, mais le constructeur mise sur le Wimax pour étendre le haut débit sans fil au delà des point d'accès (hot-spots). Rappelons qu'à l'image du WiFi (802.11), la norme Wimax 802.16 utilise les ondes hertziennes pour fournir du haut débit. Mais à l'inverse du WiFi, limité à cinquante mètres, il offre une couverture de dix kilomètres. Ce qui fait du Wimax une des solutions retenues par certaines collectivités locales pour alimenter en haut débit les zones blanches non couvertes par l'ADSL. Intel compte ainsi servir de rampe de lancement à la technologie Wimax, comme il l'a pu l'être avec le WiFi, lors du lancement de la première génération de Centrino en 2003. (...)

(18/04/2007 14:18:50)

Le SNIA et Eclipse étendent leur collaboration

La SNIA (Storage Networking Industry Association), qui regroupe plus de 400 acteurs de l'industrie du stockage, et la fondation Eclipse, qui chapeaute l'Aperi Open Source Project, ont décidé de renforcer leur alliance afin d'offrir « plus de choix et une plus grande interopérabilité aux utilisateurs », comme le précise Vincent Franceschini, président du SNIA. L'accord confirme qu'Aperi se conformera, comme annoncé lors de sa création, aux standards ouverts SMI-S de la SNIA. La nouvelle alliance englobe également des secteurs aussi divers que le marketing, la formation, l'assistance aux utilisateurs et les tests de conformité. Le code d'Aperi (version 0.1) vient d'ailleurs d'être validé par le SNIA Testing Program qui l'a déclaré conforme au SMI-S version 1.1.0, en ce qui concerne la gestion de piles de disques. Rien d'étonnant à cela puisque l'Aperi a, dès 2005, basé ses développements sur le protocole du SNIA. Si à l'origine ce dernier pêchait par pauvreté, il peut aujourd'hui revendiquer 450 produits déclarés conformes. (...)

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