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(05/04/2011 10:57:01)
Ausy reprend les activités services applicatifs d'APX
En faisant passer ce fond de commerce dans d'autres mains, le groupe APX entend se recentrer sur son coeur de métiers liés aux infrastructures informatiques : conseil et intégration technologiques, services de support et d'infogérance.
Pour Ausy, l'opération est l'occasion de renforcer ses propres centres de services et d'acquérir des expertises dans les secteurs de la santé, de la distribution et des marchés publics. La SSII complète en outre son maillage territoriale dans les régions PACA, Rhône-Alpes et Île-de-France où l'activité services applicatifs d'AXP était implantée pour cibler les grands comptes régionaux et publics.
Illustration principale : Noël Saille, PDG du groupe APX
Très haut débit : Les élus locaux manifestent leur mécontentement
Les élus des collectivités locales s'inquiètent de l'accroissement de la fracture numérique et du fait qu'ils puissent être tenus pour responsables par leurs administrés. Le 4 avril 2011, à l'occasion de l'Assemblée générale de l'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications Électroniques et l'audiovisuel), ils ont demandé que la montée en débit des liaisons ADSL de l'opérateur historique soit prise en charge essentiellement au niveau national et non au niveau local, ceci en mesure transitoire, là où il n'est pas possible de passer directement à la fibre optique.
Où trouver les financements ?
Les leviers de financement proposés par l'Avicca sont multiples. Ils suggèrent un programme d'investissements massifs de France Télécom dans les zones où les débits ADSL sont insuffisants, une affectation des dividendes de l'Etat (actionnaire de France Télécom) aux aides aux projets locaux, une séparation structurelle de l'opérateur historique afin de constituer une entité sous maîtrise publique assurant une transition de la boucle locale cuivre à la boucle locale en fibre optique, le tout sans subventions, une régulation différente de la boucle locale cuivre afin d'inciter à l'investissement, ou une alimentation pérenne du Fonds d'Aménagement Numérique du Territoire. Ce dernier verrait son objet être élargi à la montée en débit, ou devrait dégager des moyens suffisants pour traiter en priorité, en fibre optique jusqu'à l'abonné, les zones où les débits ADSL sont insuffisants.
L'Avicca demande un débat parlementaire sur ces différentes options de financement national de la montée en débit, suivi de décisions rapides. Un des moteurs de la réaction de l'Avicca provient du fait que le passage au très haut débit sur fibre optique est un chantier qui prendra au moins quinze ans dans le Programme national Très haut débit, et l'association ne veut pas rester sans rien faire en attendant pour les zones qui ont aujourd'hui des débits insuffisants. Au passage, l'Avicca souligne que l'opérateur de la boucle locale cuivre et les fournisseurs d'accès à internet dégagent des marges positives considérables sur cette activité depuis plusieurs années.
Une politique attentiste chez Orange
L'association critique l'opérateur historique qui n'a aucun plan pour faire monter en débit le réseau qui lui appartient : « il envisage seulement de faire appel aux subventions des collectivités, et concentre ses intentions d'investissements sur les zones rentables de déploiement de la fibre optique. » L'Autorité de régulation des télécoms en prend aussi pour son grade, puisque l'Avicca indique le dispositif présenté par l'Arcep affecte tous les coûts d'investissements au demandeur de la montée en débit, qu'il s'agisse de collecte, hébergement, modification de la boucle locale, « accompagnement » des opérateurs privés pour leurs DSLAM, c'est-à-dire en fait aux collectivités.
Toujours selon l'Avicca, le coût de la montée en débit, en dehors des zones qui pourraient être fibrées dans les prochaines années, a été estimé de deux à cinq milliards d'euros, suivant les objectifs de débits à atteindre. Or, le programme national Très haut débit ne prévoit au maximum que deux cent cinquante millions d'euros pour aider les collectivités sur ce sujet, répartis jusqu'en 2017.
Crédit photo : D.R.
Paiement par mobile : Buyster agréé Banque de France
Le paiement par mobile est le serpent de mer de ces dix dernières années. Cela bloquait entre les banques et les opérateurs mobiles. Afin de libérer la voie, les opérateurs mobiles hexagonaux ont créé une filiale commune, Buyster, qui vient d'être agréée comme établissement de paiement par la Banque de France.
Buyster est une société détenue à parts égales par Bouygues Telecom, Orange, SFR et Atos Origin. La société a été fondée en février 2011. Son objectif est de développer, d'exploiter et de commercialiser un service de paiement en ligne basé sur le mobile. Buyster annonce son ambition d'être « un acteur du paiement incontournable du eCommerce et le leader du mCommerce en France ».
L'Autorité de Contrôle Prudentiel de la Banque de France vient d'accorder à Buyster un agrément définitif en qualité d'Etablissement de Paiement. Cet agrément permet à Buyster d'acquérir et d'exécuter des ordres de paiement pour le compte des e-commercants, en conformité avec le cadre réglementaire en vigueur en France. L'obtention de cet agrément constitue une étape nécessaire pour l'exploitation et la commercialisation de Buyster. A cette occasion, le capital de Buyster est porté à 10,2 millions d'euros afin de « préparer le lancement opérationnel de son activité » indique Eric Gontier, directeur général de Buyster.
Illustration : Eric Gontier, directeur général de Buyster (crédit D.R.)
Avec ses systèmes de recharge, Logica mise sur le développement des voitures électriques
Spécialisée dans l'intégration technologique et informatique, la SSII britannique Logica explore le marché des transports intelligents. A l'occasion de l'édition 2011 du rallye Aicha des Gazelles, 85 des 120 équipages inscrits ont été équipés par Logica d'un boîtier pilote EMO (Emissions Monitoring) destiné à mesurer les émissions de gaz carbonique en temps réel. Un challenge sur une étape récompensait le moyen de locomotion ayant la plus faible empreinte carbone. Le système se base sur le comportement du conducteur et non sur le type du véhicule qu'il conduit. Il se compose d'un boîtier, produit par les équipes indiennes de Logica, connecté à l'ordinateur de bord de la voiture. Une synthèse par SMS est envoyée au conducteur à chaque fin d'étape et lui indique s'il a été bon ou pas en matière d'éco-conduite. A titre indicatif, une fois commercialisé, le forfait s'élèvera à un euro par mois.
Répondre à des problématiques environnementales, énergétiques et sociétales
Afin d'accompagner la venue d'un véhicule électrique de La Poste (voir illustration principale) permettant de faire les déplacements sur le bivouac et d'assurer la liaison avec le parc technique sur le rallye, Logica et son partenaire Alfen ont également mis au point un prototype de station de recharge mobile (voir ci-dessous). Pour limiter l'impact de cette voiture sur l'empreinte carbone, la borne de charge était alimentée par 3 panneaux photovoltaïques installés sur une plate-forme roulante. La borne de recharge rapide, qui n'en est qu'au stade expérimental en France, a déjà été déployée à plus de 400 exemplaires aux Pays-Bas. La maintenance du système est assurée directement de Hollande via le système de management Logica CiMS.
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«En développant une solution éco-responsable, nous souhaitions répondre à des enjeux environnementaux, énergétiques et sociétaux », a souligné Cyril Cortina, directeur associé Energie/Utilities chez Logica Business Consulting à l'occasion d'une conférence de presse. Pour ce dernier, l'arrivée de nouveaux usages comme les véhicules électriques entraînera différentes problématiques : risques et forte évolutivité technologique, cohabitation et communication des composantes hétérogènes (systèmes d'information, réseaux électriques et des équipements, réseaux de télécommunications), élaboration d'une norme commune, imbrication des sphères publiques et privées dans l'aménagement des territoires et des politiques publiques de services, et adhésion des utilisateurs finaux.
Des initiatives lancées à l'échelle européenne
Logica est aujourd'hui au coeur de plusieurs expériences européennes : E-Laad aux Pays-Bas, un projet de déploiement d'une infrastructure de recharge pour voitures électriques (voir encadré). Selon Cyril Cortina, l'arrivée du véhicule électrique change plusieurs paradigmes. « Le réseau électrique nécessitera le passage d'une vision centralisée à des expérimentations décentralisées, localisées à des mailles territoriales, avec des batteries pouvant assurer à terme un moyen de stockage de l'énergie », considère t-il. « L'usage ne sera plus un bien de consommation, mais un service de mobilité. » En France, les pouvoirs publics tablent sur 2 millions de véhicules électriques d'ici à 2020 et quelque 4,4 millions de points de charge, dont 400 000 publics.
En Suède, un service Internet a été déployé pour que les entreprises et les particuliers puissent suivre leur consommation d'énergie. La SSII a également aidé l'opérateur opérateur européen Vattenfall, focalisé sur les pays nordiques et l'Allemagne, à mettre en place un système de compteurs électriques intelligents Enfin, le projet Inno-Grid permettra de développer des infrastructures smart grid à Evora au Portugal. A Londres.lLogica est partenaire de l'initiative London Low Carbon. Cette première typologie d'expérimentation devrait se généraliser sur les années 2012/2020.
(...)
Free mobile prépare un forfait illimité à 50 euros par mois
Free, qui entend commercialiser une offre mobile au début de l'année 2012, pourrait proposer des abonnements illimités à moins de 50 euros par mois, a annoncé Xavier Niel, patron de la maison mère du fournisseur d'accès à Internet, dans l'émission Capital. Selon le fondateur de Free, une offre illimitée à environ 50 euros par mois permettrait déjà de générer près de 50% de profit, soit 25 euros.
Le groupe Iliad, propriétaire de l'opérateur Free, avait annoncé, en mars dernier, vouloir couvrir 27% de la population française d'ici janvier 2012 avec son offre de téléphonie mobile.
Crédit photo : Nokia (...)(05/04/2011 09:32:56)Annuels Osiatis : Une rentabilité à la hausse en 2010
La SSII Osiatis a déjà annoncé son chiffre d'affaires (CA) 2010 : 243,6 millions d'euros (ME) en hausse de 3,3% en organique. Ce CA était de 232,8 ME en 2009, 239,5 en 2008, 236,2 en 2007. Elle publie aujourd'hui les éléments portant sur sa rentabilité. Le résultat net se monte à 9,6 ME, en progression de 20,9%. Il représente 3,9% du CA. La marge opérationnelle s'élève à 16 ,7 ME en hausse de 31,2%, elle représente 6,8% du CA.
En France, la progression est de 3,5% en organique dans un marché qui a progressé de 1% pour l'ensemble des activités de logiciels et services (un peu moins pour les seules SSII). Par activité, la partie services aux infrastructures progresse de 6% en organique. La marge opérationnelle de cette activité est en hausse de 1,6 point sur l'année, elle représente maintenant 7,3% du CA.
Pour 2011, Osiatis compte poursuivre sa croissance externe et « profiter des zones à fort potentiel de croissance ».
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