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(05/11/2010 11:25:49)

Windows 7 s'installe progressivement dans les entreprises

Forrester Research vient de publier une étude intitulée Updated 2010 : Windows 7 Commercial Adoption Outlook qui, comme son nom l'indique, porte sur le taux d'adoption de Windows Seven en entreprises de toutes tailles. Elle est menée menée auprès d'environ 700 décideurs IT dans le monde. La dernière version du système d'exploitation de Microsoft a, un an après sa sortie, un taux de pénétration supérieur à Vista, la version précédente datant de quatre ans. L'échec de Vista et le relatif succès de Seven ne doit pas cacher que la base installée en Windows XP reste largement majoritaire : 75% des postes de travail utilisent cette « vieille » version du système de Microsoft contre 10% pour Seven et 7% pour Vista.

L'étude du cabinet Forrester se penche ensuite sur les plans de migration. Presque plus personne n'envisage une étape Vista mais, par contre, 46% des entreprises planifient une migration vers Seven dans les douze mois, 8% envisageant la manoeuvre à plus long terme. 34% pensent migrer mais sans pour autant envisager de planifier la chose.

Windows reste majoritaire sur les postes de travail

De plus, le quasi-monopole de Microsoft dans les systèmes d'exploitation pour micro-ordinateurs se porte bien : 1% seulement des entreprises envisagent de passer à une autre famille de systèmes d'exploitation, 5% ne se prononçant pas sur la pertinence d'une migration après examen de celle-ci et 2% préférant attendre la version suivante. Windows 7 serait aujourd'hui déployé sur 31% des nouveaux ordinateurs achetés par les entreprises, contre seulement 1% l'année dernière.

Selon Forrester Research, le remplacement des machines obsolètes par des PC récents (donc livrés avec Win 7 OEM) est l'une des causes majeures de cette évolution constatée, la fin du support de XP pouvant en être une autre. Le cabinet précise que les entreprises trouvent un avantage direct à la migration mais sans préciser lequel.
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(05/11/2010 16:37:27)

Cisco déploie un logiciel de surveillance des réseaux sociaux

Grâce à lui, il leur est possible de surveiller les mises à jour de statut, d'être informés des messages postés sur les forums et les blogs des clients, et d'avoir des alertes quand ils concernent un de leur produit. « Le logiciel ne sert pas seulement à surveiller les messages des clients, mais aussi à communiquer avec ceux qui seraient à la recherche d'un service, » explique Cisco.

S'appuyant sur des statistiques fournies par Nielsen, Cisco indique qu'au moins 34% des Américains ont utilisé Facebook, Twitter ou d'autres médias sociaux pour s'informer sur un produit, une entreprise ou une marque. « L'augmentation des conversations en ligne menées notamment sur ces plates-formes sociales, montre qu'il est aujourd'hui plus important que jamais pour les entreprises, de savoir ce que leurs clients ont à dire à leur sujet et de leur permettre de répondre aux demandes de renseignements généraux ou de rattraper des problèmes de service à la clientèle, de façon à améliorer et à protéger la réputation de la marque », précise Cisco dans son communiqué de presse. L'équipementier affirme avoir utilisé SocialMiner en interne depuis le printemps pour gérer les demandes clients relatives à ses produits grand public, comme la caméra vidéo Flip. « Le logiciel repère les conversations dans lesquelles il est fait mention du Flip et un commercial de l'entreprise se joint à la discussion, » dit John Hernandez, vice-président et directeur général du département Customer Collaboration Business Unit. « Dans le cas où les échanges nécessitent d'aborder des questions sensibles ou privées, ils pourraient alors être traités hors ligne, » ajoute John Hernandez. SocialMiner est inclus dans Cisco Contact Center, système de service à la clientèle. Mais il peut aussi être acheté pour être utilisé avec un outil de CRM proposé par un autre fournisseur, comme l'indiquent les responsables de l'entreprise. Dans tous les cas, SocialMiner coûte 1 000 dollars par serveur, plus 1 500 dollars de licence par agent.

Des outils de compilations et de captures


En plus de SocialMiner, Cisco a également livré Finesse, une application Web 2.0 qui combine les fonctions traditionnelles d'un centre de contact avec Quad, son logiciel de réseau social pour l'entreprise, commercialisé cette année. Cisco Finesse est conçu pour compiler les données clients dans un module unique, de manière à permettre au service client d'améliorer ses actions et de réduire les temps de réponse. Le prix de Finesse a été fixé à 1 500 dollars par agent.

Cisco a également dévoilé un périphérique de stockage et de capture de médias capable d'enregistrer, d'exécuter, et de diffuser de l'audio et de la vidéo en streaming. Il peut notamment conserver ces médias et les utiliser dans les échanges avec les clients. La plate-forme de capture de médias 8.5 permet aux entreprises de prendre en compte certaines questions posées au service clientèle et d'y répondre par la suite afin de remédier à un problème donné. Le prix de la Media Capture Platform 8.5 a été fixé à 250 dollars par session d'enregistrement voix et à 300 dollars par session vidéo. Tous ces produits seront disponibles d'ici la fin de l'année.

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(04/11/2010 16:55:47)

La version 7 du CMS Open Source Drupal bientôt finalisée

Evolution majeure du système de gestion de contenus web Drupal, la version 7 du logiciel pourrait atteindre le statut de « release candidate » cette semaine. C'est la dernière étape avant la disponibilité générale du produit. Apparemment, il reste encore quatre bugs critiques à corriger, concernant l'accès du logiciel aux utilisateurs ayant une déficience visuelle, l'interface, ainsi qu'un risque potentiel de sécurité. « Nous cherchons à livrer la release candidate la semaine prochaine, peut-être même dès ce vendredi [5 novembre] », a déclaré Dries Buytaert, créateur du produit et directeur technique d'Acquia, dans une interview donnée sur la conférence PHP ZendCon 2010, à Santa Clara.

Comparée à Drupal 6, la version 7 est plus facile à utiliser et s'adapte mieux aux grands sites qui atteignent 30 à 40 millions de pages vues par mois. En revanche, la mise à jour pourrait s'exécuter plus lentement qu'avec la v.6 si elle est déployée sur un seul serveur. Parmi ses utilisateurs, le système Drupal compte une chaîne de magasins spécialisés comme Best Buy, mais aussi la Maison Blanche, donne en exemple Dries Buytaert.

Version définitive dans deux mois


Il y a eu pas moins de sept versions alpha de Drupal 7 et deux bêtas, la première d'entre elles livrée le 7 octobre dernier. On espère que la version définitive arrivera d'ici deux mois. Il pourrait toutefois y avoir plusieurs releases candidates.

Drupal a été écrit en PHP, même si l'expérience de Dries Buytaert repose plutôt sur le développement Java. « J'ai eu recours à PHP car, à ce moment-là, je voulais apprendre ce langage, mais aussi parce que je pense que Drupal a du succès en raison de PHP qui est tellement accessible. » La barrière à l'entrée pour les développeurs n'est pas trop élevée par rapport à Java, selon lui.

En juillet, Dries Buytaert a accordé une interview à nos confrères d'Infoworld à l'occasion de laquelle il a détaillé les avancées prévues dans Drupal 7.

Construire une communauté prend du temps


Le fondateur du CMS Open Source a par ailleurs énuméré les secrets de l'innovation apportée par une communauté. Il n'existe pas de formule rapide : construire une communauté prend du temps. Il faut s'attendre à des problèmes de croissance, comme lorsque le site web de Drupal a subi une interruption de serveur en 2005. Il convient de bâtir une architecture capable d'évoluer et autoriser les gens à collaborer. Il est nécessaire de fournir les bons outils, tels que forums, mailing lists et wikis. Indispensable, aussi, de construire un écosystème commercial au-delà de celui du réseau des développeurs. Enfin, le « leadership » est plus important que la gestion : il faut laisser ceux qui participent libres de faire ce qu'ils veulent.

8,5 millions de dollars de plus pour Acquia

Sur son site, Dries Buytaert vient par ailleurs d'annoncer que la société Acquia a réalisé ces jours-ci un troisième tour de table qui lui a permis de lever 8,5 millions. Sur trois tours, la start-up aura ainsi levé 23,5 millions de dollars. L'an dernier, son activité a crû de 300%, explique le directeur technique, et son effectif est passé de 30 à 70 personnes à temps plein. La plateforme en ligne Drupal Gardens, sur laquelle le logiciel est accessible sous la forme d'un service, comptabilise déjà 25 000 sites. Pour Dries Buytaert, le logiciel Drupal animerait à ce jour plus de 1% du web.

Illustration : Dries Buytaert, créateur de Drupal et co-fondateur d'Acquia (crédit photo : http://buytaert.net/) (...)

(04/11/2010 16:15:10)

Dell s'offre Boomi, un spécialiste du cloud

En mettant la main, mardi dernier, sur Boomi, une entreprise spécialisée dans l'intégration de SaaS, Dell entend se renforcer dans le domaine du cloud computing. Les termes de la transaction restent encore inconnus. Boomi fournit des services qui simplifient le déploiement et la gestion des applications dans le cloud, parallèlement aux solutions développées en interne dans l'entreprise.

Des tentatives pour racheter 3Par

La plate-forme d'intégration à la demande conçue par Boomi et baptisée Atomsphere permet de transférer rapidement des données entre des applications exploitées sur site et des services hébergés comme le CRM Salesforce.com. Ce rachat constitue l'une de premières étape dans la construction d'un portefeuiille de produits plus important, au moment où de plus en plus d'entreprises se tournent vers une informatique basée sur le web, a commenté Dell dans un communiqué. Il y a quelques mois, la firme texane avait tenté d'acquérir 3Par, un moyen pour l'entreprise de mettre un pied dans la mouvance cloud. Mais au final, ce fût HP qui remporta la bataille.
L'été dernier, le texan s'offrait Ocarina Networks, une start-up spécialisée dans la déduplication de donnée et Exanet, un autre éditeur de solutions de stockage.


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(04/11/2010 16:09:33)

L'Europe simule une cyberattaque pour tester ses défenses

Cet exercice s'est déroulé dans le cadre de l'opération « Cyber Europe 2010 ». Des spécialistes de la cybersécurité vont tenter de contrer les tentatives simulées de pirates informatiques pour paralyser des services en ligne critiques dans plusieurs Etats membres. Ce test repose sur un scénario où la connectivité Internet est progressivement perdue ou gravement altérée dans tous les pays participants, rendant difficile l'accès aux sites essentiels (comme les services d'administration en ligne) pour les particuliers, les entreprises et les institutions. L'opération est orchestrée par l'Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information (ENISA) et par le Centre commun de recherche (JRC) de la Commission européenne.

Une nécessaire coopération


Le but de cet exercice, selon Neelie Kroes, commissaire en charge de la stratégie numérique, « vise à évaluer l'état de préparation de l'Europe face aux menaces informatiques et constitue une première étape dans l'instauration d'une coopération dans la lutte contre les dangers en ligne ciblant les infrastructures essentielles ». L'opération « Cyber Europe 2010 » implique que l'ensemble des pays participant à l'exercice coopère. Cela permettra de tester à la fois les points de contact dans les différents pays, les canaux de communications, le type d'échange de données par ces canaux, etc... La simulation intervient quelques semaines après la médiatisation du ver Stuxnet, qui s'attaquait à des systèmes industriels et avait un impact politique en ciblant prioritairement l'Iran. Le développement de ces menaces et de la complexité des attaques font que les Etats coopèrent sur ce sujet. Il est d'ailleurs prévu que l'initiative européenne qui concerne aussi l'Islande, la Suisse et la Norvège, soit étendue à d'autres pays.

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(04/11/2010 14:56:07)

L'ancien PDG de Sun se confie sur Ellison, Java et l'Open Source

(mise à jour) « Cela ne me pose pas de problème que Larry Ellison ait racheté Sun. C'est la règle du jeu du capitalisme. Dès qu'une société entre en bourse, elle est à vendre. Cela fait partie des conditions », souligne l'ancien dirigeant. Il a ajouté en parlant du CEO d'Oracle qu'il n'avait pas non plus « de problème avec le fait qu'il exerce ses droits de propriété intellectuelle. Est-ce de cette façon que nous aurions procédé ? Bien sûr que non ».

Pendant les 40 minutes qu'a duré son intervention, Scott McNealy s'est livré, avec son humour pince-sans-rire habituel, à un exercice critique à l'encontre de ses anciens rivaux, avant de répondre à quelques questions de l'assemblée. Pour celui qui fut l'un de ses co-fondateurs, Sun était une entreprise de « bons capitalistes », ce qui implique autant de vertu que d'efficacité, alors que Larry Ellison, lui, est un « grand capitaliste ». Au bout du compte, « il est là où il est, et je suis là où je suis ». Autrement dit : Larry Ellison se trouve toujours à la tête d'Oracle, alors que Scott McNealy est sans emploi.

Interrogé sur le procès en contrefaçon de brevet relatif à l'utilisation de Java dans Android qu'Oracle a intenté à Google, Scott McNealy a déclaré qu'il trouvait assez ironique que la société de Larry Ellison ait, dans le passé, demandé à Sun d'assouplir ses conditions de licence pour Java. Mais il se définit aussi comme un « ardent capitaliste » et il reconnaît à Oracle le droit de protéger sa propriété intellectuelle. « Il y a des lois sur le copyright, il y a des brevets, et je crois dans leur respect », a déclaré Scott McNealy.

Une analyse capitalistique de l'Open Source


Questionné sur l'avenir de Java sous Oracle, l'ancien CEO de Sun semble avoir des opinions contradictoires sur les vertus de l'Open Source et sa pertinence en tant que modèle économique. « Je crois dans l'ouverture et le partage », explique-t-il, mais « Larry Ellison peut effectivement faire mieux avec son modèle. Cela dépend vraiment de la manière dont il s'y prend. » Oracle peut investir davantage dans Java que Sun ne l'a fait s'il « ramasse la mise avec Google », précise-t-il. Le spécialiste des bases de données a poursuivi Google en août pour violation de brevets relatifs à Java, mais la firme de Mountain View nie toute malversation. « Le partage, n'est pas dans les habitudes de Larry Ellison », a-t-il encore dit. Mais les développeurs peuvent toujours utiliser le code dans des projets Open Source et les intégrer ensuite dans d'autres projets. « C'est ce qui va sans doute se produire avec OpenSolaris et Java ».

Scott McNealy a également évoqué l'industrie du logiciel propriétaire. « Les fournisseurs arrivent à attirer les clients avec des logiciels à bas prix, leur faisant ensuite surpayer le support et les verrouillant en les empêchant de changer de  fournisseurs », argumente-t-il. « Le prix d'achat du logiciel, c'est un peu comme le premier shoot d'héroïne : il est gratuit », a t-il plaisanté. Il n'a plus l'air très sûr que la voie offerte par l'Open Source soit la meilleure d'un point de vue commerciale. « C'est la raison pour laquelle je m'adresse à vous aujourd'hui, bénévolement », a t-il précisé. Mais Scott McNealy n'est pas tout à fait sans emploi. Il est consultant pour des startups et est impliqué dans un programme pédagogique à but non lucratif du nom de Curriki - une contraction de «Curriculum» et de «Wikipedia» - qui fournit gratuitement des bourses, des livres et autres matériels pour les écoles. (...)

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