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(28/10/2010 17:54:31)

Apple veut zapper les opérateurs avec sa propre carte SIM

Selon le site GigaOM , Apple s'est associé avec le fabricant de carte SIM Gemalto pour travailler sur un projet, qui pourrait voir les clients acheter et activer l'abonnement de leur iPhone directement auprès des magasins Apple ou plus probablement en se connectant à iTunes. Le rapport cité par le site indique que les deux protagonistes ont créé une carte SIM « laquelle comporte habituellement des informations d'identification des abonnés pour les opérateurs, elles seront intégrés maintenant dans l'iPhone lui-même » et d'ajouter « les clients seront alors en mesure de choisir leur opérateur au moment de l'achat sur le site web d'Apple ou dans un magasin, ou acheter le téléphone et d'activer leur appareil grâce à un téléchargement sur l'App Store au lieu de se rendre dans un magasin d'opérateurs ou d'appeler ce dernier » note Stacey Higginbotham de GigaOM.

La carte SIM Gemalto, selon des sources citées par Stacey Higginbotham, intègre dans une puce qui comporte un composant flash et une zone de Rom. « Cette dernière contient des données fournies par Gemalto sur les informations techniques sur le réseau et la sécurité, à l'exception des renseignements sur les opérateurs. La partie flash recevra les données opérateurs et sera activable par l'intermédiaire d'une connexion locale qui pourrait être le PC ou un appareil dédié. Gemalto fournira l'infrastructure back-end qui apporte des services et la fourniture des numéros pour les réseaux opérateurs » conclut Stacey Higginbotham.

(...)

(28/10/2010 17:37:47)

Trimestriels SAP : Licences et maintenance progressent de 9% en France

Si SAP peut se targuer d'une progression de presque 20% sur le chiffre d'affaires de son troisième trimestre fiscal, à 3 milliards d'euros, il le doit en partie à l'intégration de Sybase. Si l'on retranche les ventes de l'éditeur américain (définitivement acquis le 26 juillet dernier), le groupe allemand, fournisseur de solutions de gestion et de BI, se contente d'une croissance de 15%, à taux de change constant par rapport à l'an dernier. A taux de change courant, l'augmentation se limite à 7%. Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires licences et maintenance a progressé de 16% à 6,52 milliards de dollars, et les ventes de licences seules ont augmenté de 18% à 1,76 Md$. Sur l'année, SAP maintient ses prévisions de croissance globale : entre +6 et +8% par rapport à 2009, hors Sybase.

Troisième trimestre fiscal 2010 de l'éditeur SAP
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Entre juillet et septembre 2010, les ventes de licences de SAP se sont élevées à 656 millions d'euros, soit une hausse de 25% par rapport au troisième trimestre 2009, mais là aussi, en incluant les ventes de Sybase. En ajoutant à ces revenus ceux de la maintenance, SAP atteint 2,31 milliards d'euros (+20%, à taux de change constant). Les meilleurs résultats ont été obtenus sur les pays qui connaissent un développement rapide, sur lesquels le chiffre d'affaires a grimpé de 41% sur les revenus issus des licences et de la maintenance. Les produits traditionnels (installés sur site) y sont prisés, les offres décisionnelles aussi. Aux Etats-Unis, les résultats sont également satisfaisants : +27%. En Europe, la progression se borne à 13%.

SAP France poursuit le recrutement de partenaires

Sur l'Hexagone, la croissance a atteint 9% sur les revenus de licences et de maintenance, avec des résultats disparates en fonction des segments de marché propres à SAP. Sur ses grands comptes IBS (Industry Business Solutions), la filiale française affiche +33% sur les ventes de licences trimestrielles, sur tous les secteurs d'activité. Sur ses quatorze plus gros clients en revanche (Primary Channel Network), calme plat. « Le secteur public est celui qui a le mieux fonctionné », a précisé ce matin à Paris Nicolas Sekkaki, directeur de la filiale française, lors d'un point presse. Il a évoqué le projet Chorus qui, en dépit des problèmes rencontrés, va passer de 14 000 utilisateurs à 25 000 d'ici janvier.

Illustration : Nicolas Sekkaki, PDG de SAP France (crédit photo : D.R.)
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Sur les PME (moins de 500 M€ de CA), la filiale française enregistre une légère décroissance sur le trimestre avec, là aussi, des disparités. Les ventes du progiciel BusinessOne, qui vise les plus petites entreprises, ont déjà bouclé leur plan de croissance annuel. Elles ont crû de 40% sur le trimestre. En revanche, sur les structures de 300 à 500 M€, SAP subit toujours un déficit d'image. Pour faire croître son marché PME, où le succès tarde toujours contrairement aux autres pays, la filiale française poursuit activement son recrutement de partenaires. Elle veut étoffer son réseau, à la fois par segments industriels et par zones géographiques. D'ici à 2012, SAP France aimerait réaliser 75% de ventes en indirect vers les PME. Depuis janvier, elle a déjà progressé de 12% pour atteindre 50%. « Nous devons avoir un écosystème de partenaires plus dense. Déjà, nous disposons d'un meilleur maillage », estime Nicolas Sekkaki.

SAP vise 1 milliard d'utilisateurs d'ici 2015


Si l'éditeur allemand a globalement vu ses ventes progresser sur son troisième trimestre, en revanche, sa marge opérationnelle IFRS s'est rétractée (le cours de son action a baissé à l'annonce de ses résultats). Sur la période, la marge a représenté 23,8% du chiffre d'affaires contre 24,7% l'an dernier à même époque. Les perspectives semblent meilleures pour le quatrième trimestre puisque SAP prévoit une marge opérationnelle située entre 30 et 31% (à taux de change constant) sur l'ensemble de l'exercice.

Et d'ici à 2015, l'éditeur ne craint pas d'afficher d'ambitieux objectifs : 35% de marge opérationnelle, un chiffre d'affaires de 20 milliards d'euros (contre quelque 11 Md€ actuellement) et un milliard d'utilisateurs (excusez du peu), contre 35 millions aujourd'hui. Des chiffres relayés par le directeur général de SAP France. « Derrière cette ambition, il y a une philosophie, a-t-il expliqué. Il s'agit d'abord d'apporter de l'innovation et de la valeur ajoutée plus vite et sans rupture pour l'entreprise. SAP dépense 14,5% de son chiffre d'affaires en R&D et pourtant, nous ne figurons pas dans le palmarès des entreprises les plus innovantes », déplore le dirigeant français. Il faut être capable de déployer un projet de CRM en trois mois, sans devoir tout modifier, donne-t-il en exemple. Sur ce terrain, SAP va notamment proposer ses applications « On-Demand », la première ayant été livrée cet été. D'ici cinq ans, 10% du chiffre d'affaires de l'éditeur devrait se faire sur les applications en ligne (l'offre Business ByDesign* et les solutions On-Demand).

Des AppStores pour accéder à l'innovation simplement


« Nous voulons également transformer l'interface utilisateur en expérience client », a ajouté le dirigeant français en explicitant : « il faut que les utilisateurs reconnaissent l'univers SAP et qu'ils aient envie d'y revenir. Nous devons donc définir ce qu'ils attendent et le développer. » Sur ce sujet, SAP aurait beaucoup appris de Sybase. Nicolas Sekkaki rappelle aussi le passage aux méthodes de développement agile (Scrum en particulier), qui se généralise depuis l'intégration des équipes de Business Objects qui les exploitent de longue date. « Nous voulons que les nouvelles applications puissent s'intégrer facilement dans l'univers du client », poursuit le dirigeant en faisant référence à la version 7.3 de la plateforme d'intégration Netweaver, actuellement en bêta.

Pas plus qu'à Ray Ozzie, ex-Microsoft, il n'a échappé à SAP que le marché des utilisateurs était désormais en avance sur celui des entreprises. « Nous avons appris que la consommation des applications et des données était plus importante [que les applications elles-mêmes], a admis ce matin Nicolas Sekkaki en évoquant la mise en place d'« AppStores » pour accéder à l'innovation très simplement. « Il faut penser d'abord à  l'usage ». Mais le dire ne suffit pas. Encore faut-il aussi s'employer à changer l'image de SAP dans l'esprit des utilisateurs potentiels. Le groupe travaille sur le positionnement de sa marque. Dans la campagne de publicité qui va démarrer sur quatre pays (Chine, Allemagne, Etats-Unis, Brésil), il a mis ses clients à contribution pour convaincre le marché de la facilité d'accès à ses logiciels.

(*) En France, pour l'instant, la filiale compte 21 clients sur le progiciel de gestion dans le cloud, Business ByDesign. Aucun n'est encore passé en version 2.5. (...)

(28/10/2010 17:10:13)

Intel présente sa vision du Cloud pour 2015

Intel a exposé la manière dont elle envisageait faire évoluer le cloud computing à l'horizon 2015, notamment comment améliorer son interopérabilité, le rendre plus sûr et plus simple, en mettant aussi à contribution de grandes entreprises et des fournisseurs de logiciels et de matériels. Pour l'occasion, le géant du processeur a également annoncé le lancement de l'Open Data Center Alliance (ODCA), une coalition de grandes entreprises, qui doit jeter les bases matérielles et dessiner les futurs besoins en logiciels à même de répondre aux exigences d'ouverture et d'interopérabilité souhaitées pour les centres de calcul de demain. Intel a également dévoilé son propre programme Cloud Builders, qu'elle compte engager avec une vingtaine de développeurs de matériel et de logiciels de premier plan au niveau mondial, lequel concentrera les ressources nécessaires pour stimuler l'innovation et faire en sorte que les clouds soient plus faciles à déployer, à utiliser et à partager.

L'ODCA se compose de 70 entreprises de premier plan qui, ensemble, dépensent plus de 50 milliards de dollars en IT chaque année et ont déjà des projets de cloud en cours. Parmi les membres, on trouve BMW, China Life, la Deutsche Bank, JP Morgan Chase, Lockheed Martin, Marriott International, Shell, Terremark, USB et la National Australia Bank. Selon Mario Mueller, vice-président de BMW pour l'infrastructure informatique, l'ODCA représente «le premier consortium mondial réunissant des responsables informatiques avec pour objectif de définir ensemble des normes pour les datacenters d'aujourd'hui et de demain. » Cinq groupes de travail ont été désignés pour réaliser un rapport sur les infrastructures, la gestion, la sécurité, les services, la gouvernance et l'écosystème, qu'ils présenteront devant un comité technique. Intel, à l'origine du projet, agira à titre de conseiller technique au sein du comité directeur de l'ODCA.

Un rôle de conseiller pour Intel

L'Alliance a publié la version 0.5 de sa feuille de route aujourd'hui, diffusée sur une série de webcasts, publics ou réservés à ses membres, pour suivre son avancée jusqu'à la feuille de route 1.0 qui sera dévoilée au cours du premier trimestre 2011. « Compte tenu de son histoire, Intel est parfaitement à sa place dans ce rôle, » a déclaré Mario Mueller. Quand à Boyd Davis, vice-président d'Intel Architecture Group, celui-ci a déclaré qu'Intel serait guidée et stimulée par les programmes de l'Alliance. «C'est à nous de répondre aux exigences de la feuille de route de l'ODCA, » a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse donnée à Genève. « Ce sont les entreprises impliquées qui ont demandé à Intel d'apporter son expertise et sa vision. Nous avons contribué à faire naître ce projet, mais notre rôle principal sera de rendre son organisation efficace. Nous ne disposons pas de droit de vote et nous n'avons aucun contrôle sur ce que produira le groupe. Au contraire, la feuille de route pourrait nous mettre face à des défis considérables, et leur ordre du jour pourrait orienter vers des produits qui ne trouveront pas forcément leur place dans le portefeuille d'Intel. Nous sommes fiers de ce rôle, à l'image de notre histoire, mais l'ODCA est un groupe très ouvert d'esprit et notre rôle ne nous donne aucun avantage particulier. Nous examinerons les exigences de l'ODCA et travaillerons à pousser l'Intel Cloud Builders vers ces objectifs. »

Travailler sur la meilleure plate-forme cloud

Boyds Davis a annoncé un élargissement important du programme Cloud Builders, avec la livraison d'une vingtaine d'architectures de référence, les premières, par des fournisseurs de technologie comme Cisco, Citrix, Dell, EMC, HP, IBM, Microsoft, NetApp et VMware. « Notre objectif est d'unifier l'ensemble des attributions du cloud computing. C'est le bon moment pour l'Alliance de montrer le chemin afin de donner une orientation claire au cloud. Le programme Cloud Builders souhaite inciter les clients qui utilisent la technologie d'Intel d'agir à un niveau supérieur. Pendant des années, nous nous sommes employés à définir quel était le meilleur PC, quels étaient les meilleurs serveurs, pour profiter de nos solutions. Le programme Cloud Builders élargit un peu plus notre champ : nous sommes maintenant un élément parmi ceux impliqués dans les solutions tournant dans les datacenters. Les clients peuvent désormais déployer en toute confiance ces architectures en ayant le choix parmi les solutions proposées par plusieurs vendeurs différents».

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(28/10/2010 16:35:43)

Trimestriels France Telecom: les premiers fruits des conquêtes

Les premiers résultats trimestriels depuis l'annonce du plan Conquêtes 2015 sont en phase avec la stratégie indiquée par Stéphane Richard, le PDG de France Telecom. Si le chiffre d'affaires affiche une progression faible +1,1% à 11,6 milliards d'euros. Le plus important est ailleurs. Le dirigeant a souligné que « les résultats que nous présentons aujourd'hui sont solides et marquent une première étape dans la réalisation des priorités de Conquêtes 2015. Le groupe passe ainsi, pour la première fois, la barre des 200 millions de clients dans le monde. » Sur ce dernier point, l'opérateur tire bénéfice en France de son offre quadruple play, Open, qui a attiré près de 100 000 abonnés et du repositionnement tarifaire de ses offres triple play. Le groupe annonce une part de conquête de 32,8% soit plus du double par rapport au trimestre précédent. Sur la partie mobile, Orange stabilise sa part de marché à 46,9% et le chiffre d'affaires progresse de 2,1% à 2,7 milliards d'euros.

L'autre facteur de croissance réside dans le développement de l'opérateur dans la zone Afrique et Moyen-Orient. Stéphane Richard en a fait une de ses priorités et les résultats du 3ème trimestre sur cette zone montre une augmentation du chiffre d'affaires de 9,8%.

Ces bons résultats encouragent France Telecom à maintenir ses prévisions en matière de chiffre d'affaires. Il s'attend à une érosion d'un point de la marge d'EBITDA. Les investissements seront par contre en hausse, notamment en faveur du déploiement de la fibre optique.

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(28/10/2010 16:07:34)

1er étude Médiamétrie sur l'Internet mobile : Google caracole en tête

Après l'audience des médias traditionnels (TV, radio, cinéma, etc.) et de l'Internet fixe, Médiamétrie dissèque désormais la consultation du Web depuis les téléphones mobiles. Cette nouvelle mesure trimestrielle, élaborée conjointement avec l'AFMM (Association française du multimédia mobile) et les opérateurs (Bouygues Telecom, SFR et Orange), analyse les audiences des sites, des portails et des applications consultés via l'Internet mobile.

"L'usage de l'Internet mobile continue de s'accélérer à travers le développement des réseaux 3G, le succès des offres d'accès à l'Internet Mobile et l'arrivée des smartphones : au 3ème trimestre 2010, la France compte 45,9 millions de personnes équipées de téléphones mobiles et 13,7 millions de mobinautes dernier mois" explique Franck Abihssira, président de l'AFMM.

Sans surprise Google en tête

Le premier classement de l'audience de l'Internet mobile en France place Google en tête. Au cours du troisième trimestre 2010, le moteur de recherche et ses services associés (Google Maps, YouTube, etc.) totalisent 9.286.973 visiteurs uniques. A titre de comparaison, Google représente 35,25 millions de visiteurs uniques (septembre 2010) sur l'Internet fixe, où il domine également le classement.

Les sites et applications d'Orange pointent en deuxième position (quatrième sur l'Internet fixe), avec 8,62 millions de visiteurs uniques de juillet à septembre. Facebook est le troisième site le plus consulté sur les mobiles, avec 8,14 millions de visiteurs uniques sur cette période (près de 25 millions sur l'Internet fixe en septembre).

Suivent les opérateurs SFR et Bouygues Telecom, avec respectivement 7,32 et 4,7 millions de visiteurs uniques, Apple (4,2 millions), PagesJaunes (3,7 millions), les sites et services en ligne de Microsoft (3,6 millions), le portail Yahoo! (près de 3 millions), et le groupe Wikimédia, qui édité l'encyclopédie en ligne Wikipédia (2,84 millions).

Les médias bien placés

Aux vingt premières places de ce classement figurent aussi des sites et applications de médias, comme Lagardère (Europe 1, Elle, Paris-Match, etc.), TF1, Le Figaro (1,96 million de visiteurs uniques) ou Le Monde (1,57 million), le site de la SNCF, mais aussi la plateforme vidéo Dailymotion (1,63 million), le portail cinéma AlloCiné et Météo France.

Cette mesure repose sur la collecte exhaustive et anonyme des connexions de l'ensemble des téléphones mobiles sur les réseaux des trois opérateurs historiques, et sur un panel représentatif de 10.000 mobinautes. Le baromètre prend en compte les consultations via les téléphones mobiles, et exclut de la mesure les autres terminaux mobiles comme les baladeurs Wi-Fi ou les tablettes Internet. Pour des raisons de confidentialité ou de contrainte technique, les smartphones BlackBerry, les navigations sécurisés en "https", la navigation via le logiciel Opera, et les clients des opérateurs mobiles virtuels (MVNO), sont également écartés du panel.

Au total, cette première étude a porté sur 5.286 sites et 407 applications mobiles.

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(28/10/2010 15:02:30)

Didier Lamouche devient directeur général de ST Microelectronics

Didier Lamouche vient d'être nommé directeur général de ST Microelectronics. Il succède à Alain Dutheil qui a décidé de prendre sa retraite, après 27 ans passés à la tête de l'entreprise.  Depuis avril 2006, Didier Lamouche était membre du conseil de surveillance de ST Micro, poste qu'il a quitté le 26 octobre pour prendre la tête de la société. De 2004 à mi 2010, il a été PDG du groupe Bull, ce qui avait permis à l'entreprise française de traverser la crise sans rencontrer de difficulté majeure.

Plus de 20 ans d'expertise dans les semi-conducteurs

Didier Lamouche rejoindra ST Microelectronics le 1er novembre prochain. Après une période de transition, il remplacera officiellement Alain Dutheil aux postes de directeur général et de vice-président du comité stratégique le 26 janvier 2011, immédiatement après la publication des résultats de la société pour le quatrième trimestre et l'exercice 2010.
Agé de 51 ans, Didier Lamouche est diplômé de l'Ecole centrale de Lyon et titulaire d'un doctorat en technologie des semi-conducteurs. Il possède une expérience de plus de 20 ans dans l'industrie des semi-conducteurs, à des postes de direction opérationnelle et générale. Il a démarré sa carrière en 1984 au sein du département R & D de Philips, avant de rejoindre IBM Microelectronics, où il a occupé différentes fonctions en France et aux Etats-Unis.
Chez Big Blue, il a dirigé l'un des plus grands sites européens de semi-conducteurs situés à Corbeil, en vue de créer Altis Semiconductor, co-entreprise d'IBM et d'Infineo, entité qu'il a pilotée durant quatre ans.

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