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(29/12/2010 15:38:14)
Hologramme sur mobile, batterie rechargeable à l'air... les prévisions futuristes d'IBM
Régulièrement, les laboratoires de recherche d'IBM livrent une série de tendance pour les années à venir. D'ici cinq ans, chacun pourrait communiquer avec ses proches, ses amis ou son patron via un hologramme. Très prochainement déjà, des téléphones mobiles afficheront des images en relief pour regarder des photos et vidéos ou surfer sur Internet. Mais selon IBM, des chercheurs travaillent actuellement sur une technologie d'affichage capable de restituer une image holographique d'une personne via une caméra miniature qui s'intègre dans un téléphone portable ou une tablette numérique.
Aujourd'hui, bon nombre de personnes possède un téléphone portable, un baladeur numérique ou encore un ordinateur portable. Ces objets ont la particularité de fonctionner avec des batteries rechargeables, à l'autonomie assez limitée et nocives pour l'environnement en fin de vie. La recherche s'oriente sur une nouvelle technologie capable d'utiliser l'air que nous respirons pour recharger ainsi ces batteries. Une autre voie est explorée par IBM : la récupération d'énergie. A l'instar de certaines montres déjà dans le commerce, il suffira de secouer son appareil high-tech pour le recharger. Cette voie permettrait de supprimer définitivement l'usage d'une batterie, précise IBM.
La multiplication de l'équipement en informatique, de la connexion à Internet, et de surcroît au haut débit, et des réseaux sociaux pourrait transformer tout un chacun en scientifique pour sauver la planète. En informant par exemple sur Twitter de l'apparition des premiers moustiques dans son quartier, l'internaute pourrait participer à un recueil de données environnementales mondiales exploitables ensuite par les scientifiques. Certains possesseurs de téléphones mobiles pourraient participer par ailleurs à des études via des applications dédiées. Même un ordinateur portable grand public pourrait servir pour détecter les mouvements sismiques à l'aide d'un capteur intégré.
Crédits photo et vidéo : IBM
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Autre moyen d'exploiter au mieux la prolifération des ordinateurs, et autres centres de données sur la planète est de récupérer la chaleur qu'ils dégagent pour la transformer en énergie, et alimenter par conséquent une ville par exemple. Selon IBM, jusqu'à 50% de la chaleur dégagée par un centre de données moderne est évacuée par la ventilation. Un projet pilote mené en Suisse montre qu'il est possible d'économiser jusqu'à 30 tonnes de dioxydes de carbones par an, en utilisant un système évolué de water-cooling, c'est-à-dire de refroidissement par l'eau.
GPS et géolocalisation ont connu un succès grandissant ces dernières années et ne cessent d'évoluer. Dans les cinq prochaines années, les déplacements que ce soit à pied, en auto ou en transport en commun devraient plus encore être facilités. Les chercheurs d'IBM sont en train de développer des modèles mathématiques qui analysent de nombreux paramètres sur le trajet comme les accidents, les horaires de pointe, les événement locaux, etc., et indiquent au conducteur par exemple un nouvel itinéraire qui peut être d'emprunter les transports en commun, à condition que le train qui mène à destination est à l'heure et si une place du parking près de la station est disponible. Ces modèles de calcul assurent ainsi un déplacement personnalisé sans être pris au dépourvu par un imprévu.
Crédits photo et vidéo : IBM
Bilan BI 2010 : L'analyse de données a le vent en poupe
Les éditeurs de solutions décisionnelles cherchent à les rendre de plus en plus accessibles pour les mettre entre les mains du plus grand nombre d'utilisateurs, sans devoir recourir systématiquement aux équipes informatiques. Les interfaces se font plus intuitives ou s'appuient sur des outils familiers, comme Excel. Les analyses se font 'en mémoire' pour accélérer les temps de réponse.
Au printemps dernier, Gartner évaluait que les solutions décisionnelles avaient représenté en 2009 un marché mondial de 9,3 milliards de dollars, en progression de 4,2% par rapport à l'année précédente. Un marché qui regroupe d'une part les plateformes de BI (business intelligence) comprenant les outils de requête sur les données, de reporting et d'analyse (soit plus de 64% du marché selon le cabinet d'études), et d'autre part les suites de gestion de la performance (CPM) et les applications analytiques.
IDC, de son côté, vient de livrer une étude qui évalue à 7,5 milliards de dollars en 2010 le seul marché des outils de BI. Selon l'analyste Dan Vesset, celui-ci a crû de 13,9% sur le premier semestre de l'année, à 3,9 milliards de dollars (logiciels de requête, de reporting et d'analyse). Certains marchés, l'Inde en particulier (+44%, 23,6 millions de dollars sur ce premier semestre) ont contribué à cette forte augmentation. Dans les cinq prochaines années, IDC voit l'Amérique latine progresser au rythme moyen de 14% sur ces solutions.
Analyse sémantique et prédictive
Les principaux offreurs de solutions restent SAP/Business Objects, SAS, Oracle, IBM/Cognos et Microstrategy, suivis d'acteurs tels qu'Actuate, Tibco/Spotfire et Qliktech, notamment. Dans le domaine du datawarehouse figurent des spécialistes comme Teradata. Dans cette catégorie, IBM et EMC se sont offerts cette année deux 'pure-players' du secteur des entrepôts de données. Le premier a racheté Netezza et le deuxième, Greenplum. Quant aux acteurs de la BI en Open Source, ils poursuivent leur percée. Un acteur comme Pentaho vient d'ouvrir un bureau en France.
Les analyses se font sur des volumes de données de plus en plus importants. Les grands fournisseurs renforcent donc leurs réponses dans cette direction. SAP qui travaille depuis plusieurs années sur les technologies « In Memory » a livré au début de ce mois sa solution HANA, qui permet d'interroger en quasi temps réel ses données de production. Parmi les évolutions pressenties, l'analyse sémantique et l'analyse prédictive continuent également à se développer, entre autres pour tirer parti des énormes quantités de données non structurées stockées sur le web (dans les réseaux sociaux notamment, pour des applications de gestion de la relation clients). Enfin, la BI n'échappe pas à la loi de la mobilité. L'arrivée de l'iPhone et, désormais, de l'iPad, amène la plupart des acteurs à proposer des offres pour consulter ses rapports ou explorer ses données depuis ces terminaux mobiles.
Les articles publiés en 2010 sur le sujet :
- Le 25 février 2010 : SAP lance des outils de BI en ligne pour les utilisateurs occasionnels
- Le 26 février 2010 : R&D - Un algorithme pour doper l'analyse de données
- Le 12 mars 2010 : Accéder aux rapports BIRT depuis son iPhone
- Le 21 avril 2010 : Le loueur de voitures Avis recourt à l'analyse prédictive
- Le 23 avril 2010 : Le marché de la BI a crû de 4,2% en 2009
- Le 23 avril 2010 : Microsoft lance PowerPivot et hisse le décisionnel dans Excel avec SQL Server
- Le 20 mai 2010 : SAP promet l'analyse en temps réel pour tous ses clients
- Le 28 mai 2010 : IBM prépare des offres analytiques basées sur Apache Hadoop
- Le 22 juin 2010 : Applications de BI : des outils spécifiques perdurent, montre Forrester
- Le 7 juillet 2010 : EMC acquiert Greenplum
- Le 7 juillet 2010 : Oracle lance sa suite décisionnelle OBIEE 11 g
- Le 23 août 2010 : Appliances analytiques - Teradata, en forme, reprend les actifs de Kickfire
- Le 6 septembre 2010 : BI en Open Source - Des écarts entre versions gratuites et premium
- Le 7 septembre 2010 : SAS simplifie l'utilisation de l'analyse prédictive
- Le 9 septembre 2010 : DOSSIER Business Intelligence - L'avenir s'annonce sans nuages
- Le 16 septembre 2010 : La suite BI d'Actuate en route vers le cloud
- Le 20 septembre 2010 : IBM rachète Netezza pour 1,7 milliard de dollars
- Le 24 septembre 2010 : Teradata et Cloudera s'associent
- Le 8 octobre 2010 : SAP montre un prototype mêlant BI et réalité augmentée sur iPad
- Le 25 novembre 2010 : HP en quête d'acquisitions dans la BI ?
- Le 1er décembre 2010 : SAP lance HANA, sa solution d'analyse haute performance
- Le 7 décembre 2010 : BI en Open Source - Pentaho ouvre un bureau en France
- Le 20 décembre 2010 : Le développement de la BI nécessite une transformation culturelle selon le Gartner
- Le 21 décembre 2010 : Microsoft propose Dryad, outils de traitement des 'Big Data'
- Le 22 décembre 2010 : Teradata s'offre l'éditeur de logiciels marketing Aprimo
Illustration : QlikView sur iPad (crédit photo : QlikTech) (...)(29/12/2010 09:44:14)
Hadopi validera bientôt une liste de logiciels espions
Le décret relatif à la labellisation des moyens de sécurisation que pourront utiliser les internautes pour protéger leur accès à Internet a été publié au Journal officiel, dimanche 26 décembre. Ce texte va permettre à la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) de labelliser les outils de sécurité, une fois les spécifications que ces derniers devront remplir seront publiées.
Ces logiciels espions d'un genre particulier - validés et labellisés par l'Hadopi - sont censés indiquer que l'accès à Internet d'un abonné n'a pas été utilisé par un tiers non autorisé pour télécharger et partager de manière illégale des oeuvres protégées (musique, films, etc.).
(...)(29/12/2010 09:43:58)Jeux vidéo : un marché de 4 milliards en France
En 2010, l'Allemagne s'est imposée comme le premier pays européen dans le secteur vidéoludique. Avec un chiffre d'affaires en pleine croissance, 4,9 milliards d'euros, soit une hausse de 33% en un an, l'Allemagne a volé la vedette à l'Angleterre, leader européen en 2009. Les joueurs anglais ont dépensé pour 4,3 milliards d'euros, soit 3% de moins que l'année précédente. Le pays devance désormais la France et ses quatre milliards d'euros, les Pays-Bas (530 millions d'euros) et la Belgique (410 millions d'euros). L'Allemagne et la France sont en outre les seuls pays à connaître une année croissante. Les joueurs néerlandais et belges ont diminué leurs dépenses respectivement de 11% et 27% en 2010.Même le marché américain se trouve actuellement en récession avec un recul de 2%. Les Etats-Unis conservent toutefois leur place de leader mondial avec 18,8 millions d'euros dépensés.
Plus de jeux sur Internet
L'étude de Newzoo, disponible sur ce site, montre un changement dans la répartition des dépenses en matière de jeux vidéo en 2010 qui dénote le développement de nouvelles façons de jouer. Ainsi, les joueurs américains, allemands, anglais, français, néerlandais et belges ont moins investi en 2010 dans les jeux physiques et ont préféré s'orienter vers des jeux casual accessibles sur Internet.
En France, 46% des achats se sont orientés vers les titres de consoles, 17% vers les jeux PC, 14% vers les portails de jeux sur le Web (contre 5% en 2009), 7% vers les massivement multijoueurs en ligne (contre 4% en 2009), 5% vers les jeux sur téléphones mobiles, iPad et iPod Touch et 4% vers les jeux disponibles sur les réseaux sociaux (Facebook, Myspace...).
Facebook devance Yahoo sur le Web
Les données de ComScore pour le mois de novembre 2010 créditent Facebook de 648 millions de visiteurs uniques dans le monde, contre 630 millions pour Yahoo!, désormais relégué au quatrième rang du Web. Le mois précédent, les deux sites étaient au coude à coude avec 633 millions de visiteurs uniques.
Facebook est donc le troisième site le plus visité sur la Toile, derrière Google, avec 970 millions de visiteurs uniques en novembre, et Microsoft (869 millions). Cependant, les audiences de Google et Microsoft sont celles de groupes de sites ; Google Search, Google Maps, ou encore Gmail pour Google, et MSN et Hotmail pour Microsoft. Aux Etats-Unis, Yahoo demeure le troisième site le plus populaire (181 millions de visiteurs uniques), devant Facebook (152 millions).
Le réseau social a dépassé cette année la barre des 500 millions de membres. Fondé en février 2004 sur un campus universitaire américain, Facebook génère aujourd'hui 1,7 million d'interactions par minute, mais aussi 100 000 demandes d'amis approuvées, 135 000 chargements de photos et 500 000 commentaires.
(...)(29/12/2010 09:44:08)La Fondation Outercurve intègre du collaboratif avec ConferenceXP
Cette solution collaborative est disponible au sein d'un réseau local ou à distance, avec une extension d'e-learning. Elle est le fruit d'une contribution commune de Microsoft Research et de l'Université de Washington. Il a été accepté dans le département Research Accelerators Gallery nouvellement créé au sein de la Fondation. Le projet concerne des technologies audio, vidéo et réseaux utilisées pour connecter plusieurs participants en environnement immersif dans le cadre de conférences à distance, d'enseignement, et de travail collaboratif, comme l'indique la Fondation.
ConferenceXP offre aux chercheurs et aux développeurs des APIs pour construire des applications distribuées capables de tirer parti de la technologie collaborative sous-jacente. « Les institutions académiques et les chercheurs comprennent les avantages du e-learning et des logiciels de collaboration. Ils ont accompli des progrès significatifs et ont fait évoluer cette technologie,» a déclaré Paula Hunter, directeur exécutif de Outercurve, dans un communiqué publié par la fondation.
Un pont collaboratif entre les projets
« L'entrée du projet ConferenceXP au sein de la Fondation Outercurve permet de mettre les avancées de cette plate-forme d'apprentissage et de collaboration à la disposition de tous les chercheurs et de toute la communauté Open Source. » Parmi les autres projets intégrés dans le nouveau département de la Fondation Outercurve, on compte ASP.Net Open Source et Systems Infrastructure and Integration Gallery. Au total, la Fondation chapeaute neuf projets.
Créée en septembre 2009 par Microsoft sous le nom de CodePlex Foundation, elle a récemment pris le nom d'Outercurve pour se démarquer de Microsoft et affirmer sa neutralité vis à vis des plateformes. Elle a aussi commencé à rechercher des financements extérieurs. Sa mission : permettre l'échange de code et favoriser la compréhension entre les éditeurs de logiciels et les communautés Open Source.
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