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(06/09/2005 00:00:00)

Microsoft souligne les problèmes que lui pose la montée en puissance du libre

Quel Microsoft faut-il croire ? Celui qui vante à longueur de pages de publicité la supériorité de Windows sur Linux et ne se sent pas forcément menacé par la montée des logiciels Open Source comme Linux, Apache ou Firefox, ou celui qui met en garde ses actionnaires contre le risque que fait peser la montée de l'open source sur son modèle économique. Vu les sanctions encourues en cas de mensonge à ses actionnaires, la seconde alternative semble la plus réaliste. En l'espèce, la dernière déclaration 10-K de l'éditeur auprès de la SEC, l'équivalent américain de l'agence des marchés financiers, est édifiante. Microsoft y indique notamment que " la popularisation du modèle logiciel non-commercial pose un défi significatif à son modèle économique, notamment quand la communauté open source tente de convaincre les gouvernements de la planète de rendre obligatoire l'usage du libre dans les systèmes d'informations publics". Et il met en garde ses actionnaires en indiquant que "si l'adoption du libre s'accroît, il pourrait avoir à baisser ses prix afin d'enrayer l'érosion des ventes, ce qui pourrait avoir un impact négatif sur son chiffre d'affaires et sur ses marges". Plus spécifiquement,, Microsoft note que Linux a connu une montée en puissance rapide au cours des dernières années, car il répond au besoin des constructeurs de PC de baisser leurs coûts. Selon l'éditeur, "quasiment tous les constructeurs offrent des serveurs pour l'OS Linux. L'adoption de l'OS par IBM a de plus accéléré son acceptation en tant qu'alternative à Unix et Windows. La position concurrentielle de Linux a aussi bénéficié du large portefeuille applicatif produit par les plus grands développeurs de logiciels commerciaux et non-commerciaux". Microsoft note de même la concurrence accrue de Mozilla, tout en soulignant être persuadé que ses offres restent plus innovantes, plus riches et plus sûres. Une autre note intéressante de la déclaration 10-K concerne les brevets. Microsoft note que l'absence de cadre juridique harmonisé sur les brevets rend difficile le respect de ses droits. De plus de futures évolutions législatives pourrait rendre la protection de ses "droits" encore plus difficile... (...)

(06/09/2005 00:00:00)

Le souci des DSI : la sécurité avant les coûts

Les projets de collaboration en temps-réel, via les réseaux, mettent en exergue, pour les DSI, le défi de la sécurité. Une indication de plus quant aux profils de postes qui sont et resteront demandeurs de compétences (sécurisation, administration de systèmes, intégration d'applications). En effet, selon une enquête effectuée pour le compte de Novell en région EMEA (Europe, Moyen Orient, Afrique) et publiée au mois d'août, pour plus de deux décideurs sur trois interrogés (69%), la priorité est bel et bien la sécurité, loin devant l'interopérabilité avec les autres outils de collaboration (13%) ou encore le financement et le coût de ces applications. Rien de surprenant, d'autant que la fonctionnalité privilégiée dans cet équipement du travail en équipe est le partage intégré d'applications (46%), bien avant la téléphonie sur Internet (20%) et l'indication de présence en ligne. Les cadres interrogés voient de plus un avenir prometteur à la videoconférence (62%), au PC interface principale de la téléphonie (82%), mais ne s'intéressent guère aux services de localisation mobiles. Partager mais en toute sécurité: cela soulève aussi, selon cette enquête, la question de la bande passante. Plus du tiers (35%) des décideurs doute encore de la capacité de l'infrastructure technologique de l'entreprise, de la maturité des logiciels et de la pénétration du haut débit qui doivent permettre à cette "révolution du temps-réel" de devenir une réalité. Du pain sur la planche des techniciens mais aussi des commerciaux ! Pour info: www.novell.com (...)

(06/09/2005 00:00:00)

Master orienté modélisation à Cergy

L'université de Cergy et l'école d'ingénieurs EISTI s'associent pour proposer aux férus de calcul scientifique, de modélisation et de simulation un nouveau cursus de master (bac+5) préparant aux métiers des secteurs industriels concernés: industrie lourde, surveillance des structures sensibles, industrie du logiciel graphique, simulation d'objets en déformation, industrie des biens de consommation (conception de produits, etc). Les trois parcours organisés autour des options visualisation scientifique, traitement de l'information, physique et technologie, font large place à l'informatique (algorithmique, C, Java, Matlab, base de données, réseaux et systèmes répartis) et aux techniques de calcul pour la modélisation et la simulation. Pour info: http://www.u-cergy.fr/etud/ufr/composan/physique/madocs (...)

(06/09/2005 00:00:00)

Au sud du nouveau ... pour les cartes et objets communicants

Deux colloques, à Gap le 22 septembre et à Sophia Antipolis du 21 au 23 septembre, feront le point sur les "solutions multi-applicatives utilisées dans la vie quotidienne" et leur interopérabilité. Autrement dit le proche avenir des "smart cards", de la téléphonie mobile et autres "solutions communicantes sécurisées" qui sont le thème même du pôle de compétitivité de la région Paca récemment labellisé. A Gap (voir le site du forum www.ocova.com, Ocova tenant pour Objets communicants à valeur ajoutée), au delà de l'évolution des usages et des technologies, notamment dans les domaines du transport et du tourisme, une partie de la journée sera consacrée à l'accès des entreprises aux capitaux et aux outils de leur développement économique. A Sophia Antipolis, plus international, le colloque "e-smart" rassemblant les ténors de la carte à puce (Gemplus, Thales, Oberthur, MasterCard), des Java Cards et de l'intégration de systèmes (Axalto), fera place autant aux technologies émergeantes et aux subtilités de la sécurisation de ces systèmes, qu'aux programmes actuels (R&D) faisant appel aux compétences d'intégrateur. Pour info: http://www.strategiestm.com/conferences/esmart/05/program.htm (...)

(06/09/2005 00:00:00)

Plans d'embauche: toujours plus pour les SSII

Avec la reprise du turnover (au delà de 15% dans certains cas), les prévisions d'embauche des SSII sont elles aussi revues à la hausse depuis cet été, afin d'assumer les 4 à 6% de croissance prévus pour 2005 par la branche (Syntec informatique). Ainsi la multinationale Steria affiche 2100 postes à l'embauche en Europe, dont 1300 en France (consultants, ingénieurs, chefs de projet) à 60% ouverts aux jeunes diplômés. Avec pour accroche, des projets européens marquants tels que la carte d'identité électronique en Belgique, la carte santé espagnole, la gestion des interventions à domicile de l'opérateur télécom norvégien, le système d'appel d'urgence à bord des véhicules de Peugeot-Citroën ou encore l'amélioration de la ponctualité des trains en Suisse. A une toute autre échelle, la PME S&H (Des systèmes et des hommes) envisage de gonfler ses effectifs de 75 à 90 consultants et ingénieurs, avec un apport de 16 embauches (30% jeunes diplômés) avant décembre 2005 puis de dix postes encore au premier trimestre 2006 (consultants techniques, spécialistes du décisionnel, spécialistes Java, .Net, et consultants fonctionnels). De même, Niji (à Issy-les Moulineaux et à Rennes) vise à étoffe son pôle conseil (auprès des grandes entreprises, des opérateurs et fournisseurs d'accès Internet) de 15 ingénieurs expérimentés dans le domaine de la téléphonie sur internet, de la mobilité et de la gestion des centres de contact. Egalement dans le domaine des réseaux, Ineo Com, intégrateur filiale du groupe Suez (850 salariés répartis sur 35 sites, 15000 clients actifs) renforce ses équipes commerciales et techniques d'une cinquantaine de postes. Quant aux ambitions de Teamlog, avec 600 postes à pourvoir cette année contre 400 en 2004, elles concernent principalement des jeunes spécialistes des technologies J2EE, C#, .Net, des administrateurs systèmes et réseaux. Y compris en régions: Rhône-Alpes pour 25% des postes, la Bretagne pour 15%, principalement dans pour des projets télécom (notamment du secteur Défense) et d'informatique scientifique. A noter que Teamlog recrute également pour ses sites de Londres, Genève, Barcelone et Madrid. Pour info: www.steria.com; www.s-h.fr; www.niji.fr; www.ineo.com; www.teamlog.com (...)

(06/09/2005 00:00:00)

Iliad parie sur l'avenir du WiMax en rachetant Altitude Télécom

"Le WiMAX est une option pertinente à horizon 3-5 ans pour le développement du Groupe en complément des activités actuelles de Free". C'est ce que Xavier Niel, le directeur général en charge de la stratégie d'Iliad a expliqué au conseil d'administration de la firme pour expliquer l'acquisition aujourd'hui de l'opérateur normand Altitude Télécom. L'opération devrait être bouclée le 15 novembre prochain mais son coût n'a pas été précisé. Altitude Télécom, né lors de la première vague de la boucle locale radio en France, est aujourd'hui le seul détenteur d'une licence nationale de boucle locale radio lui permettant d'opérer des services WiMAX, Neuf télécom ayant restitué ses fréquences 3,5 GHz à l'ART fin 2003. Cette licence lui a été accordée en décembre 2003, dans la bande de fréquence des 3,5GHz, à l'origine prévue pour les systèmes de BLR IP. Altitude a été l'un des premiers opérateurs à tester des systèmes pré-WiMAX en France notamment sur le marché des entreprises, mais aussi en partenariat avec des collectivités locales pour la couverture de "zones blanches" en haut débit. Mais ce ne sont pas ces activités qui semblent avoir motivé le rachat par Free. L'opérateur a semble-t-il choisi de s'intéresser aux implications grand public de WiMax et s'est assuré la seule licence nationale disponible en rachetant celle d'Altitude (les licences WiMax qui seront prochainement attribuées par l'ART sont des licences régionales). Les activités entreprises d'Altitude seront ainsi revendues à l'actuel patron d'Altitude Télécom, Jean- Paul Rivière, au travers de la société Altitude Développement dont il est l'actionnaire majoritaire. Wimax, une alternative combinée au dégroupage et à la 3G? WiMax Soutenue par plusieurs géants de l'électronique et des télécoms comme Intel, Alcatel, Nortel ou Motorola, la technologie WiMax (802.16d et 802.16e à l'IEEE) n'a plus grand chose à voir avec la BLR de grand papa. Comme auparavant la technologie permet de couvrir une large zone en haut débit internet sans avoir à tirer de nouvelles lignes. En fait dès qu'une zone est couverte par WiMax, elle devient virtuellement dégroupée, car son opérateur peut se passer des lignes filaires de l'opérateur historique. Mais ce qui explique le nouvel engouement pour WiMax ce sont les nouvelles possibilités de mobilité. Dès maintenant, le standard 802.16d supporte des formes de nomadisme limitées. Par exemple, la connexion est possible depuis tout point disposant d'un émetteur actif. On peut ainsi déplacer un PC portable Wi-Fi de la maison au bureau et y retrouver une connexion, alors que le service ADSL est aujourd'hui lié à la ligne de téléphone. Avec la normalisation de la prochaine mouture de WiMax, 802.16e, prévue pour cette année, les constructeurs parient aussi sur le support de la mobilité avec notamment le support du roaming. Si le plan est tenu cela veut dire que d'ici 2007, un utilisateur pourra se déplacer avec son terminal WiMax sur l'ensemble de la zone de couverture WiMax de son opérateur sans perdre la connexion, comme aujourd'hui avec un téléphone GSM.. De quoi expliquer l'intérêt nouveau des grands des télécoms pour la boucle locale radio... les oubliés des licences GSM et 3G pourraient en effet utiliser WiMax pour fournir à terme des services voix/données mobiles concurrents des services 3G des opérateurs mobiles. Vers une généralisation à l'horizon 2007/2008 ? Dans un scénario optimiste, WiMax pourrait tout d'abord s'imposer en zones rurales comme l'alternative à l'ADSL puis, dès le début 2007, cannibaliser une partie des usages du Wi-Fi et de la 3G dans les zones urbaines, grâce au support de la mobilité. Il s'imposerait alors comme une alternative ou un complément aux deux technologies pour les utilisateurs internet nomades. C'est le genre de scénario sur lequel mise Intel en pronostiquant l'intégration dans les prochaines versions de Centrino( à horizon 2007/2008) de cartes radio WiMax en plus des actuelles radios Wi-Fi. Bien sûr l'inverse pourrait aussi se produire. Bloqué par la généralisation de la couverture ADSL dans les pays industrialisés, et coincé entre la montée en puissance de Wi-Fi avec le futur 802.11n (100 Mbit de débit efficace et 8 fois la portée de 802.11g) et celle des normes 3G, avec HSDPA (une évolution de l'UMTS dopant de 2 à 16Mbit/s le débit descendant de la 3G), WiMax pourrait retourner à ses chères études et s'étioler comme les précédentes technologies de boucle locale radio. A priori, ce n'est pas le scénario retenu par Free... (...)

(05/09/2005 17:47:10)

Iliad parie sur l'avenir du WiMax en rachetant Altitude Télécom

"Le WiMAX est une option pertinente à horizon 3-5 ans pour le développement du Groupe en complément des activités actuelles de Free". C'est ce que Xavier Niel, le directeur général en charge de la stratégie d'Iliad a expliqué au conseil d'administration de la firme pour expliquer l'acquisition aujourd'hui de l'opérateur normand Altitude Télécom. L'opération devrait être bouclée le 15 novembre prochain mais son coût n'a pas été précisé.

Altitude Télécom, né lors de la première vague de la boucle locale radio en France, est aujourd'hui le seul détenteur d'une licence nationale de boucle locale radio lui permettant d'opérer des services WiMAX, Neuf télécom ayant restitué ses fréquences 3,5 GHz à l'ART fin 2003. Cette licence lui a été accordée en décembre 2003, dans la bande de fréquence des 3,5GHz, à l'origine prévue pour les systèmes de BLR IP.

Altitude a été l'un des premiers opérateurs à tester des systèmes pré-WiMAX en France notamment sur le marché des entreprises, mais aussi en partenariat avec des collectivités locales pour la couverture de "zones blanches" en haut débit. Mais ce ne sont pas ces activités qui semblent avoir motivé le rachat par Free. L'opérateur a semble-t-il choisi de s'intéresser aux implications grand public de WiMax et s'est assuré la seule licence nationale disponible en rachetant celle d'Altitude (les licences WiMax qui seront prochainement attribuées par l'ART sont des licences régionales). Les activités entreprises d'Altitude seront ainsi revendues à l'actuel patron d'Altitude Télécom, Jean-
Paul Rivière, au travers de la société Altitude Développement dont il est l'actionnaire majoritaire.

Wimax, une alternative combinée au dégroupage et à la 3G?

WiMax Soutenue par plusieurs géants de l'électronique et des télécoms comme Intel, Alcatel, Nortel ou Motorola, la technologie WiMax (802.16d et 802.16e à l'IEEE) n'a plus grand chose à voir avec la BLR de grand papa. Comme auparavant la technologie permet de couvrir une large zone en haut débit internet sans avoir à tirer de nouvelles lignes. En fait dès qu'une zone est couverte par WiMax, elle devient virtuellement dégroupée, car son opérateur peut se passer des lignes filaires de l'opérateur historique. Mais ce qui explique le nouvel engouement pour WiMax ce sont les nouvelles possibilités de mobilité. Dès maintenant, le standard 802.16d supporte des formes de nomadisme limitées. Par exemple, la connexion est possible depuis tout point disposant d'un émetteur actif. On peut ainsi déplacer un PC portable Wi-Fi de la maison au bureau et y retrouver une connexion, alors que le service ADSL est aujourd'hui lié à la ligne de téléphone.

Avec la normalisation de la prochaine mouture de WiMax, 802.16e, prévue pour cette année, les constructeurs parient aussi sur le support de la mobilité avec notamment le support du roaming. Si le plan est tenu cela veut dire que d'ici 2007, un utilisateur pourra se déplacer avec son terminal WiMax sur l'ensemble de la zone de couverture WiMax de son opérateur sans perdre la connexion, comme aujourd'hui avec un téléphone GSM.. De quoi expliquer l'intérêt nouveau des grands des télécoms pour la boucle locale radio... les oubliés des licences GSM et 3G pourraient en effet utiliser WiMax pour fournir à terme des services voix/données mobiles concurrents des services 3G des opérateurs mobiles.

Vers une généralisation à l'horizon 2007/2008 ?

Dans un scénario optimiste, WiMax pourrait tout d'abord s'imposer en zones rurales comme l'alternative à l'ADSL puis, dès le début 2007, cannibaliser une partie des usages du Wi-Fi et de la 3G dans les zones urbaines, grâce au support de la mobilité. Il s'imposerait alors comme une alternative ou un complément aux deux technologies pour les utilisateurs internet nomades. C'est le genre de scénario sur lequel mise Intel en pronostiquant l'intégration dans les prochaines versions de Centrino( à horizon 2007/2008) de cartes radio WiMax en plus des actuelles radios Wi-Fi.

Bien sûr l'inverse pourrait aussi se produire. Bloqué par la généralisation de la couverture ADSL dans les pays industrialisés, et coincé entre la montée en puissance de Wi-Fi avec le futur 802.11n (100 Mbit de débit efficace et 8 fois la portée de 802.11g) et celle des normes 3G, avec HSDPA (une évolution de l'UMTS dopant de 2 à 16Mbit/s le débit descendant de la 3G), WiMax pourrait retourner à ses chères études et s'étioler comme les précédentes technologies de boucle locale radio. A priori, ce n'est pas le scénario retenu par Free...




WiMax : La BLR, les inconvénients en moins

Par rapport aux anciennes techniques de BLR, l'un des grands atouts de WiMAX est qu'il ne nécessite pas l'installation chez l'abonné d'une antenne extérieure. Cette caractéristique permet d'éviter l'intervention d'un technicien pour raccorder les abonnés. Ceux-ci peuvent installer leur modem eux-mêmes, en intérieur, ce qui supprime les frais d'installation et fait sauter une importante barrière à l'entrée.

Dans la pratique, les émetteurs qui seront déployés sur le terrain en Europe devraient être tri-sectorisés (trois antennes couvrant un secteur de 120 °) et auront une capacité utile symétrique de l'ordre de 35 à 50 Mbit/s. En environnement urbain, la portée sera d'environ 1 à 2 km avec des terminaux d'intérieur. En environnement rural, elle pourra atteindre 8 à 10 km avec des terminaux et antennes extérieures (sans ligne de vue directe).

Contrairement à une station de base 802.16 vendue aux environs de 50 000$, les nouvelles stations 802.16d devraient coûter entre 5000 et 8000$. C'est sur cette baisse des coûts que repose une large partie des espoirs mis dans WiMax.
Les abonnés pourront se voir offrir des services multiples (voix, données) avec ou sans qualité de service. Typiquement un abonné pourra souscrire à des débits maximal de l'ordre de 10 Mbit/s, sachant que le coeur de l'offre pour les entreprises devrait se faire sur des débits symétriques de l'ordre du mégabit, tandis que les particuliers se verront proposer des offres sans qualité de service de type 1 à 2 Mbit en voie descendante et 128 ou 256 Kbit/s en voie montante, à un prix légèrement supérieur à celui du DSL, mais avec la mobilité en plus. (...)

(05/09/2005 17:57:35)

Google / Microsoft : un document met à mal Steve Ballmer

Steve Ballmer veut « tuer Google ». C'est ce que révèle un document remis par Google à la cour en charge du procès qui l'oppose à Microsoft, pour recrutement abusif.
Selon ce document, Ballmer aurait perdu son sang froid à l'annonce du départ de Mark Lucovsky pour Google, en 2004. Dans un mouvement d'humeur, Ballmer aurait été jusqu'à en balancer sa chaise, raconte Mark Lucovsky, ex-ingénieur en chef du projet Windows, « avant d'entamer une tirade contre Eric Schmidt, président de Google ».
Steve Ballmer dément. Pour lui, s'il confirme avoir fait pression sur Lucovsky, il n'a pas prononcé pareil discours.

Pour mémoire, Microsoft accusait Google d'avoir recruté l'ancien vice-président de sa division de services interactifs, Kai Fu Lee, violant, selon lui, une clause de confidentialité. En juillet, Microsoft obtenait une injonction de la cour, empêchant (jusqu'au 7 septembre) Lee de prendre ses fonctions chez le n°1 des moteurs de recherche, à la tête de son centre de recherche et de développement en Chine.

Les deux géants devraient ainsi de retrouver face à face le 7 septembre, Microsoft espérant pour l'occasion obtenir de la cour une prolongation de l'injonction jusqu'en janvier, date prévue du jugement. (...)

(05/09/2005 18:04:41)

Niji crée un pôle conseil

Niji, société française de conseil et d'intégration de solutions à destination des acteurs du secteur des télécommunications et des grands comptes, annonce la création d'un pôle Conseil.

« Il était temps de structurer et d'animer le développement d'un véritable Pôle Conseil chez Niji, explique le PDG Hugues Meili. Ce pôle devra contribuer aux orientations stratégiques de la société, fort de sa connaissance approfondie et sans cesse réactualisée du marché ». La création du pôle conseil répond à un double objectif : renforcer l'accompagnement des opérateurs de télécommunication et des fournisseurs de services, et accélerer les missions de conseils aux grands comptes.

Xavier Dupont, récemment recruté, prendra la tête du nouveau pôle et de la quinzaine de salariés qui y seront affectés. Quinze autres collaborateurs seront recrutés d'ici le premier trimestre 2006. (...)

(05/09/2005 17:55:05)

IDC souligne la forte croissance du stockage au second trimestre

Le marché mondial des systèmes de stockage sur disque a progressé de 9,9% au second trimestre 2005 pour atteindre 5,6 Md$ .Cette croissance est la plus forte enregistrée depuis huit trimestres selon IDC. La capacité totale livrée par les fournisseurs au cours du trimestre a ainsi atteint le chiffre record de 457 petaoctets (stockage interne et externe compris). HP a conservé son premier rang mondial avec 23,5 % des ventes, devant IBM (20,5%) et EMC (14,4%). Dell avec 8,3% des ventes devance Sun (6,1%) désormais au cinquième rang mondial. Sun a été le seul constructeur à voir ses revenus reculer, de 10,4%.

Le marché des systèmes de stockage externe a, quant à lui, progressé de 8,6% à 3,8 Md$. EMC a conforté son avance et son premier rang mondial avec 21,2% des ventes, devant HP (18,8), IBM (13,8), Dell (8,3%) et HDS (7,3%). Le succès de Dell est largement à mettre au crédit d'EMC, dont il revend les équipements sous la marque Dell/EMC.

IDC a aussi détaillé le marché des systèmes de stockage en réseau (NAS, SAN Fibre channel et iSCSI). Selon le cabinet d'étude, le marché est dominé par EMC avec 27,9% des ventes devant HP avec 21,3% des ventes. Mais les plus fortes progressions de vente par rapport à 2004 ont été réalisées par Dell et IBM avec des taux de croissance respectifs de 33,2 % et 22.9 %. (...)

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