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(28/10/2010 14:45:33)

Un supercalculateur chinois revendique une puissance de 2,5 pétaflops

Situé au centre national de calcul intensif de Tianjin, le supercalculateur Tianhe-1A utilise pas moins de 7 168 puces graphiques Nvidia Tesla M2050  et 14 336 processeurs Intel Xeon six coeurs. Construit par l'Université Nationale des Technologies de Défense, « ce système le plus rapide en Chine et dans le monde à ce jour » pérore un communiqué de presse de Nvidia. S'il offre une capacité de calcul de 2,5 pétaflops (un pétaflop équivaut à un million de milliards d'opérations par seconde), mesurée par le benchmark Linpack, il aurait un rendement théorique de 4,669 pétaflops lorsque tous les GPU sont opérationnels, assure un porte-parole de Nvidia. Les benchmarks ont été fournis par le National Supercomputing Center en Chine, a-t-il ajouté.

Ces dernières années, la Chine a rapidement gravi les échelons du petit monde des super calculateurs. Le dernier Top500 des superordinateurs les plus rapides, publié en juin, plaçait déjà le supercomputer Nebulae du National Supercomputing Centre de Shenzhen sur la deuxième marche du podium.

Le Cray Jaguar toujours en tête du Top500


Toujours selon ce classement, le superordinateur le plus rapide dans le monde est le système Cray Jaguar du Département américain de l'énergie au laboratoire Oak Ridge qui fournit une capacité de travail de 1,76 pétaflop (voir illustration ci-dessous). Rappelons que la barrière du pétaflops a été franchie en 2008 seulement par le supercalculateur Roadrunner d'IBM. Le Tianhe-1A a été annoncé deux semaines avant la sortie du prochain classement Top500, il est donc encore trop tôt pour dire s'il sera bien le système le plus rapide sur la liste.



La Chine cherche à renforcer ses ressources en calcul et fonde beaucoup d'espoirs sur ses travaux sur les  supercalculateurs hybrides, a déclaré Nathan Brookwood, analyste chez Insight 64. Un certain nombre de superordinateurs combinent aujourd'hui des CPU et des GPU pour améliorer les performances. Très spécialisés, les GPU sont plus rapides que les CPU traditionnels pour l'exécution de certaines tâches, comme celles utilisées dans les applications scientifiques et mathématiques.

Crédit photo : D.R.

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(28/10/2010 13:56:18)

Google rehausse sa recherche locale

Google a revu la manière dont son moteur organise et présente les informations de services locales. Elle a notamment éliminé certaines rubriques qui avaient tendance à se chevaucher, et a réuni les informations pertinentes pour les afficher au même endroit dans la page de résultats. En plus de ces améliorations, Google a renommé son service de recherche locale, maintenant appelé Place, et l'a ajouté comme option dans le menu situé en haut à gauche de la page de résultats.

Désormais, lorsque les utilisateurs rechercheront un restaurant, un parc, une école, un hôtel, une entreprise et d'autres lieux de proximité, Google affichera les résultats en tête de page. Le nom du lieu sera accompagné de l'adresse, d'une vignette image, de ses numéros de téléphone, du repère qui permet de le situer sur une carte Google Maps, plus des liens vers des sites comme Yelp, Citysearch, Zagat et TripAdvisor où on peut accéder à des articles sur le lieu en question, s'il y en a. « Plus de 20% des recherches sur Google sont liées à une demande de localisation, ce qui représente un pourcentage très important,» a déclaré Jackie Bavaro, chef de produit chez Google. « Nous voulons rendre la recherche relative à la localisation plus rapide et plus facile, » a-t-elle encore déclaré. « Place Search, qui sera déployé au niveau mondial en plus de 40 langues au cours des prochains jours, permet actuellement d'accéder à des centaines de millions de sites rapportant à plus de 50 millions de lieux physiques, » a-t-elle ajouté.

Améliorer la visibilité web des petites entreprises

L'annonce de Place Search se situe juste après le lancement de Boost effectué par Google cette semaine, un programme de recherche de publicité conçu spécifiquement pour les entreprises locales. Depuis des années, Google fourni déjà aux petites entreprises le moyen de signaler leur activité dans un répertoire d'adresses appelé Local Business Center - et renommé Places il y a quelques mois - dans lequel pouvaient figurer leur adresse, les heures d'ouverture, des photos, leurs numéros de téléphone, et des liens vers leur site Internet. « Ce n'était qu'un élément d'une aventure beaucoup plus importante pour Google, » a déclaré l'analyste Greg Sterling, de Sterling Market Intelligence.

Avec Place Search et Boost, Google veut saisir l'opportunité de mieux servir les utilisateurs finaux à la recherche d'information sur les entreprises de proximité, mais aussi d'attirer les annonceurs locaux, en particulier les sociétés et commerces de petite taille, traditionnellement difficiles à cibler, » a commenté Greg Sterling.

 

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(28/10/2010 12:17:10)

Etude cloud IDC/CA : Les entreprises cherchent à simplifier leurs infrastructures

Après la première édition au printemps dernier, la deuxième de l'Observatoire du Cloud réalisé semestriellement par IDC sous le sponsoring de CA Technologies vient d'être publiée. Ce baromètre vise à mesurer la maturité du marché du cloud computing et des concepts connexes. Force est de constater que le concept continue sa progression et que les entreprises ont beaucoup progressé dans sa compréhension en l'espace de seulement six mois.

Le nombre d'interrogations de Google autour du cloud et des notions approchantes (SaaS, IaaS, PaaS, etc.) continue de monter et il en est de même pour le nombre d'articles référencés sur le sujet par le moteur de recherche. « Le cloud est donc clairement toujours dans le vent et même de plus en plus » se réjouit François Trouillet, directeur marketing Europe du Sud de l'éditeur CA Technologies. Le choix du cloud, de plus, se fait désormais sur des critères normaux de projets, avec des recherches de bénéfices à court, moyen et long termes.

Des préoccupations évoluant vers plus de maturité

La centaine d'entreprises et d'administrations du panel a été, cette fois, interrogée par IDC en septembre 2010. Par rapport à la première édition de l'observatoire, les préoccupations des entreprises ont nettement évolué, de même que leur maturité et leur connaissance du cloud. Franck Nassah, analyste chez IDC, mentionne : « Le taux de notoriété des acronymes IaaS et PaaS est en forte progression (respectivement : de 32% à 68% et de 34% à 52%), celle de SaaS est stable (passant de 80% à 77%, dans le même intervalle de confiance). Pour notre enquête, nous précisions à chaque fois de quoi il s'agissait. »

A l'inverse, la sensation de connaître exactement ce qui se cache derrière ces termes est en baisse. « Connaissant mieux le cloud, les personnes sont davantage conscientes de leur ignorance » explique Franck Nassah. Si la sécurité reste le frein principal à la mise en oeuvre d'informatique dans les nuages (avec 42% des réponses), cette préoccupation est en forte baisse, d'autant que les répondants tendent à considérer que la sécurité des IaaS/PaaS/SaaS est globalement au moins de même niveau que celle de leur SI interne (47% de similaire, 24% de supérieure). Les IaaS sont perçues comme de plus en plus sures : 71% des répondants estiment que les garanties sont meilleures qu'il y a un an. La question de la localisation des données, vrai problème juridique, est la deuxième préoccupation avec 33% des répondants. Les préoccupations suivantes sont classiques et normales dès lors que l'on envisage une externalisation, cloud ou non : garantie de réversibilité (29%), maturité des offres (23%)...

Des motivations de plus en plus similaires aux autres externalisations

Le « développement de nouveaux services pour les clients » était à peine mentionné il y a six mois parmi les motivations pour passer au cloud. Désormais, cet item arrive en milieu de liste avec 25% des répondants. Sa progression remarquable signe une maturité dans l'approche du cloud. Les premières motivations restent cependant « simplifier et optimiser l'infrastructure » (62%) et « diminuer les investissements en hardware et licences » (48%) suivi de plusieurs items sur l'agilité (autour de 34-35%).

Malgré tout, le cloud privé reste préféré par 72% des répondants contre seulement 7% pour le public, le solde n'ayant pas encore tranché. Le principal frein à l'adoption du cloud ne serait-il pas, finalement, la DSI elle-même, selon l'adage « No hard, no soft, no job » (« Pas de matériel, pas de logiciel, pas de travail ») ? Le rôle de la DSI va changer par l'adoption du cloud pour 54% des répondants. Au sein de ceux-ci, 32% estiment que la DSI sera de ce fait un frein (contre 68% d'avis contraire). Parmi ces 32%, l'échantillon devant alors de taille très réduite, 38% considèrent que les directions métier choisiront le cloud sans en référer à la DSI si celle-ci freine trop (contre 62% d'un avis contraire).

Pour Franck Nassah, « la DSI doit, pour reprendre la main, être moteur et proposer de nouveaux services grâce au cloud. Dans cette opération, la direction des achats sera sans doute son alliée car elle finira par s'étonner des notes de frais des directions métier, par exemple pour se payer un Salesforce. »
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(28/10/2010 12:01:51)

Le patron de Google s'excuse d'une gaffe sur Street View (MAJ)

Eric Schmidt, patron de Google, est revenu sur ses propos, après qu'il ait suggéré aux malheureux utilisateurs du web dont la maison était affichée sur le site Street View de déménager. Au cours d'une interview accordée à CNN, la journaliste Kathleen Parker avait questionné le dirigeant sur les aspects de confidentialité de Street View. Eric Schmidt avait alors répondu : « Street View poursuit sa route, quoiqu'il en soit, alors, les utilisateurs n'ont qu'à déménager, pas vrai ? ». Suivirent des rires, rendant le message peu clair, dans la mesure où l'on ne savait pas si ce dernier plaisantait ou non.  En dépit du fait que ce commentaire ait été coupé de l'enregistrement final, une vidéo de la gaffe d'Eric Scmidt a été diffusée sur internet.

Des données accidentellement collectées par les voitures Street View

La frénésie web concernant cette déclaration a conduit le PDG de la firme de Mountain View à clarifier le message découlant de cette interview. « Comme vous pouvez le voir dans l'entretien non diffusé, mes commentaires avaient été effectués durant un assez long allez et retour sur la question de la vie privée, et je m'en excuse. » a-t-il déclaré. Si Street View vous cause des ennuis et si vous souhaitez que votre maison soit floutée , contactez Google et nous nous en chargerons, a t-il ajouté.
Le service Street View est une extension de Maps qui fournit des photos en temps réel de villes à travers le monde. Les clichés sont effectués par des voitures Google. La gaffe d'Eric Scmidt  intervient alors que la firme a admis que les données de ses voitures Street View avaient accidentellement été collectées depuis des réseaux Wifi, incluant messages électroniques, adresses de sites web et également mots de passe.

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(28/10/2010 10:42:38)

1er baromètre GFK sur les contenus numériques

Premier enseignement du baromètre GFK, l'ordinateur est encore l'écran privilégié pour consulter les contenus numériques. Et de loin.  Pour 93% des internautes interrogés, c'est le bon vieil ordinateur qui permet d'accéder aux réseaux sociaux, aux blogs, ou de partager des contenus. 5% préfèrent nettement le smartphone. Celui-ci a connu un succès indéniable mais l'ordinateur garde une écrasante supériorité. Elle  se retrouve même pour des applications comme la vidéo à la demande ou la consultation de YouTube, réalisées par 71% des internautes avec  leur bon vieux PC, 23% préfèrant la « téloche », 9% optent pour les tablettes.

Le cabinet étudie ensuite, sur les cinq types de contenus observés (livre, vidéo, musique, réseaux sociaux, presse), la manière dont les internautes les consultent et pour quels types de besoins. Concernant la musique, 47% des internautes qui écoutent de la musique téléchargée se la procurent sur des sites de peer-to-peer (Emule, Torrents, Rapidshare, ...). 46% optent pour des magasins en ligne (iTunes, Virginmega.fr, Amazon.fr, Fnac.com, Qobuz,...). Ils sont 29% à passer sur des sites de réseaux sociaux ( Facebook, MySpace). 27% sur des sites  d'éditeurs ou d'artistes. 13% vont sur des blogs. 12% sur des sites d'opérateurs de téléphonie mobile. 11% enfin préfèrent une application téléchargée sur le téléphone portable ou la tablette. GFK scrute ensuite le web 2.0. Ici 96% des internautes utilisent l'ordinateur (choix multiples), 93% en tant qu'écran principal. Le téléphone portable recueille 34% des choix (à l'intérieur d'un choix multiple), 5% si la question est de le choisir en premier. La télévision est à 12% et 1%, la tablette (iPad, HP Slate, Dell Streak) à 9 et 1, le e-book (ex: Amazon Kindle, Sony Reader, Bookeen..) reste dans des chiffres infimes.

14% des internautes sont inscrits sur les réseaux sociaux mais n'y vont jamais !

L'utilisation de ces réseaux sociaux, en revanche, donne lieu  à des réponses plus larges. 56% des internautes déclarent entretenir leurs relations. 55% suivent l'actualité de leurs contacts. 47% regardent des photos. 40% partagent leur actualité avec leurs contacts. 32% regardent des vidéos. 29% se créent des contacts. 20% écoutent de la musique. 14% s'adonnent aux jeux vidéo. 14% sont inscrits mais n'y vont jamais !

Last but not least, GFK se préoccupe de la presse (merci !). Pour remarquer que sur 10 heures passées à lire la presse, 8% des internautes vont exclusivement sur la presse numérique, 12% exclusivement sur la presse papier. 44% de l'ensemble des personnes  interrogées vont plutôt sur le numérique et 56% plutôt vers la presse papier. La presse consultée en ligne est d'abord la presse quotidienne nationale (73%), la presse quotidienne régionale (38%), les news magazine (34%), la presse people (26%), celle spécialisée en sports (24%), la presse féminine (19%), la presse professionnelle (17%), la presse masculine (8%).

(*) Etude rédigée après des interviews menées sur 1 000 internautes français âgés de 15 à 65 ans.

Illustration : Baladeur tactile iPod nano d'apple avec 8 ou 16 Go de mémoire de stockage. Crédit photo : D.R.


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(28/10/2010 11:12:30)

Oracle accuse Google de "copier-coller" du code Java dans Android

Oracle a déposé en août dernier,  à la surprise générale, une plainte contre Google, affirmant que plusieurs éléments de l'OS mobile Android  violent les droits d'auteur relatifs à Java, que l'éditeur de Redwood a acquis lors du rachat de Sun Microsystems.
Le dépôt initial de la plainte avait fourni peu de détails sur l'infraction présumée, mais dans un complément déposé mercredi  le plaignant est plus précis, en donnant des exemples de lignes de code comme preuves. La plainte dit  qu'Android porte atteinte à des classes de librairies et de la documentation, et qu' «environ un tiers des packages d'API de l'OS mobile " sont "dérivés des paquets d'API Java sous copyright d'Oracle" ainsi que des documents connexes.

Un code copié in extenso


"Les éléments qui violent les oeuvres protégées d'Oracle en Amérique comprennent la méthode Java et les noms de classes, des définitions, les paramètres de la structure, l'organisation et le contenu des bibliothèques de classes Java, et idem pour la documentation de Java" précise Oracle et d'ajouter " Dans bien des cas au moins plusieurs éléments du code de programmation d'Android ont été directement copiés du code d'Oracle protégé par un droit de propriété intellectuelle ".

Oracle accuse également Google de violer plusieurs brevets relatifs à Java. Ces accusations semblent inchangées par rapport à la plainte originale. Google n'a pas fait de commentaires sur les dernières allégations. Dans le passé, il a jugé «sans fondement» les accusations sur la firme de Moutain View et la communauté Open Source et entend bien se défendre. Oracle  cherche à obtenir une injonction pour bloquer l'utilisation de son code par Google et demande des dommages et intérêts.

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(28/10/2010 11:26:02)

La migration vers Windows 7 gourmande en ressources, mais nécessaire

Quelques 1 360 responsables informatiques ont été interrogés pour une étude, commandée par la firme de sécurité Symantec. Le rapport publié par l'éditeur montre que près d'un quart des entreprises (23%) dans le monde sont passés à Windows 7 depuis Windows Vista, trois ans seulement après le lancement de ce dernier. Symantec a constaté que la planification et le processus de migration implique activement la moitié de tous le personnel. Dans une autre étude, le Gartner a constaté que les entreprises consacrent de 12 à 18 mois sur le seul processus de planification. L'enquête de Symantec a également montré que la migration a pris plus longtemps que prévu, en raison d'une incompatibilité de certaines applications (citée par 52 %).

La même étude constate que les responsables informatiques sont contents de l'ensemble des avantages tirés de cette évolution. Interrogés sur les facteurs qui avaient été " quelque peu ou beaucoup améliorés " depuis la migration, la performance arrive en tête à 79%, suivi d'une expérience utilisateur final et de la sécurité (76% pour chaque). Les autres facteurs positifs sont la fiabilité (74%), la facilité d'utilisation (69%) et de la gestion (66%).

D'autres conclusions du rapport de migration vers Windows 7:


- La préparation : les sondés ont expliqué que leurs équipes informatiques ont dépensé en moyenne dix heures pour préparer la mise à jour - y compris la planification, la formation et des pilotes.

- Le processus de migration : la durée moyenne du temps consacrée à la migration de chaque machine existante disposant d'un ancien OS est de 5 h, mais elle est réduite  à 4 h dans le cadre du déploiement d'un nouveau PC.

- L'automatisation : des commentaires des répondants ont indiqué que si une organisation avait au moins dix ordinateurs, cela valait la peine d'automatiser le processus de migration.

- Rajeunir à l'ensemble du parc : de nombreuses sociétés ont déclaré avoir utilisé leur mise à niveau vers Windows 7 comme une occasion pour mettre en oeuvre certains standards. Déployer une interface de bureau virtuelle et des mesures de sécurité supplémentaires. Afin de gérer les applications qui incompatibles avec Seven, 71% des répondants les ont tout simplement remplacé.

- Résultat : dans l'ensemble, 78% des équipes informatiques ont déclaré que le processus de migration s'était passé «en douceur», et 63% qu'il était plus facile que leur dernière mise à jour d'OS. Sur les 62% des sociétés qui  s'étaient fixés des objectifs de ROI (retour sur investissement), 90% les ont atteint.

" Pour de nombreux responsables IT, la migration vers Windows 7 est le projet le plus important de l'année 2010 ", a déclaré Christine Ewing, directrice marketing produit chez Symantec. " Notre enquête démontre que, tandis que si certaines sociétés ont pris du retard en raison d'incompatibilité applicative et/ou des contraintes budgétaires, la plupart des compagnies interrogées ont  atteint leurs objectifs lors de cette transition, à savoir une plus grande fiabilité, des performances améliorées et une meilleure expérience pour l'utilisateur final" conclut la responsable. (...)

(28/10/2010 11:09:18)

Open recrute 700 informaticiens en 2011

Après avoir intégré plus de 330 collaborateurs depuis le début de l'année, la société de services informatiques Open poursuit le rythme de ses recrutements. Pour accompagner ses clients grands comptes, l'entreprise ouvre 700 postes en 2011 sur tout le territoire national et également en Belgique et au Luxembourg. Les candidats diplômés d'écoles d'ingénieurs, de commerce ou d'universités ayant des compétences très ciblées sont les principaux profils recherchés. Les postes à pourvoir concernent des ingénieurs d'études, ingénieurs concepteurs, ingénieurs systèmes / réseaux, administrateurs de bases de données, architectes fonctionnels et techniques, urbanistes, concepteurs fonctionnels, consultants en management junior et senior, chefs de projet et directeurs de projet.

Cooptation, réseaux sociaux, journées portes ouvertes

Dans ce cadre, la maîtrise des technologies suivantes est recherchée: .Net, Java/J2EE, Android, Iphone, FPGA, VHDL, C++, Oracle, Unix, Business Object,  Informatica, Quality Center, systèmes Unix, Windows, et des doubles compétences autour de Java et des mainframes. Pour attirer un maximum de candidats,  Open prévoit de développer des actions de cooptation, de renforcer sa présence sur les réseaux sociaux et également sur ses journées « portes ouvertes » Open Job Day. La SSII compte également échanger avec des candidats potentiels à travers des chats. Elle entend aussi communiquer grâce aux partenariats noués avec des grandes écoles tout en maintenant bien sûr les réseaux classiques de recrutement (CV, salons, sites d'emplois) qui demeurent les plus efficaces.

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