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(05/10/2005 17:38:21)
BT et Navini esquissent les premiers tests WiMax au Royaume-Uni
British Telecom s'apprête à lancer un test de service pré-WiMax avec l'aide de Navini, au Royaume-Uni. WiMax - 802.16 - doit permettre de déployer une couverture haut débit sans fil. Avec cette opération, British Telecom entend vérifier la viabilité commerciale de la technologie et obtenir des retours d'utilisateurs sur ses performances, tant en milieu rural qu'urbain. Navini fournira les équipements nécessaires. Le test doit durer jusqu'au premier trimestre 2006. L'ampleur du test n'a pas été communiquée. (...)
(05/10/2005 17:30:00)GRC pour PME : Siebel annonce Siebel Professional Edition 7
Siebel Systems a publié lundi une mouture améliorée de son logiciel de gestion de la relation clients pour PME, Siebel Professional Edition.
La version 7.8 du logiciel renforce les liens avec la suite Office de Microsoft, une tendance assez générale dans le monde du CRM et qui anticipe l'intégration renforcée que prépare Microsoft entre ses outils bureautiques et sa propre solution de CRM.
Siebel Professional Edition 7 ajoute notamment des point d'intégration avec les fonctions de collaboration de Sharepoint et permet aux utilisateurs d'Office d'accéder directement à leurs contacts et à leurs rendez-vous dans Outlook. La nouvelle mouture apporte aussi une intégration avec l'offre hébergée Siebel Contact OnDemand, qui permet de piloter le routage des appels et l'infrastructure télécom.
Lancée en 2004, Siebel Professional Edition compte aujourd'hui plusieurs centaines de clients selon Rob Reid, le vice président en charge des activités PME de l'éditeur. Le logiciel est vendu 995$ par utilisateur, soit environ moitié moins cher que la version entreprise de Siebel CRM.
Séparément, Trillium Software et salesforce.com, le spécialiste américain du CRM hébergé, ont annoncé la disponibilité pour 2006 de Diamond Data pour Appforce, un outil de contrôle de la qualité des données et d'analyse de données intégré à la plate-forme de SalesForce. Le logiciel permet par exemple de dédupliquer les données, de filtrer les données erronées, mais aussi d'analyser les relations entre certaines données afin de valoriser les informations collectées pendant une campagne (...)
Bisbilles franco-européennes sous fond de crise HP
Jacques Chirac a désigné Bruxelles comme l'un des responsables de l'ampleur du plan de restructuration de HP. L'Europe, qui ne goûte guère ce genre de critique, parle de populisme.
Depuis que HP a annoncé son intention de supprimer 1240 postes dans l'ensemble de ses sites français, les initiatives politiques se succèdent pour tenter d'infléchir la décision du groupe de Mark Hurd. Premier à monter au créneau, Michel Destot, le maire de Grenoble, s'est fendu d'un aller-retour en Californie où il a rencontré deux directeurs généraux. Il y eut ensuite André Vallini, le président du conseil général de l'Isère. Celui-ci a demandé le remboursement des subventions versées en 1998 au groupe américain. Puis le pouvoir exécutif, mené par le Président de la République, est entré dans l'arène. Le 21 septembre, selon le souhait de Jacques Chirac, le gouvernement se tournait vers la Commission européenne afin qu'elle modère les ardeurs de HP. Le président de l'instance communautaire, José Manuel Barroso, exprimait alors une fin de non-recevoir, et expliquait aux dirigeants français qu'une telle requête dépassait les compétences de la Commission.
Jacques Chirac, fort mari, estima alors que l'Europe avait failli. Et le fit savoir, le 4 octobre, à l'occasion du sommet franco-italien. « Est-il légitime et normal que la Commission se désintéresse des problèmes » tels que ceux causés par HP, s'est ainsi interrogé l'hôte de l'Elysée. Le groupe de Palo Alto est décrit comme « une grande entreprise internationale », « gagnant beaucoup d'argent » et « prenant des décisions à fortes conséquences sociales ». Face à ces conséquences, Chirac déplore que la Commission ne veuille pas « s'impliquer » : « ce n'est pas normal ». Poursuivant ses réflexions, le président a assuré que « l'une des raisons qui explique le désaveu actuel de l'Europe, c'est ça ».
La réponse de Bruxelles n'a pas tardé, aussi cinglante que les attaques du chef de l'Etat français. Selon José Manuel Barroso, Chirac fait dans la démagogie : « il y a maintenant deux types de populisme : le premier vise les marchés, l'autre attaque l'idée même d'Europe et veut faire porter le chapeau aux institutions de l'Europe ». En des termes plus nuancés, la porte-parole de l'instance européenne, regrette et « trouve un peu simple que la Commission joue le bouc-émissaire ». (...)
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