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(06/04/2005 18:28:51)
La VoIP devrait atteindre des sommets dans les prochaines années aux Etats-Unis
La voix sur IP est promise à un avenir étincelant aux Etats-Unis dans les quatre prochaines années : le nombre d'utilisateurs devrait être multiplié par neuf, d'après le cabinet IDC.
En dépit d'un démarrage plutôt lent, tant en Amérique du Nord que dans les autres régions du monde, la VoIP a bel et bien décollé, portée jusqu'à présent par des prix attractifs. IDC estime que le nombre d'utilisateurs américains devrait passer de 3 millions aujourd'hui à 27 millions en 2009.
Pour que ce bond en avant puisse avoir lieu, l'étude indique que « la VoIP doit prouver qu'elle est davantage qu'un substitut bon marché de la téléphonie classique ». Ainsi, les opérateurs vont devoir fournir des services utiles et abordables : « Ceux qui utiliseront la flexibilité de la VoIP pour imaginer des services les différenciant de leurs concurrents auront gagné », estime IDC.
De même, les opérateurs devront éduquer les utilisateurs aux caractéristiques et aux possibilités de la VoIP dans le but d'éviter une guerre des prix qui leur serait défavorable. IDC prévoit en effet une augmentation du nombre de prestataires qui lanceront leurs offres en 2005. (...)
Pour contrer Linux, Microsoft mise sur la stabilité de Windows
La stabilité : c'est le nouvel angle d'attaque par lequel Microsoft espère contrer Linux dans sa très contestée campagne marketing « Get the Facts ». Mise en place depuis 2003 , « Get the Facts » s'est attelée à démonter les OS Unix, au profit de Windows, notamment sur les terrains de la sécurité, du coût total de maintenance et du support. C'est désormais au tour de la stabilité, longtemps considérée comme une des « bêtes noires » de Windows.
Pour bâtir sa campagne, Microsoft a alors commissionné une étude, opposant Windows Server 2003 à Red Hat Enterprise Linux 3.0 AS, installés sur trois serveurs HP ProLiant DL380 G3, configurés en serveur de mail pour l'un, de fichiers pour le deuxième et en mainframe pour le troisième. Le tout orchestré par quelque dix-huit administrateurs, tant spécialistes Windows que Linux, confrontés à des tâches de dépannage, d'installation, de configuration d'accès et de sauvegarde. Objectif : analyser le temps passé à administrer et à configurer un système jugé « stable ».
Résultats ? L'étude révèle ainsi que Linux a occasionné une chute de productivité plus forte (de presque 15 %) que Windows. Les services Linux seraient restés muets pendant 4 heures 59 min et 44 s au total, contre 4 heures 20 min et 19 s pour Windows, sur une période de test de 26 heures.
Egalement, les administrateurs auraient passé 33 % de temps en plus à dépanner Linux par rapport à Windows, incriminant une mauvaise documentation, un manque d'intégration et de drivers, ainsi qu'une mauvaise gestion des patches.
Attention toutefois, indique le cabinet Yankee Group, qui précise, dans sa dernière étude, que Windows et Linux ne sont pas utilisés pour les mêmes tâches en entreprise. Le coût horaire d'indisponibilité d'un serveur Windows serait trois à quatre fois supérieur à celui d'un serveur Linux, « Windows étant davantage utilisé dans des applications critiques ». (...)
Le Conseil de la concurrence se rallie aux arguments des MVNO
Le Conseil de la concurrence a tranché : il autorise l'Autorité de régulation des télécoms (ART) à imposer « aux opérateurs mobiles une obligation de répondre aux demandes raisonnables d'accès à des éléments de réseau », afin de permettre le déploiement d'opérateurs mobiles virtuels (MVNO) « jusqu'à une taille critique ». Le Conseil de la concurrence encourage en outre « une intervention des pouvoirs publics » sur les obstacles au développement des MVNO sur le marché de détail, évoquant « portabilité, durée d'engagement, programme de fidélisation, etc. » Pour justifier cet avis, le Conseil de la concurrence invoque « le risque potentiel d'une influence significative conjointe d'Orange, SFR et Bouygues Télécom sur le marché de gros » et relève « plusieurs obstacles au développement d'une concurrence effective sur ce marché ».
Mi-mars dernier, Tele2 a saisi l'ART afin d'obtenir d'Orange un contrat de MVNO, évoquant « quatre ans d'efforts et une dernière phase de négociations infructueuses de six mois ».
Dans un communiqué, SFR a réagi vivement à l'avis du Conseil de la concurrence, soulignant qu'il « ne partage pas les doutes de l'ART et du Conseil de la concurrence sur les limites qui seraient imposées à ses partenaires MVNO » et « conteste » tout risque potentiel de collusion tacite « des opérateurs mobiles pour bloquer l'entrée sur le marché de MVNO significatifs ». (...)
Nec et Sun élargissent leur collaboration à l'intégration, aux réseaux et aux middlewares
Nec et Sun viennent de décider de collaborer étroitement en matière d'intégration de systèmes, de technologies réseau et de middlewares. Concrètement, les deux partenaires vont associer le moteur de voix sur IP Univerge de Nec aux serveurs lames SunRay et promouvoir l'ensemble à l'échelle mondiale comme leur architecture de référence. En outre, Nec prévoit d'intégrer sa plate-forme Valumo au Java Enterprise System de Sun pour proposer un système de gestion d'identités.
Les premiers effets de cette décision se feront sentir au Japon, où Nec exerce la majeure partie de ses activités d'intégrateur. Néanmoins, Nec entend profiter de cette collaboration avec Sun pour étendre ses activités d'intégrateur au-delà de son marché domestique. Présentant ce nouvel accord, Scott McNealy, PDG de Sun, n'a pas caché son intention de concurrencer plus efficacement IBM avec cette collaboration : « Je n'identifierai pas le perdant, mais il s'agit d'une très importante organisation bleue de services à l'échelle mondiale », a-t-il indiqué.
Nec et Sun sont partenaires depuis plus de dix ans. En 1993, le Japonais avait entamé la commercialisation de serveurs Sun sur son marché domestique. (...)
Computer Associates se restructure en cinq divisions
Computer Associates vient d'annoncer une réorganisation en cinq divisions : Enterprise Systems Management, Security Management, Storage Management, Business Service Optimization et CA Products Group. Chaque division intègre ses propres fonctions de ressources humaines, de stratégie et satisfaction client. La division CA Products Group regroupe les lignes de produits extérieures au c½ur d'activité de Computer Associates, à l'instar des outils applicatifs et de bases de données pour mainframes.
John Swainson, PDG de Computer Associates depuis cinq mois, espère ainsi permettre à son entreprise de prendre la première place sur les marchés de l'administration de systèmes et de la sécurité d'ici douze mois. Lors d'une conférence avec les actionnaires, John Swainson a en outre indiqué qu'il entendait poursuivre l'extension de l'offre de Computer Associates par le biais d'acquisitions. (...)
Les Etats-Unis refusent de reporter la mise en place du passeport biométrique
L'Union européenne souhaite repousser la date d'entrée en vigueur du passeport biométrique. Un report que les Etats-Unis regardent d'un mauvais ½il.
Doté d'une puce électronique renfermant diverses informations sur le détenteur, le passeport biométrique devait être mis en place par les 27 pays membres du programme US Visa Waiver avant le mois d'octobre 2004, jusqu'à ce que les Etats-Unis consentent à repousser ce délai au 26 octobre 2005. Après cette date, les ressortissants des 27 pays non-munis du nouveau sésame devront réclamer un visa pour pénétrer sur le territoire américain.
L'Union européenne, par la voix du commissaire Franco Frattini, a toutefois demandé un nouveau report jusqu'au 28 août 2006. La mise en place des données biométriques prend en effet plus de temps que prévu, et seulement six pays européens pourraient être en mesure de respecter l'échéance.
La réponse américaine est tombée le 31 mars : les Etats-Unis considèrent l'éventualité d'un second report « peu probable », en raison de « l'inquiétude croissante du peuple américain et de la plupart des membres du Congrès ».
Prenant acte de cette décision, l'Union européenne décidera, au cours des prochaines semaines, si elle exige des citoyens américains d'être munis d'un visa pour entrer en Europe, dans le cas où eux-mêmes ne posséderaient pas de passeport biométrique. (...)
Résultats annuels Red Hat : CA en hausse de 58 %
Red Hat vient de publier le bilan de son quatrième trimestre fiscal ainsi que ses résultats annuels. Le chiffre d'affaires de l'éditeur est en augmentation de 58 % par rapport à l'année dernière à 196,5 M$. Pour le seul dernier trimestre de son exercice, Red Hat a annoncé des revenus de 57,5 M$, 56 % de mieux que pour la même période un an plus tôt. Les revenus d'abonnements industries sont également en forte hausse, et l'on atteint 45,4 M$ pour le trimestre,soit une progression de 92 % sur l'année et de 19 % par rapport au trimestre précédent. Les bénéfices se montent à 11,8 M$ pour le trimestre échu et à 45,4 M$ pour l'exercice. Red Hat attribue cette bonne santé à un engouement grandissant pour le logiciel libre : selon l'éditeur, Linux est aujourd'hui en concurrence avec Microsoft sur 25 à 35 % des marchés. D'après Red Hat, cette situation devrait se renforcer pour atteindre 60 % d'ici un an. Le logiciel libre n'est plus aujourd'hui l'apanage des petites entreprises, et Linux fait de plus en plus d'émules dans les administrations et même les grandes entreprises. Revers de la médaille : la guerre des prix entre distributeurs. Alors que, fin 2002, le tarif moyen était d'environ 1 200 $ par produit, il est passé aujourd'hui à 400 $. Si la chute des prix est tout au bénéfice des utilisateurs, les entreprises telles que Red Hat pourraient bien pâtir de cette situation dans un laps de temps plus ou moins court. (...)
(05/04/2005 18:10:11)L'administration en ligne séduit de nombreux Français
Les Français sont de plus en plus nombreux à effectuer leurs démarches administratives sur Internet. La saturation du site de déclaration des revenus en est la meilleure preuve.
Avec deux millions de visites mensuelles, le portail de l'e-administration a le vent en poupe. Le projet Adele (pour Administration électronique) est en avance sur son programme et met à la disposition des internautes un quart des 140 services prévus d'ici à 2007. Et les Français sont toujours plus nombreux à les utiliser. Ainsi, s'ils étaient 14 % à effectuer des démarches administratives en ligne en 2002, ils sont désormais 27 %. L'écrasante majorité d'entre eux est séduite par les possibilités offertes : 93 % des utilisateurs se déclarent satisfaits par les services proposés, 85 % les jugent faciles d'emploi.
Au palmarès des avantages cités par les aficionados de l'Administration électronique, le gain de temps rivalise avec la possibilité d'effectuer des démarches à n'importe quelle heure. Du côté de l'Etat, on retient surtout les intérêts financiers qui résulteront du projet Adele : l'Administration prévoit d'économiser entre 5 et 7 Md¤ par an dès 2007 pour un investissement global de 3,6 Md¤.
Signe du succès de l'Administration électronique, le site de déclaration et de paiement de l'impôt sur le revenu devrait largement dépasser l'objectif de 1,5 million d'utilisateurs. Dépassé par le succès, le portail fiscal a atteint son point de saturation au cours du week-end pascal, les télédéclarants devant depuis s'armer de patience pour accéder aux formulaires. Nul doute que l'an prochain un « serveur absolument considérable », selon l'expression de Thierry Breton, sera mis en place pour satisfaire toutes les demandes.
Au-delà de l'usage exponentiel des services de l'Administration en ligne, il subsiste l'image indéniable d'une frontière séparant l'Hexagone en deux : avec 47 % des Français ne possédant pas d'ordinateur à leur domicile, Adele ne profite pas à tous. Il n'est guère étonnant de constater que les cadres sont deux fois plus nombreux – 56 % des usagers – à recourir aux e-services administratifs que les ouvriers – 23 %. De même, si les plus jeunes se tournent aisément vers les sites du programme Adele – ils constituent 47 % des utilisateurs –, leurs aînés sont beaucoup moins nombreux : les plus de 65 ans ne représentent que 2 % des visiteurs. (...)
SAP renforce son offensive sur les utilisateurs de PeopleSoft
SAP vient de décider d'élargir son programme de conversion des utilisateurs des logiciels PeopleSoft, Safe Passage, à toutes les entreprises américaines utilisant des applications de l'éditeur ainsi que de JD Edwards. SAP a lancé son programme Safe Passage en janvier dernier, en réponse au rachat de PeopleSoft par Oracle, dans un mouvement qui ressemblait plus à une opération de consolidation qu'à une démarche de conquête : initialement, le programme ne visait qu'environ 2 000 entreprises déjà clientes de SAP. Désormais, l'éditeur allemand vise plus de 6 500 entreprises, dont une bonne part qu'il ne fournit pas encore.
Safe Passage intègre une licence pour la plate-forme NetWeaver de SAP et son PGI mySAP, ainsi qu'une extension de services de support et maintenance pour les produits PeopleSoft et JD Edwards pour 17 % du prix payé initialement par les entreprises intéressées au moment de l'acquisition de leurs licences. SAP s'appuie pour cela sur TomorrowNow, une entreprise spécialisée dans la maintenance applicative, acquise récemment. (...)
Windows perçu comme supérieur ou égal à Linux, selon le Yankee Group
Selon le Yankee Group, « une majorité d'entreprises déployant Windows 2003 trouvent que sa qualité, ses performances et sa fiabilité sont supérieures ou égales à celles de Linux ». Le cabinet s'appuie pour cela sur un sondage conduit après de 509 entreprises représentant la plupart des industries verticales.
Dans un communiqué, le Yankee Group indique en outre que les utilisateurs « notent à égalité la sécurité de Linux et de Windows Server », soulignant les efforts de Microsoft en la matière, ainsi que pour la gestion des correctifs. Selon 30 % des sondés, les serveurs sous Windows sont plus rapides à remettre en fonctionnement après une attaque que les serveurs sous Linux. Et d'indiquer que, selon les sondés, « le coût horaire d'indisponibilité d'un serveur Windows est trois à quatre fois inférieur à celui d'un serveur Linux ».
Les conclusions du Yankee Group semblent sans appel. Selon lui, il semble difficile que « Linux supplante Windows Server, Windows XP ou Office sur le marché des entreprises ». Néanmoins, le cabinet estime que Linux trouve sa place comme serveur « complémentaire » dans des réseaux Windows.
Cette nouvelle étude du Yankee Group ne sera pas sans déplaire aux adeptes du pingouin. Le cabinet est désormais habitué à s'attirer les foudres de la communauté Linux : l'édition 2004 de son étude comparative sur Windows et Linux lui avait valu de très vives critiques. (...)
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